lundi 4 janvier 2010

Riyad mécontent par la "position privilégiée" d'Israël


Le ministre saoudien des Affaires étrangères Saoud Al-Fayçal
Le ministre saoudien des Affaires étrangères Saoud Al-Fayçal
10:52 03/01/2010
© RIA Novosti. Sergey Guneev
RIYAD, 3 janvier - RIA Novosti

Le ministre saoudien des Affaires étrangères Saoud Al-Fayçal a qualifié la position d'Israël de "privilégiée", d'autres pays n'exerçant sur lui aucune influence, et a estimé que, dans ces conditions, on ne réussirait pas à régler le conflit au Proche-Orient.

"Il est impossible de régler le conflit au Proche-Orient si la position d'Israël reste privilégiée", a déclaré le ministre prenant la parole samedi à Riyad lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue turc Ahmed Daoud Oglo.

Le ministre a qualifié Israël d'"enfant gâté de la communauté internationale" à qui beaucoup de choses sont permises. De l'avis d'Al-Fayçal, c'est bien l'absence de pressions sérieuses sur Israël de la part des Etats-Unis et d'autres pays dans le but de relancer le processus de règlement de paix, qui lui permet de se comporter comme tel.

Le ministre saoudien a estimé que la solution du problème palestinien et du conflit au Proche-Orient dans son ensemble est liée à un retrait d'Israël des territoires arabes occupés en 1967.

Le ministre turc des Affaires étrangères a de son côté exigé d'Israël d'arrêter la colonisation des terres palestiniennes en Cisjordanie, dont Jérusalem-Est.

Les deux hommes ont fait ressortir la coïncidence des positions de l'Arabie saoudite et de la Turquie concernant la situation en Iran, au Yémen et en Afghanistan, et ont appelé à la création au Proche-Orient, dont Israël, d'une zone libre d'armes de destruction massive. Ils se sont prononcés en faveur d'un règlement négocié du problème nucléaire de l'Iran.

http://fr.rian.ru/world/20100103/185775770.html

Effondrement de la terre près de la moquée al-Aqsa à cause des excavations israéliennes

03 Jan 2010

Al-Qods occupée / "Un effondrement de terre a eu lieu hier dans la rue principale du quartier Silwane situé à mi-chemin de la mosquée al-Aqsa à cause des excavations israéliennes", a révélé la fondation palestinienne al-Aqsa pour les Waqfs et le Patrimoine.
Cité par l'agence palestinienne Maan (Ensemble), la fondation al-Aqsa a indiqué que cet effondrement a provoqué un fossé de 2 m. de longueur, 1 m. de largeur et 1.5 m. de profondeur.
La fondation al-Aqsa a aussi souligné que les autorités d'occupation israélienne entendaient établir un réseau de tunnels d'environ /700/ m de longueur au-dessous du quartier Silwane en direction de la mosquée al-Aqsa.
"Suite à cet effondrement, les forces israéliennes ont bouclé les lieux de l'effondrement et empêché les habitants de s'en approcher", a rapporté aujourd'hui l'agence palestinienne /Wafa/.
Cité par /Wafa/, le comité de la défense des terres et des établissements de Silwane a mis en garde contre de nouveaux effondrements en raison de la persistance d'Israël dans ses travaux d'excavation, faisant état de la fente de nombre d'édifices de Palestiniens habitant la vallée de Hilwa et la région de la porte des Magrébins du fait des opérations israéliennes continues de creusement .
Le comité a appelé à une intervention d'urgence sur tous les niveaux en vue d'arrêter ces excavations qui se propagent comme le cancer au-dessous des maisons et des établissements des Palestiniens près de la mosquée al-Aqsa.

N.S. / Gh.H.
http://www.sana.sy/fra/55/2010/01/03/264330.htm

Des rabbins Juifs prient pour la fin d'"Israël"!


03/01/2010
Quoiqu'ils ne soient pas majoritaires, mais certains rabbins juifs osent non seulement répudier la politique israélienne, mais aussi prier pour la fin de l'entité sioniste.
Selon l'agence de presse iranienne Fars, cette prière fatidique a été exprimé par des rabbins qui sont arrivés dans la bande de Gaza, dans le cadre d'un convoi baptisé " Marche de liberté pour Gaza" et organisé par 1400 activistes venus de plus de 40 pays.

" Nous prions Dieu pour supprimer l'état satanique Israël, afin que Juifs, Musulmans et Chrétiens puissant vivre en paix dans la Terre Sainte" a déclaré l'un d'entre eux, originaire des États-Unis, lors d'un point de presse organisé à Beit Hanoune où il est arrivé en compagnie des 80 activistes qui ont obtenu l'autorisation égyptienne. Et de préciser: «l'État d'Israël a été instauré sur une terre qui n'est pas la sienne (…) selon les textes de la Torah, il n'est pas prévu que les Juifs aient un état, et encore moins sur une terre qui n'est pas la leur, et après avoir tué ses autochtones ».

Ce rabbin appartenant à l'organisation Neturei Karta connu pour son anti sionisme, a présenté des excuses aux peuple palestinien, notamment dans la bande de Gaza, pour les crimes commis par les forces d'occupation sionistes au cours de la dernière guerre contre la bande de Gaza, qualifiant le gouvernement de Hamas dirigé par le Premier ministre Ismaïl Haniyeh de «gouvernement légitime".

S'adressant toujours au peuple palestinien, il a déclaré: «Nous le peuple des Juifs ne voulons pas d'un Etat juif en Palestine. Liberté pour la Palestine, pour Gaza et Jérusalem. Nos cœurs sont avec vous en souvenir de la Nakba, et ce que vous avez subi l'an dernier».

Et de conclure par ces propos: "ce démon du mal (Israël), nous portent grief à nous les Juifs du monde; il ne nous représente pas; le mouvement sioniste est corrompu, il a utilisé les Juifs pour commettre ses crimes et occuper des terres qui ne sont pas les leurs, ce qui est incompatible avec les textes de la Torah. Selon l'Ancien Testament, il est interdit d'envahir un pays habité par des frères et des amis qui nous ont accordé leur hospitalité …"
http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=118079&language=fr

Commandants militaires israéliens: riposter à toute attaque à partir du Liban


03/01/2010

Certains commandants de l'armée israélienne ont confirmé que les forces israéliennes sont prêts à riposter par des moyens terrestres, aériens ou maritimes, aux missiles lancés à partir du Liban, de la Syrie, de la Bande de Gaza et même de l'Iran, séparément ou en même temps.
Selon le site israélien ‘'whynet'' cette confirmation est survenue au cours d'une récente réunion secrète et extraordinaire entre les chefs militaires et des politiciens de haut rang, où ils ont discuté des stratégies, des moyens de lutte, et des tactiques de combat de l'armée israélienne, ainsi que des failles apparues durant la seconde guerre du Liban en 2006.
Bref une bonne pub.. A laquelle le député du Hezbollah, sayyed Nawaf al-Moussawi a répondu : « plus l’entité sioniste nous menace ou cherche à nous intimider, plus nous sommes déterminés à accroître notre capacité à riposter et à affronter l’ennemi ».

Il a souligné que la guerre contre le Liban n'est plus un pique-nique pour l'armée israélienne.

Et d’ajouter : "Nous sommes prêts à vous montrer à vous et maintenant ce que les moudjahidine sont capables de réaliser pour défendre le projet de la terre et de la dignité."

http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=118107&language=fr

Déclaration du Caire : pour en finir avec l’Apartheid israélien

dimanche 3 janvier 2010 - 08h:10

Marcheurs pour la Liberté de Gaza

Les Marcheurs pour la Liberté de Gaza ont approuvé aujourd’hui une déclaration visant à accélérer la campagne mondiale de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) contre l’apartheid israélien.
(JPG)
Environ 1400 militants internationaux ont participé au rassemblement en Egypte.

Environ 1400 militants venus de 43 pays ont convergé au Caire pour se rendre à Gaza pour se joindre à des Palestiniens en marche pour briser le siège illégal d’Israël. Ils ont été empêchés d’entrer à Gaza par les autorités égyptiennes.

En conséquence, les Marcheurs sont restés au Caire. Ils ont organisé une série d’actions non-violentes visant à pousser la communauté internationale à mettre fin au siège, ce qui est une étape dans la lutte plus large pour garantir la justice aux Palestiniens dans toute la Palestine historique.

Cette déclaration avance les objectifs qui suivent.


Non à l’Apartheid israélien

Déclaration du Caire

Nous, délégués internationaux réunis au Caire pour la Marche 2009 pour Liberté de Gaza, dans une réponse collective à une initiative de la délégation sud-africaine, statuons que :

Compte tenu :

- de la punition collective imposée par Israël sur les Palestiniens par l’occupation illégale et le siège de Gaza ;
- de l’occupation illégale de la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est, et la poursuite de la construction illégale du mur de l’Apartheid et des colonies ;
- du nouveau mur en construction par l’Egypte et les Etats-Unis, qui va resserrer encore le siège de Gaza ;
- du mépris pour la démocratie palestinienne montré par Israël, les Etats-Unis, le Canada, l’UE et d’autres après les élections palestiniennes de 2006 ;
- des crimes de guerre commis par Israël pendant l’invasion de Gaza il ya un an ;
- de la persistance d’une discrimination et de la répression auxquelse sont confrontés les Palestiniens en Israël ;
- de la poursuite de l’exil des millions de réfugiés palestiniens ;
- de tous les actes d’oppression qui sont basés en définitive sur l’idéologie sioniste qui sous-tend Israël ;
- en sachant que nos propres gouvernements ont donné à Israël un soutien direct économique, financier, militaire et diplomatique et lui ont permis d’agir avec impunité ;
- et en référence à la Déclaration des Nations Unies relative aux droits des populations autochtones (2007)

Nous réaffirmons notre engagement pour :

- l’autodétermination palestinienne
- la fin de l’occupation
- l’égalité des droits pour tous dans la Palestine historique
- l’intégralité du droit au retour des réfugiés palestiniens

Nous réaffirmons donc notre soutien à l’appel palestinien unitaire de Juillet 2005 pour le Boycott, le Désinvestissement et les Sanctions (BDS) pour contraindre Israël à se conformer au droit international.

À cette fin, nous demandons et souhaitons aider à amorcer un mouvement global et de masse, démocratique et anti-apartheid à agir en pleine concertation avec la société civile palestinienne pour mettre en œuvre l’appel palestinien au BDS.

Conscients des nombreuses similitudes entre l’apartheid Israël et l’ancien régime d’apartheid en Afrique du Sud, nous proposons :

1) Une tournée internationale de conférences au cours des 6 premiers mois de l’année 2010 par les syndicalistes palestiniens et sud-africains et militants de la société civile, pour qu’ils soient rejoints par des syndicalistes et des militants engagés dans ce programme au sein du pays visité, afin d’expliquer directement la campagne BDS directement aux syndicalistes et au grand public au niveau international ;

2) La participation à la semaine contre l’Apartheid israélien en Mars 2010 ;

3) Une approche unitaire systématique pour le boycott des produits israéliens, associant les consommateurs, les travailleurs et leurs syndicats dans le commerce de détail, l’entrepôt et les transports ;

4) Développer le boycott académique, culturel et sportif ;

5) Lancer des campagnes visant à encourager le retrait des syndicats et des autres fonds de pension de sociétés directement impliquées dans l’occupation et/ou l’industrie militaire israélienne ;

6) Lancer des actions en justice visant le recrutement à l’extérieur de soldats pour servir dans l’armée israélienne ; poursuivre les criminels de guerre du gouvernement israélien ; se coordonner avec le « Citizen’s Arrest Bureaux », afin de traduire devant la justice les criminels de guerre israéliens ; à soutenir le rapport de Goldstone et l’application de ses recommandations ;

7) Faire campagne contre le statut d’organisation de bienfaisance attribué au Fonds National Juif (JNF).

Nous lançons un appel aux organisations et aux individus engagés dans cette déclaration à la signer et à travailler avec nous pour la traduire dans la réalité.

Vous pouvez nous écrire à : cairodec@gmail.com

Premiers signataires :

(* l’affiliation est donnée uniquement pour information)

1. Hedy Epstein, Holocaust Survivor/ Women in Black*, USA

2. Nomthandazo Sikiti, Nehawu, Congress of South African Trade Unions (COSATU), Affiliate International Officer*, South Africa

3. Zico Tamela, Satawu, Congress of South African Trade Unions (COSATU) Affiliate International Officer*, South Africa

4. Hlokoza Motau, Numsa, Congress of South African Trade Unions (COSATU) Affiliate International Officer*, South Africa

5. George Mahlangu, Congress of South African Trade Unions (COSATU) Campaigns Coordinator*, South Africa

6. Crystal Dicks, Congress of South African Trade Unions (COSATU) Education Secretary*, South Africa

7. Savera Kalideen, SA Palestinian Solidarity Committee*, South Africa

8. Suzanne Hotz, SA Palestinian Solidarity Group*, South Africa

9. Shehnaaz Wadee, SA Palestinian Solidarity Alliance*, South Africa

10. Haroon Wadee, SA Palestinian Solidarity Alliance*, South Africa

11. Sayeed Dhansey, South Africa

12. Faiza Desai, SA Palestinian Solidarity Alliance*, South Africa

13. Ali Abunimah, Electronic Intifada*, USA

14. Hilary Minch, Ireland Palestine Solidarity Committee*, Ireland

15. Anthony Loewenstein, Australia

16. Sam Perlo-Freeman, United Kingdom

17. Julie Moentk, Pax Christi*, USA

18. Ulf Fogelström, Sweden

19. Ann Polivka, Chico Peace and Justice Center*, USA

20. Mark Johnson, Fellowship of Reconciliation*, USA

21. Elfi Padovan, Munich Peace Committee*/Die Linke*, Germany

22. Elizabeth Barger, Peace Roots Alliance*/Plenty I*, USA

23. Sarah Roche-Mahdi, CodePink*, USA

24. Svetlana Gesheva-Anar, Bulgaria

25. Cristina Ruiz Cortina, Al Quds-Malaga*, Spain

26. Rachel Wyon, Boston Gaza Freedom March*, USA

27. Mary Hughes-Thompson, Women in Black*, USA

28. David Letwin, International Jewish Anti-Zionist Network (IJAN)*, USA

29. Jean Athey, Peace Action Montgomery*, USA

30. Gael Murphy, Gaza Freedom March*/CodePink*, USA

31. Thomas McAfee, Journalist/PC*, USA

32. Jean Louis Faure, International Jewish Anti-Zionist Network (IJAN)*, France

33. Timothy A King, Christians for Peace and Justice in the Middle East*, USA

34. Gail Chalbi, Palestine/Israel Justice Project of the Minnesota United Methodist Church*, USA

35. Ouahib Chalbi, Palestine/Israel Justice Project of the Minnesota United Methodist Church*, USA

36. Greg Dropkin, Liverpool Friends of Palestine*, England

37. Felice Gelman, Wespac Peace and Justice New York*/Gaza Freedom March*, USA

38. Ron Witton, Australian Academic Union*, Australia

39. Hayley Wallace, Palestine Solidarity Committee*, USA

40. Norma Turner, Manchester Palestine Solidarity Campaign*, England

41. Paula Abrams-Hourani, Women in Black (Vienna)*/ Jewish Voice for Just Peace in the Middle East*, Austria

42. Mateo Bernal, Industrial Workers of the World*, USA

43. Mary Mattieu, Collectif Urgence Palestine*, Switzerland

44. Agneta Zuppinger, Collectif Urgence Palestine*, Switzerland

45. Ashley Annis, People for Peace*, Canada

46. Peige Desgarlois, People for Peace*, Canada

47. Hannah Carter, Canadian Friends of Sabeel*, Canada

48. Laura Ashfield, Canadian Friends of Sabeel*, Canada

49. Iman Ghazal, People for Peace*, Canada

50. Filsam Farah, People for Peace*, Canada

51. Awa Allin, People for Peace*, Canada

52. Cleopatra McGovern, USA

53. Miranda Collet, Spain

54. Alison Phillips, Scotland

55. Nicholas Abramson, Middle East Crisis Response Network*/Jews Say No*, USA

56. Tarak Kauff, Middle East Crisis Response Network*/Veterans for Peace*, USA

57. Jesse Meisler-Abramson, USA

58. Hope Mariposa, USA

59. Ivesa Lübben. Bremer Netzwerk fur Gerechten Frieden in Nahost*, Germany

60. Sheila Finan, Mid-Hudson Council MERC*, USA

61. Joanne Lingle, Christians for Peace and Justice in the Middle East (CPJME)*, USA

62. Barbara Lubin, Middle East Children’s Alliance*, USA

63. Josie Shields-Stromsness, Middle East Children’s Alliance*, USA

64. Anna Keuchen, Germany

65. Judith Mahoney Pasternak, WRL* and Indypendent*, USA

66. Ellen Davidson, New York City Indymedia*, WRL*, Indypendent*, USA

67. Ina Kelleher, USA

68. Lee Gargagliano, International Jewish Anti-Zionist Network (Chicago)*, USA

69. Brad Taylor, OUT-FM*, USA

70. Helga Mankovitz, SPHR (Queen’s University)*, Canada

71. Mick Napier, Scottish Palestine Solidarity Campaign*, Scotland

72. Agnes Kueng, Paso Basel*, Switzerland

73. Anne Paxton, Voices of Palestine*, USA

74. Leila El Abtah, The Netherlands

75. Richard Van der Wouden, The Netherlands

76. Rafiq A. Firis, P.K.R.*/Isra*, The Netherlands

77. Sandra Tamari, USA

78. Alice Azzouzi, Way to Jerusalem*, USA

79. J’Ann Schoonmaker Allen, USA

80. Ruth F. Hooke, Episcopalian Peace Fellowship*, USA

81. Jean E. Lee, Holy Land Awareness Action Task Group of United Church of Canada*, Canada

82. Delphine de Boutray, Association Thèâtre Cine*, France

83. Sylvia Schwarz, USA

84. Alexandra Safi, Germany

85. Abdullah Anar, Green Party - Turkey*, Turkey

86. Ted Auerbach, USA

87. Martha Hennessy, Catholic Worker*, USA

88. Louis Ultale, Interfaile Pace e Bene*, USA

89. Leila Zand, Fellowship of Reconciliation*, USA

90. Emma Grigore, CodePink*, USA

91. Sammer Abdelela, New York Community of Muslim Progressives*, USA

92. Sharat G. Lin, San Jose Peace and Justice Center*, USA

93. Katherine E. Sheetz, Free Gaza*, USA

94. Steve Greaves, Free Gaza*, USA

95. Trevor Baumgartner, Free Gaza*, USA

96. Hanan Tabbara, USA

97. Marina Barakatt, CodePink*, USA

98. Keren Bariyov, USA

99. Ursula Sagmeister, Women in Black - Vienna*, Austria

100. Ann Cunningham, Australia

101. Bill Perry, Delaware Valley Veterans for Peace*, USA

102. Terry Perry, Delaware Valley Veterans for Peace*, USA

103. Athena Viscusi, USA

104. Marco Viscusi, USA

105. Paki Wieland, Northampton Committee*, USA

106. Manijeh Saba, New York / New Jersey, USA

107. Ellen Graves, USA

108. Zoë Lawlor, Ireland - Palestine Solidarity Campaign*, Ireland

109. Miguel García Grassot, Al Quds - Málaga*, Spain

110. Ana Mamora Romero, ASPA-Asociacion Andaluza Solidaridad y Paz*, Spain

111. Ehab Lotayef, CJPP Canada*, Canada

112. David Heap, London Anti-War*, Canada

113. Adie Mormech, Free Gaza* / Action Palestine*, England

114. Aimee Shalan, UK

115. Liliane Cordova, International Jewish Anti-Zionist Network (IJAN)*, Spain

116. Priscilla Lynch, USA

117. Jenna Bitar, USA

118. Deborah Mardon, USA

119. Becky Thompson, USA

120. Diane Hereford, USA

121. David Heap, People for Peace London*, Canada

122. Donah Abdulla, Solidarity for Palestinian Human Rights*, Canada

123. Wendy Goldsmith, People for Peace London*, Canada

124. Abdu Mihirig, Solidarity for Palestinian Human Rights-UBC*, Canada

125. Saldibastami, Solidarity for Palestinian Human Rights-UBC*, Canada

126. Abdenahmane Bouaffad, CMF*, France

127. Feroze Mithiborwala, Awami Bharat*, India

128. John Dear, Pax Christi*, USA

129. Ziyaad Lunat, Portugal

130. Michael Letwin, New York City Labor Against the War (NYCLAW)

Labor For Palestine

1e janvier 2009 - Diffusé par Omar Barghouti (Boycott, Divestment and Sanctions)
Traduction de l’anglais : Info-Palestine.net

Abou Zouhri: Hamas est préoccupé par la réconciliation interne et ne s'intéresse pas aux propagandes

[ 03/01/2010 - 08:54 ]
Gaza - CPI

Le porte -parole du Hamas, Dr.Sami Abou Zouhri a déclaré que le Hamas s'attache fortement aux efforts déployés pour la réalisation de la réconciliation et se préoccupe afin de la mettre en scène, en confirmant que son mouvement ne s'intéresse pas à la propagande des autres.

Abou Zouhri a souligné lors des déclarations à" la chaîne d'al –Qods", le samedi 2/1, que le Hamas ne lance pas des slogans, mais il est préoccupé sérieusement par les efforts destinant la résussite de l'entente nationale, en appelant les leaders de Fatah à accepter l'appel du premier ministre Ismail Haniyeh pour l'entente interne.

Sous l'hombre de l'échec des prétendues négociations du compromis de paix, dés l'accord d'Oslo, Haniyeh a appelé les dirigeants de Fatah à ratifier la réconciliation interne sous des bases patriotiques et des nouveux arrangements accordés entre le Fatah et le Hamas.

Mechaal rencontre Al-Fayçal et affirme l'insistance du Hamas sur la sécurité des pays arabes

[ 03/01/2010 - 17:34 ]
Riyad – CPI

Une haute délégation du mouvement du Hamas dirigée par le président de son bureau politique, Khaled Mechaal, a rencontré, ce matin, le dimanche 3/1, le ministre saoudien des affaires étrangères, le Prince Saoud al-Fayçal, où les deux côtés ont discuté des développements concernant la scène palestinienne et la position envers la réconciliation.

Le mouvement du Hamas a renouvelé son insistance sur la sécurité des pays arabes et islamiques.

Dans une déclaration de presse écrite dont le centre palestinien d'information a reçu une copie, le membre du bureau politique du mouvement du Hamas, Ezzat el-Rachaq, a dit qu'une délégation du mouvement a rencontré le ministre saoudien des affaires étrangères, en discutant de la situation palestinienne, notamment les efforts prodigués pour réaliser l'entente palestinienne interne et les menaces sionistes, dont la poursuite des agressions, la judaïsation de la ville occupée d'al-Aqsa et les tentatives pour diviser la mosquée sainte d'al-Aqsa.

Il a déclaré que cette visite vient dans le cadre d'une tournée de la direction du mouvement à plusieurs pays arabes et islamiques, dont la Syrie, le Yémen, l'Iran et la Libye.

La délégation du Hamas a discuté avec les responsables saoudiens sur les positions stables du mouvement envers le consensus palestinien.

D'autre part, el-Rachaq a renouvelé que son mouvement soutient la sécurité des pays arabes et islamiques en niant les nouvelles qui parlent autour des relations de son mouvement avec les groupes de Houthi et qu'il veut la stabilité et la sécurité du Yémen.

Finalement, il a ajouté que le Hamas appelle à des efforts arabes plus actifs pour faire face aux agressions sionistes et soutenir la lutte du peuple palestinien, ainsi que la levée du blocus sioniste imposé injustement contre plus d'un million et demi de palestiniens qui habitent dans la Bande de Gaza, depuis plus de 4 ans successifs.

Israel se comporte en « enfant gâté », affirme Riyad

04/01/2010
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Fayçal, a estimé samedi que le manque de pressions internationales sur Israël pour une reprise des négociations de paix avec les Palestiniens permettait à ce pays de se comporter en « enfant gâté ». « On ne peut pas arriver à une solution avec le traitement de faveur dont bénéficie Israël », a déclaré le prince Saoud lors d'une conférence de presse avec son homologue turc, Ahmet Davutoglu, qui effectue actuellement une visite à Riyad. Les deux ministres ont estimé qu'Israël devait arrêter toute activité de colonisation pour permettre une reprise du processus de paix. « Il doit y avoir un gel de la colonisation dans tous les territoires occupés et notamment à Jérusalem-Est », a insisté M. Davutoglu.
http://www.lorientlejour.com/category/Moyen-Orient+et+International/article/642510/Israel_se_comporte_en_%3C%3C+enfant_gate+%3E%3E%2C_affirme_Riyad.html

Manifestations massives à Jérusalem et Tel-Aviv

04/01/2010
Des centaines d'employés des mairies des implantations juives de Cisjordanie occupée ont manifesté hier à Jérusalem devant les bureaux du Premier ministre, Benjamin Netanyahu, pour dénoncer le moratoire de 10 mois sur la colonisation décidé par son gouvernement. « Nous continuerons à accomplir notre mission sioniste, de construire sur la terre d'Israël, avec ou sans l'aide du gouvernement », a affirmé Dany Dayan, président du Conseil de Yesha, principal organisme représentatif des colons de Cisjordanie. La veille, samedi, plusieurs centaines de militants pacifistes israéliens, arabes et juifs, avaient défilé dans le centre de Tel-Aviv pour protester contre le blocus imposé par Israël à la bande de Gaza. Les manifestants ont scandé « liberté et justice pour Gaza ».
http://www.lorientlejour.com/category/Moyen-Orient+et+International/article/642509/Manifestations_massives__a_Jerusalem_et_Tel-Aviv.html

La réconciliation Hamas-Fateh est en bonne voie, affirme Mechaal

04/01/2010

Le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, et le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Fayçal, lors de leur entrevue hier à Riyad. Paul Handley/AFP
Le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, et le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Fayçal, lors de leur entrevue hier à Riyad. Paul Handley/AFP
Proche-Orient Le chef du bureau politique du Hamas a été reçu hier à Riyad, gage d'une volonté de médiation de l'Arabie saoudite.

Le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, a déclaré hier que son organisation était en passe de sceller sa réconciliation avec le Fateh, faction palestinienne rivale. « Nous avons fait de grands pas vers la réconciliation. Nous en sommes désormais dans les dernières étapes », a dit M. Mechaal au ministère saoudien des Affaires étrangères, après avoir rencontré des responsables saoudiens à Riyad.
L'Égypte, en vertu d'un plan visant à réconcilier le Hamas et le Fateh du président palestinien Mahmoud Abbas, propose la tenue d'élections présidentielle et législatives en juin en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. « Nous sommes tous convenus que la signature (de la réconciliation) aurait lieu au Caire », a ajouté M. Mechaal. Azzam al-Ahmad, un responsable du Fateh, a déclaré à Reuters que son mouvement avait déjà accepté la proposition égyptienne et que la balle était dans le camp du Hamas. « Nous exhortons le Hamas à signer cet accord afin que nous puissions commencer à l'appliquer », a-t-il dit. Un autre officiel du Fateh, Zeyad Abou Eïn, a estimé pour sa part que M. Mechaal n'avait rien proposé de nouveau en se rendant à Riyad. « Le peuple palestinien et le Fateh attendent que le Hamas signe le document égyptien afin que la réconciliation puisse être scellée », a-t-il dit.
Après avoir rencontré le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Fayçal, M. Mechaal a dit son espoir de voir Riyad continuer à jouer un rôle pour que les Palestiniens demeurent unis. « Nous espérons que le royaume jouera un rôle particulier, aux côtés de l'Égypte et des pays arabes, pour être garant de la réconciliation palestinienne, et nous aider à unifier la position des Palestiniens et à inciter les Arabes à faire face à des autorités israéliennes qui n'en font qu'à leur tête », a-t-il dit.
Le Hamas a pris le contrôle de la bande de Gaza par les armes en juin 2007, reléguant depuis lors l'influence du Fateh à la seule Cisjordanie. L'Arabie saoudite soutient le Fateh, aussi une visite de membres du Mouvement de la résistance islamique, et à plus forte raison de Khaled Mechaal, était-elle le gage d'une volonté de médiation de Riyad. La visite de M. Mechaal fait suite à une visite d'État de Mahmoud Abbas dans le royaume wahhabite. L'émissaire de paix du président américain Barack Obama, George Mitchell, doit lui aussi se rendre à Riyad dans les jours à venir. Le Hamas, qui a le soutien de l'Iran, ne reconnaît pas le droit à l'existence de l'État d'Israël et s'oppose à la stratégie du Fateh consistant à vouloir négocier un accord de paix définitif. Le Hamas n'appartient pas à l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), qui a été créée en 1964 et fait figure, aux yeux de la communauté internationale, d'organisme représentatif des Palestiniens.
D'autre part, M. Abbas s'est rendu hier en Égypte pour discuter d'une relance du processus de paix au Proche-Orient sur fond de divergences avec Israël concernant sa politique de colonisation. Le porte-parole de M. Abbas, Nabil Abou Roudeina, a précisé que MM. Abbas et Moubarak doivent se rencontrer dans la station balnéaire de Charm el-Cheikh, sur le littoral de la mer Rouge. Cette rencontre fait suite à celle du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, cette semaine au Caire avec M. Moubarak. En outre, vendredi, M. Abbas avait indiqué que les Palestiniens pourraient reconsidérer leurs relations avec Israël en matière de sécurité, en Cisjordanie, si les forces israéliennes continuaient de mener des opérations unilatérales comme celle du 26 décembre dans laquelle trois militants ont été tués. Il n'a pas précisé dans quelle mesure il pourrait réduire les rapports avec Israël. De son côté, le chef de la diplomatie israélienne, Avigdor Lieberman, a mis en doute hier la représentativité de M. Abbas. « Notre partenaire palestinien Abou Mazen (surnom de M. Abbas) est problématique. Représente-t-il tout le peuple palestinien ? Il est clair qu'il ne représente pas (la bande de) Gaza et que sa légitimité en Cisjordanie est mise en doute », a déclaré M. Lieberman dans une interview à la radio publique israélienne.


Dexia ne veut plus financer les colonies israéliennes

Publié le 3-01-2010

Les luttes menées en Belgique* et en France** dans le cadre de la campagne BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) contre Israël portent leurs fruits puisque la bangue belgo-française DEXIA annonce ne plus vouloir continuer à prêter de l’argent aux colons israéliens. (article dans le journal belge Le Soir, relayé par RTL Infos).

Article publié par RTL Info :

"Dexia déclenche la colère des colons israéliens

Les colons israéliens, qui ne cessent de s’implanter en Cisjordanie, accusent Dexia de céder à des pressions antisémites car elle refuse désormais de leur accorder des prêts. La banque justifie cela car en cas d’accord de paix et de démantèlement des colonies, le remboursement de ces prêts ne serait plus garanti.

Les colons accusent Dexia Israël d’avoir cédé aux "campagnes de pressions antisémites et anti-israéliennes organisée en Europe et plus particulièrement en Belgique". Ces ballons étaient distribués en mai 2009 devant le siège bruxellois de Dexia par 55 associations regroupées dans la plateforme "Israel colonise et Dexia finance". Mais est-ce pour autant de l’antisémitisme et la banque introduirait-elle des critères idéologiques dans sa logique économique ?

Le Yesha (le lobby des colons israéliens) et les élus des implantations de Cisjordanie ont lancé une campagne contre Dexia Israël, filiale du groupe bancaire franco-belge. Ils accusent de désormais refuser d’accorder des prêts aux colonies alors qu’elle le faisait régulièrement par le passé, rapporte ce samedi le journal Le Soir.

Dexia parle argent

Dexia Israël leur causerait donc un "énorme préjudice en les empêchant de se développer normalement". Selon le président du comité des conseils régionaux, Shmouel Reifman, la filiale de Dexia a cessé d’accorder des prêts aux colonies par crainte qu’un futur accord de paix avec les Palestiniens entraîne leur démantèlement et les rende insolvables.

Les colons parlent antisémitisme

"Ses propriétaires européens plient le genou devant la campagne de pressions antisémites et anti-israéliennes organisée en Europe. Plus particulièrement en Belgique, où le lobby pro-palestinien est puissant", a pour sa part affirmé au quotidien le président du Yesha, Dany Dayan. Une accusation à laquelle Dexia Israël répond par un "vague communiqué" affirmant "n’agir que sur la base de considérations économiques", selon eux.

Née du rachat en 2001 de la Bank Haotzar hachilton hadekomi, un petit établissement spécialisé dans les prêts aux pouvoirs municipaux et régionaux, Dexia Israël a nettement amplifié cette activité depuis lors. En 2009, elle contrôlait 39% du marché des prêts aux entités locales."

Source : http://www.rtlinfo.be/info/economie/monde/297233/dexia-declenche-la-colere-des-colons-israeliens

** http://www.europalestine.com/spip.php ?article4028&var_recherche=dexia

** http://www.europalestine.com/spip.php ?article3982&var_recherche=dexia

* http://www.europalestine.com/spip.php ?article4410&var_recherche=dexia

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