lundi 10 novembre 2014

Stallone et Schwarzenegger récoltent 33 millions de dollars pour l’armée d’occupation israélienne

Elles ont joint le geste à la parole, et après avoir déclaré leur flamme à Israël au cours d’un été qui a révélé les coulisses pro-sionistes d’Hollywood, les stars botoxées, bodybuildées et lobotomisées que sont Stallone et Schwarzenegger, se sont démenées pour récolter des fonds en faveur de l’effort de guerre israélien et du bien-être de ses bourreaux en treillis, lors d’un show à l’américaine, où les dollars se sont ramassés à la pelle.
33 millions de dollars, telle est la somme faramineuse réunie au cours de La soirée de gala où il fallait être à Los Angeles, et où le Tout-Hollywood s’est pressé, ventre à terre et le sourire ultra-bright, pour soutenir les crimes de guerre de l’Etat Hébreu ! 
Que ne ferait pas la capitale mondiale du septième art pour voir se réaliser les sombres desseins de Netanyahu ? En plus de ses blockbusters standardisés qui façonnent le monde, voilà que les magnats de la production et les vedettes plus ou moins reconnues, trash et liftées, de Barbara Streisand à Pamela Anderson, se mobilisent publiquement pour financer la politique d’apartheid et le génocide des Palestiniens, tous ayant en commun leur attachement aveugle et intéressé à la « seule démocratie du Proche-Orient ».
On savait que le cinéma était un cruel miroir aux alouettes, on sait mieux désormais, depuis cet été macabre où le sang des Gazaouis a coulé comme jamais, que ses illusionnistes sont les funestes mécènes de la barbarie israélienne.

Gaza: deux pêcheurs blessés par la marine d’occupation israélienne, 4 disparus

Deux pêcheurs palestiniens ont été blessés et quatre sont portés disparus à la suite de tirs de la marine d’occupation israélienne au large de la bande de Gaza, ont indiqué lundi des responsables des services de sécurité palestiniens du Hamas.
Les quatre Palestiniens portés disparus pourraient avoir été arrêtés par la marine d’occupation, ont dit les mêmes sources.
L'armée d’occupation israélienne a prétendu pour sa part avoir ouvert le feu sur un bateau soupçonné de contrebande. Elle ne s'est pas exprimée sur les quatre Palestiniens disparus, a précisé le Hamas.
Les deux pêcheurs blessés se trouvaient sur deux bateaux qui ont été coulés par des vedettes israéliennes au large des côtes de Rafah (sud de la bande de Gaza), a également affirmé la sécurité du Hamas.
Ils ont été sauvés par un troisième bateau de pêcheurs palestiniens et transportés à l'hôpital de Rafah, a-t-on ajouté de mêmes sources.
Les 4.000 pêcheurs de Gaza sont soumis comme le reste du territoire au blocus imposé par l’entité sioniste.
Aux termes d'un accord de cessez-le-feu entre l’occupation et les Palestiniens mettant fin à la guerre de juillet-août, les pêcheurs de Gaza sont autorisés à opérer dans une bande de six milles nautiques (11 km) le long des côtes.
Les pêcheurs de Gaza se plaignent de fréquentes violations de l'accord de la part de l'armée d’occupation israélienne.

« Personne ne nous fera taire »

Les manifestants prennent les rues de Kafr Kanna en Israël, pour protester contre le meurtre par la police d’un jeune palestinien de 22 ans.

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Les jeunes manifestants ont fait brûler des pneus et jeté des pierres, mais ils ont été repoussés par des forces de police lourdement armées - Photo : EPA
Un hélicoptère de la police fait des cercles au-dessus de la foule, et le vent amène une odeur nauséabonde après que les forces de police israéliennes aient déversé de l’eau putride (shunk water) sur des manifestants à l’entrée de ce village palestinien de Galilée au nord d’Israël.
Les jeunes ont incendié des pneus et jeté des pierres, mais ils ont été repoussés de plusieurs centaines de mètres par les policiers.
À un moment où les affrontements entre Palestiniens et forces israéliennes d’occupation sont de plus fréquentes et violentes à Jérusalem-Est et en Cisjordanie occupée, des manifestants se sont répandus dans les rues de Kafr Kanna ce samedi après-midi. Ils se sont affrontés à une escouade anti-émeute lourdement armée, alors qu’ils protestaient contre le meurtre par la police d’un jeune du village dans la premières heures de la même journée.
« Chaque fois qu’il ya des tensions à Jérusalem, cela s’étend vers le nord »,a déclaré à al-Jazeera Najwan Berekdar, âgé de 32 ans, un militant basé à Nazareth et qui manifestait à Kafr Kanna.
« Les forces israéliennes sont devenues de plus en plus violente contre les Palestiniens dans [l’Israël d’aujourd’hui] au cours des dernières années. Ils tiennent à nous faire comprendre que nous sommes avant tout des Palestiniens, en dépit de notre citoyenneté israélienne. »
Les policiers de la ville voisine de Nazareth auraient été appelés dans le village pour arrêter un homme soupçonné d’avoir lancé une grenade incapacitante au cours d’une dispute familiale. Kheir al-Dein Hamdan, âgé de 22 ans et un cousin de l’homme recherché, s’en est pris à la voiture de police, avec un couteau selon les affirmations de la police.
La police prétend qu’un coup de semonce a été tiré, mais des images d’une caméra de vidéosurveillance contredisent totalement cette affirmation. La caméra montre en effet les officiers sortant de la voiture de patrouille, et tirant à bout portant sur le jeune homme, à hauteur de la poitrine, sans aucun coup de semonce.

« S’il était dangereux, ils pouvaient [tirer] sur lui à la jambe ou au bras, puis l’appréhender », a déclaré Berekdar. « Les policiers étaient dans une voiture et [Hamdan] ne posait pas de menace pour eux. La question n’est pas qu’il ait été dangereux ... Ce dont il est question pour Israël, c’est de trouver de nouveaux moyens pour terroriser les Palestiniens dans ce pays, alors qu’ils sont déjà systématiquement marginalisés. »
On estime que 1,7 million de Palestiniens portent la nationalité israélienne et vivent dans les villes et villages à travers le pays. Selon centre juridique Adalah, un groupe de défense des droits de l’homme basé à Haïfa, les Palestiniens d’Israël [Palestine de 1948] font face à plus de 50 lois discriminatoires visant à museler leur expression politique et à limiter leur accès aux ressources publiques.
Plusieurs centaines de manifestants de Kafr Kanna, dont beaucoup sont liés au mouvement islamique, ont défilé à travers les rues étroites de la ville pour pleurer la mort de Hamdan.
Ils se sont confrontés avec les forces de police lourdement armées et ont crié des slogans. « Avec nos âmes et notre sang, nous te vengerons, ô martyr, » criaient-ils. « Comme une seule nation, nous allons combattre les sionistes », criaient d’autres manifestants.
Le Comité Arabe de Surveillance a appelé à une grève générale pour le dimanche et a appelé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à limoger Yitzhak Aharonovitch, le ministre de la Sécurité publique.
Les dirigeants israéliens se sont engagés à répondre violemment aux manifestations. Netanyahou a déclaré qu’Israël « prendra des mesures contre les lanceurs de pierres, ceux qui bloquent les artères de circulation et ceux qui appellent à la création d’un État palestinien à la place de l’État d’Israël ».
Netanyahu a également menacé de « demander au ministre de l’Intérieur de considérer la suppression de la citoyenneté pour ceux qui appellent à la destruction de l’État d’Israël ».
Appel direct aux meurtres
De l’aile la plus extrémiste du gouvernement, le ministre de l’Economie Naftali Bennett, chef d’un mouvement de colons, a défendu la conduite de l’officier de police dans un message sur Facebook.
« Voilà ce que nous devrions attendre de la police, » écrit-il, qualifiant Hamdan de « terroriste arabe frénétique » et affirmant que les Israéliens devraient soutenir la police afin d’éviter que « les Israéliens soient tués avec des couteaux, des feux d’artifice, et écrasés par des voitures ».
Jamal Zahalka, dirigeant du parti politique Balad et député à la Knesset, a expliqué que « le meurtre de sang-froid » de Hamdan a agi comme un « catalyseur » de la colère suscitée par la situation à Jérusalem et les politiques discriminatoires à l’égard des Palestiniens en Israël.
« Il y a eu 48 citoyens palestiniens d’Israël assassinés par la police depuis le massacre d’octobre 2000, lorsque 13 manifestants non armés ont été abattus », a déclaré à Al Jazeera, ajoutant que les enquêtes officielles suite aux plaintes contre la police produisent rarement des résultats.
Un rapport d’Adalah daté de septembre 2014 conclut que le service interne de la police chargé des enquêtes (Mahash), présente toujours une « mauvaise qualité de travail, la création d’une culture d’impunité et un manque de responsabilité ».
Des 11 282 plaintes sur les mauvais comportements de la police déposées entre 2011 et 2013, selon Adalah, 93% ont finalement été « closes par Mahash, avec ou sans enquête » et seulement 2,7% ont abouti à l’inculpation des agents.
Le samedi soir, plus de 100 manifestants palestiniens se sont rassemblés dans une zone touristique de premier plan dans la rue Ben Gurion à Haïfa, une ville côtière en Israël, pour protester contre l’assassinat de Hamdan et en solidarité avec les Palestiniens de Jérusalem où les tensions ne font que monter. Le dimanche, de grandes manifestations ont été programmées à Haïfa, Tel-Aviv et Beer-Sheva, ainsi que sur les campus universitaires à travers le pays.
« Aujourd’hui, nous envoyons un message au gouvernement israélien que nous ne resterons pas silencieux », a déclaré Zahalka. « Ce fut un crime contre les Palestiniens, et nous répondons avec un jour de colère et de grève. Kheir Hamdan a été tué de sang-froid, et nous ne sommes pas prêt à accepter tranquillement la mort d’un des nôtres. »

9 novembre 2014 - al-Jazeera - Vous pouvez consulter cet article à :
http://www.aljazeera.com/news/middl...
Traduction : Info-Palestine.eu - Naguib

Gaza: l'Onu lance une enquête interne sur les attaques contre ses écoles

L'Onu a nommé lundi les membres d'une commission d'enquête interne chargée d'examiner les attaques menées contre des installations des Nations unies pendant l'offensive israélienne sur la bande de Gaza.
Cette commission formée d'experts indépendants sera dirigée par Patrick Cammaert (Pays-Bas) et comprendra Mme Maria Vicien-Milburn (Argentine), Mme Lee O'Brien (Etats-Unis), M. Pierre Lemelin (Canada) and M. K.C. Reddy (Inde), a précisé le porte-parole adjoint de l'Onu Farhan Haq.
Ils seront chargés "d'enquêter sur un certain nombre d'incidents ayant provoqué des morts et des blessés et des dégâts dans des locaux des Nations unies" à Gaza entre le 8 juillet et le 26 août derniers, a-t-il précisé.
La commission examinera aussi "des incidents au cours desquels des armes ont été découvertes dans des locaux de l'Onu", a ajouté le port-parole. Le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon "souhaite que la commission bénéficie de la pleine coopération des parties concernées".
M. Ban avait annoncé la création de cette commission lors de sa visite en Cisjordanie et Gaza en octobre.
Au cours de l'offensive israélienne sur Gaza, trois écoles de l'Onu servant de refuge pour les déplacés palestiniens aient été touchées par des frappes israéliennes, qui avaient fait des dizaines de morts. Des roquettes du Hamas avaient par ailleurs été découvertes dans des locaux de l'Onu à Gaza.

Gaza: deux pêcheurs blessés par la marine d'Israël

Deux pêcheurs palestiniens ont été blessés à la suite de tirs de la marine israélienne au large de la bande de Gaza, a indiqué leur syndicat lundi.
Quatre autres Palestiniens initialement portés disparus ont réussi à rejoindre la côte à la nage, ont indiqué des témoins, affirmant qu'ils étaient tous en bonne santé.
Les deux pêcheurs blessés se trouvaient sur deux bateaux qui ont été coulés par des vedettes israéliennes au large des côtes de Rafah (sud de la bande de Gaza), a rapporté le syndicat. Les pertes pour les deux équipages représentent "environ 24 000 dollars", une somme considérable à Gaza, a dit le syndicat.
Les deux pêcheurs ont été sauvés par un troisième bateau de pêcheurs palestiniens et transportés à l'hôpital de Rafah.
Une porte-parole de l'armée israélienne a indiqué quant à elle que la marine avait repéré dimanche soir un bateau palestinien en partance de la bande de Gaza pour l'Egypte.
"Ce même bateau est ensuite revenu lourdement chargé, ce qui a éveillé des soupçons de contrebande. Un bâtiment israélien a procédé à des tirs de sommation à la suite du refus du bateau palestinien de se laisser contrôler. Les soldats ont ensuite tiré en direction du bâtiment qu'ils ont touché", a dit la porte-parole sans plus de précisions.
Les 4 000 pêcheurs de Gaza sont soumis comme le reste du territoire au blocus qu'impose Israël au nom de sa sécurité. Aux termes d'un accord de cessez-le-feu entre Israël et les Palestiniens mettant fin à la guerre de juillet-août, les pêcheurs de Gaza sont autorisés à opérer dans une bande de six milles nautiques (11 km) le long des côtes. Les pêcheurs de Gaza se plaignent de fréquentes violations de l'accord de la part de l'armée israélienne.
La Méditerranée et le secteur de Rafah sont aussi une voie de contrebande, notamment après la destruction par l'armée égyptienne des tunnels reliant la bande de Gaza et l'Egypte.

Un soldat israélien poignardé à Tel-Aviv par un Palestinien

Un Palestinien a poignardé lundi un jeune soldat israélien à Tel-Aviv le blessant très grièvement avant d'être arrêté, a indiqué une porte-parole de la police.
Le jeune juif israélien, poignardé près de l'une des gares de Tel-Aviv, a été transporté dans un état critique à l'hôpital, ont indiqué les secours.
La porte-parole de la police a précisé que l'agresseur était originaire de la région de Naplouse, dans le nord de la Cisjordanie occupée, et qu'il séjournait illégalement sur le territoire israélien.
Selon la police, le Palestinien s'est enfui après l'attaque. Il s'est réfugié dans un bâtiment au quatrième étage où les policiers l'ont arrêté.
Cette agression survient sur fond de tension aussi bien à Jérusalem-est qu'au sein de la communauté arabe israélienne.

Gaza : deux pêcheurs blessés par la marine d'Israël, 4 disparus

Deux pêcheurs palestiniens ont été blessés et quatre sont portés disparus à la suite de tirs de la marine israélienne au large de la bande de Gaza, ont indiqué lundi des responsables des services de sécurité du Hamas.
Les quatre Palestiniens portés disparus pourraient avoir été arrêtés par la marine israélienne, ont dit les mêmes sources.
L'armée israélienne a indiqué pour sa part avoir ouvert le feu sur un bateau soupçonné de contrebande. Elle ne s'est pas exprimée sur les quatre Palestiniens disparus selon le Hamas.
Les deux pêcheurs blessés se trouvaient sur deux bateaux qui ont été coulés par des vedettes israéliennes au large des côtes de Rafah (sud de la bande de Gaza), a rapporté la sécurité du Hamas, l'organisation islamiste qui domine le territoire coincé entre Israël et l'Egypte le long de la Méditerranée.
Ils ont été sauvés par un troisième bateau de pêcheurs palestiniens et transportés à l'hôpital de Rafah, ont dit les mêmes sources.
Une porte-parole de l'armée israélienne a indiqué quant à elle que la marine avait repéré dimanche soir un bateau palestinien en partance de la bande de Gaza pour l'Egypte.
"Ce même bateau est ensuite revenu lourdement chargé, ce qui a éveillé des soupçons de contrebande. Un bâtiment israélien a procédé à des tirs de sommation à la suite du refus du bateau palestinien de se laisser contrôler. Les soldats ont ensuite tiré en direction du bâtiment qu'ils ont touché", a dit la porte-parole sans plus de précisions.
Les 4 000 pêcheurs de Gaza sont soumis comme le reste du territoire au blocus qu'impose Israël au nom de sa sécurité. Aux termes d'un accord de cessez-le-feu entre Israël et les Palestiniens mettant fin à la guerre de juillet-août, les pêcheurs de Gaza sont autorisés à opérer dans une bande de six milles nautiques (11 km) le long des côtes. Les pêcheurs de Gaza se plaignent de fréquentes violations de l'accord de la part de l'armée israélienne.
La Méditerranée et le secteur de Rafah sont aussi une voie de contrebande, notamment après la destruction par l'armée égyptienne des tunnels reliant la bande de Gaza et l'Egypte.

L'Autorité palestinienne arrête deux dirigeants syndicaux

Le chef du syndicat de la fonction publique et son adjoint ont été arrêtés par la police palestinienne à Ramallah, a rapporté dimanche une ONG palestinienne qui a dénoncé une "détention injustifiée".
Dans un communiqué, l'Instance indépendante pour les droits de l'Homme basée à Ramallah "s'inquiète de la détention par la police palestinienne depuis jeudi de Bassam Zakarneh, chef du syndicat de la fonction publique et de son adjoint Moïn Ansawi".
Les deux dirigeants syndicaux sont poursuivis pour "appartenance à une association illégale", a dit l'ONG palestinienne, ajoutant que le parquet palestinien avait ordonné dimanche de prolonger pour 48 heures leur détention.
Le syndicat de la fonction publique a été créé en 2007 mais un comité juridique au sein de la présidence a jugé en mai qu'un tel syndicat était "illégal". La présidence palestinienne a de nouveau proclamé vendredi hors-la-loi ce syndicat qui avait appelé à plusieurs reprises à des mouvements de grève entrant en conflit avec l'Autorité du président Mahmoud Abbas.
Dans son communiqué, l'ONG palestinienne dénonce comme "injustifiée" la détention des deux syndicalistes" qui "n'ont fait selon elle qu'exercer un droit reconnu par la loi".

Après la blessure de colons, de violents affrontements éclatent à Sanjal

Dimanche soir de violents affrontements ont éclatés entre des dizaines de jeunes et les forces de l’occupation dans la ville de Sanjal, au nord de Ramallah, au centre de la Cisjordanie occupée après que deux colons aient été blessés.
L’adjoint du maire de la ville de Sanjal, Ibrahim Alwane, a déclaré dans un communiqué de presse que « de grandes forces ont lancé un assaut contre la ville et ont lancé des dizaines de bombes à gaz faisant de nombreux cas d’étouffements.
Des dizaines de jeunes ont contré cette attaque et ont lancé des pierres contre ces forces »
Il a signalé que l’assaut est intervenu après que deux colons de la colonie Shilo ont été blessés sur la route reliant Naplouse à Ramallah, après que leur voiture ait été la cible de jets de pierres. Des ambulances ont été vu sur les lieux »
La ville de Sanjal est victime d’actes de vandalisme de la part de colons. Ils arrachent les plantes, brulent des maisons et vandalisent les champs agricoles.
Les habitants de la ville souffrent également du déploiement quotidien des forces de l’occupation et des patrouilles militaires à cause de la présence d’un site militaire sur une colline au nord de la ville.

De violents heurts à Jérusalem et dans l’intérieur des térritoires occupés en 48

Ce soir, de violents affrontements entre les forces de l’occupation sionistes et de jeunes jérusalémite ont eu lieu dans plusieurs quartiers de la ville de Jérusalem occupée et des villes de l’intérieur occupé en 1948.
Des sources jérusalémites ont déclaré que de nombreux jeunes ont lancé des cocktails Molotov contre les forces de l’occupation dans le quartier Attour qui ont tenté de les disperser par la force. Aucun blessé n’a été signalé.
D’un autre côté, plusieurs affrontements ont eu lieu à Mouthalath, dans les villes d’Attayba et Attira et à Galilée, dans le quartier Kafar Kana et Shafar Omar entre les forces de police sionistes et des dizaines de jeunes palestiniens qui manifestaient contre le meurtre commis par la police sioniste contre le jeune Khayr Adine Hamdan.
La police a fermé le pont d’Attayba et ont renforcé leur force dans toute la région de Galilée et ont décrété l’état d’alerte au niveau C de peur que les manifestations augmente leur révolte anti-sioniste.

Les colons de la périphérie de Gaza manifestent contre Yaalon de peur d’une nouvelle guerre

Des dizaines de sionistes qui habitent les colonies de la périphérie de Gaza ont manifesté ce dimanche (9/11) contre la visite des colonies de l’enveloppe de Gaza par le ministre de la guerre Moshe Yaalon pendant que celui-ci prononçait un discours lors d’un festival qui avait lieu dans la ville.
Les colons ont critiqué le fait que le gouvernement ne fait aucune tentative pour arriver à un accord avec Gaza, ni aucun pas qui assurera la stabilité du cessez le feu, ce qui laisse la porte ouverte à une nouvelle guerre.
Les colons se sont plaints de la situation de peur qu’ils vivent depuis quelques jours. Ils ont aussi manifesté contre la visite de Yaalon, car il avait refusé de visiter la zone lors de la guerre.
A son tour, Yaalon s’est excusé auprès des habitants de la périphérie de Gaza pour sa position lors de la guerre. Il avait déclaré qu’il avait l’intention de visiter quelques Kibboutz, mais qu’il était contraint de retourner rapidement à Jérusalem.
Yaaloun a annulé une visite qu’il devait faire à Nahal Aoz lors de la guerre, car il avait été prévenu d’une éventuelle attaque menée par la résistance palestinienne. Plus tard, il déclarait que les hommes armés de Gaza étaient au courant de la visite.

La Jordanie confirme son attachement au traité de paix avec "Israël"

Le gouvernement jordanien a insisté sur son attachement au traité de paix signé avec "Israël", confirmant que son ambassadeur à Tel-Aviv va retourner après la fin des raisons de sa convocation relative aux violations à Jérusalem.
Le Premier ministre jordanien, Abdullah Nasour, a déclaré dans une conférence que la Jordanie a convoqué son ambassadeur à Tel-Aviv et non pas de lui retirer, considérant que la décision de convocation a été prise en son temps, et déclarant que ces mesures étaient prises au temps spécifique et il n'est pas raisonnable de les prendre toujours pour éviter de perdre leurs sens.
Nasour a considéré que la décision d'Amman de convoquer l'ambassadeur avait un grand impact politique, soulignant à cet égard au coup téléphonique du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avec le roi Jordanien, Abdullah II, et sa confirmation qu'Israël s'engage de respecter la souveraineté hachémite sur les lieux saints islamiques et de ne pas changer le statu quo dans la mosquée bénie d'el-Aqsa.
Il a insisté sur l'attachement de la Jordanie au traité de paix avec Israël, mais il a considéré que le respect de ce traité est du devoir de deux parties et non d'un seul côté.
En réponse aux appels populaires d'annuler le traité, Nasour a considéré que de prendre telle mesure aura des résultats politiques, militaires et de sécurité, en disant que celui qui veut d'annuler le traité doit posséder l'alternative, parce que le traité oblige Israël des comportements dans le cadre du droit international.
Il a déclaré que l'annulation du traité dans cette circonstance vécue par la nation est impossible, parce qu'elle a besoin des préparations, sinon la Jordanie sera en danger. Il a confirmé que l'annulation n'est pas proposée actuellement et que les mesures d'escalade prises par la Jordanie sont bonnes et suffisantes.
Le Premier ministre jordanien a critiqué les attaques israéliennes dans la ville occupée de Jérusalem et la mosquée bénie d'el-Aqsa et la Cisjordanie occupée, en s'interrogeant: "Est-ce que el-Aqsa est devenue dans le cadre du jeu électoral interne en Israël".
Il a considéré que ce qui s'est passé à Jérusalem n'est pas des erreurs administratives et les violations des extrémistes membres à la Knesset prouvent qu'il est un plan gouvernemental et des intentions claires pour changer les vérités en ce qui concerne les lieux saints, notamment la mosquée bénie d'el-Aqsa.

Les pêcheurs gazaouis ciblés par les forces occupantes

Les vedettes militaires de l'occupant israélien ont ouvert le feu de leurs armes mitrailleuses intensivement, le lundi à l'aube 10/11, vers les barques des pêcheurs palestiniens, au large des côtes du sud de la Bande de Gaza.
Des sources locales ont déclaré que les canonnières militaires israéliennes ont lancé les tirs de leurs mitrailleuses et leurs obus vers les barques des pêcheurs palestiniens, au large des côtes de la ville de Rafah et khan Younis, aui sud de la Bande de Gaza.
Elles ont souligné que le feu a été mis dans l'une des barques dans la mer au large de la ville de Rafah, en raison des tirs intensifs, tandis que les sources médicales n'ont pas souligné à des victimes dans les rangs des pêcheurs.
Dans le même temps, les nouvelles venant du sud de la Bande de Gaza soulignent que les avions de guerre israéliens survolent intensivement les cieux de la ville de Rafah.
L'armée israélienne a annoncé qu'un bateau militaire appartenant à la marine a ouvert le feu, hier soir dimanche 9/11, sur une barque de pêche revenant à Gaza des plages égyptiennes.
Le porte-parole de l'armée israélienne a déclaré que le bateau militaire israélien a surveillé la sortie de la barque de la Bande de Gaza apportant des équipements et l'a accompagnée et lorsqu'elle a retourné à la Bande de Gaza, le bateau a appelé à son capitaine d'arrêter, ouvert le feu sur la barque après avoir refusé l'ordre.

Naplouse: l'occupation envahit plusieurs villages

Les forces armées de l'occupant israélien ont pris d'assaut, la nuit dernière, le village de Beit Fourik, à l'est de la ville de Naplouse, au nord de la Cisjordanie occupée au milieu du survol intensif d'un hélicoptère dans les cieux du village.
Des témoins oculaires ont déclaré à notre correspondant que les soldats israéliens se sont déployés sur le sommet du Mont de Qaada près de la colonie "Atemar" sans savoir les motifs de ce déploiement.
Dans le même contexte, les forces armées occupantes ont envahi le village d'Akroba au sud de la ville et ont effectué des processus de ratissage et de photographie dans les rues et les quartiers.
D'autre part, les dizaines de colons juifs ont envahi la nuit dernière la rue principale du village de Hawara, au sud de Naplouse.
Des témoins oculaires ont déclaré à notre correspondant que plusieurs autobus des colons ont pris d'assaut le centre du village au milieu d'une protection des soldats israéliens qui ont commencé à déranger les villageois par les cornes de leurs véhicules.

Jérusalem: prolongation de l'arrestation de 12 adolescents

Le tribunal israélien de district a prolongé hier dimanche 9/11, l'arrestation de 12 jeunes hommes jérusalémites jusqu'à aujourd'hui et demain, tandis que le jeune Hamza Gawlani a été libéré sans présentation au tribunal.
L'avocat du club du captif, Moufaid el-Haj, a déclaré que le tribunal de district a prolongé l'arrestation de 12 adolescents, y compris 3 mineurs, jusqu'à aujourd'hui et demain et a libéré un autre en condition de payer une amende de 500 Shekels et de signer sur la caution d'un troisième côté par 5 000 Shekels.
Les jeunes hommes qui ont été arrêtés, hier à l'aube et la nuit précédente, après l'invasion de leurs maisons sont 13 jeunes hommes et mineurs, tous ils ont été accusés tous de la participation aux affrontements et le jet de pierres et de cocktails Molotov et d'avoir lancé des pierres sur le tramway à Chuafat et d'attaquer un policier et entraver le travail d'un autre", a-t-il ainsi ajouté.

L’occupation ouvre le feu vers les terres agricoles dans le centre de la bande de Gaza

Les forces d'occupation sionistes ont ouvert le feu ce matin vers les terres agricoles dans le centre de la bande de Gaza.
Selon des témoins, les forces de l'armée sioniste stationnées à la frontière ont ouvert le feu aujourd’hui en direction des terres agricoles au sud-est du camp de réfugiés de Bureij au centre de la bande de Gaza sans faire de victimes, selon des sources médicales.
Les témoins ont dit que les mécanismes ont tiré trois obus d'artillerie vers les terres.
Les partis palestiniens et sionistes avaient conclu le 26 Août dernier une trêve à long terme, sous les auspices égyptiens, mettant fin à l’attaque sioniste contre Gaza qui a duré 51 jours et qui a causé la mort de plus de deux milles Palestiniens et la blessure de plus de 10 milles autres, en plus de la destruction de milliers de maisons.

Bethléem: L'occupation avise un citoyen et son fils de démolir leurs maisons

Les forces armées de l'occupant israélien ont avisé, le dimanche soir 9/11, un citoyen palestinien et son fils dans le village de Khoudr, au sud de Bethléem, dans le sud de la Cisjordanie de démolir leurs maisons.
Le citoyen Sami Mahmoud Shouli a déclaré que des importantes forces de l'armée de l'occupant israélien, accompagnées par le personnel de l'administration civile, ont pris d'assaut la zone d'Aqabat Hassna, au nord-ouest du village et ont remis à son père (63 ans), un avis de démolir sa maison construite sur 250 mètres carrés, sous prétexte de la construction sans permis, notons qu'elle est habitée par 9 personnes.
Shouli a ajouté que les forces armées occupantes ont livré à son frère Samih (30 ans) un ordre de démolir sa maison construite sur la superficie de 250mètres carrés pour la même raison, notant que les soldats israéliens l'ont photographiée et ont donné le délai d'une semaine pour l'opposition.

Des juives ultra-orthodoxes dansent et chantent à al-Aqsa

Selon des sources au département des legs pieux islamiques à Jérusalem, un groupe de femmes juives ultra-orthodoxes ont pris d’assaut la Mosquée al-Aqsa et ses esplanades lundi matin, pour y danser, chanter et parler avec des termes étranges.
Ce groupe accompagné également d’hommes est entré dans al-Aqsa par la Porte des Maghrébins, sous protection renforcée des soldats d’occupation.
Le département des Awqaf a expliqué que l’un des femmes extrémistes s’est mise à accomplir des actes bizarres, à danser et prononcer des bruits étranges. Elle a également provoqué les gardiens de la Mosquée qui à leur tour ont essayé d’expulser ce groupe en dehors de la mosquée.
Le Département des Legs pieux a condamné le fait que la police israélienne protège l’assaut de ces juifs ultra-orthodoxes dans les esplanades d’al-Aqsa, alors que dans le même temps, elle impose des mesures renforcées sur les fidèles musulmans.
Les juifs extrémistes prennent d’assaut la mosquée d’al-Aqsa de manière quasi-quotidienne, et comprennent des hommes et des femmes, sans aucune considération du caractère sacré de la mosquée. Et ce, tandis que les forces d’occupation restreignent l’entrée des fidèles musulmans, et interdit l’accès aux moins de 50 ans, en procédant à des fouilles et vérification des cartes d’identité.

Israël veut confisquer des terres au nord d’Hébron

Des sources locales dans le camp d’Aroub (nord d’Hébron, sud Cisjordanie) ont indiqué lundi que les soldats d’occupation ont collé des notifications concernant le plan de confiscation de terres appartement à des familles palestiniennes.
Ces affiches font état de la volonté de l’occupation d’exécuter un nouveau projet colonialiste dans cette zone, en hébreu et arabe.
Selon les informations données, l’occupation affirme vouloir se saisir des terres de la zone de Jabal Abou Sawda, Furaydis, et Jabal Aroub.
Les sources ont ajouté que les autorités israéliennes prétendent que cette mesure de confiscation dans cette région est justifiée par des « raison sécuritaires spéciales », motif utilisé dans toute la Cisjordanie occupée afin de prendre le contrôle des terres à des fins colonialistes.

Un soldat israélien poignardé à Tel-Aviv

Un soldat israélien a été grièvement blessé ce lundi, après avoir été poignardé par un jeune dans la garde centrale de Tel-Aviv. L’agresseur n’a pu être appréhendé par la police.
Le site électronique du journal hébreu Yediot Aharonot a indiqué que le soldat a été touché grièvement, et que le jeune qui l’a poignardé a pris la fuite, sans que son identité ne soit connue.
De son côté, la police d’occupation a bouclé la zone, et s’est lancée dans des opérations de ratissage à la recherche de l’auteur de l’agression, sans résultats.
Aucun détail n’a été révélé concernant la nationalité de l’agresseur, à savoir s’il est palestinien, et si c’est acte de revanche au meurtre d’un jeune palestinien par la police israélienne dans la localité de Kafr Kana, la semaine dernière.
Les territoires occupés témoignent depuis la semaine dernière d’un climat d’extrême tension et d’affrontements après l’assassinat de Kafr Kana de sang-froid et à bout portant, sans aucune raison.
Des israéliens ont exprimé ces derniers jours leurs craintes que la colère palestinienne augmente jusqu’à se atteindre les villes occupées en 48, après les attentats à la voiture à Jérusalem commis par des jérusalémites contre des soldats d’occupation et des colons.

L'occupation ordonne d'arrêter un bébé de deux ans

Un citoyen palestiniens de la ville occupée de Jérusalem a déclaré que les troupes de l'occupant israélien ont pris d'assaut lundi la maison de sa famille pour arrêter son neveu Hamza Zeddani qui est âgé de deux ans seulement.
Bassam Zeddani de Jérusalem a ajouté que les soldats israéliens ont prétendu qu'ils ont envahi la maison sur un mandat d'arrêt pour Hamza Zeddani, et quand il s'est avéré qu'il n'est qu'un petit enfant, ils ont arrêté son oncle Mohamed Zeddani.
En commentaire, le président du Club du captif, Fares Qadoura, a déclaré que les services de sécurité en Israël souffrent de la cécité et de la paranoïa dans la ville de Jérusalem, au point d'en arriver à ce qui s'est passé lundi en émettant un mandat d'arrêt contre un bébé.
 Il a mis en garde contre la poursuite de ces mesures qui confirment la férocité de l'occupant qui ne fait aucune distinction entre les enfants et les autres.