vendredi 21 mai 2010

Nakba perpétuée pour les Palestiniens (interview de la chanteuse palestinienne Rim Banna)

Malika Malini, pour le Palestine Monitor
publié le jeudi 20 mai 2010.
http://www.palestinemonitor.org/spip/spip.php?article1405
18 mai 2010
Des manifestations ont été organisées cette semaine à travers tous les territoires palestiniens occupés pour commémorer le 62ème anniversaire de la Nabka, durant laquelle des centaines de milliers de Palestiniens ont été déplacés par la force de leurs maisons et de leur patrie.
Le Palestine Monitor a interviewé la chanteuse palestinienne Rim Banna.
Rim Banna chante l’air d’Onadikum, célèbre ballade de la tradition folklorique palestinienne, tandis que derrière la scène, l’armée israélienne patrouille à l’entrée d’Al-Masara. Ce village de Cisjordanie se trouve à 13 km de Bethlehem et, comme les 8 autres villages de la région, est complètement encerclé par la colonie israélienne illégale d’Efrat (qui fait partie du bloc Gush Etzion).
À Al-Masara, vendredi, cette chanteuse palestinienne internationalement connue a ouvert le rassemblement pour la commémoration de la Nakba, événement organisé par le comité local avec le soutien de la Commission de Coordination de la Lutte Populaire et en coopération avec le ministre de la culture, Siham Barghouthi. Comme l’a dit Mahmoud Zawhre, chef du Comité Populaire, "qui dit oppression israélienne dit également oppression de la culture, de la musique et du patrimoine palestiniens".
"La culture nationale fait partie de la résistance populaire, et la musique est un outil important pour l’affirmation de notre identité culturelle", affirme Rim, dont le répertoire comprend de la poésie palestinienne moderne et des chants traditionnels. Grâce à son travail, beaucoup de chansons et de ritournelles n’ont pas sombré dans l’oubli et sont toujours très populaires parmi les Palestiniens. "Nous avons notre histoire, notre patrimoine, nos récits et c’est aussi en préservant notre culture que nous combattons l’occupation. Regardez ce que nous avons fait aujourd’hui. Nous avons monté une scène, nous avons chanté et dansé devant des soldats. La préservation de la culture est essentielle pour insuffler notre état d’origine aux nouvelles générations, pour qu’elles se rappellent ce qui est arrivé en 1948 mais également pour qu’elles jouent un rôle actif dans ce processus de prise de conscience.". Rim ne se voit pas uniquement comme une artiste : "Je suis une combattante avant d’être une chanteuse. J’ai un don —ma voix— et je l’utilise comme une arme contre l’occupation israélienne".
Rim, qui a participé à plusieurs éditions du "Festival de la Journée de la Terre" et d’autres célébrations politiques nationales, trouve l’inspiration de ses chansons dans la souffrance des Palestiniens, et essaie de rendre en musique la vie quotidienne de son peuple. Le 15 mai 2010 marque l’anniversaire de la Nakba, La Grande Catastrophe pour plus de 700 000 Palestiniens, qui ont été exilés de leurs propres terres et maisons en conséquence directe de la fondation de l’état d’Israël. Les trois tentes montées à Al-Masara symbolisent 62 ans de dépossession et rappellent les villages dont les habitants sont devenus des réfugiés.
Mêlant art et protestation, la célébration de la Nakba à Al–Masara a été suivie par d’autres villages partout en Cisjordanie, à Nebi Saleh, à Ni’lin, à Bi’lin, et aussi, non loin de là, à Ramallah, où des militants israéliens et internationaux se sont joints aux Palestiniens pour manifester ensemble près de la barrière et de la porte qui sépare les villageois de leurs terres agricoles. Les militants portaient une grosse clé symbolisant le droit au retour et étaient accompagnés de manifestants habillés en Handala, créature du caricaturiste Naji Al-Ali, l’enfant réfugié qui reste un puissant symbole de la lutte du peuple palestinien pour la justice et l’autodétermination.
Plusieurs événements et rassemblements avaient été organisées pour le vendredi et le samedi : veillées à la bougie dans tous les camps de réfugiés, expos-photos avec images des villages détruits par l’armée sioniste. Des manifestations plus importantes et plus nombreuses se sont déroulées le dimanche et le lundi à Jérusalem, Naplouse, Jénine, Hébron, Jéricho et Ramallah.
Pendant ce temps-là, partout en Israël, le nombre de drapeaux israéliens a doublé, voire triplé, dans le but d’en réaffirmer la fierté nationaliste. Ironiquement, le vendredi, un pavillon israélien flambant neuf flottait sur le capot des véhicules militaires qui bloquaient l’entrée du village d’Al-Masara. Comme Israël célèbre ses 62 ans d’Indépendance, plusieurs organisations des droits de l’homme avaient prévenu que les Israéliens tenteraient encore de priver les Palestiniens du droit sacré de se souvenir de leur histoire tragique. La Knesset israélienne a adopté en première lecture le projet de loi "Nakba" en avril. Cette loi discriminatoire supplémentaire, proposée par le parti nationaliste du [parti de] Libermann, Yisrael Beitenu, annulera des subventions ou prononcera des sanctions économiques contre les groupes qui organisent des commémorations de deuil le jour de la Fête de l’Indépendance en Israël. Le slogan "Leur indépendance, Notre Nakba" sera considéré comme illégal.
http://www.protection-palestine.org/spip.php?article8842 

Les Etats-Unis ont confisqué les biens d’opposants à leur politique en Irak et au Liban

20 mai 2010
par Michel Chossudovsky*, Matthew Rothschild*
Depuis 2007, les Etats-Unis ont procédé la confiscation des biens de personnes qui s’opposent à leur politique en Irak et au Liban. Cette mesure a été appliquée aussi bien à des nationaux qu’à des étrangers ; que leur opposition ait pris une forme violente ou non. Ces dispositions, prises par l’administration Bush, ont été prorogées par l’administration Obama. Elles violent aussi bien la Constitution des Etats-Unis que le Pacte des droits civils et politique de l’ONU, dont Washington est pourtant signataire.
Le président Bush a signé deux décrets permettant au département du Trésor des Etats-Unis de confisquer les biens de toute personne perçue comme une menace directe ou indirecte pour les opérations des Etats-Unis au Proche-Orient. Le premier, intitulé « Saisie des propriétés de certaines personnes qui menacent les efforts de stabilisation en Irak », signé par Bush le 17 juillet 2007 [1], autorise le secrétaire au Trésor à confisquer, après consultation avec le secrétaire d’Etat et le secrétaire à la Défense, les biens des citoyens ou des organisations qui, « directement ou indirectement », font courir des risques aux opérations menées par les Etats-Unis en Irak.

Les décrets de Bush

« J’ai émis un ordre de saisie des propriétés des personnes dont il est établi 1) qu’elles ont commis ou risquent de commettre un acte ou des actes de violence dont l’intention ou l’effet serait de menacer la paix et la stabilité de l’Irak ou le gouvernement de l’Irak, ou de miner les efforts de reconstruction économique et de réforme politique en Irak ; 2) qu’elles ont aidé sensiblement, ou fourni un appui financier, matériel, logistique ou technique, ou encore des biens et des services, pour soutenir de tels actes de violence ou toute autre personne dont les propriétés ou les intérêts auraient été saisis en vertu de cet ordre… »
Le Titre V de ce décret annonce qu’« en raison de l’existence de moyens permettant de transférer instantanément des fonds ou d’autres biens, tout préavis adressé à ces personnes sur les mesures à prendre contre elles en vertu de ce décret rendrait celles-ci inutiles. Je décide par conséquent (…) qu’il n’est pas nécessaire d’émettre de préavis concernant la programmation ou l’ordre (de saisie des biens)… »
Le 1er août, Bush publiait un décret similaire, intitulé « Saisie des propriétés des personnes qui minent la souveraineté du Liban ou ses processus et institutions démocratiques » [2]. Le texte de ce deuxième décret est en grande partie identique à celui du premier, avec toutefois des dispositions plus sévères :
Dans les deux cas, ces décrets ignorent l’ordre constitutionnel en conférant au département du Trésor l’autorité de confisquer les biens des personnes qui représentent un risque de violence ou qui contribuent de manière non précisée à contrer la politique des Etats-Unis. Par contre le décret du 1er août est dirigé contre toute personne ayant réalisé un acte ou représentant une menace significative d’action, violente ou non violente, conspirant contre les opérations au Liban. La loi autorise aussi à confisquer les biens « d’un conjoint ou d’un enfant dépendant » de toute personne dont les propriétés auraient été saisies. Le décret concernant le Liban interdit aussi de fournir aliments, toit, médicaments ou toute autre forme d’aide humanitaire aux personnes dont les biens ont été confisqués et à leurs « enfants dépendants ».
Les termes vagues de ce décret anticonstitutionnel, dangereusement ouverts à toute interprétation, permettent de choisir arbitrairement un citoyen états-unien et de le dépouiller de tous ses biens en le soumettant de surcroît à l’ostracisme. Bruce Fein, avocat constitutionnaliste et ex-fonctionnaire du département de Justice sous l’administration Reagan, ne cache pas son étonnement : « Le texte est si général qu’il vous plonge dans la stupéfaction. Je n’ai jamais rien vu d’aussi vague. Cela va au-delà du terrorisme, du recours à la violence ou de la menace de violence pour faire peur à la population ou l’intimider. »
Dans un éditorial pour le Washington Times, Fein signale : « La personne dont les biens sont saisis est traitée plus ou moins comme un lépreux. Les sentences de mort financière sont imposées par le département du Trésor sans préavis, ni possibilité de contestation, c’est-à-dire qu’il n’y a plus de place pour le recours en justice. Cette mesure frappe comme la foudre. Quarantaine immédiate et absolue pour toute personne dont les biens sont confisqués. La victime ne peut recevoir d’aide, ni ses bienfaiteurs lui envoyer de fonds, de marchandises, de services d’aucune sorte. Un avocat ne peut pas lui offrir ses services sans défier le décret. Un médecin ne peut pas non plus prodiguer de soins en cas d’arrêt cardiaque (…) Le département de la Justice a habituellement pour mission d’examiner les décrets émanant de l’exécutif pour vérifier qu’ils sont compatibles avec la Constitution. Le Procureur général a-t-il sombré dans le sommeil ? » [3]

Mise à jour de Matt Rothschild

Cette nouvelle a été, que je sache, pratiquement ignorée des principaux médias. Lorsque je suis parti en tournée dans le pays pour donner des conférences, l’été dernier et que j’ai évoqué la question de ces décrets émanant de l’exécutif, les gens avaient du mal à y croire et se demandaient pourquoi ils n’en avaient jamais entendu parler. Je me pose encore la même question.
Voici deux sites où trouver de l’information sur ce sujet : The American Civil Liberties Union et The Center for Constitutional Rights.
Sources
• Global Research, juillet 2007
Titre : “Bush Executive Order : Criminalizing the Antiwar Movement
Auteur : Prof. Michel Chossudovsky
The Progressive, août 2007
Titre : “Bush’s Executive Order on Lebanon Even Worse Than the One on Iraq
Auteur : Matthew Rothschild
• Etudiants chercheurs : Chris Navarre et Jennifer Routh
• Tuteur : Amy Kittlestrom, Ph.D

Précision du Réseau Voltaire
Plusieurs collaborateurs du Réseau Voltaire ont été frappés par les décrets présidentiels 13438 et 13441 en raison de leur soutien intellectuel ou matériel aux mouvements de résistance au Proche-Orient.
C’est également à ce titre que Thierry Meyssan, président du Réseau Voltaire, a perdu la possibilité d’engager un recours contre son premier éditeur qui a volé la rémunération de ses ouvrages en les transférant dans une filiale aux Etats-Unis. Et c’est toujours à ce titre que Washington a sollicité l’aide des Etats membres de l’OTAN à l’encontre de Thierry Meyssan (cf.« Si j’avais plié, je n’aurais pas eu à partir »).
Michel Chossudovsky
Directeur du Centre de recherche sur la mondialisation à l’université d’Ottawa (Canada). Editeur du site multilingue Mondialisation. Dernier ouvrage publié en français : Mondialisation de la pauvreté et nouvel ordre mondial.
http://www.voltairenet.org/article165465.html 

Blocus de Gaza: Israël va intercepter une flottille humanitaire internationale

TEL AVIV, 20 mai - RIA Novosti
L'armée israélienne se prépare à intercepter en Méditerranée huit navires avec plusieurs centaines de défenseurs des droits de l'homme et une cargaison humanitaire se dirigeant vers la bande de Gaza bloquée par Israël depuis 2007, a annoncé jeudi la radio Kol Israel ("La voix d'Israël").
"Le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a ordonné à la Marine de se préparer à l'opération qui se tiendra avec la participation de forces importantes en raison du grand nombre de navires (à intercepter)", a rapporté la radio.
La "Flottille de la liberté" est la plus importante opération d'octroi d'une aide humanitaire internationale à l'enclave palestinienne qui subit le blocus économique égypto-israélien depuis que le mouvement Hamas a arraché le pouvoir à Gaza au Fatah de Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, en été 2007.
Des parlementaires européens, des ecclésiastiques, des lords britanniques et même des prix Nobels se sont rendus sans encombres dans la bande de Gaza lors des actions humanitaires précédentes. Mais les autorités israéliennes ont commencé à intercepter les navires humanitaires au large de la bande de Gaza en 2009. Selon Israël, il existe assez de possibilités légales d'acheminer des cargaisons humanitaires aux 1,5 million de Palestiniens de Gaza qui ont reçu 14.000 tonnes d'aide la semaine dernière.
http://fr.rian.ru/world/20100520/186735209.html

Le Hezbollah hausse le ton contre le représentant de l'ONU

20 Mai 2010 22:36 
IRIB - Le Hezbollah libanais qualifie d'ignobles les derniers propos d'un responsable onusien sur les agressions d'Israël contre le Liban. Robert H. Serry, Coordonnateur pour le processus de paix au Moyen-Orient et Représentant spécial du Secrétaire general, a récemment, jugé peu importantes les agressions quotidiennes des sionistes contre l'espace aérien libanais, demandant, par ailleurs au Hezbollah de mettre fin à ses protestations dans ce domaine. A la suite des derniers propos de ce responsable de l'ONU, le Hezbollah a accusé, dans un communiqué, l'ONU de soutenir les usurpateurs sionistes. 

Qahira Saadi, Salah Hammouri et les autres


Palestine - 20-05-2010
Par Rim al Khatib 
Qahira Saadi, jeune palestinienne, mère de quatre enfants, est détenue prisonnière par l'Etat sioniste depuis 9 ans. Elle est condamnée à plusieurs perpétuités, ayant été accusée de préparer une opération martyre. Qahira Saadi est du camp de Jénine, camp martyr de la brutalité sioniste, dont le massacre perpétré par l'armée sioniste a soulevé l'émotion de l'opinion internationale, en 2002.


















Qahira Saadi n'a pu assister aux fiançailles de sa fille aînée, Sandy. Elle n'a pas été libérée avec les autres prisonnières, suite à la diffusion de la bande sur le soldat colon sioniste capturé par la résistance à Gaza, il y a quelques mois. Avec trente trois autres prisonnières, elle a participé à la grève de la faim des prisonniers, au mois d'avril dernier et aujourd'hui, elle en subit les conséquences, le régime colonial ayant décidé de sévir plus durement encore contre les prisonniers. Elle attend sa libération grâce à l'échange du soldat colon contre plus d'un millier de prisonniers que la résistance palestinienne promet.
Qahira Saadi n'a pas la chance d'avoir la nationalité française, tout comme ne l'ont pas les milliers de prisonniers palestiniens et arabes dans les geôles de l'Etat-colon. elle n'a pas non plus la chance d'appartenir à cette élite palestinienne qui promet une "paix" entre la Palestine et l'Etat-colon. C'est pourquoi elle n'a pas la chance d'être connue par le public français, ni de faire parler d'elle à Sarkozy, aux députés français, aux ministres français, ou tout simplement dans les médias français.
Mais comme des milliers de prisonniers palestiniens dans les geôles de l'occupation, elle a la chance que son nom n'ait pas été associé à celui d'une française ayant chercher à déstabiliser un régime populaire, celui de la république islamique d'Iran, ni à celui d'un colon soldat qui a participé au massacre de son peuple à Gaza. Elle a la chance d'avoir gardé sa dignité de prisonnière dans les geôles de l'occupation, sa dignité de palestinienne ayant combattu les occupants sionistes qui ont détruit sa famille, son village d'origine, son camp, son peuple.
Qahira Saadi est une prisonnière palestinienne, une combattante de la liberté, comme Salah Hammouri, Marwan Barghouty, Ahlam Tamimi, Ahmad Saadate, Abdallah Barghouty, Na'il Barghouty, Fouad Razim et les autres. Ce n'est ni l'appel à Sarkozy ou aux officiels français, ni l'amalgame indigne entre eux et d'autres Français, sionistes ou colonialistes, ni les concessions politiques faites à l'arrogance et la complicité françaises, qui les rendront à leur famille et leur peuple. Ils ne peuvent se sentir concernés par des appels ou des campagnes qui dénaturent leur combat.
C'est pourquoi, comme tous les prisonniers palestiniens et arabes détenus dans les geôles de l'occupation sioniste, Qahira Saadi ne peut compter que sur Dieu, d'abord, puis sur la résistance de son peuple, pour retrouver sa liberté.
http://www.ism-france.org/news/article.php?id=13838&type=analyse&lesujet=Prisonniers

Mitchell échoue à arracher à Netanyahu des "gestes de bonne volonté

20/05/2010  
L'émissaire américain George Mitchell a subi un nouveau revers en échouant à arracher au premier ministre israélien des "gestes de bonne volonté". 
Achevant sa visite dans la région, sans enregistrer des progrès, Mitchell s'est entretenu le matin à Jérusalem occupée avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, au lendemain d'une rencontre à Ramallah en Cisjordanie occupée avec le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.  
Aucun détail n'a été donné de sources officielles israélienne sur l'évolution des discussions ni sur la date d'une éventuelle prochaine visite de M. Mitchell. Le bureau de Netanyahu s'est borné à annoncer la fin de la rencontre.
Or avant cette rencontre, la radio militaire israélienne, avait révélé que Netanyahu devait présenter une liste de "gestes de bonne volonté" à Mitchell.  
Parmi ces gestes, la radio a cité: la libération de détenus palestiniens, le transfert du contrôle de nouveaux secteurs et localités de Cisjordanie à l'Autorité palestinienne, la levée de quelques-uns des centaines de barrages routiers de l'armée israélienne en Cisjordanie ainsi qu'un feu vert de principe à la construction d'une route de près de 3 km devant relier Ramallah à Rawabi, une ville nouvelle que les Palestiniens veulent ériger dans ce secteur.
Notons que ces négociations, dites "de proximité", ont été lancées le 9 mai dans un climat de scepticisme général et doivent durer quatre mois pendant lesquels Mitchell effectuera des navettes entre Jérusalem, Ramallah et Washington.  
Mais à peine commencés, les pourparlers indirects ont achoppé sur le contentieux des colonies juives, "Israël" refusant de s'engager à un gel de la colonisation à l'Est de Jérusalem occupée.   
Les discussions avaient d'ailleurs connu un faux départ en mars après l'annonce par Israël de la construction de 1.600 nouveaux logements dans une colonie à l'Est de Jérusalem occupée. 

Les députés européens interdits de Gaza

publié le jeudi 20 mai 2010
Nicole Kiil Nielsen

 
Une importante délégation parlementaire européenne, comprenant les commissions des Affaires étrangères, du Développement et du Budget, doit se rendre en Israël et dans les territoires palestiniens occupés du 24 au 27 mai. Nous devions nous rendre à Gaza, or l’Ambassadeur d’Israël vient de nous faire savoir que cette visite n’aurait pas lieu.
En décembre dernier, une mission des parlementaires européens membres de la Délégation entre l’Union européenne et le Conseil législatif palestinien, dont je faisais partie, devait se rendre à Gaza. Au dernier moment on nous a interdit de nous y rendre. Nous avions pris cela comme un affront. Le président du Parlement, Jerzy Buzek, avait même envoyé un courrier de protestation au Premier Ministre israélien.
Malheureusement l’histoire se répète, et à plus grande échelle. Une importante délégation parlementaire européenne, comprenant les commissions des Affaires étrangères, du Développement et du Budget, doit se rendre en Israël et dans les territoires palestiniens occupés du 24 au 27 mai. Nous devions nous rendre à Gaza, or l’Ambassadeur d’Israël vient de nous faire savoir que cette visite n’aurait pas lieu. Le gouvernement israélien refuse désormais que des délégations politiques transitent par Israël pour entrer à Gaza.
C’est une décision scandaleuse et inacceptable pour trois raisons. Tout d’abord, l’Union européenne finance très largement Gaza. 180 millions d’euros déjà pour les quatre premiers mois de 2010. La transparence de l’utilisation de ces fonds est une exigence normale. Il nous faut donc nous rendre sur place pour enquêter et en rendre compte auprès des citoyens européens. Nous devons en outre y rencontrer l’UNRWA (Office des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient) qui a fait un appel de détresse au Parlement européen récemment pour informer d’un manque énorme de fonds pour 2010. La très grande majorité (1,1 millions sur les 1,5 millions) des habitants de la bande de Gaza sont en effet des réfugiés.
Ensuite, suite à l’agression militaire de janvier 2009, nous sommes également interpellés sur la question humanitaire. Il est tout à fait normal que l’on aille se rendre compte de la situation de vie des Gazaouis, a fortiori dans le contexte du rapport Goldstone, dont nous exigeons l’application des recommandations.
Enfin, non seulement on nous interdit de nous rendre à Gaza, mais l’Ambassadeur d’Israël s’est aussi permis de remettre en cause le programme de la délégation en Cisjordanie et en Israël. Il a ainsi questionné nos rencontres prévues avec des ONG israéliennes de défense des droits humains, et tout particulièrement la rencontre à Jérusalem-Est avec Saeb Erakat, négociateur palestinien des accords de paix. Cette dernière rencontre nous serait même interdite semble-t-il parce qu’Israël refuse d’autoriser les rencontres de haut niveau entre la Communauté internationale et les autorités palestiniennes à Jérusalem-Est ! Or Jérusalem-Est ne fait pas partie d’Israël selon le droit international.
Les députés de la délégation sont profondément choqués par ces méthodes et cette intrusion dans notre programme. Nous sommes parlementaires et avons le droit de choisir nos interlocuteurs. Par conséquent nous avons pris des contacts avec les autorités égyptiennes. Grâce à leur accord, nous allons faire un circuit palestinien via l’Egypte. Les députés sont déterminés à aller à Gaza et à ne pas se laisser imposer leur agenda par Israël. Il en va de l’honneur de l’Europe.
Nicole Kiil Nielsen est députée européenne, chez les Verts

Israël relâche un député du Hamas après quatre ans de prison

21/05/2010
Israël a relâché hier un député du mouvement palestinien Hamas arrêté il y a près de quatre ans après la capture du soldat israélien Gilad Shalit par un commando palestinien, ont indiqué les autorités pénitentiaires israéliennes. Mohammad Abou Teir a purgé sa peine après avoir été reconnu coupable « d'appartenance à une organisation illégale » et « d'activités hostiles et terroristes », a affirmé à l'AFP une porte-parole de ces autorités. Il a été relâché un mois plus tôt pour des raisons administratives.

Israël évoque, sous conditions, des « gestes de bonne volonté »

21/05/2010
Le Premier ministre israélien se dit prêt à faire des « gestes de bonne volonté » envers les Palestiniens, mais qui ne seraient appliqués qu'en fonction des progrès réalisés dans les discussions.
'émissaire américain George Mitchell a achevé hier une nouvelle série de discussions avec Israël et les Palestiniens dans le cadre des pourparlers de paix indirects entre les deux protagonistes, a-t-on appris de source diplomatique américaine. M. Mitchell s'est entretenu le matin durant trois heures à Jérusalem avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, au lendemain d'une rencontre à Ramallah en Cisjordanie occupée avec le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Aucun détail n'a été donné de sources officielles israélienne ou palestinienne sur l'évolution des discussions, ni sur la date d'une éventuelle prochaine mission de M. Mitchell.
Selon un communiqué du bureau du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu a évoqué hier la possibilité pour l'État hébreu de faire des « gestes de bonne volonté » envers les Palestiniens, lors de sa rencontre avec M. Mitchell. Ces gestes ne seraient toutefois appliqués qu'en fonction des progrès réalisés dans les discussions, selon la radio militaire israélienne.
Parmi ces gestes figurent la libération de détenus palestiniens, le transfert du contrôle de nouveaux secteurs et localités de Cisjordanie à l'Autorité palestinienne, la levée de quelques-uns des centaines de barrages routiers de l'armée en Cisjordanie ainsi qu'un feu vert de principe à la construction d'une route de près de 3 km devant relier Ramallah à Rawabi, une ville nouvelle que les Palestiniens veulent ériger dans ce secteur.
Le Premier ministre israélien a souligné qu'Israël attendait de la direction palestinienne « qu'elle s'emploie à donner une atmosphère positive aux entretiens et ne mène pas une campagne internationale contre Israël comme elle l'a fait pour empêcher son adhésion à l'OCDE ». La rencontre avec M. Mitchell a été en outre consacrée « à la question de l'eau » en Cisjordanie, un des dossiers-clés du conflit israélo-palestinien.
Ces négociations, dites « de proximité », ont été lancées le 9 mai dans un climat de scepticisme général et doivent durer quatre mois pendant lesquels M. Mitchell effectuera des navettes entre Jérusalem, Ramallah et Washington. M. Netanyahu s'est déclaré à plusieurs reprises favorable à un passage rapide des discussions de « proximité » à des négociations directes, seul moyen selon lui de parvenir à un accord.
Les États-Unis s'efforcent depuis plusieurs mois de relancer le processus de paix, gelé depuis décembre 2008 après l'offensive israélienne contre le mouvement islamiste palestinien Hamas à Gaza. Mais à peine commencés, les pourparlers indirects ont achoppé sur le contentieux des colonies juives, Israël refusant de s'engager à un gel de la colonisation à Jérusalem-Est annexée. Les discussions avaient d'ailleurs connu un faux départ en mars après l'annonce par Israël de la construction de 1 600 nouveaux logements dans un quartier de colonisation à Jérusalem-Est. L'annexion de Jérusalem-Est par Israël en 1967, suivie par des constructions massives dans de nouveaux quartiers de colonisation, n'a jamais été reconnue par la communauté internationale.
Les Palestiniens, qui affirment avoir reçu des « garanties » des États-Unis concernant la colonisation avant de se lancer dans des pourparlers indirects, veulent faire de Jérusalem-Est la capitale de leur futur État.
Le président américain Barack Obama a récemment averti les deux parties qu'il les tiendrait pour responsables de toute initiative ayant pour effet de saper les efforts diplomatiques américains. 

Le mur raciste sioniste isole 154 mille Maqdissins de leur ville sainte d’Al Qods occupée

[ 20/05/2010 - 12:09 ]
Beyrouth- CPI

Un rapport élaboré par l’association internationale d’Al Qods occupée a souligné que les autorités occupantes israéliennes s’occupent d’une manière avantageuse à accomplir la construction du mur de séparation raciste (d’apartheid) en Cisjordanie, ce qui a isolé totalement plus de 154 mille palestiniens de leur ville sainte, en paralysant le processus d’enseignements des enfants palestiniens.
Dans un rapport publié récemment par l’association à propos de la situation  du système d’enseignement dans la ville d’Al Qods, a affirmé que la situation très dure qui frappe le domaine économique et sociale que l’occupation israélienne a causée, influe d’une manière directe ou  indirecte sur le système éducatif en général, ainsi elle a poussé les enfants palestiniens à fuir leur enseignement et s’engager à des réseaux de stupéfiants et de drogues.
Le rapport a indiqué que les autorités sionistes exercent une politique scandaleuse et raciste  vis-à-vis les écoles de la partie Est d’Al Qods occupée par rapport à celles de sa partie-Ouest, en sabotant le système éducatif d’une manière complète dans l’Est.

Un colonel sioniste se suicide à balle à la tête

[ 20/05/2010 - 11:59 ]
Al Nassera- CPI

Un colonel  dans l’armée de l’occupation israélienne s’est suicidé , le mercredi 19/5, en tirant une balle à sa tête.
La radio hébreu a rapporté dans sa brève qu’un colonel a mis terme à sa vie hier mercredi, dans le sud de la ville de Haïfa, aux territoires palestiniens occupés 1948, tout en indiquant que l’armée a informé sa famille de son suicide avant de propager l’information dans les médias.
La radio a souligné des sources militaires que le colonel que l’armée sioniste n’a pas encore annoncé son identité, a dirigé plusieurs postes dans l’organisme des renseignements, dans l’administration de les deux régions, nord et sud, limitrophe au sud du Liban et celles en voisinages avec de la bande de Gaza, en indiquant qu'une enquête a été entamée à cet égard.

Un plan sioniste pour fixer des colons aux alentours d'al-Aqsa

[ 20/05/2010 - 13:54 ]
Al-Qods occupée – CPI

L'organisation d'al-Aqsa pour le patrimoine et les legs pieux a su que l'occupation a l'intention de fixer prochainement des centaines de colons sionistes dans de nouveaux bâtiments contrôlés par la Jordanie avant l'occupation en 196,  dans le quartier de Ras al-Amoud, à la ville occupée d'al-Qods.
Elle a déclaré que ces bâtiments seront annexés aux autres unités coloniales, dans la même région et que l'occupation va les relier par un pont.
L'Association a accusé l'occupation d'accentuer ses travaux coloniaux et de judaïsation aux alentours d'al-Aqsa, notamment dans le quartier de Ras al-Amoud qui contrôle la mosquée sainte.
Dans un communiqué publié le mercredi 19/5, l'organisation a affirmé que les travaux de réparation de ces bâtiments sont continuels et que l'occupation installe des dizaines d'avant-postes et de projets coloniaux sur les collines qui encadrent al-Aqsa comme la région d'al-Tour du côté Est et dans la région du Castel d'al-Qods à l'Ouest, ainsi que les projets de judaïsation dans le village de Selwan au sud d'al-Aqsa.
Elle a souligné que l'occupation essaye à imposer une clôture colonial autour al-Aqsa,  dans une tentative de l'isoler de la mosquée sainte de l'a vieille ville d'al-Qods occupée qui représente la première ligne de défense d'al-Aqsa.
Finalement, le communiqué a dit que les autorités sionistes effectuent ces projets en secret et sous une garde militaire renforcée qui empêche chaque personne ou journaliste de s'y raprocher.

L'occupation a démoli 1200 mosquées historiques depuis la Nakba en 1948

[ 20/05/2010 - 13:42 ]
Al-Sabil jordanien – CPI

Des spécialistes palestiniens, historiens et archéologues ont affirmé la nécessité du travail sur le niveau juridique arabe et international pour sauver les patrimoines de la Palestine qui s'exposent à la judaïsation et à la confiscation par l'entité sioniste.
Ils ont attiré l'attention que l'occupation s'est emparée de la majorité des patrimoines palestiniens à travers d'une vaste campagne de judaïsme et colonialisme, depuis la Nakba palestinienne en 1948, visant d'y confisquer tout l'aspect historique et islamique.
Lors d'une réunion intitulée "Les patrimoines de la Palestine, la judaïsation et la protection" organisée par le ministère de la culture et du tourisme et des antiquités, dans le cadre des activités de la Célèbration de la Nakba, ces spécialistes ont dit que l'occupation a démoli 1200 mosquées historiques en Palestiniens dès 1948, s'est emparée des centaines de mosquées, cimetières et villages,  en les transformant aux lieux judaïque .

L'occupation démolit des maisons arabes au Néguev

[ 20/05/2010 - 14:03 ]
Palestiniens de 48 – CPI

Après qu'on a dévoilé l'intention du ministère sioniste d'habitat d'organiser une tournée pour les entrepreneurs dans les villages arabes au Néguev, aux territoires palestiniens occupés en 1948,  pour qu'ils se présentent à des dons afin de démolir des maisons arabes, l'équipe du conseil régional des villages non reconnus dans le Néguev a tenu une séance urgente, afin de planifier les moyens qui empêcheront la démolition des maisons arabes.
Le conseil a pris plusieurs décisions dont la tenue des réunions avec les habitants des villages ciblés, pour les mettre au courant des vrais dangers plans sionistes qui visent leurs villages, ainsi de chercher la riposte conforme aux violations accentuées de l'occupaiton, notamment de se soulever dont l'augmentation des manifestations et de protester sur les carrefours des routes.

Noufal vit des conditions très difficiles dans les prisons égyptiennes

[ 20/05/2010 - 14:40 ]
Le Caire – CPI

Des sources sécuritaires égyptiennes ont dévoilé que le Citoyen palestinien Aymein Noufal, l'un des habitants de la Bande de Gaza et qui a été enlevé dans les prisons sioniste depuis plusieurs années, s'expose aux tortures de ses geôliers sous des conditions très difficiles aux prisons égyptiennes, tout en le privant du minimum de ses droits.
Un officier égyptien aux services de la sécurité d'état a dit: "J'ai connu le détenu Aymein Noufal à travers les masses médias et je lui ai vu deux fois lorsqu'on l'était dans le poste d'intérrogatoire, avec les pieds et poignets enchaînés.
"J'ai pu savoir que Noufal a été emprisonné pour un an et demi dans une petite cellule de deux mètres carrés dans la prison d'Abou Za'bel au Caire" a-t-il ajouté.
L'officier a poursuivi que le détenu Noufal a été emprisonné avec un autre captif palestinien proche du Hamas dans une cellule similaire dans la prison d'al-Marj au Caire durant les derniers six mois.
Il a ajout:"Je lui ai vu, une autre fois,  porter sur deux soldats dans le département d'enquête parce qu'il n'a pas pu marcher car il a été violement torturé et d'une manière continuelle. 
L'officier égyptien a dévoilé dans une déclaration de presse à l'agence de Qods Presse, des ordres qui sont arrivées aux départements de l'arrestation des Palestiniens dans la prison d'al-Marj, Bour al-Arab, Abou Z'abel et de la sécurité d'état au Caire pour renforcer les mesures et les tortures contre les détenus palestiniens, notamment ceux proches du Hamas, sous prétexte qu'il a refuse la signature sur la fouille égyptienne.

Une délégation du Djihad au Caire pour discuter le dossier de ses captifs

[ 20/05/2010 - 14:45 ]
Gaza – CPI

Des sources proches du mouvement du Djihad islamique en Palestine, ont affirmé que le leader du mouvement, Nafed Azzam s'est dirigé, le mercredi 19/5, à la capitale égyptienne, le Caire, pour discuter le dossier des captifs du mouvement, dans les prisons égyptiennes,  après qu'ils ont été arrêtés lors de leur retour vers la Bande de Gaza.
Le porte-parole du Djihad islamique, Daoud Chehab, a dit, le mercredi 19/5, dans une déclaration de presse, qu'Azzam s'est dirigé au Caire sur la base d'un appel égyptien pour discuter le dossier des détenus du mouvement à l'Égypte, en niant l'existence des médiations entre les deux côtés.
Il a déclaré que cette visite vient pour mettre fin à ce dossier,  en disant que le nombre des captifs du Djihad islamique dans les prisons égyptiennes atteint 30 personnes.

Le lobby sioniste accuse un candidat au sénat américain d’être pro-palestinien et antisémite

[ 20/05/2010 - 10:54 ]
Al Qods occupée-CPI

« Tom Campbell, le candidat aux élections sénatoriales du parti républicain de l'Etat de Californie, a eu du fil à retordre lors d'un débat face à Carly Fiorina et Chuck DeVore », a rapporté des médias hébreux en indiquant que ses opposant sionistes lui suscitent  des embarras.
Les sources ont souligné que ses opposants l'accuse d'être anti-israélien et anti-sémite et critiquent ses prises de position sur le conflit israélo-palestinien.
Elles ont  ajouté qu’ils  accusent Campbell d'être soutenu par le mouvement palestinien du  Jihad islamique, en soulignant qui aurait même effectué un don pour la campagne du candidat.
De sa part, Tom Campbell a nié les  allégations de ses opposants sionistes en  affirmant qu'il s'agit d'une campagne de diffamation.

Une délégation du Hamas présidée par Mechaal rencontre Al Kadhafi

[ 20/05/2010 - 10:57 ]
Tripoli- CPI

Le membre au bureau politique du Hamas, Ezzat Al Rachek a  annoncé qu’une délégation du Hamas, sous la présidence du chef du bureau politique, M. Khaled Mechaal a rencontré le mercredi soir 19/5, le président libyen, Mouammar Al Kadhafi , à la capital Tripoli, en indiquant qu’il en a ainsi participé avec le membre du bureau, Dr. Sami Abou Zouhri.
Les deux côtés ont discuté les derniers évènements de la scène palestinienne, plus particulièrement le dossier de la réconciliation nationale et les moyens adéquats pour la réaliser, ainsi le blocus arbitraire qui frappe violement la situation humanitaire des habitants de Gaza totalement assiégés depuis plus de 4 ans consécutifs.
« On a débattu les moyens efficaces qui peuvront mener à la levée du blocus, l’ouverture des passages, et la reconstruction des infrastructures du secteur endommagé par la guerre de l’occupation israélienne, en cherchant à faire activer les efforts et initiatives des pays concernés par la crise humanitaire qui rave plus que jamais la vie des Gazaouis », a ainsi souligné le leader du Hamas.
Le dirigeant du Hamas a ajouté que les pourparlers se sont penchés sur la situation critique que vie la ville sainte d’Al Qods occupée qui s’expose d’une manière sans précédent, au judaïsme plus étendu et le colonialisme plus accentué, notamment dans la vieille ville où le reste des palestiniens se trouvent toujours menacer par l’expulsion illégale et raciste au profit des extrémistes sionistes qui pratique le terrorisme programmée et appuyé par les autorités occupantes.