vendredi 12 septembre 2014

Sud de Naplouse : Une école incendiée, les colons suspectés

Des hommes inconnus ont mis le feu jeudi à l'aube 11/9, dans un lycée dans le village de Sawiya au sud de la ville de Naplouse (nord de la Cisjordanie occupée).
Le président du Conseil de Sawiya, Abdul-Rahim Soulayman, a déclaré à notre correspondant, que trois classes d l'école ont été incendiées, dont celle du directeur et des enseignants, ce qui a causé la destruction de dizaines de dossiers importants et des ordinateurs.
Soulayman a déclaré que les ambulances et les services de sécurité sont arrivés sur les lieux immédiatement après le déclenchement de l'incendie et qu'une enquête a été ouverte pour connaître les circonstances de l'incident.
Il a ajouté que les colons résidents de la colonie voisine "Eilih" sont accusés dans cet incident.
Il est à noter que depuis une semaine, un certain nombre de colons ont pris d'assaut l'école et ont harcelé les élèves et les enseignements, ce qui a causé des affrontements entre eux, avant que l'armée israélienne les évacuent de l'endroit.

Deux Palestiniens succombent à leurs blessures subies lors de l'agression sur Gaza

Deux citoyens palestiniens ont trouvé la mort mercredi 10/9, suite à leurs blessures subies lors de l'agression israélienne sur la Bande de Gaza.
Samira Hassan Ahmed al-Louh (53 ans) est décédée mercredi après-midi, succombant à ses blessures subies lors de l'agression sioniste, après 50 jours de traitement dans l'hôpital de Maqassed à Jérusalem occupée.
Plus tôt hier mercredi, un homme âgé palestinien a lui aussi succombé à ses blessures subies lors de la guerre israélienne sur la Bande de Gaza.
Des sources médicales palestiniennes ont déclaré que l'homme âgé Abdul-Fatah Abou Salmia (71 ans) est mort mercredi dans l'hôpital Nasser à Khan Younès dans le sud de la Bande de Gaza, succombant à ses blessures subies lors de l'agression sioniste sur la Bande de Gaza.

Des centaines de soldats israéliens traumatisés par la guerre de Gaza

Le journal hébreu Israel Today a révélé jeudi matin que l’armée sioniste a soigné des centaines de soldats qui ont été affectés psychologiquement lors de l’offensive terrestre contre la résistance palestinienne dans la bande de Gaza.
Selon le journal, le département de protection psychologique au sein de l’armée de l’occupation a appliqué un programme de traitement sur le terrain, à l’aide d’officiers et de soldats accompagnant les forces à cet égard. Le but était de remonter le moral des soldats et de renforcer leur confiance en eux-mêmes sans avoir besoin de les transporter à l’hôpital psychiatrique en Israël pendant la guerre, comme ce fut le cas pour de nombreux soldats.
« Il est vrai qu’il y a une diminution du nombre de soldats qui ont été évacués du terrain pendant la guerre de Gaza par rapport aux guerres précédentes, sauf que des dizaines de soldats qui ont été évacués en raison de leur état psychologique ont été empêchés de retourner au combat », a ajouté le journal.
Toujours selon Israel Today, l’armée aurait commencé il y a 8 mois à préparer les soldats des différentes unités, qu’ils soient réglementaires ou réservistes, avec un programme d’entrainement de 8 heures. Il y apprennent à repérer les signes d’un traumatisme sur le champ de bataille et de le soigner à l’aide de la camaraderie.
Le quotidien a cité un incident subi par le conducteur d’un char dans la bande de Gaza, il a été traumatisé et suspendu de ses fonctions, tandis que le soldat qui l’accompagnait s’est chargé de l’apaiser et de lui expliquer la situation dans laquelle il est.

Des juifs extrémistes envahissent la Mosquée al-Aqsa

Des groupes de juifs extrémistes ont envahi jeudi matin les esplanades de la Mosquée sacrée d’al-Aqsa depuis la porte des Maghrébins, sous protection renforcée des unités spéciales de la police israélienne. Ils ont très rapidement commencé leurs actes provocateurs dans les cours de la mosquée.
Selon des sources locales, les prises d’assaut de colons juifs ont débuté à sept heures et demie ce matin, et leur nombre devrait augmenter dans la journée. Ces groupes étaient dirigés par des grands rabbins ultra-orthodoxes qui racontaient des histoires mythologiques sur la légende du Temple qui était prétendument construit à la place d’al-Aqsa.
La police de l’occupation a continué d’imposer des mesures restrictives sur les fidèles de la mosquée, en particulier les femmes et les étudiantes, dont une grande partie a été interdite d’entrer. Les policiers ont également confisqué les cartes d’identité de ceux qui étaient permis d’entrer dans la mosquée sacrée.
Des officiers de police avaient également pris d’assaut mercredi un bureau appartenant au département des legs pieux islamiques près de la mosquée, afin de remettre à trois employés des convocations pour un interrogatoire au centre de police.

L’occupation arrête un blessé accompagné de sa mère après leur retour de la Turquie

Les forces de l’occupation sioniste ont arrêté  l’un des blessés de l’agression sioniste contre la bande de Gaza alors qu’il revenait de son voyage en Turquie durant lequel il s’était fait soigner. Il avait emprunté l’aéroport sioniste.
Le centre palestinien des droits de l’homme a déclaré dans un communiqué, publié ce jeudi 11/9 que le dispositif des renseignements sioniste a arrêté, ce matin, le blessé Ghassan Maher Said Abdel Nabi, âgé de 22 ans ainsi que sa mère, Soubhia Abdel Nabi à l’intérieur de l’aéroport Ben Gourion, alors qu’ils étaient de retour de laTurquie ou le citoyen avait été soigné pendant deux semaines.
Le centre a annoncé que les forces de l’occupation ont rapidement libéré la maman, mais n’ont pas relâché le citoyen blessé.
Ce jeune homme est originaire de Beit Lahya au nord de la bande de Gaza, il avait été blessé au niveau du ventre et a été transféré dans l’un des hôpitaux turc vu la gravité de sa blessure et le manque de moyen dans les hôpitaux de Gaza.
Le centre a souligné que le blessé s’était rendu en Turquie, le 28/8, à travers le passage Erez de Beit Hanoun. Il est l’un des blessés qui ont voyagé à travers l’aéroport de Ben Gourion, après l’accord entre les autorités turques et sionistes.
Le centre des droits de l’Homme a fait part de sa crainte vis-à-vis de la santé du blessé Abdel Nabi, surtout que les risques de tortures ne sont pas exclus. Le centre appel donc toute institution en rapport avec ce sujet d’intervenir immédiatement pour assurer qu’il ne sera pas livré à la torture et pour qu’il soit relâché.

Hamas : Les négociations directes avec l’ennemi ne sont pas de notre politique

Le bureau politique du mouvement de résistance islamique Hamas a assuré que les négociations directes avec l’occupation sioniste ne sont pas une politique adopté par le mouvement et n’intervient pas dans ses plans d’action.
Le bureau politique du Hamas a déclaré dans un communiqué de presse, publié ce jeudi 11/9 que cette confirmation est « en réponse aux déclarations attribuées à Moussa Abou Marzouq que partagent certains médias quant au sujet des négociations avec l’occupant »
Le communiqué du bureau politique du Hamas a ajouté: « les négociations directes avec l’ennemi sioniste ne font pas partie de notre politique. Ceci est la politique adopté par notre mouvement »
Dans une interview accordé à la chaine Al Qods, Abu Marzouq a ainsi déclaré : « les négociations avec l’ennemi de point de vue légitime ne sont pas interdites. Nous négocions avec les armes comme nous négocions avec les mots. Je pense que si la situation ne change pas, le mouvement Hamas serait contraint de négocier. C’est devenu une demande populaire dans toute la bande de Gaza ».
Abou Marzouq a déclaré que « le mouvement Hamas peut se retrouver contraint à négocier lorsque la réalité des habitants de Gaza sera un poids pour  nos confrères de l’Autorité et du gouvernement. »  

L'occupation arrête un prisonnier libéré près du village de Beit Awa

Des sources locales ont déclaré que les forces armées occupantes ont arrêté le mercredi soir 10/9, un étudiant sur un barrage militaire hasardeux près du village de Beit Awa dans le sud-ouest de la ville d'Hébron au sud de la Cisjordanie occupée.
Les sources ont ajouté que les forces armées occupantes ont arrêté l'étudiant à l'Université d'Hébron et l'ex-prisonnier libéré des prisons sionistes, Mohamed Fares Abou Arqoub (24 ans), après avoir été arrêté sur un barrage militaire près de la tour militaire à l'entrée du village de Beit Awa.
Les soldats israéliens ont arrêté un véhicule apportant 4 jeunes hommes et les ont encerclés dans le lieu durant plus d'une heure, avant que l'officier de renseignements de l'occupation ait informé Abou Arqoub qu'il est arrêté, en raison de son refus aux convocations remises à lui par l'armée pour se présenter dans le siège de renseignements.
Les forces armées occupantes ont déjà érigé plusieurs barrages militaires sur les entrées des villes occidentales et ont délibérément arrêté les passagers, en vérifiant leurs cartes d'identité.

Plusieurs blessés lors d’affrontements au sud d’Hébron

Plusieurs citoyens ont été blessés,le jeudi 11/9, lors de violents affrontements qui ont éclaté dans les villages d’Al Tabaqa et Kharssa au sud d’Hébron au sud de la Cisjordanie.
Des témoins ont annoncé à notre CPI que plusieurs citoyens ont été étouffés lors de violents affrontements qui ont éclaté après que les blindés militaires sionistes aient attaqué le carrefour de Kharssa et lentrée de Tabaqa.
Les soldats ont lancé des bombes lacrymogènes et ont tiré des balles de plomb contre les maisons,  les boutiques et les véhicules. Les jeunes ont contré ces soldats en jetant des pierres et des bouteilles vides.
Les témoins ont ajouté que les jeunes ont caillassé les véhicules des colons dans la rue qui mène à la colonie Njihout qui a été battie par la force sur les terres de Khirbat Salama.   

Paules: Les prisonniers d'Ofer se plaignent des circonstances difficiles et étudient de protester

Le directeur de l'unité juridique au club du captif palestinien, Gawad Paules, a cité que les prisonniers dans la prison d'Ofer se plaignent de l'interdiction à leurs familles de les rendre visite, et sont parfois renvoyées sur les barrages après avoir obtenu des permis de visite.
Cela est venu à l'issue de la visite de l'avocat Paules aux prisonniers dans la prison d'Ofer, le jeudi 11/9; où ils se sont plaints aussi du manque grave dans les quantités des besoins essentielles, comme les aliments et les vêtements, parce qu'ils n'ont pas reçu les allocations de la Cantine.
Il a ajouté qu'en raison de l'augmentation du nombre de prisonniers récemment, plus de 600 captifs sont emprisonnés à Ofer dans une courte période, ce qui a causé une véritable crise pour fournir les matières fondamentales pour les nouveaux captifs.
Paules a indiqué que les prisonniers étudient la possibilité d'entamer des mesures de protestations contre l'actuelle situation, en particulier la politique de la détention administrative, après que l'occupant a arrêté plusieurs en détention administrative, où le nombre de ce genre détenus est devenu plus de 500.

Prison d'Eshel: restrictions et mesures arbitraires contre les prisonniers

Les prisonniers palestiniens dans la prison sioniste d'Eshel se sont plaints des resrictions sévères et des mesures arbitraires imposées par l'administration pénitentiaire sioniste sur eux et des conditions de vie très difficiles, après l'augmentation du nombre des prisonniers dans les sections.
 L'avocat du club du captif a cité dans un communiqué des prisonniers d'Eshel que les forces de répression ont mené de vastes campagnes de fouilles dans la Cantine qui a été fermée durant plusieurs jours.
Les forces ont fermé les fenêtres et ont empêché l'entrée de lumière dans les chambres des prisonniers, et ont commencé à enlever les carreaux de salle de bains dans la chambre numéro (18), sous prétexte de l'inspection.
Les prisonniers souffrent encore des problèmes d'eaux et dans la quantité et la qualité de l'aliment.

La localité d’Al-Fokhari garde la tête haute en dépit de l’ampleur des dégâts

Durant les cinquante et un jours de l’affreuse guerre agressive menée par les occupants sionistes contre la bande de Gaza, la localité d’Al-Fokhari eut sa part de destruction, de dévastation, d’anéantissement.
Le Palestinien Omar Mansour Al-Amour, 43 ans, y retourna et découvrit l’ampleur des dégâts. Il ne reste de sa maison que des gravats. Sur ses décombres, le correspondant de notre Centre Palestinien d’Information (CPI) le rencontra.
Les forces sionistes d'occupation arrivèrent à la localité d’Al-Fokhari, après leur entrée dans le village de Khozaa, le 22 juillet 2014. Et après avoir échoué à faire face aux résistants palestiniens, elles s’en prirent aux propriétaires, aux maisons, aux terres agricoles des habitants. C’est une sanction collective évidente, dit-il.
La maison d’Al-Amour fait partie de ces dizaines de bâtiments détruits, complètement ou partiellement, par les bombardements sionistes.
« Cette occupation n’a en tête que nous chasser, sinon il y a aucune raison pour bombarder et détruire nos maisons », dit-il. Et sur un ton de défi, il lança que cette occupation n’aurait jamais ce qu’elle cherche : « Nous allons reconstruire de plus belle tout ce que l’occupation a démoli ».
Dr. Ahmed Al-Farra est le président de la municipalité d’Al-Fokhari. Lui aussi perdit sa maison de deux étages. Elle fut directement visée et bombardée. La localité d’Al-Fokhari est désormais une zone sinistrée, confirme-t-il.
Des dizaines de maisons furent détruites, des terrains agricoles rasés. La mosquée d’Ar-Rida fut détruite, d’autres mosquées endommagées.
Destruction et martyrs
La localité d’Al-Fokhari donna onze martyrs dont quelques combattants de la résistance palestinienne qui firent des pertes considérables aux envahisseurs avant de quitter ce bas-monde.
Les habitants racontent comment les forces sionistes d'occupation entrèrent dans la zone, du côté d’Abou Taïma, sous un bombardement intensif et inconsidéré, un bombardement qui n’épargnait aucune maison civile, aucun terrain agricole, dont le terrain le plus important de toute la bande de Gaza.
La destruction concerne non seulement les maisons et les terrains agricoles, confirme le fermier Salem Al-Amour. Les forces sionistes d'occupation détruisirent également un bon nombre de puits, principaux ou secondaires. Cette tentative cherche à empêcher la terre de retrouver sa vie d’avant et sa vitalité, et elle reste le champ de leurs agressions.
Cette localité d’Al-Fokhari est d’une superficie d’un millier d’hectares et quelque sept mille personnes y habitent. Elle est toujours le sujet d’agressions de la part des occupants sionistes. A titre d’exemple, les occupants rasèrent plus de la moitié de leur surface agricole, à l’époque de l’Intifada d’Al-Aqsa. La population lance chaque fois le défi et y retourne pour la travailler.
La résistance face à l’agression
Le but des agresseurs est de terroriser les habitants de la zone pour qu’ils la quittent définitivement, pense Amer Al-Amour.
Mais qu’ils cognent leurs têtes contre le mur, dit-il, la population ne quittera jamais leur terre, elle est déterminée plus que jamais.
Notons enfin que la zone d’Al-Fokhari fournit à toute la bande de Gaza ses légumes et ses fruits de qualité.

Haniyeh : Nous n'abandonnerons pas notre peuple

Ismaïl Haniyeh, le vice-président du Bureau politique du mouvement du Hamas, a assuré que son mouvement  et les factions de la résistance se tiennent au côté des sinistrés et de tous ceux qui ont été affectés par la guerre sioniste sur la Bande de Gaza.
Haniyeh a décrit la reconstruction comme étant la responsabilité de l'AP et du gouvernement du consensus, soulignant dans le même temps que le Hamas et sa résistance n'abandonneront pas les victimes et qu'il fera tout pour les aider.
Lors de sa réunion avec les habitants du village de Wadi Gaza, Jahr Dick, Haniyeh a ajouté: "A partir de notre site national et de celui de la résistance, nous ne vous abandonnerons jamais, nous traiterons les blessures. Le dossier de la reconstruction ne sera pas une porte pour le chantage politique".
Un certain nombre de membres du Bureau politique du mouvement du Hamas et les dirigeants du mouvement ont rencontré hier soir les habitants du village de Wadi Gaza dans l'école du village et ont inspecté la taille de la destruction, avant avoir mené une série de visites aux familles qui se sont exposées aux massacres dans le village de Zawaida, Deir al-Balah, Nussirat, Maghazi et Bureidj.
Haniyeh a décrit le village de Juhr Dick comme l'une des portes de la fermeté et la victoire dans la bataille, saluant l'héroïsme de la résistance dans le village.
Il a déclaré que son mouvement poursuivait les jours de la fermeté dans le village, quand l'occupation a échoué à confronter la résistance, et donc elle a détruit les maisons dans une équation: "La résistance nous unifie et l'échec nous divise", ce qui a été déterminé dans le Wadi Gaza.
De son côté, Salem Abou Obada, le maire de Wadi Gaza a déclaré que la bataille  est la première étape de la libération, appelant le Hamas et la résistance à se tenir aux côtés du village dans le dossier de la construction et à le soutenir par tous les moyens comme ce qui s'est passé après la guerre d'al-Furqan.
Les dirigeants et les invités ont effectué une visite dans plusieurs maisons de martyrs dans la province.
Khalil al-Hayya, l'éminent leader du Hamas qui a prononcé le discours du Hamas, a déclaré que l'occupation voulait isoler Gaza et sa résistance en profitant de la situation du monde arabe préoccupé par ses problèmes.

L’Europe appelle à la levée du blocus pour éviter un retour à la « violence »

L’ambassadeur de l’Union Européenne en Israël, Lars Anderson, a mis en garde contre la reprise de ce qu’il a appelé des « actes de violence entre Israël et les Palestiniens » dans la bande de Gaza, suite aux énormes dégâts causés par la dernière offensive sioniste.
Dans le journal sioniste Yediot Aharonot, Anderson a appelé mercredi, au nom de l’Union européenne, à reprendre les négociations au Caire pour éviter un retour à l’instabilité dans un mois ou un an.
« Il y a unanimité au sein du Conseil européen pour ne pas permettre un retour à la situation précédente, et il faut confirmer la levée du blocus imposé aux gazaouis, tout en assurant parallèlement la sécurité des israéliens. », a-t-il ajouté.
L’agression sioniste sur la bande de Gaza a été lancée le 7 juillet dernier pour une durée de 51 jours, elle a causé 2150 morts et 11100 blessés, ainsi que la destruction de milliers de logements. L’offensive s’est arrêtée avec un accord de cessez le feu parrainé par l’Egypte le 27 août.

Jérusalem : Deux colons blessés par des pierres

Deux colons ont été blessés par des jets de pierres la nuit dernière, alors qu’ils étaient dans un autocar transportant des colons au nord-ouest de Jérusalem occupée.
La radio de l’occupation a indiqué que l’un des colons a été légèrement blessé par des débris de verre de l’autocar.
Une voiture de colon a également été la cible de jets de pierre alors qu’elle passait par le quartier de Wadi Juz à l’est de Jérusalem. L’un des passagers a été légèrement blessé.
Toujours selon la radio, jeudi, le tramway de Jérusalem a été touché par des pierres deux fois quand il traversait le quartier de Shuafat, lui causant de légers dommages.
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La marine israélienne continue de violer la trêve et cible les pêcheurs de Gaza

Les canonnières israéliennes ont ouvert le feu vendredi matin en direction des barques des pêcheurs devant les côtes de l’ouest de Gaza-ville, violant une fois de plus la trêve.
L’agence locale Safa a rapporté de témoins oculaires que les régates de l’occupation ont tiré vers les rives de Gaza, en particulier face à la zone « soudanaise ». Elle a indiqué qu’aucun blessé parmi les pêcheurs n’a été signalé.
Ce ciblage s’inscrit dans une série de violations commises par l’occupation de l’accord de cessez-le-feu signé le 26 août dernier, et qui stipulait entre autres l’augmentation de la zone de pêche de 6 à 12 miles.
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USA : Nous avons convenu avec Israël de reconstruire Gaza et de renforcer l’AP

Les Etats-Unis ont annoncé vendredi s’être entendus avec l’entité sioniste sur la nécessité de lancer rapidement la reconstruction de la bande de Gaza après les importants dégâts causés par la dernière offensive sioniste.
Selon un communiqué du ministère américain des Affaires étrangères rapporté par la radio publique israélienne, les Etats-Unis et Israël ont tous les deux insisté sur l’importance de renforcer l’AP à cet égard.
Le document affirme que Washington a mis l’accent sur l’importance de parvenir à un accord de longue durée entre Israël et les Palestiniens, suite à la dernière tournée dans la bande de Gaza.