mercredi 2 juin 2010

Pas de paix, pas de fin de la colonisation, pas de fin de l'occupation, pas de justice sans la disparition de l'entité sioniste


Israel - 01-06-2010
Par Robert Bibeau > robertbibeau@hotmail.com
(...) Ces gens comme Alain Gresh et le représentant d’Amnesty International s’agitent frénétiquement en ce moment afin de nous détourner de la seule question qui importe en ce moment : comment allons-nous soutenir encore plus farouchement le Hamas, le Jihad islamique et l'ensemble de la résistance palestinienne sans défaillir, et comment allons-nous reprendre leur revendication fondamentale dans chacun de nos pays pour l'éradication - la destruction complète et totale de l'entité sioniste illégale et illégitime. Un soi-disant État, réellement paria et terroriste.

Je lis le commentaire d'Alain Gresh sur le blogue du journal Le Monde diplomatique du 31 mai 2010 (Israël : L'impunité jusqu'à quand ? ).
Il existe un concept en linguistique, celui de FAUX AMI. C'est un mot qui, en anglais, par son orthographe et par sa prononciation, fait penser à un mot français, mais c'est une erreur, ce mot n'a absolument pas la même signification en français et en anglais. Il faut se méfier de ces faux amis. Alain Gresh est un faux ami du peuple palestinien. Il déclare que la question est maintenant de savoir quel sera le prix à payer pour Israël, reconnaissant par là la légitimité de ce soi-disant État réellement paria et terroriste. Ce n'est absolument pas la question du jour. Nous y reviendrons.
Lundi le 31 mai 2010, il y avait à Ottawa, comme ailleurs dans le monde, une manifestation de 1.000 sympathisants du peuple palestinien afin de dénoncer la visite du criminel de guerre Netanyahu qui, finalement, s'était envolé d’urgence vers Tel-Aviv afin de superviser la campagne de mensonge visant à camoufler les méfaits de son armée terroriste. Manifestation très militante à Ottawa, avec des drapeaux turcs et grecs à côté des drapeaux palestiniens.
Le représentant d’Amnesty international au Canada a pris la parole pour demander une « enquête impartiale » sur les « incidents » qui se sont déroulés en Méditerranée. Les manifestants l’ont fait taire. Il faut être un FAUX AMI pour déclarer devant une foule en colère qu'on doit faire une enquête afin de déterminer si ce sont les pacifistes désarmés qui ont pris d'assaut dans les eaux internationales les navires de guerre israéliens et qui ont massacré 19 soldats surarmés de l’armée sioniste ou si c'est l'inverse qui s'est produit.
Une demande d'enquête ne vise qu'a apaiser l'indignation internationale, à détourner l'attention des criminels sionistes et à donner le temps à ces fraudeurs de transférer des armes sur la Flotte de la liberté venu porter aide et assistance au peuple de Gaza mourant sous blocus sioniste illégal et illégitime.
Ces gens comme Alain Gresh, et le représentant d’Amnesty International s’agitent frénétiquement en ce moment afin de nous détourner de la seule question qui importe en ce moment : comment allons-nous soutenir encore plus farouchement le Hamas, le Jihad islamique et l'ensemble de la résistance palestinienne sans défaillir, et comment allons-nous reprendre leur revendication fondamentale dans chacun de nos pays pour l'éradication - la destruction complète et totale de l'entité sioniste illégale et illégitime. Un soi-disant État, réellement paria et terroriste.
Le problème, c'est l'entité sioniste.