mercredi 26 octobre 2011

Le chef de la diplomatie israélienne veut la tête d'Abbas

26 octobre 2011
Agence France-Presse
Jérusalem
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a de nouveau souhaité mercredi la démission du président palestinien Mahmoud Abbas, juste avant qu'Israéliens et Palestiniens ne rencontrent, séparément, le Quartette pour le Proche-Orient à Jérusalem.
«Une démission d'Abou Mazen (surnom de Mahmoud Abbas) constituerait une bénédiction car il représente le plus grand obstacle à la paix», a accusé M. Lieberman à la radio militaire.
«Il est décidé à sacrifier les intérêts des Palestiniens pour ses propres calculs, pour défendre sa place dans l'Histoire», a estimé le chef de la diplomatie israélienne, qui dirige le parti nationaliste Israël Beiteinou.
«Abou Mazen n'est pas fiable, ce n'est pas un homme de paix, il agit contre Israël sur la scène internationale. Il a tenté d'empêcher notre intégration au sein de l'OCDE et il veut faire traduire des responsables israéliens devant des tribunaux internationaux», a également reproché M. Lieberman.
Israël a été intégré en mai 2010 au sein de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
«Les déclarations de Lieberman et d'autres responsables israéliens contre le président Abbas visent à détruire le processus de paix et l'enterrer définitivement et à saboter les efforts du Quartette qui se réunit aujourd'hui séparément avec les parties palestinienne et israélienne», a réagi le porte-parole de M. Abbas, Nabil Abou Roudeina.
«Cette politique israélienne de provocation vis-à-vis du président Abbas et du peuple palestinien est ancienne et connue et n'affectera pas le moral du peuple palestinien et son attachement à ses droits», a-t-il ajouté, réaffirmant l'exigence palestinienne d'un gel de la colonisation et de négociations sur la base des lignes d'avant juin 1967.
Lundi déjà, M. Lieberman avait déclaré souhaiter la démission du président palestinien, considérant que n'importe quel remplaçant serait «meilleur».
Ces propos avaient été vivement critiqués à l'étranger, l'ONU les qualifiant d'«incendiaires» tandis que l'Union européenne évoquait une «provocation».
Contrairement à M. Lieberman, le premier ministre Benyamin Nétanyahou a affirmé à de multiples reprises qu'il était prêt à rencontrer Mahmoud Abbas pour reprendre les négociations gelées depuis plus d'un an.
Des émissaires du Quartette pour le Proche-Orient (États-Unis, Union européenne, ONU, Russie) doivent rencontrer mercredi, séparément, des représentants palestiniens et israéliens à Jérusalem, afin de tenter de relancer le processus de paix.
Mais les perspectives de percée restent très lointaines, de l'aveu même des deux camps qui ont récemment durci le ton de leurs échanges.
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Le Franco-Palestinien Salah Hamouri libérable en 2012 (administration pénitentiaire)

AFP | 26/10/2011
Le Franco-Palestinien Salah Hamouri, qui purge une peine de prison en Israël, n'est libérable que le 12 mars 2012, a indiqué mercredi à l'AFP la porte-parole de l'administration pénitentiaire israélienne.
La famille de Salah Hamouri avait cité à plusieurs reprises le 28 novembre comme "date de sortie légale" du jeune homme.
La dernière période de chaque peine de prison, baptisée "période de libération administrative", d'une durée variable, vise à permettre à l'administration pénitentiaire de libérer des condamnés avant le terme de leur peine en cas de surpopulation carcérale, a expliqué la porte-parole, Sivan Weizman.
Or, après la libération de 1.027 prisonniers palestiniens en échange du soldat Gilad Shalit, ni Salah Hamouri ni aucun détenu ne bénéficiera de cet allègement, a-t-elle précisé.
"Par le passé, les libérations administratives étaient la norme en raison de la pression sur le système. Mais en raison de la récente vague de libérations, aucune libération administrative n'est prévue", a-t-elle ajouté.
Né à Jérusalem de mère française et de père palestinien, Salah Hamouri, arrêté le 13 mars 2005, a été reconnu coupable en 2008 par un tribunal militaire israélien de projet d'assassinat du chef spirituel du parti ultra-orthodoxe Shass, le rabbin Ovadia Yossef.
Condamné à sept ans de prison, il a toujours clamé son innocence.
Interrogé par l'AFP, le père du jeune homme, Hassan Hamouri, s'est dit "choqué" par la date de libération annoncée par l'administration pénitentiaire israélienne.
Le chef de la diplomatie française, Alain Juppé, a affirmé mercredi être intervenu une nouvelle fois la veille auprès des autorités israéliennes pour demander la libération "le plus vite possible" de Salah Hamouri.
"Cela fait des années que la France et le président de la République demandent à ce qu'il bénéficie d'une remise de peine. Les autorités israéliennes ne l'ont pas voulu jusqu'à présent. Je l'ai moi-même demandé encore hier à l'ambassadeur d'Israël" pour que cette libération intervienne "le plus vite possible", a déclaré Alain Juppé sur la radio France Inter. 
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L'occupation israélienne équivaut à l'apartheid pour le chef de la diplomatie finlandaise

26/10/2011
L'occupation des territoires palestiniens par Israël équivaut à l'apartheid, a déclaré mercredi le ministre finlandais des Affaires étrangères, Erkki Tuomioja. "Si vous occupez des zones habitées par (...) les Palestiniens qui n'ont pas les mêmes droits que les Israéliens en Israël, c'est l'apartheid et ce n'est pas viable", a-t-il dit à la presse.
"Je pense que la majorité en Israël l'a aussi réalisé mais qu'elle n'a pas été capable de se doter de dirigeants pour faire progresser la solution des deux États", israélien et palestinien, a-t-il dit.
Il a ajouté que "le temps était compté pour la solution de deux États". "La frustration est croissante parmi les Palestiniens de voir s'éloigner la solution de deux États", selon M. Tuomioja pour qui "les perspectives ne sont pas très positives".
Ces déclarations interviennent le jour où des émissaires du Quartette pour le Proche-Orient (États-Unis, Union européenne, ONU, Russie) doivent rencontrer, séparément, des représentants palestiniens et israéliens à Jérusalem, afin de tenter de relancer le processus de paix.
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Waqf rejette l’annonce de l’occupation de démolir la colline de la Porte des Maghrébins

[ 26/10/2011 - 18:01 ]
Jérusalem - CPI
Le bureau du Waqf islamiques de Jérusalem a rejeté la déclaration de l’occupation faite par l’ingénieur de la ville de Jérusalem, mardi 25/10, que le pont de la Porte des Maghrébins dans la Vieille Ville de Jérusalem est un bâtiment qui va s'effondrer ou brûler et devrait être démoli dans les 30 jours.
Le bureau a dit que le Waqf islamique est le décideur dans le processus de restauration de la colline de la Porte des Maghrébins, en soulignant que cette colline est un Waqf islamique et il est interdit à quiconque d’interférer dans son travail et les soins de ses affaires.
L'ingénieur de la municipalité sioniste responsable du Mur d’el-Bouraq a annoncé que des mesures légales seront prises contre lui en cas du report de la démolition du pont.
Cette décision s'inscrit dans la politique de la municipalité de l'occupation et le gouvernement d'occupation de modifier les paramètres de la vieille ville de Jérusalem, et parmi ces changements vient la démolition du pont des Magrébins utilisé par la police, la sécurité et les colons, en entrant dans les esplanades d’el-Aqsa.

Palestine à l’UNESCO : lobbying américain et inertie des Européens

mercredi 26 octobre 2011
Ci-dessous un message d’alerte de la députée européenne Nicole Kiil-Nielsen à propos des pressions que les USA sont en train d’exercer sur les Européens pour qu’ils s’alignent sur Israël.

" Palestine à l’UNESCO : lobbying américain et inertie des Européens
A l’occasion du sommet de l’UNESCO qui s’ouvre aujourd’hui à Paris, les Etats-Unis viennent de monter d’un cran dans le lobbying qu’ils exercent sur les européens.
Un mail de l’ambassadeur des Etats-Unis auprès de l’Union Européenne vient de m’être adressé, comme sans doute à d’autres eurodéputé-es, menaçant directement les Etats membres du retrait de la contribution américaine à l’UNESCO (22% du budget total) en cas de vote favorable à l’adhésion de la Palestine à l’UNESCO.
Nous sommes à un moment charnière dans l’histoire du conflit au Moyen-Orient, et beaucoup de pressions s’exercent en Europe sur les élus et décideurs.
L’e-mail que nous avons reçu montre que les Etats-Unis vont jusqu’à envoyer un message de chantage aux élus européens par la voix de son ambassadeur auprès de l’UE. Le ton de l’e-mail est très clair : les élus doivent user de toute leur influence pour retarder le vote, sans quoi les Etats-Unis cesseront de financer les programmes de l’UNESCO.
Nous pouvons en tirer deux conclusions : d’abord, que ces tentatives de pression révèlent la crainte des Etats-Unis devant le soutien de plus en plus massif des citoyens, associations et gouvernements à la reconnaissance de l’Etat Palestinien. Ensuite, que la position américaine n’évoluera pas : la balle est donc dans le camp des Européens."
Nicole Kiil-Nielsen
CAPJPO-EuroPalestine
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Juppé veut la libération de Hamouri

26/10/2011 
Le chef de la diplomatie française, Alain Juppé, a affirmé aujourd'hui être intervenu une nouvelle fois, la veille, auprès des autorités israéliennes pour obtenir la libération "le plus vite possible" du Franco-Palestinien Salah Hamouri, détenu en Israël depuis 2005. 
"Cela fait des années que la France et le président de la République demandent à ce qu'il bénéficie d'une remise de peine. Les autorités israéliennes ne l'ont pas voulu jusqu'à présent. Je l'ai moi-même demandé encore hier à l'ambassadeur d'Israël", de sorte que cette libération intervienne "le plus vite possible", a déclaré Alain Juppé sur la radio France Inter. 
La mère de Salah Hamouri a reproché cette semaine aux autorités françaises de ne pas s'être mobilisées pour sa libération comme pour le soldat Gilad Shalit, à Gaza, ou Florence Cassez, la Française détenue au Mexique pour enlèvements. "Salah a une date de sortie légale le 28 novembre et tout ce qu'on demande, c'est de faire en sorte qu'il sorte à la date prévue, puisqu'il (le président Nicolas Sarkozy) n'a rien pu faire pour qu'il sorte avant", a-t-elle affirmé. 
Le cas de Salah Hamouri "est connu et nous nous battons pourqu'il retrouve sa liberté après avoir purgé la quasi-totalité de sa peine", a dit Alain Juppé, rappelant qu'il avait rencontré en juin en Israël les parents du jeune homme de 26 ans. Né à Jérusalem de mère française et père palestinien, Salah Hamouri, arrêté le 13 mars 2005, a été reconnu coupable en 2008 par un tribunal militaire israélien d'un projet d'assassinat du chef spirituel du parti ultra-orthodoxe Shass, le rabbin Ovadia Yossef. Condamné à sept ans de prison, il a toujours clamé son innocence. Il reste une incertitude sur sa date de sortie de prison, le 12 mars 2012 si la peine court à son terme ou fin novembre, comme l'affirme sa famille.

Le Roi Abdallah de Jordanie pessimiste sur les chances de la paix

26.10.2011
par Laurent COHEN
Le roi Abdallah de Jordanie a déclaré lundi considérer que le processus de paix israélo-arabe était "au point mort, et même dans une impasse qui pourrait lui être fatale"; selon lui, la responsabilité en incombe à Israël qui ne serait plus intéressé par la solution "deux peuples, deux Etats", et ne permettra donc pas aux palestiniens d'exercer "leur droit à la souveraineté en Cisjordanie".
S'exprimant sur CNN, en marge d'une réunion du Forum économique mondial, qui s'est tenue sur les rives de la Mer morte, le souverain hachémite a émis des "doutes quant au sérieux des intentions israéliennes".
"Je suis un des dirigeants les plus optimistes qu'il vous sera donné de rencontrer au Moyen-Orient", a-t-il tenu à rappeler, "mais pour la première fois, j'éprouve un profond pessimisme concernant l'avenir des peuples israélien et palestinien".
Selon lui, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, "a beau faire de belles déclarations, il ne cesse de s'éloigner d'une solution qui rendrait possible l'édification d'un Etat palestinien, au côté de l'Etat israélien. Alors je pose la question : existe-t-il une autre option que celle-ci ? Et si l'Etat palestinien ne voit jamais le jour, la région toute entière ne risque-t-elle pas de s'embraser ?".
Le roi a également évoqué "l'impuissance du monde arabe" face aux événements sanglants qui secouent la Syrie.
"En vérité", a-t-il confessé, "personne ne sait quoi faire, nul n'a la moindre idée de la manière qui pourrait nous permettre d'aborder la question syrienne de façon constructive".
Il a précisé avoir "tendu la main" plusieurs fois au président syrien, Bachar el-Assad, "mais en vain".
"Je me suis entretenu à deux reprises avec Bachar pour lui expliquer comment la Jordanie s'y prend afin de mettre en œuvre ses propres réformes politiques ; ensuite, je lui ai envoyé plusieurs fois le chef de la cour royale – mais ce que nous avions à dire aux dirigeants syriens ne les a nullement intéressés". 

Le Maroc réitère son soutien à la demande palestinienne

25/10/2011
“Le Maroc réitère son soutien total et effectif à la demande de l'Autorité palestinienne, au nom du peuple palestinien, pour que la Palestine devienne membre des Nations unies, en tant qu'Etat Souverain, sur la base des frontières de 1967, avec pour capitale Al Qods-est.” Mohamed Loulichki.
Le Maroc, par la voix de son ambassadeur représentant permanent à l'ONU, Mohamed Loulichki, a “réitéré”, lundi à New York, “son soutien total” à la requête de l'Autorité palestinienne pour une adhésion pleine et entière d'un Etat de Palestine au sein des Nations unies.
M. Loulichki, qui intervenait devant les membres du Conseil de sécurité, a souhaité que les membres du Conseil donnent une suite favorable, dans les plus brefs délais, à cette requête légitime.
Et ce, a-t-il précisé, d'autant plus qu'il y a un consensus international sur la solution à deux Etats, en plus de la large reconnaissance internationale de l'Etat palestinien.
M. Loulichki a fait savoir à cette occasion que le Maroc, qui vient d'être élu récemment membre non permanent du Conseil de Sécurité de l'ONU pour deux ans, ne ménagerait aucun effort pour aider à parvenir à un Etat palestinien indépendant avec Al Qods-est pour capitale.
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Tunisie: fermeture prochaine du bureau de contact avec “Israël"

26-10-2011
Le parti tunisien vainqueur des premières législatives après la chute de ben Ali, EnNahda s’est engagé à fermer le bureau de contact avec Israël qui a été ouvert en 1996 durant le règne de Ben Ali.
«  Le gouvernement que va former le parti d’AnNahda va éliminer le bureau de contact avec Israël », a affirmé AlMounsel Ben Salem, un dirigeant de ce parti islamique dirigé par le leader emblématique Rached AlGhanoudhi.
S’exprimant pour le quotidien AzZamane, Ben Salem a ajouté que le gouvernement prochain éliminera tous les accords de normalisation conclus avec l’entité sioniste et tous les arrangements qui en ont découlé sur le plan commercial et de stopper l’importation des marchandises israéliennes.
En revanche, le cabinet prochain respectera tous les engagements conclus avec les pays occidentaux.
S’agissant du scrutin législatif, Ben Salem a précisé que son parti a obtenu 89 sièges de 217 du Parlement. Et de préciser: « cette majorité ne nous permet pas de former seuls un parti, et nous allons nous allier avec le parti du Congrès pour la République dirigé par Mouncef Marzouki ».
L’accord avec Marzouki, révèle-t-il était valable même si EnNahda avait obtenu une majorité écrasante.
Marzouki devrait occuper le poste de président, alors que deux noms d’EnNahda sont envisagés pour le poste de Premier ministre.
Quant au leader du parti islamique, Rached Ghannouchi, il ne briguera aucun poste gouvernemental. 
Selon l'AFP, les premiers résultats partiels et officiels annoncés mardi par la commission électorale Isie montrant qu'Ennahda est arrivé en tête dans neuf des 27 circonscriptions du pays, notamment dans la métropole économique de Sfax (centre-est).   
Le parti islamiste obtient 28 des 55 sièges dans ces neuf circonscriptions. Avec les neuf sièges obtenus à l'étranger, il peut déjà compter sur 37 élus dans la future assemblée de 217 membres.  
Dans les neuf circonscriptions où le dépouillement a été achevé, Ennahda est suivi par le Congrès pour la République (CPR, gauche nationaliste) avec 9 sièges, à égalité avec la liste "Pétition populaire pour la justice et le développement".  
La surprise est venue de cette liste absente du terrain et dirigée par Hechmi Haamdi, un millionnaire tunisien basé à Londres, qui a fait campagne depuis la Grande-Bretagne par le biais de sa télévision satellitaire Al Mostakilla, regardée en Tunisie.  
La "Pétition populaire" fait déjà l'objet de plaintes, en France et en Tunisie, pour le non-respect des règles de campagne, notamment pour l'utilisation abusive du média privé du millionnaire et pour l'opacité de son financement.  
Le parti de gauche Ettakatol obtient 4 sièges, le Parti démocrate progressiste (PDP, centre) 4 sièges.
Deux jours après le scrutin, auquel plus de 7 millions d'électeurs étaient conviés, les observateurs internationaux ont généralement salué une élection "libre" et "transparente", malgré quelques "irrégularités mineures".  
L'Assemblée Constituante devra rédiger une nouvelle constitution et désigner un nouvel exécutif jusqu'aux prochaines élections générales. D'ici là le pays sera gouverné par des autorités de transition.
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Tunisie : Ghannouchi dédie la victoire d’Ennahda à la Palestine

[ 26/10/2011 - 14:58 ]
Gaza – CPI
Le Premier ministre palestinien, Ismail Haniyeh, a téléphoné au Cheikh Rashid Ghannouchi, secrétaire général du parti tunisien d’Ennahda (Renaissance) pour lui présenter ses félicitations au nom du peuple et du gouvernement palestiniens pour cette victoire, la transition démocratique et ces changement qui serviront la cause du peuple palestinien.
Haniyeh a souhaité pour la Tunisie prospérité, progrès et stabilité comme cela a été mis en place par ces élections avec la volonté libre du peuple tunisien.
Pour sa part, Ghannouchi a offert cette victoire à la Palestine, al-Qods, Gaza et au peuple palestinien, soulignant que la détermination héroïque de Gaza a eu des effets sur la nation partout dans le monde.
Selon le chef d’Ennahda, deux fêtes ont eu lieu ; la première est la libération des prisonniers des geôles de l’occupation et la réponse de l’occupation à la volonté du peuple palestinien ainsi que les changements qui se sont produits dans la région ont ébranlé l’occupation et l’ont soumise à la volonté des peuples palestinien et arabes en libérant les prisonniers. La deuxième fête est cette victoire en Tunisie par des élections libres.

L’occupation prévoit de construire un million de logements coloniaux en 10 ans

[ 26/10/2011 - 15:17 ]
Al-Qods occupée – CPI
Des plans du ministère de l’Intérieur sioniste indiquent l’existence de projets de construction d’un million de nouveaux logements coloniaux en entité sioniste au cours des dix prochaines années. Cela signifie un bond qualitatif dans l’ampleur des projets colonialistes, et la poursuite de la judaïsation du territoire.
Cette information provient d’une déclaration faite mardi par le ministre sioniste de l’Intérieur du parti Shaas, Eli Yishai, lors d’une réunion du Comité de national sioniste pour le logement, dans la ville d’al-Qods.
Yishai a affirmé que « dans la prochaine décennie, nous construirons plus d’un million de nouveaux logements en Israël » dans le cadre d’un nouveau projet colonial sur lequel travaille son ministère.
Le ministre sioniste a précisé que ce projet s’inscrit dans le cadre des orientations du gouvernement d’occupation pour résoudre la crise du logement, et absorber les prochaines vagues d’immigration en entité sioniste.

Swing Gadjé joue "Au-delà des murs" en Palestine

Ecrit par Pierre Tiercin   
27.10.11
Le groupe français Swing Gadjé vient de mettre avec panache un terme à sa tournée en Palestine, après avoir donné dix représentations en collaboration avec le groupe Jadal, le Centre Nenoi pour les Arts, le Centre d'Information Alternatif, la Société Arabe pour la Réhabilitation, le Centre Social pour les Jeunes d'Aida, l'Institut de Beit Jala pour la Musique, le Centre des Enfants d'Hébron et le Centre Jaffa à Naplouse. Les représentations se sont étalées sur les deux dernières semaines.
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Un musicien de Swing Gadjé donne des cours à de jeunes palestiniens
Le thème de la tournée s'axait autour du concept selon lequel la musique porte "au-delà des murs", tel que l'a rapporté Agatha Mary, coordinatrice de la tournée, à PNN. Le but était alors de faire passer le message au monde entier, que les palestiniens sont un peuple civilisé qui profitent de leur vie malgré toutes les difficultés qu'ils peuvent rencontrer du fait de l'occupation, du mur et de la colonisation. La coordinatrice a mis en exergue que la musique est un langage international, qui dépasse toutes les barrières et toutes les différences, et qu'elle a pu à de nombreuses reprises être l'instrument de la paix et de l'amour entre les hommes.
Le groupe espère que la tournée a pu aider les palestiniens à envoyer un message au monde, et leur assurer qu'il y en a encore beaucoup qui se soucient de leur devenir.
Swing Gadjé est un groupe phare de la Compagnie du Tire-Laine, collectif lillois dont l'objectif est l'organisation de concerts et de spectacles populaires de qualité et de proximité, depuis 1992. La compagnie fait notamment la promotion de la rencontre et de la diversité culturelle, de l'échange et du partage, tout en mettant en scène des musiques issues de la fusion des schémas traditionnels et des inventions contemporaines. Tire-Laine est également célèbre pour son atelier théatre, lequel est gratuit et particulièrement tourné vers les demandeurs d'emploi ou les employés bénéficiant du RSA. Ses productions, de qualité, reçoivent des critiques très favorables de la part des journaux locaux.
Swing Gadjé s'inscrit ainsi dans une tradition d'échange, de partage et de militantisme musical. C'est ce militantisme qui les a poussé à mettre en oeuvre "au-delà des murs", un projet tourné vers l'échange franco-palestinien et la jeunesse palestinienne ; parce qu'au-delà de la tournée et des représentations de scène, la venue de Swing Gadjé en Palestine s'est également articulée autour du partage avec la jeunesse palestinienne. Le groupe a organisé des leçons de musique ouvertes aux enfants et aux jeunes, cherchant à transmettre leur culture de la musique et à les initier à leurs talents.
L'échange avec la jeunesse palestinienne avait débuté en France. Aux origines du projet, des voyages en Palestine et la rencontre de Kareem Amira, directeur du Centre de Jeunesse du Camp d'Aida à Bethléem, ainsi que plusieurs animations et l'organisation d'une conférence accompagnée d'expositions sur les camps de réfugiés. En amont de la tournée également, Swing Gadjé a appelé à une collecte d'instrument, lesquels ont été délivrés aux enfants de Palestine pendant le passage du groupe.
La rencontre avec le groupe palestinien Jadal a approfondi les relations de Swing Gadjé avec la Palestine, et permis la mise en scène d'une tournée conjointe sur les territoires palestiniens. Agatha Mary a insisté, cette première tournée ne sera pas la dernière, et elle espère reprendre une riche coopération avec les organisations que le groupe a rencontré. Il faut également signaler que l'aventure se poursuit en France : le groupe Jadal rejoindra Swing Gadjé en novembre prochain, pour la mise en scène d'une nouvelle tournée conjointe dans le cadre de la semaine de la solidarité internationale. 
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Israël pénétre à Bethléem et arrête 5 Palestiniens

Ecrit par Pierre Tiercin   
26.10.11
Les soldats israéliens ont réalisé de nouveaux raids ce mercredi matin, dans le sud de la Cisjordanie à Bethléem. Ils ont arrêté cinq palestiniens dans leurs maisons et les ont déporté vers des lieux inconnus.
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Des soldats israéliens patrouillent près du mur d'al-Walajah (photo : Brendan Work, PNN)
Selon l'agence de presse officielle Wafa, le raid a été opéré dans les quartiers extérieurs de Bethléem, à une vingtaine de minutes de la vieille ville et de l'Eglise de la Nativité. Deux frères de la famille Ridda - tous deux 21 ans, Mohammed Rabhi al-Harimi - 21 ans, Muntaser Abdulkarim Sadouq - 23 ans, Mohammed Nasif Riba' - 24 ans, et Jamil Abdullah Riba' - 48 ans, ont été arrêtés.
Il n'y'a pour l'heure aucun détail supplémentaire sur cette opération.
Un autre raid a survenu dans un camp de réfugié de Jenin, au cours duquel Basel Samareh - 23 ans, a été arrêté. Une autre opération a été rapportée à Tulkarm, aucune arrestation n'a été rapportée pour l'instant. Lundi et mardi déjà, Israël avait mené plusieurs raids à travers la Cisjordanie et arrêté vingt palestiniens - dix lundi matin et dix mardi matin.
Israël n'a pas communiqué les charges retenues contre les palestiniens arrêtés. 
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Pétition pour la protection du cimetière de Mamilla

Ecrit par Pierre Tiercin   
25.10.11
Quelques jours avant l'ouverture de la 36ème session de l'UNESCO, qui étudiera alors une demande d'adhésion de l'Etat palestinien, un groupe de 84 archéologues internationaux ont signé une pétition appelant Israël à stopper la construction du Musée de la Tolérance qui s'opère sur le site du Cimetière de Mamilla à Jérusalem.
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Le cimetière de Mamilla à Jérusalem
Le quotidien Ha'aretz a rapporté lundi que la pétition des archéologues a été transmise le 20 octobre à la Municipalité de Jérusalem, au Département Israélien des Antiquités, et au Centre Simon Wiesenthal, un important mécène du projet, pour leur demander l'arrêt des travaux.
"Le passage au bulldozer de ce cimetière historique est un ultime acte d'expansion territoriale : l'effacement des premiers résidents de ces lieux. La profanation du cimetière de Mamilla est une tragédie historique et culturelle", a revendiqué Harvey Weiss, professeur d'archéologie du Proche-Orient à l'Université de Yale.
Le cimetière de Mamilla fut un cimetière musulman et un lieu saint depuis que les compagnons du Prophète Mahomet y auraient été enterrés au 7ème siècle. Plusieurs saints Soufi et d’autres milliers de personnalités, de savants, de notables et des familles entières de Jérusalem y ont été enterrés au cours du dernier millénaire. Le Conseil Suprême Musulman a reconnu le cimetière comme site historique en 1927 et les autorités du Mandat Britannique l’ont considéré comme antiquité en 1944. Mamilla servait encore de cimetière jusqu’en 1948, date à laquelle le nouvel état d’Israël s’est emparé de la partie Ouest de Jérusalem et a de ce fait tenu le cimetière sous son contrôle.
« Le mépris total pour le sens élémentaire de la tolérance qui préside à la construction de ce musée sur le plus ancien et le plus respecté cimetière de Jérusalem n'est pas seulement une offense faite par le Centre Simon Wiesenthal aux nombreux habitants de Jérusalem dont les familles, comme la mienne, ont des ancêtres enterrés ici depuis des siècles, affirme Rashid Khalidi, professeur au Département des études arabes de l'Université Columbia, à New York. C'est aussi une violation flagrante des responsabilités éthiques, morales et juridiques du gouvernement israélien, qui avait lui-même protesté contre la profanation des cimetières juifs à Jérusalem entre 1948 et 1967 ».
A Los Angeles, le rabbin Marvin Hier, fondateur du Centre Simon Wiesenthal, ne voit pas les choses sous cet angle. Il ne voit pas ce qui pourrait justifier l'interdiction de la construction de l'immense complexe comprenant un centre de conférences, un théâtre et des musées pour les adultes et les enfants. Apprenant que les pétitionnaires avaient saisi les Nations Unies, il leur a répondu, lors d'une interview à Associated press : « vous pouvez en appeler à la Lune si vous voulez, cela ne vous aidera pas. Nous continuons. L'affaire est classée ».
Les archéologues ont effectivement affirmé qu'ils se rendraient à l'UNESCO et au Conseil des Droits de l'Homme pour s'interposer et demander à Israël de construire le musée sur un autre site.

La Palestine à l'UNESCO
Au cours d'une première session du Conseil Exécutif de l'UNESCO, 40 nations ont voté en faveur de la proposition de la mise à l'agenda de l'Assemblée Générale du vote pour la reconnaissance de la Palestine en tant qu'Etat membre de plein droit. Seules quatre nations ont voté contre la proposition : les Etats-Unis, l'Allemagne, la Roumanie et la Lettonie. Les quatorze nations restantes, et notamment la France, la Belgique, l'Italie et l'Espagne, se sont abstenues. L'UNESCO, l'Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la Culture, doit alors voter la promotion de la Palestine du statut d'observateur à celui d'Etat membre d'ici le 10 novembre.
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Le cimetière de Mamilla à Jérusalem
Si la Palestine est reconnue en tant qu'Etat membre de plein droit à l'UNESCO, les dirigeants palestiniens seront alors à même de demander la protection par l'UNESCO de leur patrimoine et de leurs sites culturels. Tout en leur permettant de demander la protection de lieux saints tels que Jéricho et Bethléem, les dirigeants palestiniens pourraient également appeler à la protection des sites menacés de Jérusalem-Est - et notamment à la protection du cimetière de Mamilla.
Toujours dans l'hypothèse de la reconnaissance de la Palestine en tant qu'Etat membre de plein droit à l'UNESCO, l'organisation risquerait alors de sévères restrictions budgétaires. Les Etats-Unis fournissent aujourd'hui 22% du financement de l'UNESCO, et suite à la promulgation d'une nouvelle loi aux Etats Unis, le pays ne peut plus accorder de financement à un organisme des Nations Unies qui reconnait le statut d'Etat membre de plein droit à n'importe quel groupe qui "n'aurait pas la reconnaissance internationale et l'attribut officiel d'un Etat".
Les Etats-Unis ont déjà retiré une partie du financement qu'ils accordent à l'UNESCO de 1984 à 2003, suite à des désaccords portant sur la gestion et sur la politique de l'organisation. Cependant depuis leur retour au sein de l'organisation sous le mandat de George W. Bush en 2003, les Etats-Unis ont entretenu d'excellents liens avec l'UNESCO et ont fait l'éloge de ses programmes à maintes reprises.
Si les Etats-Unis interrompaient leur financement à l'UNESCO, ils ne pourraient en rester membre plus de deux ans. L'influence et la capacité de l'UNESCO à développer ses programmes s'en trouverait néanmoins profondément diminuée. 
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Nimr Hamad : Liberman a une "mentalité de Voyou et d'animal"

Ecrit par Pierre Tiercin   
26.10.11
Nimr Hamad, conseiller politique pour Mahmoud Abbas, a déclaré mardi que le Ministre des Affaires Etrangères d'Israël, Avigdor Liberman, avait une "mentalité de voyou". 
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Avigdor Liberman, Ministre des Affaires Etrangères d'Israël (photo : AP)
Cette déclaration vient commenter le communiqué adressé en début de semaine par Liberman et qui dénonce Mahmoud Abbas comme un "obstacle pour la paix" qui doit être "effacé". 
N. Hamad affirme que le communiqué de Liberman est très représentatif de la façon dont Israël gouverne : avec une mentalité agressive, de voyou, d'animal. Il s'est dit désolé qu'Israël ait choisi quelqu'un comme Liberman pour représenter le pays.
"L'obstacle pour la progression du processus de paix n'est pas le Président Mahmoud Abbas, ni la politique palestinienne, mais la politique israélienne de colonisation", a déclaré le conseiller. "Le communiqué de Liberman est une preuve flagrante d'une politique arrogante et d'une mentalité animale, que la communauté internationale et Hillary Clinton se doivent de condamner".
N. Hamad a rapporté qu'il considère les nombreux nouveaux plans coloniaux développés par Israël à Jérusalem Est comme "un choc pour le Quartet". Il espère également que Tony Blair, envoyé spécial du Quartet pour le Moyen Orient, ne se contentera plus de déplorer de nouvelles "complications" à la reprise du processus du paix. Il souhaite que de réelles étapes soient franchies, et que des mesures pratiques soient déployés pour forcer Israël à stopper la colonisation de la Cisjordanie et de Jérusalem Est. 
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Un comportement honteux

Cisjordanie - 26 octobre 2011
Par Khaled Amayreh
A un moment où les nuages de la tyrannie et du despotisme se dissipent dans le monde arabe, la petite Autorité palestinienne (AP) continue de se comporter de manière honteuse envers les forces du patriotisme en Palestine occupée, comme un service de sécurité autoritaire à la botte d'Israël.
Comment qualifier autrement des articles récents qui relatent que des services de sécurité de l'AP ont envoyé des convocations pour interrogatoire à certains prisonniers palestiniens récemment libérés des geôles et des camps de concentration israéliens dans le cadre de l'accord d'échange Shalit ?
Un comportement honteux
Les forces de sécurité d'Abbas arrêtent un Palestinien pendant une opération de fouille pour chercher des armes à Yatta, au sud d'Hébron.
L'auteur de ces lignes a essayé de joindre l'appareil sécuritaire palestinien pour vérifier la véracité des dites informations. Malheureusement, les responsables n'ont pas répondu aux questions "parce que ce sont des questions de sécurité sensibles."
Certaines sources "officieuses" de l'AP ont parlé de "convocation pour siroter un café" avec les responsables de la sécurité dans la zone de résidence des prisonniers libérés. Mais c'est une insulte à l'intelligence des gens, pour dire le moins. Les services de sécurité de l'AP ont une histoire immonde de mauvais traitements, supplices, humiliations, tortures et même assassinats de détenus politiques en garde à vue.
Pendant l'ère déshonorante de Keith Dayton, le tristement célèbre général américain de la CIA chargé de transformer les soldats palestiniens en soldats au service d'Israël, certains officiers de sécurité de l'AP se sont livrés aux actes les plus barbares contre des détenus innocents, non pour servir leur pays ou la cause nationale, mais pour obtenir un certificat de bonne conduite d'Israël et de son gardien-allié, les Etats-Unis.
Nous pensions que l'époque Dayton était derrière nous. Cependant, la conduite déshonorante des services de sécurité nous rappelle que Dayton et la mentalité de collabos qu'il a cherché à implanter dans les esprits de ces soi-disant "officiers" continuent de guider l'appareil sécuritaire de l'AP, en particulier vis-à-vis de l'opposition islamique.
Ce qui rend les convocations particulièrement répugnantes est le fait qu'elles tombent à peine quelques jours après la réalisation de l'accord Shalit, qui a vraiment représenté un triomphe rare pour la Palestine et son peuple en lutte.
De plus, la conduite méprisable s'opère au milieu d'appels renouvelés à accélérer le processus de réconciliation entre le Fatah et le Hamas. D'où les questions qui surgissent : Que se passe-t-il ? Les traitres sont-ils toujours là ? A quoi sert-il d'organiser une rencontre entre le président Abbas et le frère Khalid Meshaal, ce qui suscite parmi notre peuple de grands espoirs, si certains éléments au sein de l'appareil sécuritaire de l'AP continuent de se conduire de cette façon ?
Je ne sais pas si les dirigeants de l'AP sont au courant de cette histoire de convocations. Mais comme le dit l'adage palestino-arabe, c'est une calamité s'ils savent, mais c'est une calamité bien plus grande s'ils ne savent pas.
Nous espérons et nous prions pour que l'AP tourne une nouvelle page avant qu'il ne soit trop tard. Le printemps arabe, qui a ravivé l'espoir dans les cœurs de millions d'Arabes et de Musulmans pour des lendemains meilleurs, ne permettra pas aux forces de la trahison de poignarder la Oumma dans le dos.
Source : Palestine Info
Traduction : MR pour ISM
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Le renseignement israélien kidnappe 7 membres de la famille d'un député jérusalémite détenu

Jérusalem - 26 octobre 2011
Par Palestine Info
Des forces de l'occupation israélienne et des agents des services secrets ont forcé le domicile du député de Jérusalem Ahmed Attoun, dans le village de Sur Baher, et ont emmené sept membres de sa famille, dont deux de ses frères.
Le renseignement israélien kidnappe 7 membres de la famille d'un député jérusalémite détenu
Le père du député a dit au Centre Quds-Media que des policiers israéliens et des policiers des frontières en grand nombre ont accompagné des agents des services secrets et ont emmené deux de ses autres fils dans le raid qui a eu lieu mardi avant l'aube ; il a ajouté que la police avait également envahi les maisons voisines de ses frères.
Il a dit que les officiers de police ont arrêté cinq des cousins d'Attoun, que un officier des services secrets lui avait dit qu'ils avaient une liste des noms de membres de sa famille qui allaient être arrêtés, sans donner de raison pour les arrestations.
Le père a accusé les autorités de l'occupation israélienne de vouloir gâcher la joie de la famille suite à la libération d'un des frères d'Attoun dans le récent accord d'échange de prisonniers.
Les forces israéliennes ont kidnappé le député Attoun le mois dernier, dans l'enceinte de la Croix-Rouge à Jérusalem. Le député a refusé la proposition d'un tribunal israélien de le libérer s'il quittait la ville sainte.
Source : Palestine Info
Traduction : MR pour ISM
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L’armée israélienne préfère abattre ses soldats plutôt que de les voir capturer

mercredi 26 octobre 2011 - 10h:15
Al Qassam Website
Les forces d’occupation israéliennes ont déclaré dans un forum de discussion, cette semaine dans le contexte de l’échange de prisonniers, que la procédure à appliquer face à un risque de capture de soldats vivants, était d’empêcher cela à n’importe quel coût.
(JPG)
Troupes israéliennes d’occupation lors de l’attaque criminelle sur Gaza à l’hiver 2008-2009. Un soldat israélien mort vaut donc mieux qu’un soldat israélien capturé par la résistance palestinienne...
Depuis que Shalit [le soldat israélien fait prisonnier par la résistance palestinienne] a été libéré en échange de 1027 prisonniers palestiniens, le Hamas a informé qu’il allait tenter de capturer d’autres soldats en vue d’obtenir la libération des Palestiniens encore détenus dans les geôles israéliennes.
L’armée israélienne estime la menace sérieuse et a donc informé les commandants sur une série d’actions préliminaires qui peuvent aider à prévenir les captures. Le chef d’état major des forces d’occupation israéliennes, Benny Gantz, a également ordonné que les commandants se donnent les moyens de contrecarrer activement ces captures, même au détriment de la vie des soldats.
« Le protocole Hannibal » est devenu officielle en 1980. Il stipule que les soldats israéliens doivent empêcher la capture d’un soldat vivant à tout prix, y compris en ouvrant le feu sur le véhicule des ravisseurs. Le protocole prend en considération le fait que le soldat captif peut être tué, avec le principe dominant qu’un soldat mort vaut mieux qu’un soldat captif aux yeux de l’Etat israélien, qui serait alors obligé de payer un lourd tribut pour le captif.
En pratique, chaque commandant donne sa propre interprétation de ces directives à ses hommes. A la veille de l’opération Cast Lead [hiver 2008-2009] qui a entraîné le massacre par l’armée israélienne de plus de 1500 Palestiniens innocents dans la bande Gaza, pour prendre cela comme exemple, un commandant du bataillon Golani a dit à ses soldats que s’ils se trouvaient en danger d’être pris ils devaient se faire exploser en utilisant une grenade !
L’ancien commandant de la brigade Nahal, le colonel Motti Baruch, a ordonné à ses hommes de faire tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher les captures, y compris en tirant sur le véhicule des ravisseurs et en mettant ainsi en danger la vie du captif.
Mais tous les commandants ne sont pas d’accord avec le protocole. Certains prétendent que la vie du captif doit être préservée et donc ignorent le sujet dans les réunions, laissant leurs soldats exercer leur propre jugement.
Benny Gantz sera contraint de définir une politique claire et commune, ce qui va sans aucun doute provoquer un débat public. Pendant ce temps les responsables des troupes israéliennes d’occupation ont souligné que le protocole ne sera pas modifié mais que les procédures seront revues afin de prévenir tout malentendu, selon le site israélien Ynet.
26 octobre 2011 - Al Qassam Website - Vous pouvez consulter cet article à :
http://www.qassam.ps/news-5054-Isra...
Traduction : Info-Palestine.net
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Les envoyés du Quartette rencontrent séparément Palestiniens et Israéliens

AFP | 26/10/2011
Les émissaires du Quartette pour le Proche-Orient (Etats-Unis, Union européenne, ONU, Russie) devaient rencontrer mercredi séparément des représentants palestiniens et israéliens à Jérusalem, afin de tenter de relancer le processus de paix bloqué depuis plus d'un an.
Mais les perspectives de percée restent très lointaines, de l'aveu même des deux camps qui ont récemment durci le ton de leurs échanges.
Dans de nouvelles critiques très dures à l'encontre du président palestinien, le ministre israélien des Affaires étrangères, le nationaliste Avigdor Lieberman, a souhaité de nouveau mercredi matin la démission de Mahmoud Abbas.
Les entretiens de mercredi ont pour objectif de "commencer à préparer un ordre du jour pour poursuivre la négociation", selon le département d'Etat américain.
Le Quartette a lancé, dans une déclaration à l'ONU le 23 septembre, un plan de relance des négociations de paix interrompues depuis plus d'un an entre Israël et les Palestiniens. La proposition prévoit la reprise du dialogue sous un mois et la conclusion d'un accord de paix en un an.
Les entretiens doivent se dérouler au QG de l'ONU situé à Jérusalem-Est.
Le premier interlocuteur du Quartette sera le négociateur palestinien Saëb Erakat, suivi par le représentant du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, Yitzhak Molcho.
L'envoyé spécial du Quartette pour le Proche-Orient Tony Blair, la diplomate allemande Helga Schmidt pour l'UE, et le coordinateur spécial de l'ONU pour le processus de paix, Robert Serry, doivent prendre part aux discussions aux côtés de représentants des Etats-Unis et de la Russie.
"Le but est de tenter de relancer les négociations et la méthode utilisée est sans doute la seule manière d'y parvenir", a indiqué à l'AFP un diplomate impliqué dans ces discussions.
Avant même leur coup d'envoi, M. Erakat a demandé "au Quartette qu'il déclare ouvertement et clairement quelle partie fait obstacle au processus de paix".
"C'est Israël qui poursuit sa politique de colonisation et de judaïsation de Jérusalem et ne s'engage pas sur les références du processus de paix et qui bloque tout processus de paix dans la région", a-t-il affirmé à l'AFP.
Israël et les Palestiniens ont plus ou moins favorablement accueilli le plan du Quartette, mais en ont tiré des interprétations divergentes.
M. Netanyahu a ainsi accusé le 17 octobre les Palestiniens de refuser de négocier directement avec Israël.
Il rejette de son côté deux exigences des Palestiniens pour revenir aux pourparlers: le gel de la colonisation aussi bien en Cisjordanie qu'à Jérusalem-Est ainsi que des négociations sur la base des lignes d'avant juin 1967, date du début de l'occupation des territoires palestiniens. 
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Une démission d'Abbas serait une "bénédiction", répète Lieberman

AFP | 26/10/2011
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a de nouveau attaqué mercredi le président palestinien Mahmoud Abbas, juste avant qu'Israéliens et Palestiniens ne rencontrent, séparément, le Quartette pour le Proche-Orient à Jérusalem.
Une démission d'Abou Mazen (surnom de Mahmoud Abbas) constituerait une bénédiction car il représente le plus grand obstacle à la paix", a accusé M. Lieberman à la radio militaire. "Il est décidé à sacrifier les intérêts des Palestiniens pour ses propres calculs, pour défendre sa place dans l'Histoire", a estimé le chef de la diplomatie israélienne, qui dirige le parti nationaliste Israel Beiteinou.
Lundi déjà, M. Lieberman avait déclaré souhaiter la démission du président palestinien, considérant que n'importe quel remplaçant serait "meilleur". Ces propos, qualifiés d'"incendiaires" par l'ONU, avaient été vivement critiqués par l'Union européenne qui avait évoqué une "provocation".
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Merkel envisage d'annuler la fourniture d'un sous-marin à Israël

26/10/2011
La chancelière allemande Angela Merkel envisage d'annuler la fourniture d'un sixième sous-marin à Israël en réponse à la construction d'un millier de logements israéliens à Jérusalem-Est, a indiqué mercredi le quotidien Yédiot Aharonot.
"L'Allemagne reconsidère sa décision de principe de vendre un sixième sous-marin de type Dauphin, à la suite des tensions survenues entre la chancelière Merkel et le Premier ministre Benjamin Netanyahu", a précisé le quotidien.
Citant de "hauts responsables israéliens", le journal indique qu'Angela Merkel entend ainsi marquer son mécontentement après l'annonce le mois dernier de la construction 1.100 logements dans le quartier de colonisation israélien de Gilo à Jérusalem-Est.
Yédiot Aharonot ajoute que les tensions avec l'Allemagne, considérée comme le pays européen le plus proche d'Israël, ont suscité l'inquiétude des responsables de la Défense qui espéraient renforcer les capacités stratégiques de l'Etat hébreu.
Israël dispose déjà de trois sous-marins fournis par l'Allemagne. Deux autres appareils sont en cours de construction. Selon des experts militaires étrangers, ces sous-marins pourraient être équipés de missiles nucléaires.
Interrogé par la radio publique, le directeur général du ministère de la Défense Udi Shani s'est refusé à confirmer ou à démentir ces informations. "C'est un dossier très compliqué, très sensible qui est en cours de discussion. Il y a de très nombreux paramètres qui entrent en ligne de compte", a affirmé Udi Shani.
"Pour ce qui est des aspects politiques touchant à ce dossier, je préfère ne pas les évoquer dans les médias", a-t-il poursuivi.
Le responsable des affaires politiques au ministère de la Défense Amos Gilad s'est pour sa part borné à affirmer à la radio militaire que "l'Allemagne ne punit pas Israël" sans donner d'autres précisions.
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La mère de Salah Hamouri condamne le deux poids deux mesures de la France

[ 26/10/2011 - 10:23 ]
Paris – CPI
La mère du prisonnier franco-palestinien Salah Hamouri a condamné le « deux poids deux mesures » du gouvernement français dans son traitement du cas de son fils détenu dans les prisons de l’occupation depuis plus de six ans, en comparaison à l’affaire du soldat sioniste, Gilad Shalit, qui détient la nationalité française.
Denise Hamouri a déclaré dans une interview avec l’AFP que l’appel du président français Nicolas Sarkozy pour libérer son fils la semaine dernière « a eu lieu trop tard, car nous lui avons demandé d’intervenir depuis longtemps, et le 18 octobre dernier était la première fois qu’il prononçait le nom de Salah en public ».
Hamouri a souligné que le président français a réclamé la libération de son fils « d’une manière inacceptable » car il a demandé que Salah fasse partie du deuxième groupe de prisonniers à être libérés, alors que sa date de libération est prévue le 28 novembre prochain. « Et tout ce que nous avons demandé est de s’assurer qu’il sorte à la date prévue puisqu’il n’a rien fait pour continuer sa détention », a-t-elle ajouté.
Denise a qualifié la position française d’ « injuste » mais elle n’a pas été surprise car elle « représente la ligne actuelle du gouvernement français qui s’avère plus proche d’Israël que des Palestiniens ».
Elle a affirmé que l’affaire de son fils est complètement différente de celle du soldat sioniste Gilad Shalit car « Shalit était un soldat capturé à bord de son char son arme à la main, et je ne pense pas que cela soit une coïncidence, tandis que mon fils est un civil normal ».
La mère du prisonnier palestino-français a condamné « les différences de traitement du gouvernement français dans les deux questions, puisqu’il a réagit immédiatement lorsque Shalit à été capturé, a demandé sa libération et a reçu sa famille à l’Elysée, alors que je n’y suis jamais allée, il y a toujours eu deux poids deux mesures dans le traitement de ces deux affaires ».
« Je pense que le seul obstacle est que mon fils est d’origine palestinienne », a-t-elle ajouté.
Denise, qui est professeure de français à al-Qods occupée, a souligné que son fils est toujours en cellule d’isolement et interdit de visite jusqu’au 5 novembre pour sa participation à la grève de la faim lancée par les prisonniers le mois dernier.
Le détenu Salah Hamouri âgé de 26 ans est né dans la ville d’al-Qods occupée d’une mère française et d’un père palestinien. Il a été arrêté et mis en prison en avril 2005, et en 2008 le tribunal militaire sioniste l’a accusé d’avoir planifié l’assassinat du chef du parti extrémiste Shaas, Ovadia Joseph, sans qu’aucune preuve ne soit présentée.

Une fillette gravement blessée par un tir d’entrainement de l’occupation à al-Qods-Est

[ 26/10/2011 - 14:38 ]
Al-Qods occupée – CPI
Des sources locales dans la ville d’al-Qods occupée ont affirmé que la fillette Assil Ararala a été gravement blessée suite à des tirs d’entrainement provenant d’un camp militaire sioniste, près d’Anata à l’est d’al-Qods occupée.
Ces mêmes sources ont indiqué que le Comité des Mourabitun a condamné cet incident tragique, et a envoyé ses délégués à l’hôpital concerné où la fillette est entre la vie et la mort. Le président du comité, Youssef Moukhaymar a exigé la fermeture du camp sioniste qui a causé la blessure de la fillette.

La réussite de la transaction, les habitants de la Cisjordanie ne parlent que de ça

[ 25/10/2011 - 23:19 ] 
Ramallah – CPI
La transaction d’échange de prisonniers, avec laquelle la résistance palestinienne a réussi à libérer des centaines de captifs dont beaucoup de condamnés à perpétuité, ou à plusieurs perpétuités, continue à faire des vagues partout en Palestine dont la Cisjordanie.
En effet, la joie n’a pas l’air de quitter la Cisjordanie de si tôt ; les drapeaux verts saluent partout la résistance palestinienne, notamment le Hamas ; les panneaux de bienvenue aux libérés sont partout, et confirment que la résistance reste le seul moyen pour libérer les détenus palestiniens.
Confiance en la résistance
Des Palestiniens interrogés disent que la résistance, en particulier les brigades Ezziddine Al-Qassam, est la seule à avoir la capacité de libérer les captifs palestiniens condamnés à de lourdes peines. Cependant, après vingt ans de négociations, l’autorité de Ramallah n’a pu en libérer un seul.
Un Palestinien du village de Coper, au nord de la ville de Ramallah, dit au correspondant du Centre Palestinien d’Information (CPI) : « Seules les brigades Ezziddine Al-Qassam peuvent briser les critères imposés par les occupants israéliens, contrairement à l’équipe de négociations de l’autorité qui n’a pu jusqu’à présent libérer les siens (faisant allusion à Fakhri Al-Barghouthi, membre du mouvement du Fatah, enfermé dans les prisons israéliennes depuis quelque trente-quatre ans) ».
Seule la force peut contraindre l’occupation israélienne à céder aux exigences de la résistance, non pas ces négociations inutiles, ajoute-t-il.
C’est une réalisation historique, la transaction, dit un homme âgé du même village. Toute critique faite de ces incapables ne fait que renforcer la résistance.
Pour montrer leur bonne foi à l’égard de l’autorité de Ramallah, les occupants israéliens ont relâché deux cents personnes seulement. On a célébré cela comme un grand événement, alors que les libérés n’étaient que des personnes âgées, des prisonniers de droit commun, des gens sur le point de finir leurs peines.
La bonne foi
Un libéré de la ville de Ramallah dit que sa ville a connu plusieurs de ces libérations visant à montrer la bonne foi, qui ne concernaient toutefois que des prisonniers du mouvement du Fatah, condamnés à des peines légères.
Une fois, un captif, continue-t-il, un détenu membre du Fatah faisait partie de ces libérations dites de bonne foi, mais on l’a retourné en prison, du bus les transportant, parce qu’il avait changé de camp au profit du mouvement du Hamas, en prison.
Et une autre fois, quelques détenus avaient fini leurs peines ; les occupants israéliens ne les ont pas relâchés pour les mettre plus tard sur la liste des libérables de bonne foi envers Abou Mazen, président de l’autorité de Ramallah.
La transaction d’Abou Mazen
Justement, cet Abou Mazen commence à parler d’une transaction qui serait effectuée par ses efforts. Les Palestiniens n’ont qu’un petit sourire de moquerie face à ces dires.
Que possède le président comme moyen de pression sur "Israël", pour pouvoir libérer un nombre de détenus aussi grand ? se demande un autre. Le président a dit cela seulement pour sauver la face, tout simplement, ajoute-t-il.
De plus, "Israël" vient d’adresser une gifle au président, en démentant ses propos et en démentant l’existence de négociations.
Le président Abou Mazen croit-il toujours que les négociations peuvent réaliser ce que la résistance a pu le faire par la force ? Sinon, avec quels moyens de pressions ?
Dans les rues de la Cisjordanie, les gens parlent de la transaction grandiose de la résistance. Ils parlent aussi de nouvelles opérations possibles visant à enlever de nouveaux soldats pour libérer tous les captifs palestiniens.

L entite négocie par colonisation interposée

[ 26/10/2011 - 01:21 ]
Des sources médiatiques hébraïque, ont révélé que le gouvernement sioniste a tout dernièrement approuvé un projet de colonisation ayant pour but, l’édification d’un nouveau quartier « Jefaat Hamtous » , situé au sud de la ville occupée d’ El Kods, voisine du village Beit Safafa.
Le quotidien « Ydaout Ahranout » a confirmé sur son site électronique le (24-10) que ce nouveau quartier colonial s’étend sur 3 étapes et, prévoit la construction de 1000 unités colonisatrices.
Le rapport du journal en question a signalé que la dénommée « Commission d’organisation et de construction » sioniste a donné son approbation pour la première étape de ce projet qui, comporte la construction de 2610 unités coloniales , avant la fête juive du Trône.
Le rapport a aussi indiqué que la Commission , en coordination avec le ministère de la colonisation sioniste, tiendra une réunion le 8 Janvier prochain, dont l’intention de signifier son approbation concernant la 2ème et la 3ème étape de ce quartier colonial qui est considéré le plus énorme depuis l’édification du quartier colonial Jbel Abou Ghnim.
Le rapport a précisé que l’exécution de ce projet colonial dans la région sud de la ville d’ El Kods, contribuera d’une manière totale à l’aménagement d’une ceinture coloniale autour de la ville d’El Kods orientale et, reliera les deux quartiers de Gilou et Jbel Abou Ghanim ; de cette façon l’accès sud de la ville d’El Kods sera définitivement bloqué , avec une partie du côté oriental en plus , du côté occidental.

Des sionistes recrutent des "Tueurs à gage"

[ 26/10/2011 - 01:49 ]
Le penseur et prédicateur séoudien, Docteur Aouadh El Karni se propose de consacrer une prime de cent mille dollars, par soldat sioniste capturé pour l'échanger contre les détenus dans les prisons de l'occupation .
Sur sa page du réseau de communication sociale, El Karni a déclaré que : "les organes ont publié une information selon laquelle les colons sionistes s'avisent à payer des sommes d'argent colossales , à qui tuerait des prisonniers palestiniens libérés .
En réplique à ces criminels, devant le monde  entier, je m’engage à payer une prime d'un montant de 100.000 dollars, à tout palestinien de l'intérieur qui capture un soldat israélien pour l'échanger contre des détenus .
Une famille sioniste avait auparavant annoncé qu'elle consacrait la somme de cent mille dollars à qui réussit de tuer les deux prisonniers libérés Nizard et Khouilid Ramadhan, dans les cadre de la Transaction d'échange des détenus entre Hamas et l'occupation et, accusés   d'avoir tué deux membres de la famille sioniste, dans une opération exécutée par les "Brigades d'El Kassem’’.

Hnia : Parole de Résistant, nous libérerons les nôtres !

[ 26/10/2011 - 02:03 ]

Le chef des ministres palestiniens Ismail Hnia a précisé que la mentalité sécuritaire et militaire palestinienne a vaincu celle des sionistes, après l'exécution de la première étape de le Transaction  ''loyalisme des libres" mardi dernier .
Au cours d'un banquet organisé par le Mouvement de la Résistance "Hamas" , lundi (24-10) en l'honneur des relaxés dans le cadre de la Transaction, Hnia a signalé que la Transaction a été conclue , par la grâce de Dieu suivie, du mérite de la Résistance protectrice populaire, accompagnée par une volonté politique tenace que, la guerre , les tueries , le siège et la destruction n'ont pas réussi à infléchir!
Le chef des ministres a comblé de louanges le peuple palestinien , surtout dans la bande de Gaza qui a supporté le siège , le destruction , les carnages plus de cinq années durant !
Hnia renouvela le témoignage de sa gratitude à la République Arabe d'Egypte pour son parrainage de la Transaction d'échange des prisonniers et ajouta : Nous nous lasserons jamais d'exprimer notre reconnaissance à l'Egypte concernant ce dossier , et d'autres dossiers également .
Il déclara son engagement à faire libérer les prisonniers qui continue à croupir dans les prisons de l'occupation sioniste en disant ; je fais serment à nos prisonniers restants, qu'ils ne seront jamais oubliés que, l'on ne renoncera jamais à nos responsabilités à leurs égards et, viendra le jour ou ils jouiront de la liberté .