samedi 8 mai 2010

PO: Moscou doit jouer un rôle clé dans la région

Damas
Damas
14:42 07/05/2010
© RIA Novosti. Vladimir Vyatkin
MOSCOU, 7 mai - RIA Novosti 
La Syrie place de grands espoirs dans la première visite d'un chef d'Etat russe à Damas de l'histoire des relations bilatérales et espère que Moscou redeviendra bientôt un acteur clé au Proche-Orient, ont déclaré des experts syriens à RIA Novosti.
Selon le service de presse du Kremlin, le président Dmitri Medvedev se rendra en visite officielle en Syrie les 10 et 11 mai.
"Damas est intéressé à voir la Russie occuper la place qui est la sienne au Proche-Orient et ce, non seulement comme médiateur, mais surtout comme un acteur clé dans la région", a affirmé le membre du parlement syrien Khaled Al-Aboud.
Selon lui, Moscou doit jouer un rôle particulièrement actif "sur fond d'échecs de la politique proche-orientale de Washington".
D'après le député, les Etats-Unis ont cherché, ces derniers temps, à établir leur "contrôle absolu" sur le Proche-Orient. A cet égard, les pays de la région saluent le renforcement du rôle de Moscou, rôle qui "contribue à neutraliser la domination américano-israélienne".
Le directeur du Centre d'études stratégiques de l'Université de Damas, Samir Ismaïl, estime pour sa part que la visite de M.Medvedev se déroulera dans un contexte difficile.
"Le processus de paix dans la région s'est arrêté. La Syrie fait l'objet de menaces israéliennes et subit la pression de Washington", a constaté le chercheur.
"Après la chute de l'Union Soviétique et le départ de Moscou du Proche-Orient, le rapport des forces dans la région s'est modifié à l'avantage d'Israël et des Etats-Unis. Le retour de la Russie comme un des pôles de la politique mondiale contribuera à promouvoir l'équilibre, la sécurité et la stabilité dans la région", a fait remarquer M.Ismaïl.
http://fr.rian.ru/world/20100507/186646114.html

Israël n’entend pas revoir sa politique nucléaire

08/05/2010
L'agence atomique à la recherche d'idées pour convaincre l'État hébreu de signer le TNP.
Israël n'envisage pas de modifier sa politique nucléaire en dépit des appels des grandes puissances à l'établissement d'une zone dénucléarisée au Proche-Orient, a déclaré hier un responsable gouvernemental. Dans l'espoir d'obtenir le soutien des pays arabes à un nouveau train de sanctions contre l'Iran, les membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU ont souhaité mercredi que soient trouvés des moyens de mettre en œuvre une résolution de 1995 sur le désarmement de la région. Cette résolution est inscrite dans le Traité de non-prolifération (TNP) de 1970, dont les 189 signataires sont réunis pour une conférence à New York.
L'Égypte tente depuis le début de la conférence d'attirer l'attention sur Israël, qui passe pour être la seule puissance nucléaire du Proche-Orient et a fait de la paix avec ses voisins un préalable à la ratification du TNP. « Il n'y a là rien de neuf ni aucune raison qui puisse nous faire changer de position », a dit à Reuters un haut responsable israélien sous le sceau de l'anonymat.
L'Égypte, qui préside le groupe dit des pays non alignés, a fait circuler à New York un texte visant à organiser l'an prochain une conférence sur le désarmement nucléaire du Proche-Orient en présence de tous les pays de la région. Selon des diplomates occidentaux, les États-Unis et la Russie, avec le soutien de la France, de la Chine et de la Grande-Bretagne, négocient avec Le Caire un accord de compromis. L'État hébreu n'a jamais confirmé ni infirmé être à la tête d'un arsenal atomique, évalué par les experts à 200 têtes nucléaires environ.
Pour les analystes, les États-Unis pourraient être amenés à revoir leur politique de tolérance vis-à-vis d'Israël afin de donner du poids aux pressions exercées sur l'Iran, que les Occidentaux accusent de chercher à se doter de l'arme atomique.
Yukiya Amano, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), a demandé aux 151 États membres de lui fournir des idées pour convaincre Israël de signer le TNP, selon un document vu jeudi par l'AFP. Dans cette lettre datée du 7 avril et adressée aux ministres des Affaires étrangères des États membres de l'agence, M. Amano leur a demandé « de l'informer sur tous les points de vue que leur gouvernement pouvait avoir » sur le sujet.

Processus de paix : Israël donne la priorité aux questions de sécurité

08/05/2010
Mitchell pourrait annoncer le lancement des discussions indirectes ce soir ou demain.
L'émissaire américain George Mitchell s'est entretenu hier soir avec le président de l'Autorité palestinienne
Mahmoud Abbas à Ramallah, en Cisjordanie, dans le cadre de ses efforts pour relancer le dialogue entre Palestiniens et Israéliens. MM. Abbas et Mitchell ont examiné pendant une heure et demie à la Mouqataa, le siège de l'Autorité palestinienne, « un certain nombre de questions liées aux négociations », a indiqué à la presse le négociateur palestinien Saëb Erakat, en ajoutant que l'envoyé américain serait de nouveau reçu par le dirigeant palestinien ce soir et dimanche après-midi.
Israéliens et Palestiniens se préparent, dans un climat de scepticisme, au lancement de pourparlers de paix indirects, dits de « proximité », censés durer quatre mois sous l'égide des États-Unis. M. Erakat a toutefois tenu à souligner qu'« il est prématuré de parler pour l'instant d'un accord à un lancement des négociations puisque la direction palestinienne, qui prend les décisions, ne s'est pas encore réunie ». Le comité exécutif de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) doit se réunir aujourd'hui en milieu de journée pour entériner - en principe - la reprise du dialogue avec les Israéliens, suspendu depuis fin 2008 et la guerre de Gaza.
« L'administration américaine va annoncer sa position concernant les négociations et ses engagements pour leur succès dans les deux prochains jours », a en outre annoncé M. Erakat. D'après un haut responsable palestinien, M. Mitchell pourrait, après une ultime navette entre Israéliens et Palestiniens, annoncer formellement le lancement des discussions indirectes ce week-end avant de quitter la région.
Avant de rencontrer les Palestiniens, le sénateur américain a rencontré les principaux dirigeants israéliens, dont le Premier ministre Benjamin Netanyahu à deux reprises ces derniers jours à Jérusalem et Tel-Aviv. Hier, il a aussi rencontré le président israélien Shimon Peres, le chef de la diplomatie Avigdor Lieberman et la chef de l'opposition Tzipi Livni. M. Peres a souligné dans un communiqué qu'Israël accordait la priorité aux questions de sécurité dans les discussions indirectes avec les Palestiniens. Le chef de l'État hébreu, qui a surtout un rôle représentatif, exprimait le point de vue de M. Netanyahu qui, lors de consultations internes, a estimé que la question sécuritaire devrait être placée « en tête de l'ordre du jour » des futures négociations.
Mais de son côté, l'Autorité palestinienne considère que les pourparlers indirects doivent traiter de tous les problèmes de fond, particulièrement des frontières, et réclame un retrait israélien de tous les territoires palestiniens occupés, notamment de Jérusalem-Est, annexée après sa conquête en 1967. Les Palestiniens et la Ligue arabe avaient déjà accepté le principe de discussions indirectes en mars, mais l'annonce par l'État hébreu de son intention de construire 1 600 nouveaux logements à Jérusalem-Est avait fait échouer les tentatives de relance du dialogue.
Le processus, avant même d'être enclenché, suscite un grand scepticisme, voire de l'indifférence, chez Palestiniens et Israéliens. Des divergences fondamentales persistent sur les dossiers-clés : tracé des frontières du futur État palestinien, statut de Jérusalem, avenir des colonies juives de Cisjordanie et droit au retour des réfugiés palestiniens.
La radio publique israélienne, citant des hauts responsables israéliens, a indiqué jeudi que Washington avait évoqué la possibilité, en cas d'échec des négociations indirectes, de présenter un plan de paix en coordination avec le quartette (États-Unis, ONU, Union européenne et Russie).
http://www.lorientlejour.com/category/Moyen+Orient+et+Monde/article/656352/Processus_de_paix+%3A_Israel_donne_la_priorite_aux_questions_de_securite.html

Un député arabe s’élève contre le nucléaire israélien

Publié le 7-05-2010
Le député arabe Taleb A Sana (Ra’am-Ta’am) a déposé mercredi un projet de loi à la Knesset, visant à contraindre Israël à signer le traité de non-prolifération des armes nucléaires (NPT) et à accepter la visite d’inspecteurs de l’AIEA dans ses installations à Dimona et ailleurs dans le pays. Quel culot !On imagine les réactions au Parlement israélien ! Depuis quand Israël devrait-il rendre des comptes sur son arsenal nucléaire ?
60 ans après les ravages causés à Hiroshima et Nagasaki, oser dire qu’"Israël doit approuver la dénucléarisation du Proche-Orient et s’engager à se défaire de ses armes nucléaires ", n’est pas banal.
L’Etat qui ne cesse de pousser le monde entier à attaquer l’Iran, en raison de son développement nucléaire, ne saurait se plier à quelques règles internationales. Le droit international, c’est bon pour les autres ! Monsieur Taleb A Sana vous êtes un antisémite !
http://www.israel7.com/2010/05/un-depute-arabe-contre-le-nucleaire-israelien/
CAPJPO-EuroPalestine

Les Gazaouis amadouent la barrière égyptienne

07/05/2010  
Des palestiniens de la bande de Gaza sont parvenus à contourner la barrière souterraine  que l’Égypte est en tain d’édifier tout au long de la frontière entre les deux côtés. Selon la chaîne britannique BBC, c’est un Gazaoui s’appelant Mohammad et travaillant dans le creusement des tunnels qui a réussi cet exploit : «  le mur égyptien constituait pour nous un obstacle ; mais nous lui avons trouvé une solution. Nous avons travaillé pendant des moins pour construire un tunnel de 850 mètres entre Gaza et L’Égypte », a-t-il précisé.  Qualifiant la construction de ce mur par les égyptiens de canular,  Mohammad a révélé l’utilisation de soudeuses  de forte intensité fonctionnant à l’aide de l’oxygène pour creuser des alvéoles  dans le mur : «  nous avons payé la somme d’un millier de dollars à quiconque pouvant le faire. Le travail a pris trois semaines pour être mené à bien » a-t-il ajouté.
C’est un journal égyptien, «  le septième jour », citant une source responsable égyptienne  qui a révélé jeudi que ce mur de  plomb d’une longueur de 11 Km et d’une profondeur de 18 mètres, et d’une épaisseur d’un demi mètre, construit pour entraver le passage de marchandise vers la bande de Gaza a été infiltré.   
Selon la BBC, cet acte, s’il sévère être vrai, devrait embarrasser le gouvernement égyptien qui a entamé la construction de cette barrière  à la demande américaine et israélienne.

"Nous sommes incapables de fournir une protection adéquate contre les missiles"!

06/05/2010  
Le commandant des forces de l’armée de l’air israélienne, Doron Ghabish, a déclaré que « les systèmes de défense aériens de l'armée israélienne sont incapables de fournir une protection adéquate  contre des  missiles sol-sol que possède la Syrie, l'Iran et le Hezbollah », a rapporté le quotidien israélien Haaretz !  
Ghabish qui s’exprimait au cours d’une conférence internationale organisée pour la première fois en « Israël » sur la défense antimissile, a regretté  que les systèmes de défense du pays soient incapables d’assurer une protection contre  " la prolifération massive de ces missiles dans les pays de l'ennemi et parmi les organisations terroristes."  
Toujours selon Haaretz les services de sécurité israélienne estiment que « c’est uniquement en 2014, que l'armée israélienne sera en mesure de s’opposer aux missiles de moyenne portée ! Autrement dit, « Israël » ne pourra assurer  une protection adéquate de tout son territoire  qu’après l'achèvement de la mise au point du système de défense antimissile national baptisé « Charfit Ksamim »  (la baguette magique) !
Haaretz souligne que Ghabish s’est abstenu de parler des armes détenues par le Hezbollah, mais il a souligné qu’ «Israël » était profondément préoccupé par les missiles que possèdent l'Iran, la Syrie, et le Hezbollah : «C'est pour nous un véritable défi. La cartographie des menaces à laquelle nous sommes confrontés est d’une grande complexité et d’une grande variété, et le temps de riposte dont nous disposons est très court... Ainsi dans le cas des missiles, nous avons à prendre des décisions en quelques minutes, dans le cas des bombes les décisions doivent se prendre  en quelques secondes ! Ce qui en terme militaire  n’est pas une période de temps suffisante - mais nous devons  agir avec sagesse et savoir sélectionner les cibles que nous devons toucher ».
De son côté, le président de la société d’industrie militaire, chargée  du développement du système de défense antimissile nationale « Charfit Ksamim », Raphaël, a appelé les services de la sécurité nationale israélienne  à accélérer le développement du système: «Les missiles seront dans le ciel intensément. Le nombre de missiles lancés contre nous sera important, et même s’ils sont de type traditionnel, il n’empêche que ce genre d’attaque provoquera de nouvelles menaces non-traditionnelles ! »
Enfin le président du département pour la défense au ministère de la Sécurité, Uzi Rubin, a appelé à vite achever le développement des capacités de défense aérienne à plusieurs niveaux, notant que «la prochaine guerre sera différente, car elle aura lieu  à l’intérieur de l'Etat, et non seulement sur ses frontières, si nous réussissons à résister face à ce nouvel défi, nous aurions gagné ! » 

Les collaborateurs à Gaza ont peur pour leur sort

07/05/2010  
Le ministère de l'intérieur palestinien a révélé qu'un nombre de collaborateurs avec le Mossad israélien se sont livrés au Hamas dans la bande de Gaza, après que ce mouvement eut exécuté deux collaborateurs le 15 avril dernier. Le Hamas avait alors mis en garde les autres collaborateurs de subir le même sort s'ils ne renoncent pas à leur traitrise. 
Le porte-parole du ministère de l'Intérieur palestinien a indiqué que plusieurs victimes du chantage des services de renseignement israéliens se sont livrées aux services sécuritaires à Gaza.   
"Nous allons les traiter en fonction de l'ampleur de leur collaboration. Trois collaborateurs se trouvent actuellement chez les services de sécurité qui enquêtent avec eux pour savoir les circonstances de leur contact avec le Mossad. Ceux qui se sont rendus ont fourni des informations très dangereuses. Le nombre de collaborateurs augmentent de plus en plus. Une guerre silencieuse contre le Shabak se déroule à Gaza".
Selon lui, l'appel lancé aux collaborateurs vise à les sauver. "Ce n'est pas nécessaire que les collaborateurs aient recours aux services de sécurité. Il suffit de se rendre aux factions palestiniennes ou aux oulémas pour éviter de tomber dans le piège de la collaboration".   
S'agissant les peines à leur encontre, le responsable palestinien a indiqué que les collaborateurs ne seront pas tous condamnés à mort, surtout ceux qui ont récemment commencé de collaborer avec l'ennemi et qui n'ont pris part à des agressions criminelles. "Nous étudierons cas par cas, et les peines peuvent se limiter à quelques mois d'emprisonnement. On pourrait également les prendre comme témoins".
Les services de sécurité israéliens comptent beaucoup sur les informations que leur fournissent les collaborateurs pour attaquer les combattants de la résistance palestinienne, et les services de renseignement israéliens profitent des souffrances de la population pour "pousser le citoyen à s'effondrer face au chantage des services israéliens". 

Le déclin de l’Entité sioniste commence

[ 07/05/2010 - 09:34 ]
Gaza – CPI

Dans un communiqué dont notre Centre Palestinien d’Information (CPI) a reçu une copie, hier jeudi 6 mai 2010, l’analyste politique Fayez Abou Chimala a confirmé que le projet sioniste a commencé son déclin. Il continuera jusqu’à la victoire palestinienne et arabe.
En fait, les occupants israéliens ont continué à imposer leur ordre jusqu’à l’année 2000. A ce moment, ils ont subi une défaite au Liban et l’Intifada d’Al-Aqsa. Et En 2005, ils se sont vus obligés de se retirer de la bande de Gaza. Et leur dernière guerre agressive israélienne menée contre Gaza n’était qu’un échec. Tout cela confirme le commencement du déclin de l’Entité sioniste.
Les réfugiés palestiniens de l’étranger n’oublieront jamais leurs villages et leurs villes desquels ils avaient été déportés.
Le droit au retour à la patrie est un droit approuvé par les lois divines et terrestres dont les lois des Nations Unies.
Le gouvernement sioniste extrémiste ne pense pas se retirer d’un centimètre de la Cisjordanie. Toute négociation avec lui sera inutile, dit l’analyste. Ces négociations ne font que détourner l’attention des Palestiniens et couvrir les agissements des occupants israéliens comme la colonisation et la judaïsation des lieux saints islamiques comme chrétiens.

Les Israéliens parlent de l’écroulement de leur Etat

[ 07/05/2010 - 11:55 ]
Palestine – CPI

Dans la 62ème commémoration de la naissance de leur Entité, des journaux sionistes parlent de l’écroulement de cette Entité, si un miracle ne vient la sauver.
Le journal hébreu Maariv dit qu’on a besoin d’une très grande dose de stupidité pour croire qu’"Israël" peut exister. Le Centre Taoub ne dit-il pas qu’en résumé, « "Israël" maigrit » ?
L’année prochaine serait pour le journal une année charnière dans l’histoire d’"Israël".
De son côté, le journal hébreu Haaretz s’adresse à Netanyahu en lui disant qu’il y a le défi du nucléaire, des roquettes, de l’illégitimité. Il y a aussi la menace venant de l’orient, du nord. Il y a aussi cette peur bleue que les alliés d’"Israël" la laissent tomber.
Le journal dit à Netanyahu que les grandes puissances ne peuvent aller contre le courant de l’histoire. Alors comment un pays aussi fragile qu’"Israël" peut-il le faire ? Qui nous a amenés à ce stade, la gauche ou la droite ? Cette question n’est pas importante, pour le journal, l’importance est de savoir que faire pour que le vent de l’histoire ne fasse tomber le projet sioniste.

Réception de colère de l’ambassadeur de l’Entité sioniste en Nouvelle-Zélande

[ 07/05/2010 - 19:20 ]
Wilmington – CPI

Le nouvel ambassadeur sioniste en Nouvelle-Zélande a eu le droit à une réception de grande colère, dès son arrivée pour présenter ses lettres de créance auprès du gouverneur général, aujourd’hui vendredi 7 mai 2010.
Cette présentation vient huit ans après que les relations entre les deux pays ont été coupées suite à l’affaire des passeports falsifiés de l’an 2004.
Le groupe Wilmington-Palestine a lancé des cris contre l’Entité sioniste, en l’accusant de commettre des crimes à l’encontre des Palestiniens.
Notons que la Nouvelle-Zélande a gelé les relations diplomatiques avec l’Entité sioniste en 2004, après avoir mis la main sur deux Israéliens porteurs de passeports néo-zélandais falsifiés. Auparavant, en 2002, l’ambassadeur israélien s’était retiré après une crise financière entre les deux Etats.
A l’époque, le ministre israélien des affaires étrangères a officiellement présenté ses excuses devant l’agissement des deux hommes. Ces excuses ont été comme des aveux pour le gouvernement néo-zélandais que les deux hommes étaient des espions.

La Conférence Islamique est appelée à réagir pour soutenir les captifs

[ 07/05/2010 - 21:02 ]
Gaza – CPI

Le Comité national pour soutenir les captifs a adressé un message urgent à l’Organisation de la Conférence islamique qui se réunira la semaine prochaine à Istanbul. Il l’a appelée à s’activer pour soutenir le dossier des captifs palestiniens qui risquent la mort dans les prisons israéliennes.
Mohammed Ridwane, membre du comité, dans un communiqué dont notre Centre Palestinien d’Information (CPI) a reçu une copie, hier jeudi, a dit que cet appel a été fait afin que les pays musulmans assument leur devoir envers les captifs palestiniens, en particulier après la décision de Netanyahu de rendre la vie des captifs encore plus difficile.
Dans le même contexte, Ridwane a contacté le député turc Arfan Jondoz pour lui expliquer les violences et les violations dont les captifs palestiniens sont le sujet dans les prisons israéliennes. Ils sont privés de leurs droits les plus élémentaires.
Jondoz a répondu que l’organisation donne une priorité à la cause palestinienne et qu’elle discutera la semaine prochaine des moyens d’activer la question des captifs palestiniens pour prendre une position concrète dans cette affaire humaine.

Les Palestiniens d’Europe se réunissent en masse

[ 07/05/2010 - 21:56 ]
Berlin – CPI

Dans la capitale se réuniront les Palestiniens d’Europe, demain samedi 8 mai. Des personnalités et des Palestiniens du monde entier viendront pour leur la huitième conférence annuelle.
Ce grand rassemblement populaire des Palestiniens de l’extérieur se réunira cette année sous le slogan « Un retour obligatoire et une liberté pour nos captifs ».
Ce grand évènement est organisé par le Secrétariat général des Palestiniens d’Europe, le Centre palestinien du retour, le Rassemblement palestinien d’Allemagne, en partenariat avec des instituions palestiniennes en Allemagne. Des millions de gens l’attendent et le suivront.
Trois générations y participeront. Elles confirmeront leur attachement aux droits palestiniens, principalement le droit au retour.
Parmi les personnalités qui y participeront se trouvent le président du Conseil Législatif Palestinien Dr. Aziz Duwik, le cheikh Raïd Saleh, l’écrivain Monir Chafiq, Dr. Abdou Al-Ghani Al-Timimi, l’écrivain Bilal Al-Hassein, Fadua Al-Barghouthi. La liste est trop longue pour pouvoir toutes les énumérer.
L’affaire des captifs occupera une partie centrale de la huitième Conférence des Palestiniens d’Europe. Pour cela, des captifs libérés et des experts dans les affaires des captifs, en plus de représentants d’organisations juridiques internationales, seront présents.
A noter que la première conférence pour les Palestiniens d’Europe s’est tenue à Londres en 2003. L’année suivante à Berlin, puis à Vienne, à Malmö en Suède, à Rotterdam, à Copenhague, et à Milan. Et chaque année, le nombre de participants ne cesse d’augmenter.