jeudi 7 avril 2011

Palestine Solidarité

Mercredi 6 Avril 2011 à 20h00
MJC Nelson Mandela

Initiatives citoyennes à la MJC Nelson Mandela de Fontaine
Dans le cadre des mercredis consacrés aux initiatives citoyennes, l'association France Palestine Solidarité présentera la situation en Palestine et les conséquences du blocus maritime de Gaza sur la population. Ce blocus dure depuis 3ans et demi.
Une campagne nationale soutenue par plus de 40 oraganisations associatives, syndicales, politiques est en marche pour financer un bateau français qui partira fin mai avec la flottille de la liberté afin de répondre à la crise humanitaire que subissent 1 million et demi de Palestiniens de Gaza.
Pour s'associer à cette campagne les participants pourront faire des bateaux en papier qui seront vendus au marché de Fontaine le 10 avril.
Date: 
Mercredi, 6 Avril, 2011 - 20:00 - 22:00
Lieu: 
A la MJC Nelson Mandela
Tarifs proposés: 
Entrée libre
Réservation et renseignements
Nom: 
MJC Nelson mandela
Tél: 
0476535328
Adresse: 
39 avenue du vercors 38600 Fontaine 

Nos bateaux à Gaza

Gaza - 6 avril 2011
Huwaida Arraf est militante pour les droits de l'homme et avocate. Elle est co-fondatrice du Mouvement International de Solidarité (ISM) et préside actuellement le Free Gaza Movement.
Aux premières heures du 31 mai 2010, la Flottille de la Liberté, un convoi civil constitué de six navires transportant environ 10.000 tonnes d'aide et près de 700 personnes venant de 35 pays, a fait route pour la Bande de Gaza et a subi une attaque mortelle des forces israéliennes. Bien que notre intention ait été de livrer les fournitures que nous transportions, qui consistaient essentiellement en matériaux de reconstruction, matériel pédagogique et équipement médical dont Israël interdit l'entrée à Gaza, nous étions plus soucieux de mettre fin à la politique illégale de blocus qui laisse les Palestiniens de Gaza dans le besoin de ce type d'aide humanitaire. La Flottille de la Liberté n'était pas notre première tentative d'affronter et de défier le blocus naval d'Israël et le verrouillage total de Gaza, et elle ne sera pas la dernière.
Nos bateaux à Gaza
Le travail avait commencé quelques années avant, sur une échelle beaucoup plus modeste, lorsqu'une poignée d'individus consternés par le manque de volonté des États à faire pression sur Israël pour qu'il mette fin à sa persécution délibérée des Palestiniens de Gaza, a commencé à discuter sur ce que des gens ordinaires pouvaient faire. "Envoyons un bateau à Gaza", a suggéré un camarade activiste d'ISM-Australie. De prime abord, l'idée a semblé plutôt ridicule, car non seulement le blocus de Gaza était organisé par l'une des plus puissantes armées au monde, mais de plus nous n'avions pas de bateau, pas d'argent pour en acquérir un, et pas la moindre idée sur le sujet ! Cependant, l'optimisme et peut-être un peu de naïveté aidant, nous nous sommes mis à discuter de la manière dont nous pourrions y arriver.
Un an et demi plus tard, le 22 août 2008, 44 personnes de 17 pays sont montées à bord de deux petits bateaux de pêche à Chypre pour mettre le cap sur Gaza. De façon réaliste, aucun d'entre nous n'espérait atteindre Gaza. Ce que nous comptions faire, cependant, c'était prouver que la politique de verrouillage d'Israël n'avait rien à voir avec des questions de sécurité, comme l'affirment les dirigeants israéliens. Nos bateaux de pêche enregistrés sous pavillon grec au départ de Chypre, contrôlés par les autorités portuaires chypriotes, transportant des prothèses auditives, des ballons et des gens d'origines religieuses, culturelles et professionnelles diverses, allant de 21 à 81 ans, dont une religieuse catholique, un député grec, un professeur israélien et la belle-sœur de Tony Blair, ne constituait en aucune manière une menace pour Israël. Si Israël nous arrêtait, ce ne serait pas pour des raisons de sécurité, mais bien pour imposer l'isolement et l'étranglement de la population de Gaza.
Avant de voyager en Méditerranée, nous avons passé en revue et préparé tous les scénarios qui nous venaient à l'esprit, y compris être coulés, pris sous des tirs, bloqués et arrêtés. Nous réalisions parfaitement que notre entreprise était dangereuse. Aucun d'entre nous ne voulait être un héros ; aucun d'entre nous ne voulait mourir ; mais en même temps, nous avions foi en la nécessité et la force de ce que nous entreprenions.
Le 23 août 2008, après 32 heures en mer et plus de 30 passagers malades, y compris notre médecin et deux infirmières, nos deux petits bateaux furent les premiers à atteindre les côtes de Gaza en plus de 41 ans. Des dizaines de milliers de Palestiniens transportés de joie s'étaient rués sur le port pour nous accueillir dans une manifestation d'excitation, d'honneur et de reconnaissance qui fut une leçon d'humilité ; nous aurions dû... le monde aurait dû le faire depuis des années. Le mantra est devenu "nous avons brisé le siège." Mais nous n'avons pas brisé le siège. Nous l'avons surmonté, une fois. Nous savions que pour mettre vraiment fin à l'étranglement de Gaza par Israël, nous devrions répéter notre voyage encore et encore, jusqu'à ce que nous ouvrions effectivement une route maritime vers Gaza. C'est ce que nous avons promis au peuple de Gaza que nous ferions.
D'octobre à décembre 2008, le Free Gaza Movement, comme nous avons décidé de l'appeler, a organisé quatre autres voyages par mer à Gaza, emmenant des médecins, des avocats, des journalistes, des professeurs, des députés, un prix Nobel, et d'autres qui ne pouvaient entrer à Gaza par d'autres moyens. Nous avons aussi fait sortir de Gaza des dizaines de Palestiniens qui avaient besoin de voyager pour des raisons médicales ou pour saisir des opportunités d'études dans des pays étrangers, mais qui en étaient empêcher par Israël. Sur nos bateaux, pour la première fois, des Palestiniens ont pu sortir et rentrer librement dans leur patrie. Il commençait à nous sembler que nous avions de fait ouvert une route maritime pour Gaza, même si, malheureusement, nous étions les seuls à l'utiliser. Nous n'avions pas encore réussi à convaincre des organes plus importants, en particulier des États ou des ONG internationales aux ressources plus conséquentes que les nôtres, à nous rejoindre.
Deux jours après qu'Israël ait lancé ses attaques aériennes massives, préludes à son attaque mortelle de 22 jours sur la Bande de Gaza, le Free Gaza Movement a organisé une mission d'urgence à Gaza. Sur un petit yacht de 22 mètres que nous avons baptisé le Dignity, nous avons chargé trois tonnes de fournitures médicales et 16 bénévoles, dont quatre médecins, un membre du parlement chypriote, une ancienne membre du congrès des États-Unis et des journalistes de CNN et d'Al-Jazeera. Le 30 décembre 2008, dans la nuit noire et à 90 miles au large de Gaza, un navire de guerre israélien a éperonné trois fois notre petit bateau et l'a laissé là, au risque qu'il coule. Avec l'aide des gardes-côtes libanais, notre capitaine a pu manœuvrer le Dignity en toute sécurité jusqu'au port de Tyr, au sud Liban. Deux semaines après, nous avons réussi à obtenir un autre bateau, un ferry que nous avons baptisé le Spirit of Humanity, sur lequel nous avons chargé davantage d'aide médicale et de bénévoles. A nouveau, les bateaux de guerre israéliens nous ont attaqués, au milieu de la nuit, dans les eaux internationales. Cette fois, au lieu d'éperonner directement notre bateau, ils l'ont pratiquement fait chavirer, rendant impossible la poursuite du voyage.
Le 29 juin 2009, nous avons lancé notre huitième mission à Gaza. 21 militants pour les droits de l'homme transportant neuf tonnes de fournitures, en particulier des matériaux de reconstruction, des fournitures scolaires, des médicaments et des jouets. Le 30 juin, nous avons été encerclés par les forces navales israéliennes qui ont exigé (par radio VHF) que nous retournions à Larnaca, Chypre, ou bien ils ouvriraient le feu. Nous n'avons pas obtempéré. Nous avons continué notre route sur Gaza, affirmant tout au long du voyage que nous étions des civils non armés et que les forces israéliennes ne devaient pas faire usage de violence contre nous. Après avoir surveillé notre petit bateau pendant des heures, désactiver notre système de navigation pendant la nuit et interférer deans notre matériel de communication, des commandos israéliens armés et masqués ont brutalement arraisonné notre bateau et l'ont réquisitionné.
Après qu'Israël ait intercepté avec violence nos trois dernières tentatives d'atteindre Gaza par mer, nous avons décidé que nous devions changer de stratégie. Certains ont commencé à se poser des questions sur l'utilité de continuer à envoyer des bateaux à Gaza, mais pour nous, abandonner n'était pas une option. Nous avons refusé de nous rendre à la conclusion que la force militaire et la violence sont plus fortes que les droits pour lesquels nous luttons. Mais pour vaincre la détermination apparente d'Israël à mettre fin à nos efforts, nous devions rendre le coût de l'arraisonnement de nos bateaux beaucoup plus élevé pour Israël. C'est pourquoi, au lieu d'affrêter un petit bateau avec quelques dizaines de gens à bord et un montant symbolique de fournitures pour Gaza, il fallait envoyer une flottille.
De juillet 2009 à mai 2010, nous avons travaillé à monter cette flottille. Notre travail fut non seulement dirigé sur l'acquisition de navires et de cargaisons, mais aussi sur la construction d'un soutien et d'une implication de masse à travers le monde. Du Chili à l'Afrique du Sud, d'Inde aux États-Unis, nous avons rencontré des groupes, des syndicats, des parlementaires, des journalistes et autres individus pour leur demander d'appuyer nos efforts non violents et d'action directe pour mettre fin à l'étranglement de Gaza par Israël. Au niveau de la base populaire, les gens ont très fortement soutenu notre projet. Notre plus gros problème était de réunir les fonds pour sa réalisation. Il est compréhensible qu'on puisse préférer donner de l'argent pour l'aide humanitaire plutôt que pour l'action politique et le travail dans lesquels nous nous étions engagés. Parce que, même si nous voulions absolument emmener sur nos bateaux des fournitures à Gaza, notre mission n'était pas une mission d'aide humanitaire. Les Palestiniens ne veulent pas vivre de charité, et cela ne nous intéresse pas de perpétuer le cycle de la dépendance à l'aide qui convient certainement à Israël. Notre objectif est de combattre les politiques qui obligent les Palestiniens à avoir recours à l'aide humanitaire.
Nous avions espéré lancer la flottille dans les deux mois qui ont suivi l'attaque sur le Spirit of Humanity, mais six mois plus tard, nous n'avions toujours pas les ressources financières nous permettant d'acquérir les bateaux dont nous avions besoin. Ensuite, l'ONG turque "Insani Yardim Vakfi" (IHH) a promis des bateaux pour notre flottille. Quelques semaines plus tard, la "European Campaign to End the Siege of Gaza", "Ship to Gaza Greece", and "Ship to Gaza Sweden" nous ont rejoints. En mai 2010, nous avions notre flottille.
Le 30 mai 2010, six navires se sont donnés rendez-vous au milieu de la Méditerranée et ont fait route sur Gaza. Un septième bateau, un cargo que nous avions appelé le Rachel Corrie, était resté en arrière pendant cinq jours à cause de tentatives de sabotage. Au milieu de la nuit, la marine israélienne nous a contactés par radio et a exigé que nous rebroussions chemin. Nous avons répondu que notre intention était d'aller à Gaza, que nous étions des civils non armés transportant seulement de l'aide humanitaire, et que nous ne constituions aucune menace pour Israël, donc "ne faites pas usage de la force contre nous." Le monde entier a vu ce qui s'est passé ensuite. Israël a lancé une attaque militaire à grande échelle contre la Flottille de la Liberté alors que nous étions toujours dans les eaux internationales. Des commandos masqués et armés nous ont abordés, depuis des hélicoptères et des vedettes, à coup de grenades assourdissantes, de taser, de chiens d'attaque et de balles pour attaquer et s'emparer des six bateaux. La première chose que les soldats ont cherché ensuite fut notre équipement de communication. Notre équipement par satellite a été brouillé et nos téléphones et caméras confisqués. Puis nous avons tous été détenus pratiquement au secret pendant plusieurs jours, le temps que les Israéliens répandent leur propre version des événements. 9 de nos collègues avaient été tués par balle et 50 autres avaient été blessés cette nuit-là ; Israël a essayé de raconter au monde que nos bateaux transportaient des armes et que les soldats israéliens avaient dû se défendre. En même temps, Israël n'a jamais voulu nous rendre nos prises de vue et a refusé de coopérer avec la Mission indépendante d'enquête (Independant fact finding mission - FFM) commissionnée par le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies pour enquêter sur le raid contre la Flottille. Le rapport final de la FFM contredit toutes les allégations d'Israël, et a même trouvé des preuves suffisantes pour engager des poursuites pour homicide volontaire, torture et dommages corporels graves et intentionnels.
Nous ne sommes pas arrivés à Gaza cette nuit-là, mais le monde a enfin vu la violence et l'irrationalité d'Israël, et la nécessité que le verrouillage de Gaza prenne fin. La condamnation mondiale des actions d'Israël ainsi que des exigences fortes venant d'Europe ont obligé Israël à assouplir le blocus. Même si cet assouplissement n'est que de façade, le fait que cette action civile ait créé la pression nécessaire sur Israël pour faire cette démarche est important.
Si les autorités israéliennes pensaient que leur attaque briserait notre élan et nous effraierait, elles se sont trompées. La brutalité de l'attaque contre notre flottille a provoqué un élargissement du soutien pour notre sorte d'action directe non violente. Nous sommes en pleine organisation de la Flottille de la Liberté 2, qui doit prendre la mer à la fin du mois de mai 2011, avec deux fois plus de navires que l'année dernière. Nous sommes plus nombreux et plus forts, maintenant que des dizaines de nouvelles organisations et des milliers de gens se sont joints à notre travail. Nous ne naviguerons pas seulement pour Gaza car ce qui se passe à Gaza n'est pas séparé des violations des droits de l'homme, des lois racistes et des politiques oppressives perpétrées par Israël en Cisjordanie , à Jérusalem et même à l'intérieur des frontières de 1948. Nous naviguerons pour affronter et défier un régime d'apartheid dans son ensemble qui doit être démantelé par l'action citoyenne.
Naviguer, marcher, boycotter, désinvestir... nos actions individuelles et collectives sont une force puissante à laquelle même le plus oppressif des régimes ne peut résister. C'est pourquoi, tous les jours, demandons-nous, "Qu'est-ce que je fais pour créer le monde dans lequel je veux vivre, dans lequel je veux que mes enfants vivent ?" Et tout comme les deux petits bateaux de pêche qui sont passés malgré l'armée israélienne, soyons convaincus que nous pouvons y arriver.
Traduction : MR pour ISM

Quel nom pour notre bateau ?

publié le mercredi 6 avril 2011
Un bateau français pour Gaza

 

Les services du Renseignement militaire israélien surveillent les organisations de gauche étrangères

publié le mercredi 6 avril 2011
Barak Ravid

 
Les officiers des forces défense israéliennes déclarent qu’ils ont mis sur pied un département spécial ayant pour but de surveiller les groupes de gauche que l’armée suspecte de vouloir déligitimer Israël. Le département travaillera en collaboration avec les ministères du gouvernement.
Selon les responsables politiques et les officiers des forces de défense israéliennes, le Renseignement Militaire réunit des informations sur les organisations de gauche à l’étranger, que l’armée soupçonne de vouloir mettre en cause la légitimité d’Israël .
D’après les sources, la division de recherche du Renseignement Militaire aurait créé un service spécial il y a quelques mois qui surveillerait les organisations de gauche et travaillerait en relation avec les ministères du gouvernement. Ces dernières semaines, le chef du nouveau service aurait pris part à des discussions dans le bureau du Premier Ministre concernant la réponse à apporter à l’arrivée possible en mai, d’une flotille en route pour Gaza.
Haaretz rapporte que l’entreprise, mal définie et sur une échelle non déterminée à ce jour, que les FDI présentent comme une réponse aux convois maritimes destinés à briser le blocus de Gaza, amènent certains représentants du Ministère des affaires étrangères à penser que l’armée va trop loin.
« Nous ne savons pas nous-mêmes comment définir le mot « délégitimisation », a déclaré un représentant du ministère. C’est une définition très abstraite. » Est-ce que les flotilles pour Gaza ont pour but de déligitimiser Israël ? Est-ce que critiquer la colonisation constitue un acte de déligitimisation ? On ne voit pas en quoi l’implication du Renseignement Militaire là dedans pourrait faire avancer les choses dans le bon sens. ». Les responsables du renseignement militaire déclarent que cette initiative est à interpréter comme une recrudescence des efforts mondiaux pour déligitimiser Israël et remettre en question son droit à exister.
« L’ennemi change, tout comme la nature du combat, et nous devons stimuler ce qui est entrepris dans ce domaine. », a déclaré un responsable du Renseignement militaire. » Travailler sur cette question suppose l’établissement d’une distinction claire entre une critique légitime de l’Etat d’Israël d’une part, et les efforts menés pour lui nuire et remettre en cause son droit à exister d’autre part. »
Le nouveau service du MI va surveiller les groupes occidentaux impliqués dans le boycott d’Israël, dans le désinvestissement et la demande de sanctions contre lui. Le nouveau service va aussi réunir des informations sur les groupes qui tentent de formuler des accusations de crime de guerre ou autres contre des hauts responsables israéliens, et recherchera les liens possibles entre de telles organisations et les groupes terroristes. Le MI a décidé de créer le service à la suite d’une enquête sur l’arraisonnement tragique en mai 2010 d’un convoi maritime ayant pour objectif de briser le siège de Gaza, selon laquelle les services de renseignement du pays n’avaient pas été capables de fournir les informations qui auraient pu aider Israël à se préparer suffisamment à la violente résistance que les commandos ont rencontrée à bord du Mavi Marmara.
Selon des sources, les autres domaines de responsabilité du services ne sont pas encore clairement définies, on pense toutefois qu’ entre autres objectifs, il y aurait le repérage de sujets que les autre services israéliens du renseignement voudraient interroger.
« La qualité des données du renseignement sur les groupes se donnant pour but de déligitimer Israël s’est améliorée, quant à la quantité d’informations collectées, elle a augmenté ces derniers mois, a déclaré un responsable dans le bureau du premier ministre ».
« Il existe une demande pour une telle information ». Les hauts responsables ont besoin d’informations sur ces sujets, ces dernières n’ont pas été disponibles dans le passé parce que la communauté du Renseignement souffrait d’un manque de sensibilisation sur ces sujets . Le nouveau service aura pour but de réunir des informations et de mener des recherches pour le Ministère des affaires étrangères ainsi que d’autres ministères du gouvernement.
Le service bénéficie du soutien de Yossi Kuperwasser, directeur général du Ministère des Affaires Stratégiques et d’un ancien chef de la division stratégique du MI. Au cours de la seconde intifada, il a pressé la communauté du Renseignement de s’impliquer dans une sensibilisation du public à grande échelle ainsi que dans les questions diplomatiques, ce qui lui a valu d’être critiqué par d’autres agents du MI.
publié par Haarets
Traduction : JM, Afps.

Washington juge "positif" le plan de paix d'ex-responsables israéliens

06/04/2011 | 22h30
Les Etats-Unis ont jugé mercredi "positif" un nouveau plan de paix entre Israël et les Palestiniens présenté par d'ex-responsables israéliens classés à gauche du gouvernement Netanyahu.
"Nous accueillons favorablement toutes les idées" pouvant aider à la paix, et ce plan "pourrait constituer une contribution positive", a commenté Mark Toner, un porte-parole du département d'Etat.
Le plan, baptisé "Initiative de paix israélienne", a été lancé mercredi par une cinquantaine de personnalités israéliennes indépendantes. Il prévoit le retrait de Jérusalem-Est et du plateau syrien du Golan, ont indiqué les médias israéliens.
Israël considère officiellement l'ensemble de Jérusalem comme sa capitale indivisible.
Le plan, qui tient compte des révoltes arabes, suggère aussi la mise en place de "mécanismes de sécurité régionale" et de projets de coopération économique entre Israël et les Palestiniens.
Les pourparlers israélo-palestiniens avaient repris le 2 septembre 2010 à Washington, pour s'interrompre le 26 septembre à l'expiration d'un moratoire israélien sur les nouvelles constructions dans les colonies juives de Cisjordanie. Les Etats-Unis avaient reconnu le 7 décembre l'échec de leurs efforts pour obtenir un nouveau moratoire.
"Nous restons engagés à obtenir un accord", a assuré mercredi M. Toner, et "nous soutenons aussi l'objectif de relations pleinement normalisées entre Israël et le monde arabe". 

Raid meurtrier à Port-Soudan : Khartoum accuse Israël

07/04/2011
Les autorités soudanaises ont accusé hier Israël d'avoir mené un raid aérien sur un véhicule qui a fait deux morts la veille à Port-Soudan, sur la mer Rouge. « Nous avons des éléments indiquant que l'attaque a été menée par Israël. Nous sommes absolument sûrs de cela. Mais nous n'en connaissons pas la raison », a déclaré à Khartoum le ministre soudanais des Affaires étrangères, Ali Ahmad Karti. « Ces derniers jours, il y a eu des allégations d'Israël comme quoi le Soudan soutient des groupes islamistes. Ce n'est pas vrai. Quand Israël fait de telles allégations, il tente de justifier ce qu'il a fait hier », a-t-il poursuivi. À une question portant sur l'identité des deux victimes, il a répondu : « Nous ne savons pas qui étaient ces gens. Ils étaient juste des citoyens soudanais revenant de l'aéroport. » Des journaux israéliens ont également imputé ce raid à l'armée israélienne. « Les appareils venus de la mer Rouge ont liquidé des hommes recherchés en Afrique », a rapporté le quotidien à grand tirage Yediot Aharonot, en citant prudemment des médias étrangers. Israël HaYom, quotidien gratuit proche du Premier ministre Benjamin Netanyahu, a annoncé : « Liquidation au Soudan. » En Israël, l'armée comme le ministère des Affaires étrangères sont restés muets sur la question. Des raids similaires en 2009 au Soudan contre de présumés convois d'armes à destination du mouvement islamiste Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, avaient été attribués à l'armée israélienne. Le Hamas entretient des liens étroits avec Khartoum.

Des personnalités israéliennes lancent un plan de paix

07/04/2011
Un nouveau plan de paix a été présenté hier par une cinquantaine de personnalités israéliennes indépendantes, ont indiqué les médias israéliens.
Ce plan, baptisé « Initiative de paix israélienne », est soutenu par d'ex-chefs du Mossad (Danny Yatom) et du Shin Beth (Yaacov Perry et Ami Ayalon), les services secrets intérieur et extérieur, un ex-chef d'état-major (Amnon Lipkin-Shahak), des universitaires, des hommes d'affaires, l'ex-numéro un travailliste Amram Mitzna et Youval Rabin, fils du défunt Premier ministre Yitzhak Rabin. Il se veut une réponse à l'Initiative de paix arabe jusqu'ici ignorée par Israël. Ce plan lancé en 2002 par l'Arabie saoudite, entériné par la Ligue arabe, offre à Israël une normalisation de ses relations avec l'ensemble des pays arabes en échange d'un retrait total des territoires occupés depuis 1967 et d'une « solution juste » pour les réfugiés palestiniens.
Selon le plan des personnalités israéliennes, des compensations financières seraient versées aux réfugiés palestiniens, dont un certain nombre pourraient retrouver leurs foyers perdus après la création d'Israël. Israël devrait en outre accepter un État palestinien dans la bande de Gaza et pratiquement toute la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est (occupée et annexée en 1967), hormis les nouveaux quartiers de colonisation juive érigés dans ce secteur. Ce plan prévoit également un retrait israélien de l'ensemble du Golan, en échange de garanties sécuritaires régionales et de projets économiques. Les dernières négociations entre la Syrie et Israël se sont déroulées par l'intermédiaire de la Turquie, mais ont été suspendues fin 2008 après l'offensive israélienne sanglante à Gaza ( « Plomb durci » ).
« Israël ne peut pas continuer à éviter de répondre qu'il est prêt à discuter d'une paix globale », a déclaré Yaacov Perry lors d'une conférence de presse à Tel-Aviv pour le lancement de ce plan et dont les propos étaient diffusés par la radio publique. « Aucun d'entre nous ne s'imagine que nous allons vers un traité et que nous arriverons à la paix du jour au lendemain », a-t-il ajouté. « Le temps presse, notre statut dans le monde se dégrade », a prévenu Moshe Shahal, ex-ministre travailliste, ajoutant : « Nous sommes perçus non seulement comme rejetant la paix mais comme ceux qui sont déterminés à ne pas conclure d'accord. »
« Nous encourageons les voix qui appellent à la fin de l'occupation. La présence de telles voix en Israël est importante pour nous », a déclaré le négociateur palestinien Mohammad Chtayyeh, interrogé sur cette initiative par la radio officielle Voix de la Palestine. « Néanmoins, je ne pense pas qu'il y ait besoin de nouvelles idées », a-t-il ajouté. « La solution est très claire et passe par la fin de l'occupation, l'établissement d'un État palestinien indépendant et le droit au retour des réfugiés », a-t-il conclu.
(Source : AFP)

Soudan : Tel-Aviv est responsable de l’attaque par missile

07 Avril 2011 06:13 
IRIB-Khartoum a considéré le régime sioniste comme responsable de l’attaque par missile contre le Soudan.
Selon Reuters, le ministre soudanais des Affaires étrangères, Ali Ahmad Karti, a déclaré, aujourd’hui, qu’Israël est impliqué dans l’attaque d’hier, contre un véhicule, à Port-Soudan, dans la province de « la mer Rouge» qui a causé la mort de 2 personnes, tandis qu'un des responsables gouvernementaux avait, auparavant, déclaré qu’un avion inconnu avait attaqué ce véhicule. L’AFP, citant Karti, a rapporté que le Soudan aurait disposé des preuves qui rétablissent que ces attaques ont été effectuées par Israël, mais qu’ils en ignorent la raison. Selon ce même rapport les journaux sionistes, dans leurs éditions d’aujourd’hui, ont reconnu l’armée sioniste responsable de l’attaque de mardi.
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Raid aérien israélien contre la bande de Gaza

07 Avril 2011 09:39 
IRIB - Les avions de chasse du régime sioniste ont une nouvelle fois attaqué la bande de Gaza. Selon les sources d’information, les chasseurs de l’armée du régime sioniste ont attaqué ce jeudi matin aux missiles la localité d’Azzaytoun à Gaza, blessant un Palestinien. Dans un autre raid à l’est de la bande de Gaza, 4 autres Palestiniens ont été blessés. Malgré un cessez-le feu conclu il y a deux ans entre le régime sioniste et les groupes palestiniens basés dans cette région, ce régime poursuit toujours ses attaques barbares.
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Des étudiants américains boycottent Dichter, le qualifiant de criminel de guerre

[ 06/04/2011 - 11:59 ]
Washington – CPI
Des étudiants de l'Université de Boston aux Etats-Unis ont décrit l'ex-chef du Shin Bet sioniste et actuel membre de la Knesset sioniste du parti Kadima, Avi Dichter, comme étant un criminel de guerre, soulignant que son sort sera fixé au tribunal de La Haye.
Ces déclarations ont été tenues lorsque les étudiants ont boycotté un discours prononcé par Dichter dans cette université, le mardi 5/4, commençant à lancer des slogans contre Dichter en hébreu et en anglais, en lui disant : "ne vous inquiétez pas Dichter, nous nous retrouverons au tribunal de La Haye".
Ces étudiants appartient à une organisation qui se nomme "Etudiants pour la justice en Palestine" qui a distribué un discours écrit, montrant dans lequel que Dichter a ordonné de torturer les Palestiniens lorsqu'il était le directeur du Shin Bet, outre son ordre d'assassiner le leader palestinien, Salah Chahadah, dans un bombardement par un obus d'une demie tonne sur sa maison, conduisant à son martyre ainsi que celui de plus de 15 civils, dont 9 enfants.
L'une des étudiantes a déclaré : "Les criminels de guerre ont le droit de prononcer des discours dans notre université, mais les étudiants ont également le droit de dire qu'ils doivent être condamnés pour leurs crimes, et le message que nous voulons adresser est que Dichter doit sentir qu'il est une personne indésirable même à l'université de Boston dans laquelle étudient un grand nombre d'étudiants juifs".

4 Palestiniens blessés dans des nouveaux raids aériens contre la bande de Gaza

[ 06/04/2011 - 08:51 ]
Gaza – CPI
L'aviation de  l'occupation sioniste, a bombardé, après minuit, le mardi / mercredi, au moins deux zones à l'est et le nord de la bande de Gaza.
Le correspondent du Centre Palestinien de l'Information a déclaré que  l'aviation sioniste a pris en cible les zones Sha'af et Abed Rabbo, par  au moins deux missiles, notant qu'il avait entendu le bruit des explosions énormes secouant la ville.
Le correspondant a fait remarquer que les bombardements sionistes ont coïncidé avec le survol intensif des avions sionistes de types "F16", avions de combat, des hélicoptères et des drones chargés de roquettes, où les missiles ont ciblé une usine de plastique appartenant à la famille Hassanein.
Adham Abou Salmia, porte-parole de l'ambulance et d'urgence dans la bande de Gaza, a déclaré dans un communiqué: "Les bombardements des  forces occupantes israéliennes  sur les régions orientales de la ville de Gaza, ont causé 4 blessés, dont deux femmes, une enceinte", tout en décrivant que deux ont été moyennement touchés; ainsi deux autres ont été légèrement blessés, affitmant leur transfert  à l'hôpital "Shifaa" pour le traitement
Les dirigeants de l'ennemi sioniste menacent depuis des jours de la possibilité de lancer une nouvelle agression sur la bande de Gaza, au moment où plusieurs parties ont mis en garde contre toute tentative de l'occupation israélienne de perpétrer une nouvelle guerre contre le secteur assiégé, il y a presque 5 années consécutives.

Un ministre sioniste fait allusion à une prochaine agression contre Gaza

[ 06/04/2011 - 12:07 ]
Al-Nassera – CPI
Le ministre sioniste de la sécurité interne, Yitzhak Aharonovitch, a de nouveau menacé de mener une agression contre la Bande de Gaza, et il a confirmé que l'entité colonisatrice ne permettra pas l'extension de la zone de menace sécuritaire rencontrée, pour inclure la périphérie de Tel-Aviv, une allusion à sa prévision de lancer une guerre contre Gaza pour prévenir ces menaces.
Lors d'une visite mardi matin 5/4 dans la colonie de Sderot, au sud des territoires palestiniens occupés en 1948, le ministre sioniste a déclaré :  "Il faut frapper un coup douloureux que les Palestiniens ne pourront supporter", soulignant qu'"Israël" ne peut rester silencieuse face aux tirs de roquettes ou d'obus de mortier.
Les forces occupantes avaient tué durant le premier quart de l'année 2011 plus de 32 Palestiniens et et blessé plus de 120, dont la majorité sont des femmes et des enfants.
Il a conseillé les résidents de la colonie Sderot d'être prêts pour une autre série de confrontations avec les Palestiniens.

Raed Salah : notre stratégie est la fermeté et le défi face à l'occupation

[ 06/04/2011 - 12:39 ]
Amman – CPI
"Les lois racistes approuvées dernièrement par les autorités de l'occupation sioniste visent à expulser les Palestiniens qui habitent dans les territoires occupés en 1948 de manière individuelle et collectivement", a confirmé le Cheikh Raed Salah, président du mouvement islamique en Palestine occupée en 1948.
Dans ses déclarations de presse publiées le lundi 4/4, par le journal jordanien "al-Ghad", Salah n'exclut pas le déclenchement d'une troisième Intifada à cause de l'injustice et des agressions sionistes, en disant que "les dernières lois racistes sionistes visent à retirer la citoyenneté des leaders politiques dans les territoires palestiniens occupés en 1948, avec leur application par la force et les menaces de condamner la célébration de la commémoration de la Nakba de la Palestine".
Le Cheikh Raed Salah a démontré que cette loi représente un nouveau danger sans précédent, car elle crée une atmosphère très dangereuse autour du peuple palestinien dans les territoires palestiniens occupés en 1948.
Il a souligné que chaque palestinien a le sentiment que ces lois le poursuivent où qu'il se trouve, en montrant que les Palestiniens qui habitent dans les territoires palestiniens occupés ne possèdent qu'une seule voie qui est l'adoption de la stratégie de la fermeté et du défi face à l'occupation sioniste.
Il a considéré que le racisme sioniste est un racisme d'Etat et non de personnes, et que c'est une situation de stratégie raciste dans la société sioniste, et non un cas exceptionnel. Son existence coïncide avec le début de la création de l'entité sioniste et l'imposition des manifestations de l'agression raciale sioniste contre les Palestiniens avec le début de la Nakba, le 15 mai 1948.
Il est à noter que la Knesset sioniste a dernièrement approuvé la modification de la loi de la citoyenneté qui concerne plus d'un million et demi de Palestiniens qui habitent dans les territoires palestiniens occupés en 1948.

L'occupation met des dispositifs de brouillage dans les cellules des détenus causant du cancer

[ 06/04/2011 - 15:41 ]
Ramallah - CPI
Les  prisonniers dans les geôles de l'occupation sioniste ont exprimé leur crainte d'installation des dispositifs de brouillage qui causent du cancer,  par l'administration  pénitentiaire, sous des faibles prétextes.
«L'administration pénitentiaire installe des appareils électroniques sur les fenêtres des chambres des prisonniers, transmettant des vibrations qui perturbent le fonctionnement des appareils cellulaires que les sionistes pensent que les  prisonniers les utilisent, afin que les détenus ne peuvent d'en profiter", ont  souligné aujourd'hui les prisonniers dans une lettre envoyée de leur prison.
Les prisonniers ont mis en garde contre ces appareils sionistes, confirmant qu'ils causent du cancer à long terme; exigeant leur ârret immédiat.
Selon le témoignage de l'enfant prisonnier Moustafa Chehab Abdoul Wahab ,16 ans, du village Ibwein de Ramallah, qui souffre d'un cancer, ces  dispositifs ont contribué à la propagation de la maladie dans son corps, at-il dit, ajoutant que l'un de ces appareils avait été mis sur la fenêtre juste en face dans la salle n°8 de la section n°15, où il était, dans le la prison d'Ofer, Alors que ses collègues lui ont pris à l'intérieur de la chambre n°7, pour l'éloigner du dispositif après la détérioration de sa santé.

L'occupation ferme le passage de Karm Abou Salem, sous prétexte de "raisons sécuritaires"

[ 06/04/2011 - 18:04 ]
Gaza – CPI
L'ingénieur Raed Fatouh, président de la commission de l'acheminement des marchandises à la Bande de Gaza a confirmé que le côté sioniste lui a informé de sa décision de fermer le passage de Karm Abou Salem pour cet aujourd'hui, prétendant des raisons sécuritaires.
Dans un entretien exclusif au CPI, Fatouh a déclaré, le mercredi 6/4: "Nous ne connaissons pas les vraies raisons de la fermeture, hier le passage ne travaillait pas normalement, où les Sionistes l'ont fermé et ont interdit plus de 50 camions de le granchir .
A propos de la durée de la fermeture du passage, il a attiré l'attention qu'il a été informé pour cette journée seulement, considérant que la continuation de la fermeture aura des conséquences catastrophiques contre le secteur.
Les forces occupantes avaient fermé le passage d'al-Mintar "Carni" déjà préparé pour l'entrée de marchandises à la Bande de Gaza, transportant la ligne de l'acheminement des marchandises et produits au passage de Karm Abou Salem qui est devenu la seule issue pour l'acheminement des marchandises à la Bande de Gaza.

L'occupation approuve la création d'un "Parc national" qui sépare entre at-Tur et Issawia à al-Qods

[ 06/04/2011 - 18:23 ]
Al-Nassera – CPI
La radio hébreu a déclaré que le soi-disant "Comité de la planification et de l'habitat" à al-Qods a approuvé ce projet dans les versants orientaux du Mont de Zaytoun, au nord-est de la ville sacrée, près de la région connue sous le nom "E-1".
Selon la radio, l'objectif du gouvernement sioniste qui se cache derrière ce projet est d'empêcher la contiguïté entre le quartier d'at-Tur et d'issawia et dans le même temps d'assurer la liaison entre al-Qods et la colonie "Ma'ale Adumim".
L'organisation colonialiste sioniste a dévoilé que le plan vise à s'emparer de plus de 662 dunums des terres du village d'Issawia et d'at-Tur, dans la ville occupée d'al-Qods, en faveur de la création de parcs, et des édifices publics et touristiques dans le cadre du plan des versants du Mont de Zaytoun qui porte le Numéro "11 092 A", et qui est la première voie de relier la ville sacrée d'al-Qods au plan colonialiste "E-1" près de la colonie "Ma'ale Adumim".
Il est à noter qu'il est prévu et selon le nouveau plan, que l'occupation construira trois édifices publics qui seront utilisés comme d'établissements du jardin et des centres de services aux visiteurs et touristes.
Il est ainsi prévu que ce jardin sera sous la direction de l'organisation colonialiste sioniste d'extrême droite "Elad" qui est le responsable de gérer ce jardin baptisé comme national, est un avant-poste colonial dans le quartier "Wadi Helwa"  sous le nom "Ville de David" qui est aussi responsable de la saisie d'un grand nombre de bâtiments Maqdissins dans le village de Selwan.

Nomination d’un comité spécial sioniste pour accélérer la colonisation à Jérusalem occupée

[ 06/04/2011 - 18:31 ]
Al-Qods occupée – CPI
Le prétendu Comité de district de planification et de construction affilié au ministère de l’Intérieur sioniste a décidé de nommer un comité spécial pour accélérer l’approbation des plans colonialistes menés par le gouvernement de l’occupation à al-Qods (Jérusalem) occupée.
Selon la décision dont le juriste palestinien Qays Nasser a eu connaissance, ce nouveau comité se réunira chaque semaine de façon permanente, pour achever l’approbation de plans structurels menés par le gouvernement israélien à al-Qods. Le but est de construire 200 logements au minimum dans chaque plan, ce qui signifie que chaque projet du gouvernement sioniste prévoit de construire des colonies, ou d’agrandir les colonies présentes à al-Qods.
L’avocat Nasser a rappelé que le comité sioniste a été nommé sur la base de la décision du gouvernement de l’occupation le 13 mars, qui appelle le ministre de l’Intérieur sioniste a assigner à son Comité de district d’al-Qods la tâche de nommer immédiatement un comité ad hoc pour activer tous les plans gouvernementaux qui seront définis par le ministre du Logement sioniste.
Il a mis en garde contre le fait que les activités colonisatrice à al-Qods-Est augmenteront sans précédent si ce comité est formé et qu’il prend en charge les plans du gouvernement.

Ashton s'en prend aux activités coloniales sionistes

[ 06/04/2011 - 19:39 ]
Bruxelles – CPI
La haut-commissaire de l'Union Européen, Catherine Ashton, s'en est pris aux activités coloniales sionistes dans la Cisjordanie et la ville occupée d'al-Qods, les qualifiant illégitimes selon le droit international.
Dans un communiqué de presse publié, le mercredi 6/4, sur l'extension colonialiste dans la ville occupée d'al-Qods, Ashton a attaqué cette colonisation: "Je suis très déçue de l'autorisation de construire 942 nouveaux logements dans la colonie sioniste de "Gilo" à al-Qods", tout en soulignant que les plans sionistes dans la ville d'al-Qqds, en particulier sur les servants du mont de Zaytoun, et à Besgat Zeev, causeront plus de dommages à l'environnement politique déjà fragil.
Ces mesures s'opposent avec les tentatives de parvenir à une solution de paix qui protègera la sécurité de l'entité sioniste et réalisera le droit des Palestiniens à créer leur état, selon ses propos.

Le ministre autrichien des affaires étrangères appelle à briser le blocus de Gaza

[ 06/04/2011 - 20:04 ]
Gaza – CPI
Le ministre autrichien des affaires étrangères, Michael Spindelegger, a appelé à la levée immédiate du sévère blocus sioniste imposé injustement contre la Bande de Gaza depuis presque de 5 ans consécutifs, afin de mettre fin à la souffrance continuelle des Palestiniens.
Dans une conférence de presse qui a eu lieu, le mercredi 6/4, dans le siège de l'UNRWA à Gaza, Spindelegger, a éclaré que le blocus de Gaza doit être fini, précisant qu'il ne peut pas continuer à supporter la souffrance des Gazaouis.
Il a attiré l'attention que les conclusions importantes de ses réunions sont dans la nécessité que l'Union Européenne doit présenter une initiative pour mettre fin au blocus imposé contre Gaza et de convaincre les pays de l'UE pour prendre une position unifiée face à la tragédie continue des Palestiniens.
Le ministre a visité l'école de Contanier qui appartient à l'UNRWA dans le camp de Nussirat, au milieu de la Bande de Gaza, et l'usine de dessalement de l'eau à Dir al-Balah, dans le centre de la Bande de Gaza, rencontrant ainsi un certain nombre de responsables de l'UNRWA, ceux du secteur privé et de la société civile.

Lieberman fait appel à l’Allemagne pour empêcher le départ de la Flottille de la Liberté 2

[ 06/04/2011 - 20:06 ]
Al-Qods occupée – CPI
Le ministre sioniste des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, s’est tourné vers l’Allemagne lors de sa visite à Berlin, pour appeler à une action européenne afin d’empêcher la Flottille de la Liberté 2 de partir en direction de la bande de Gaza.
Selon la radio hébreu aujourd’hui, Lieberman doit rencontrer son homologue allemand, Guido Westerwelle et l’italien Franco Frattino qui se trouve actuellement à Berlin. Il insistera durant sa rencontre sur la nécessite d’une action des pays occidentaux pour empêcher le départ de tout nouveau convoi humanitaire en direction de Gaza.
Le Président de l’entité sioniste, Shimon Peres, et le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, ont prévu d’effectuer une tournée en Europe pour s’entretenir avec plusieurs responsables sur les moyens d’empêcher ce convoi humanitaire.

Ihsanoglu: la colonisation est une guerre ouverte contre les Palestiniens

[ 06/04/2011 - 20:41 ]
Jeddah – CPI
"L'extension colonialiste continuelle dans la ville occupée d'al-Aqsa est une agression grave et une guerre ouverte contre le peuple palestinien et ses droits légitimes", a considéré, le professeur Ekmeleddin Ihsanoglu, secrétaire général de l'Organisation de la Conférence Islamique, condamnant fermement la décision du gouvernement sioniste de construire 942 nouveaux logements coloniaux dans la ville sacrée.
Dans une déclaration de presse publié sur le Site Internet de l'Organisation de la Conférence Islamique, Ihsanoglu a confirmé que la continuation des pratiques illégitimes et oppressives de l'entité sioniste vise à isoler al-Qods de ses alentours et créer des nouveaux faits accomplis sur le terrain à travers la construction illégale des colonies, la confiscation des terres, la démolition des maisons, l'expulsion des Palestiniens et le renforcement des politiques de la judaïsation, considérant que tout cela est un défi flagrant au droit international et aux résolutions de la législation internationale et les conventions de Genève.
Il a appelé le Quartet et la Communauté Internationale à intervenir immédiatement pour stopper toutes les formes de la colonisation sioniste qui porte atteinte aux droits constants du peuple palestinien.

Mechaal et Chalah invités par le Caire

[ 06/04/2011 - 20:15 ]
Le Caire – CPI
Des hautes sources diplomatiques égyptiennes ont confirmé que le Caire recevra un certain nombre de délégations palestiniennes en quelques jours, soulignant que le ministère égyptien des affaires étrangères  invitera de nombreuses factions et personnalités palestiniennes pour se rendre au Caire.
Les source ont ajouté que les premières invitations seront adressées à l'homme d'affaires, Mounaib al-Masri, la délégation du comité de la réconciliation présidée par lui, ainsi une délégation du mouvement du Djihad islamique en Palestine sous la direction de son secrétaire général, Ramadhan Abdullah Chalah et une invitation au président du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, pour discuter des moyens de la réalisation de la réconciliation nationale palestinienne.
Les mêmes sources ont considéré que l'accueil du Caire à toutes les délégations palestiniennes vient dans le cadre des efforts égyptiens visant à sauver le processus de la réconciliation et mettre fin aux désaccords palestiniens internes, également d'évaluer les options afin de faire face aux menaces de l'ennemi sioniste au cours de cette étape.

Onze localités de Jénine souffrent du mur de séparation

[ 07/04/2011 - 02:42 ]
Jénine – CPI
Les habitants de onze villages du département de Jénine vivent dans des situations humaines très catastrophiques. En effet, ils sont enfermés dans des ghettos fabriqués par le mur discriminatoire de séparation. Ils sont privés de leur entourage naturel de leur département.
La journée de la terre
Lors du jour de la terre, ces habitants montent leur voix, dans l’espoir que la conscience mondiale se réveille et se rende compte de ce que la terre palestinienne subit. Les effets négatifs de l’occupation sioniste a affecté les structures sociale, économique, politique et géographique de la Cisjordanie.
Des villages tels que Barttaa Al-Charqia, Dahr Al-Abed, Kharbat Abdallah Youness, Al-Mindar, Al-Maleh, Arab Al-Hamdoun, Kharbat Al-Makhal font partie de ces localités qui souffrent trop de cet isolement imposé par le mur discriminatoire.
Dans ces localités vivent plus de sept mille personnes soumises à des conditions dures et catastrophiques.
Leur entrée et leur sortie sont contrôlées par des portails militaires israéliens. Ils ne peuvent bouger qu’avec des autorisations spéciales et uniquement pendant les heures d’ouverture de ces portails militaires.
Agression et humiliation
Abdallah Qabha, habitant du village de Bartaa, dit que les habitants de son village vivent dans des conditions très difficiles. Les soldats installés sur les portails ne cessent de les humilier avec leurs mesures impossibles à supporter. Ils ne permettent aux ambulances, aux médecins, aux équipes médicales, même appartenant aux organisations internationales, d’entrer dans le village !
Et même quand les occupations israéliennes permettent aux équipes médicales d’y entrer, ils imposent des conditions abusives et demandent des justificatifs prouvant leur travail médical, ajoute-t-il.
Les habitants souffrent des mesures militaires injustes et humiliantes, des conditions très dures, surtout en ce qui concerne la construction et l’agriculture.
Ouvertures limitées
Mme Abir Amarna souligne que le point de passage militaire installé sur les terrains du village de Bartaa Al-Charqiya, au sud-ouest de la ville de Jénine, ne s’ouvre que de cinq heures du matin à dix heures du soir. A part cela, les habitants ne peuvent sortir de leur village ou y entrer. Les autres personnes ne peuvent venir visiter le village.
L’autorisation de sortir et d’entrer se renouvelle tous les deux ans. Celle des commerçants et des ouvriers tous les trois mois, ajoute Mme Abir.
Attachement à la terre
De son côté, Mohammed Mokhal, du village Kharbat Al-Makhel, vers la colonie de Harmich, au sud-ouest de Yaboud, dit que les soixante-dix habitants de la localité survivent depuis plus de soixante ans au terrorisme des colons israéliens. Les autorités de l’occupation israélienne font tout pour qu’ils cèdent et quittent leurs terres.
Toutefois, les Palestiniens restent attachés à leur terre, bien qu’ils vivent dans des conditions quasi-inhumaines, sans eau, sans électricité, sans infrastructures. De plus, les autorités de l’occupation israélienne leur interdisent de construire et d’exécuter un quelconque projet, prétextant que la zone est classée "C" et qu’elle est sous le contrôle de la sécurité sioniste !

Badia DWAIK à Toulouse, Lyon et à Paris

mercredi 6 avril 2011
Badia Dwaik, militant palestinien contre la colonisation de la ville d’Hébron, est de passage en France pour parler de la résistance populaire en Cisjordanie et plus particulièrement dans sa ville d’Hébron où les colons ont annexé la vieille ville et ne cessent d’agresser la population, avec l’aide de l’armée Israélienne. Il interviendra dans plusieurs villes, dont Toulouse, le 8 avril, Lyon le 13 avril, et Paris le 16 avril prochain.

Badia Dwaik est l’un des fondateurs de l’association Youth Against Settelments (Jeunes contre les colonies) de Hebron.
Travailleur social et militant qui a passé 2ans et demi dans les prisons israéliennes à l’âge de 20 ans, il se bat notamment pour la réouverture de la rue Shuhada dans sa ville d’Hébron.
En liaison avec des organisations comme ISM et avec les opposants israéliens à la colonisation, il aide notamment les familles de la région qui ont été agressées par l’armée israélienne et par les colons à déposer plainte.
Son association (http://www.youthagainstsettlements.org) fait partie des organisations palestiniennes qui ont lancé l’appel international à se rendre en Palestine (Jérusalem Est et la Cisjordanie) le 8 juillet 2011 pour une mission visant à briser l’isolement des Palestiniens et à souligner leur droit à vivre en paix et en sécurité.
- VENDREDI 8 AVRIL À TOULOUSE
A l’invitation d’EuroPalestine Toulouse, avec la participation de La Guerre Tue et de l’Association des Palestiniens en France, organise une rencontre à Toulouse avec Badia Dwaik, militant palestinien de l’association "Youth against settlements " de Hebron.
Rendez-vous ce vendredi au Centre Culturel Alban Minville, salle Orange, près du métro Bellefontaine, à 20h30.
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-  Mercredi 13 avril 2011 à 19 h
Le Collectif 69 vous invite à une Rencontre avec Badia Dwaik
Palestinien D’HEBRON
A la Bourse du Travail LYON
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- SAMEDI 16 AVRIL A 17 H 30 A PARIS
Conférence débat à la librairie Résistances
4 Villa Compoint. (angle du 40 rue Guy Môquet). 75017 Paris
M° Guy Môquet ou Brochant (ligne 13)
CAPJPO-EuroPalestine
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Pour la Libération des prisonniers politiques palestiniens !

mercredi 6 avril 2011
Manifestation devant la Commission européenne, à Bruxelles, vendredi 15 avril 2011 de 12:00 - 14:00 h.
A l’occasion de la Journée internationale pour les prisonniers palestiniens, nous manifestons devant la Commission européenne pour que l’Europe exige :
- 1. La libération de TOUS les prisonniers politiques palestiniens ! Depuis 1967, quelque 700.000 Palestiniens ont été arrêtés et/ou mis en prison dans les prisons et centres de détention israéliens. Parmi eux, environ 10.000 femmes.
Cela signifie qu’au total 20% de la population et 80% de tous les hommes palestiniens adultes ont, d’une manière ou d’une autre, été placés en détention.
Le 1er février 2011, 5834 Palestiniens se trouvaient en prison. 798 d’entre eux ont été condamnés à perpétuité. 330 d’entre eux étaient déjà en détention avant les accords d’Oslo (1993). 95 d’entre eux sont incarcérés depuis plus de 20 ans.
Parmi les prisonniers, il y a plus de 40 responsables politiques : un tiers des membres du Parlement palestinien et un quart du Conseil des ministres se trouvent dans une prison israélienne.
- 2. La cessation du traitement cruel et discriminatoire auquel les détenues palestiniennes sont soumises lors des interrogatoires et en prison. Notamment la violence sexuelle et psychologique, les châtiments corporels et l’humiliation, des passages à tabac, insultes, menaces, fouilles à corps intrusives, privation de soins de santé spécifiques pour les femmes, déni de l’éducation et refus de visites familiales. Ceci est un déni du droit international et doit cesser immédiatement.
Parmi les 5834 prisonniers palestiniens, il y a 36 femmes (1er Février 2011), dont 8 mères. 2 femmes se trouvent en isolement. Les prisonnières palestiniennes sont réparties dans trois prisons israéliennes : Damon (18 prisonnières) , Hasharon (Tel Mond) (17 prisonnières, cette prison comprend une section d’isolement (article 13) dans le cadre de l’article 11 pour les prisonniers politiques), Neve Tirza (Ramleh) (une prisonnière). Deux prisons dans lesquelles les femmes sont détenues sont situées hors des territoires occupés depuis 1967, déni flagrant de la Convention de Genève.
L’administration pénitentiaire continue à humilier les prisonnières palestiniennes en les forçant de se déshabiller devant des gardiens de prison, leurs mains menottées, puis de s’habiller devant ces mêmes gardiens. Les détenues politiques palestiniennes sont enfermées dans la même section que prisonnières israéliennes de droit commun, accusées d’assassinat, de vol, de consommation de drogues et de prostitution.
L’administration pénitentiaire met tout en œuvre pour briser l’unité des détenues palestiniennes en les isolant du monde extérieur et en les empêchant de recevoir des visites familiales. Certaines prisonnières palestiniennes ont été arrêtées pour ainsi exercer de la pression sur leur mari.
- 3. Stop à l’emprisonnement des enfants ! Israël détient 221 enfants palestiniens entre 12 et 18 ans en prison (Défense des Enfants International, Mars 2011). En outre, 75 enfants sont en résidence surveillée, la plupart à Jérusalem et dans les villages environnants. Entre octobre 2000 et avril 2009, environ 6700 enfants palestiniens entre 12 et 18 ont été arrêtés. Pour le système juridique israélien, un Palestinien de 16 est considéré comme un adulte, tandis qu’un Israélien ne l’est qu’à partir de 18 ans.
- 4. Non aux détentions administratives ! 10% des prisonniers ont été arrêtés pour « détention administrative ». La « détention administrative » peut être décidée par un commandant militaire des forces d’occupation pour des « raisons de sécurité ». Elle permet d’emprisonner quelqu’un pendant 6 mois. Cette période peut ensuite être prolongée indéfiniment.
- 5. Halte à la torture physique et psychologique des prisonniers ! Nous exigeons le droit pour les prisonniers de Gaza de recevoir des visites de leurs familles !
Depuis juin 2007, Israël a interdit à tous les habitants de Gaza de rendre visite à leurs proches incarcérés en Israël. Les 676 habitants de Gaza qui s’y trouvent actuellement incarcérés n’ont donc pas reçu une seule visite depuis plus de trois ans et demi. Les détenus de Gaza, dont beaucoup sont en détention indéfiniment et sans procès, ont dès lors été soumis à un isolement virtuel, car ils ne sont généralement pas autorisés à communiquer par téléphone ou par Internet, et ils ne sont autorisés qu’occasionnellement d’envoyer une lettre à leur famille. Les prisonniers n’ont qu’un accès limité aux nécessités de base en prison - comme les vêtements et l’argent – puisque les visites sont souvent l’unique moyen de les obtenir. Le transfert d’argent à un prisonnier par des avocats est interdit ; les autorités pénitentiaires israéliennes ne permettent qu’aux proches des prisonniers de leur transférer de l’argent, ce qui est impossible.
Manifestation au Rond Point Schuman organisée et soutenue par :
Arab Commission for Human Rights-Commission arabe pour les Droits humains (ACHR http://www.achr.eu/), Association des Familles & Ami(e)s des Prisonniers – Vereniging van Families & Vrienden van Gevangenen (AF&FA), Barnard-Boecker Centre Foundation (http://www.bbcf.ca/index.php), CAPJPO-EuroPalestine (http://www.europalestine.com/), Comité Action Palestine ( www.comiteactionpalestine.org), Egalité (http://www.egalite.be/), Egalité Sans Guillemets asbl (ESG asbl), Free Gaza Movement (Belgium http://www.freegaza.org/), General Union of Palestinian Students (GUPS Belgium http://www.gups.org/ ), International Solidarity Movement France (ISM) ( http://www.ism-france.org/), International Solidarity Movement Gaza (ISM) (http://www.palsolidarity.org/), MCPalestine (http://mcpalestine.canalblog.com/), Palestina Solidariteit (http:// www.palestinasolidariteit.be), Stichting Palestijnse vrouwen in Nederland, Stichting Talliq - Recht voor Palestijnse kinderen (http://www.talliq.nl/ ), Stop de Bezetting (http://www.stopdebezetting.com/), Ufree - The European Network to support the Rights of the Palestinian Prisoners ( http://www.ufree-p.net/ ), Unie van Arabische Studenten (UvAS) (http://arabstudentsleague.blogspot.com/),
Contact : Luk vervaet (vervaetluk@gmail.com) et Marijke Kruyt (merelzang@hotmail.com)

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