dimanche 13 mars 2011

La coupure du gaz perturbe les relations entre Israël et l’Égypte

Egypte/Israël - 12 mars 2011
Article du 8 mars 2011
Plus d'un mois après que l’Égypte ait interrompu les livraisons de gaz à Israël suite à un soi-disant sabotage dans la péninsule du Sinaï, les autorités israéliennes commencent à s'impatienter et à douter des explications égyptiennes, dit la presse israélienne du 7 mars.
La coupure du gaz perturbe les relations entre Israël et l’Égypte
L’Égypte a suspendu les livraisons de gaz vers Israël et la Jordanie au début de février, en pleine fièvre révolutionnaire et suite à l'explosion d'un gazoduc dans le Sinaï.
Les deux pays sont fortement tributaires des ressources énergétiques que leur vend Le Caire. Le gaz égyptien représente 40% de l'approvisionnement israélien et jusqu'à 80% de l'électricité jordanienne.
Les autorités égyptiennes ont annoncé, peu après l'explosion dont les causes sont toujours inconnues, que les livraisons reprendraient sous peu. Depuis, Le Caire a reporté cinq fois le rétablissement des livraisons, ce qui a obligé tant Israël que la Jordanie à recourir à leurs réserves en charbon et en diésel. Le week-end dernier, une avarie dans les locaux d'une usine, en face des côtes israéliennes, a laissé le pays sans gaz naturel pendant plusieurs heures, contribuant à aggraver ce que l'on nomme déjà "la crise du gaz" en Israël.
Des sources gouvernementales istaéliennes citées hier par le quotidien Maariv font peu de crédit aux explications égyptiennes, qui imputent les retards à des problèmes techniques dans le gazoduc d'El Arish. Les sources officielles consultées croient que la décision égyptienne cachent des motivations politiques et que les nouveaux dirigeants du Caire craignent de prendre des décisions qui pourraient être interprétées comme favorables à Israël.
L'ambassadeur israélien en Égypte a demandé récemment au chef du gouvernement militaire qui dirige le pays, Hussein Tantaoui, d'ordonner la reprise des livraisons.
Les analystes israéliens redoutent que soient modifiées les conditions de l'accord énergétique, comme celles du traité de paix qu'Israël et l’Égypte ont signé en 1979, suite à la révolution et aux changements de cabinet.
Amos Gilad, haut responsable du ministère de la Défense israélien, se rendra au Caire dans les prochains jours, comme nous l'ont confirmé des sources officielles.
Source : El Pais
Traduction : MR pour ISM

Venant d’Egypte, des matériaux de construction vont bientôt entrer dans Gaza

samedi 12 mars 2011 - 18h:49
Al Qassam Website
La Commission arabe et internationale pour construire la bande de Gaza [Arab and International Commission to Build Gaza - AICBG] a négocié le premier accord jamais formalisé permettant d’amener des matériaux de construction dans la bande de Gaza à travers le poste frontière de Rafah.
(JPG)
Poste frontière de Rafah
L’AICBG a remercié l’armée égyptienne et le nouveau gouvernement en Egypte d’avoir permis qu’un premier sac symbolique de ciment entre officiellement dans la bande de Gaza.
L’accord a été signé par Aloha Palestine, organisation britannique, et la Coalition international égyptienne pour mettre fin au siège et reconstruire la bande de Gaza, après que des militants européens aient obtenu que le premier sac de ciment puisse entrer dans la bande de Gaza via le passage de Rafah, a déclaré le président de l’AICBG Kanaan Abeed.
« L’accord est symbolique. D’autres offres à plus grande échelle seront faites qui permettront de se dispenser de l’obligation de passer par Israël, » a déclaré Abeed dans un communiqué de presse mercredi.
Selon l’accord mis au point lors d’une réunion entre Kanaan Abeed de l’AICBG, Ahmed al-Aasi, directeur de la coalition égyptienne et Ken O’Keefe, directeur général d’Aloha Palestine, la Commission a acheté 10 tonnes de ciment égyptien et l’organisation britannique a été chargée de ramener le matériel dans la bande de Gaza par le biais du passage de Rafah en vertu des règles du commerce international.
Ken O’Keefe a dit qu’il n’y a pas de lois interdisant le passage de l’aide par Rafah et il a confirmé que son organisation serait en mesure d’exécuter la commande. Source : PIC.
10 mars 2011 - Al Qassam Website - Vous pouvez consulter cet article à :
http://www.qassam.ps/news-4267-Deal...
Traduction : Info-Palestine.net
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« Obama n’a pas compris »

dimanche 13 mars 2011 - 06h:55
Lamis Andoni
Barack Obama, le président américain, n’a pas encore saisi l’essence des révolutions en cours dans le monde arabe. En fait il semble sincèrement croire que les gens qui manifestent pour la démocratie dans la région le font en faveur de l’Occident, voire d’Israël.
Comme il l’a récemment déclaré devant des démocrates en Floride, « toutes les forces que nous voyons à l’œuvre en Egypte sont des forces qui devraient naturellement s’aligner sur nos positions et celles d’Israël - si nous prenons maintenant les bonnes décisions et si nous comprenons le sens du vent de l’histoire. »
Je ne sais comment Obama en est venu à cette conclusion, mais soit il est terriblement mal informé, soit il prend vraiment ses désirs pour la réalité !
Ses déclarations font toutefois écho aux estimations de bon nombre d’experts américains dont certains se sont félicités du fait que les slogans anti-israéliens ou anti-américains n’ont pas dominé dans les récents soulèvements. Il est exact que les manifestants ne se sont pas focalisés sur Israël.
Mais dire que ces forces pourraient être les alliés naturels d’Israël et de l’Occident c’est sauter à pieds joints dans une analyse inadaptée de la situation. Le président américain se livre à une lecture erronée du message des manifestants arabes,
Une réécriture de l’histoire
De la Tunisie à l’Egypte et à Bahreïn, et en bien des endroits intermédiaires, les manifestants ont appelé à la constitution de gouvernements libres et responsables. Des décennies d’amères expériences leur ont montré que des gouvernements non représentatifs sont souvent prêts à accepter - ou au mieux incapables de résister à - la soumission à l’Occident, et en particulier aux diktats économiques et politiques de l’Amérique.
En 1979, le traité de paix entre Israël et l’Egypte, par exemple, n’a pas été signé par un gouvernement arabe démocratique mais conclu en dépit d’une forte opposition - qui persiste encore aujourd’hui - au sein de la plus grande nation du monde arabe. De la même manière, il est inconcevable de penser que les Accords de Camp David auraient été signés si cela avait été l’affaire du peuple qui, pas découragé par l’alliance des gouvernements égyptiens successifs avec Washington et leurs liens étroits avec Israël, continua à s’opposer à toute tentative d’imposer une normalisation des relations avec Israël.
Au fil des années, les Egyptiens ont montré de façon répétée - par leurs manifestations, leurs médias et même leur cinéma - leur opposition aux politiques américaines dans la région et aux agressions israéliennes contre les Palestiniens.
Aujourd’hui cependant, certains analystes, des officiels et d’anciens officiels américains cherchent à réécrire l’histoire - et, probablement, dans un effort pour s’en convaincre eux-mêmes - en claironnant que l’hostilité à Israël n’était qu’un sous - produit des efforts du régime Moubarak pour détourner l’attention de ses propres vices. Un chroniqueur du Washington Post, Jackson Diehl, a même reproché à l‘ancien gouvernement égyptien d’avoir délibérément maintenu une paix froide avec Israël et parfois défié les Etats - Unis. « Imaginez une Egypte qui s’oppose avec constance à l’Occident dans les rencontres internationales tout en menant une campagne incessante contre Israël. Un gouvernement qui sème dans ses medias un ignoble antisémitisme, verrouille ses relations avec Israël dans une paix froide et prend l’habitude de rejeter toute « ingérence » américaine dans ses affaires. Un régime qui autorise le Hamas à importer des tonnes de munitions et des roquettes iraniennes dans la Bande de Gaza », voilà ce qu’écrivait Diehl à propos du régime Moubarak dans un article du 14 février.
Diehl semble penser qu’une Egypte démocratique sera plus amicale avec les Etats-Unis et Israël qu’une dictature qu’il juge insuffisamment coopérative. Condoleeza Rice , la précédente secrétaire d’état américaine, a soutenu la même idée : la peur qu’avait Moubarak de la « rue arabe » l’a empêché d’assumer pleinement les positions américaines sur le conflit israélo-palestinien.
Mais Rice et d’autres ne semblent pas réaliser que, en dépit du fait que leurs déclarations le reconnaissent implicitement, les supposés défauts de Moubarak n’étaient que le reflet d’un constat qu’il faisait : l’impossibilité d’aller plus avant dans son soutien aux Américains sans provoquer la colère populaire.
Les régimes arabes ont toujours cherché à apaiser l’opposition en soutenant du bout des lèvres la cause palestinienne, parce qu’ils en comprennent l’importance dans la psychologie arabe. Et, du fait que les révolutions ont révélé que cette tactique ne permet plus d’endiguer l’opposition, il est faux de soutenir que la nouvelle humeur arabe est d’une certaine façon compatible avec une attitude plus amicale à l’égard d’un pays qui continue à occuper la terre palestinienne et en déposséder le peuple palestinien.
Définir la démocratie
Ce genre de mauvaise lecture de la situation ne découle pas des faits mais d’une approche de l’Orient qui a longtemps dominé la pensée américaine et de larges secteurs des medias de ce pays.
Dans la culture politique dominante aux Etats-Unis, soutenir Washington est synonyme de démocratie, tandis que s’opposer à la vision américaine et à Israël ne peut être que le fait d’une « pensée captive » rétrograde, Selon cette perspective, une mentalité de victime imaginaire nourrit « haine » et résistance à Israël.
Mais, en fait, c’est cette manière de penser qui est totalement anti-démocratique. Si nous acceptons l’idée que les valeurs démocratiques sont des valeurs universelles et s’éloignent d’une interprétation ethnocentrique occidentale, nous en déduirons que le rejet de l’occupation est totalement cohérent avec les idées de liberté et de dignité humaine - deux composantes reconnues comme intégrales de la pensée démocratique. Le rejet de la discrimination raciale est un pilier de la croyance en la liberté : il en va de même du refus d’accepter l’occupation israélienne et américaine de pays arabes et la soumission de peuples arabes.
Ainsi, tant qu’Obama ne parle pas de mettre fin à l’occupation américaine en Irak et israélienne en Palestine, pourquoi s’imaginerait-il que les révolutionnaires arabes qui se sont levés contre leurs oppresseurs seraient des alliés naturels pour les Etats-Unis ?
Mais certains officiels et experts américains sont à la recherche de toute interprétation qui leur permettrait de dissocier leur soutien à l’occupation de leurs relations avec le monde arabe. En déclarant que la question palestinienne n’est plus au cœur de la pensée arabe ils s’imaginent que les Etats-Unis peuvent tout simplement imposer une « solution » qui garantira l’hégémonie israélienne sur la région et coupera court à toute acceptation du droit des Palestiniens à l’autodétermination.
Ceux qui, à Washington et à Tel-Aviv, ont cherché à minimiser le rôle de la cause palestinienne dans la politique arabe seraient bien avisés de lire un article du fameux blogueur et activiste égyptien Hossam el-Hamalawy paru dans le Guardian, dans lequel il soutient que ce sont les manifestations de solidarité avec l’Intifada palestinienne en 2000 et les protestations contre la guerre en Irak en 2003 qui ont servi de précurseurs à la révolution égyptienne.
Le fantasme selon lequel les mouvements contre les injustices de la dictature et l’injustice de l’occupation vont se contredire, d’une certaine manière, n’est que le reflet d’une grave mésinterprétation des sentiments des masses arabes - aussi longtemps qu’Obama, bien sûr, espère simplement utiliser ce raisonnement tordu pour justifier la perpétuation d’une politique tout aussi viciée dans la région.
* Lamis Andoni est analyste et commentatrice pour le Middle Eastern and Palestinian Affairs (Les vues exprimées dans cet article n’engagent que l‘auteur et ne reflètent pas nécessairement la politique éditoriale d’Al-Jazeera).
9 mars 2011 - Al Jazeera - Vous pouvez consulter cet article à :
http://english.aljazeera.net/indept...
Traduction de l’anglais : Mikâ’il
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La Flottille de la Liberté II en appelle aux gouvernements afin qu’ils assurent la protection de leurs citoyens

publié le dimanche 13 mars 2011
Comité de pilotage de la Flottille de la Liberté
 
La Flottille de la Liberté II partira en mai pour apporter aide et solidarité à Gaza et exiger la fin du blocus illégal imposé par Israël. Les organisateurs se sont réunis aux Pays-Bas.
Amsterdam, 7 mars 2011 Communiqué
Les organisations unies dans la Flottille de la Liberté II appellent leurs gouvernements respectifs à prendre des mesures concrètes pour assurer la sécurité de leurs citoyens et prévenir une répétition de l’assaut mortel de l’an passé contre leur flottille.
Le 31 mai 2010, la marine israélienne a attaqué un convoi maritime humanitaire qui allait apporter aide et solidarité aux habitants de Gaza assiégés, tuant 9 civils. En mai de cette année une nouvelle flottille prendra la mer afin de briser le siège illégal de Gaza et d’y mettre fin. Les organisateurs se sont rencontrés ce week-end (5, 6 et 7 mars) à Amsterdam afin de poursuivre la préparation de la Flottille de la Liberté II.
Partout dans le monde, les gouvernements ont condamné l’attaque israélienne contre la flottille, dans les eaux internationales. Les enquêteurs du Conseil des Droits de l’Homme des Nations unies ont conclu que le traitement des civils qui se trouvaient sur les bateaux avait été brutal et disproportionné. “Il existe des preuves évidentes qui permettent d’appuyer la mise en accusation, dans le cadre de l’article 147 de la quatrième Convention de Genève, des crimes suivants : assassinat, torture et traitement inhumain, volonté de causer de grandes souffrances ou de graves blessures au corps ou de sérieuses atteintes à la santé,” affirme le rapport de la commission d’enquête du Conseil des Droits de l’Homme des Nations unies.
Le Comité international de la Croix rouge considère que le blocus de Gaza par Israël est illégal car il constitue une punition collective des civils palestiniens dans la bande de Gaza. La Commission d’enquête des Nations unies affirme que « le blocus est illégal et ne peut être appuyé légalement ... ». Les gouvernements sont tenus par la loi d’agir contre les violations du droit international et des traités sur les droits humains et de s’y opposer. Ceci inclut non seulement le blocus de la bande de Gaza et la violence continue qui s’exerce contre sa population civile, mais aussi la colonisation de la Cisjordanie, le nettoyage ethnique de Jérusalem et la construction du mur d’annexion, déclaré illégal par le Cour internationale de Justice en juin 2004. Pourtant, la communauté internationale est en train de minimiser honteusement les crimes israéliens au lieu d’agir pour y mettre un terme.
“La mission humanitaire de la Flottille de la Liberté II est une réponse non violente au silence assourdissant de nos gouvernements”, déclare Benji de Levie, porte-parole de la délégation hollandaise. “Toute tentative -politique ou militaire- pour faire obstruction à l’arrivée de la Flottille de la Liberté dans le port de Gaza, ou pour l’empêcher, est un acte qui viole le droit international et qui doit être traité en conséquence par nos gouvernements.” De Levie : “A la lumière des manifestations pacifiques exprimant le pouvoir des peuples au Moyen-Orient, nous attendons de nos gouvernements qu’ils soient cohérents dans leur politique étrangère et qu’ils condamnent toutes les formes de violation des droits humains contre des initiatives civiles pacifiques, quels que soient les ceux qui les commettent.”
Les préparatifs se déroulent comme prévu dans toutes les régions concernées (Europe, Amérique du Nord et du Sud, Afrique du Nord, Asie). Une quinzaine de navires transportant de la cargaison et plus de 1000 “marins de la liberté” prendront la mer pour se rendre à Gaza en mai.
Parmi eux des journalistes, des personnalité politiques, des humanitaires et des militants des droits humains. Les campagnes populaires se développent constamment, ce qui apparaît dans l’organisation de grands événements publics comme les prochains concerts et actions de solidarité.

Une Alliance britannique à participer à la flotte "Liberté 2"

[ 12/03/2011 - 08:08 ]
Londres –CPI
Des organisations britanniques ont annoncé la formation d'une coalition de participer à la flottille de la liberté 2, qui sera composée de 15 navires et navigueront de plusieurs ports dans le monde vers la bande de Gaza, à la fin du mois de mai prochain.
L'Alliance se compose de cinq institutions: la campagne britannique de solidarité avec la Palestine, les amis d'Al Aqsa, le British Muslim Initiative, Stop the War Coalition, et le Forum palestinien en Grande-Bretagne, en plus d'un certain nombre d'organisations qui soutiennent et appuient le projet.
Zaher Birwai, reponsabe des relations officielles et les médias au Forum territoires palestinien, a déclaré: "L'alliance contribuera au financement et la conduite d'un navire privé qui mènera la délégation britannique composée de dizaines de militants, politiciens et activistes ", ajoutant en même temps que l'alliance envisagera la possibilité de participer à uneث grande flottile internationale.
 "Il est bien connu que l'occupation ne prenne pas en compte le caractère sacré du droit international et viole les droits des Palestiniens en plein journée et en nuit, et n'est pas improbable qu'elle répéte son crime", a répondu Birawa en commentant une question à propos de la position de l'occupation israélienne envers le lancement de cette deuxième flottille et la possiblité qu'elle sera confrontée à la meme agression qu'avait subi la première flottille le 31 mai de l'année passée, où 9 turcs ont trouvé la mort ainsi des dizaines de pacifistes ont été différement blessés.
Berawi a fait appel au monde entier à se tenir fermement face aux violations de l'occupation israélienne et l'empêcher de répéter son crime. "

Ukraine: black-out et arrogance de l'occupation en enlevent un Palestinien

[ 12/03/2011 - 08:52 ]
Agences
Une source judiciare a rapporté qu'un tribunal de l'occupation israélienne  a imposé un black-out sur l'enlèvement en Ukraine par les services secrets israéliens (Mossad) de l' ingénieur palestinien de la bande de Gaza, Dirar Abou Sisi .
Le tribunal de Petah Tikva, au nord de "Tel-Aviv", a réitéré en début de semaine l'interdiction de publication de toute information provenant d' « Israël » sur la mystérieuse disparition de Dirar Abu Sisi, 42 ans, le 19 février.
En dépit de la présentation de l'Association israélienne pour les droits civiques (ACRI), d'une demande de levée du silence complet, mais le tribunal l'a également refusée, sauf de pertmettre de porter à la connaissance du public des informations déjà publiées à l'étranger.
Cepandent, un délégué en Ukraine de l'office des réfugiés des Nations Unis (UNHCR), cité par la presse hébreu, Dirar Abou Sisi, est enfermé dans la prison de Shikma à Ashkelon, dans le sud de l’entité sioniste.
Les médias sionistes ont de leur côté rapporté que les services de sécurités ukrainiens pourraient avoir participé à l'enlèvement de l'ingénieur qui serait un proche du mouvement Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza.
De sa part, la police ukrainienne a annoncé, jeudi, d'avoir examiné des informations sur la disparition de l'ingénieur dont l'épouse affirme qu'il a été kidnappé par le  le Mossad.
Sergui Bourlakov, un porte-parole du ministère de l'Intérieur a souligné que "l'épouse ukrainienne, Véronika, a demandé à la police ukrainienne de l'aider à "établir l'endroit où se trouvait son conjoint".
E effe, le Hamas, de son côté, a condamné fermement, vendredi,  cet enlèvement en le considérant une violation et un crime, sans précédent, commis sur le territoire de l'Ukraine, ainsi un mépris et une arrongance face à la communauté internationale et la souveraineté des pays mondiaux, tout en appelant à poursuivre les criminels coupables sionistes et de l'emmener vers la jutice.
Le Hamas a exigé la libération immédiate de l'ingénieur et appelé "l'Ukraine à assumer sa responsabilité pour un crime commis sur son sol, indiquant que le Palestinien enlevé (l'ingénieur Dirar Abou Sisi) est directeur technique de l'unique centrale électrique de la bande de Gaza et père de six enfants, ajoutant qu'il a disparu, le 19 février, dans le train reliant Kiev à la ville de Kharkiv à l'est.

Le Comité royal pour les affaires d'al-Qods condamne le permis de reconstruire le pont à al-Aqsa

[ 12/03/2011 - 13:22 ]
Amman – CPI
Le Comité royal pour les affaires d'al-Qods en Jordanie a fermement condamné l'annonce de la municipalité sioniste dans la ville occupée d'al-Qods de donner une autorisation à l'organisation extrémiste sioniste "Fonds du Patrimoine du Mur des Lamentations (Buraq)" de recommencer la construction d'un pont en fer qui conduit aux Esplanades des mosquées, 4 ans après sa cession sous prétexte de faciliter l'accès des juifs au mur d'al-Buraq dans la partie orientale d'al-Qods au lieu du pont temporaire qui s'y trouve actuellement.
Dans un communiqué publié le vendredi 11/3, le Comité a mis en garde contre l'installation de ce pont qui reliera la cour d'al-Buraq à la Porte des Maghrébins, l'une des entrée occidentales de la mosquée bénie d'al-Aqsa, dans une tentative de judaïser cette zone et de changer ses aspects historiques et islamiques d'une part, et l'utiliser à des fins militaires futures pour que de nombreux soldats puissent prendre d'assaut al-Aqsa d'autre part.
Il a appelé toute la communauté internationale à travailler sérieusement pour forcer l'occupation sioniste de se conformer aux résolutions internationales, et à l'imposition de sanctions en cas de refus de cesser ses différents actes de provocation. Cela comprend l'application du chapitre VII de la charte des Nations Unies, afin d'obliger l'entité sioniste à abandonner la logique de la force et la loi de la jungle dans les relations internationales, des méthodes qui sont rejetées par la communauté internationale.

L'ex-Mufti d'Egypte : Moubarak a demandé une fatwa autorisant l'exportation de gaz à l'entité

[ 12/03/2011 - 13:57 ]
Le Caire – CPI
Dr. Nasr Farid Wassel, l'ancien Mufti d'Egypte, a déclaré qu'il a subi des pressions du régime du président destitué Mohamed Hosni Moubarak, pour émettre une fatwa sur la licéité de la signature de l'accord QIZ entre l'Egypte, l'entité sioniste et les Etats-Unis, et une autre fatwa pour permettre l'exportation de gaz à l'entité sioniste lorsqu'il occupait le poste de Grand Mufti d'Egypte.
Lors de l'émission "Al-Hayyat al-Youm" (La vie Aujourd'hui) sur la télévision égyptienne "Al-Hayyat", le Cheikh Wassel a déclaré, le mercredi soir 9/3 : "J'ai subi des pressions pour émettre une fatwa autorisant l'exportation de gaz à "Israël". Celapeu de temps avant d'être licencié de son poste par le régime de Moubarak dans un rare précédent, après son refus de délivrer une telle fatwa.
Dr. Wassel a ajouté : "la présidence égyptienne m'a demandé d'émettre une fatwa autorisant la signature de la QIZ entre l'Egypte, l'entité sioniste et les Etats-Unis concernant la vision légale islamique, au cours de mon poste de Mufti d'Egypte".
"On a éxercé des pressions sur moi pour délivrer une autre fatwa sur l'autorisation de l'exportation du gaz à "Israël", mais j'ai fermement refusé", a-t-il poursuivi.
Il a insisté sur le fait que "le boycott des produits sionistes et l'absence de coopération avec les sionistes dans tous les domaines est un devoir religieux suite aux crimes commis contre nos frères en Palestine".

Responsable sioniste : le Hamas est capable de frapper le coeur de l'entité sioniste

[ 12/03/2011 - 14:44 ]
Al-Nassera – CPI
Un responsable militaire sioniste a déclaré que le mouvement du Hamas se montre aujourd'hui comme une armée, surtout dans la Bande de Gaza qu'il contrôle, en raison du soutien étranger direct, selon ses prétentions.
Dans ses déclarations à la radio de l'armée sioniste, l'officier a ajouté que le Hamas a récupéré les effets de la guerre menée par les forces de l'occupation sioniste contre la Bande de Gaza, il y a plus de deux ans, tout en soulignant que le mouvement possède actuellement de grandes quantités de missiles anti-char et anti-avion qui pourraient frapper le coeur de l'entité sioniste, en plus d'un système de communications complexe .

Cinq extrémistes sionistes poignardés à mort dans la colonie "Itamar" près de Naplouse

[ 12/03/2011 - 09:53 ]
Naplouse - CPI
Cinq extrémistes sionistes poignardés à coup de couteau dans la colonie "Itamar", installée sur les terres du gouvernorat de Naplouse, en Cisjordanie, ont touvé la mort aujourd'hui à l'aube,  le samedi 12/3.
Les médias hébreux, ont rapporté qu'un Palestinien ou un groupe de Palestiniens ont réussi à se faufiler à l'intérieur de la colonie et ont tué les colons avec des couteaux.
La radio hébreu a déclaré que les morts comprenaient un père, une mère et trois de leurs enfants, en soulignant que le kamikaze a réussi à s'échapper. Personne n'a revendiqué la responsabilité de l'attaque à ce moment.
Plus tard, les forces de l'occupation israélienne ont imposé un couvre-feu sur les villages adjacents à la colonie, et ont commencé à ratisser la région sous un survol intensif des hélicoptères et des drones.
Cette attaque survient après l'augmentation des agressions par des extrémistes sionistes dans les villages de la Cisjordanie, dont la plus récente était le septième de ce mois-ci, lorsque une attaque a été effectuée par les colons sur le village " Qasra ", au sud de Naplouse, et ont fait 10 blessés palestiniens, dont deux dans un état critique.
Pour leur part, les forces sionistes ont fermé depuis ce matin toutes les entrées de la ville de Naplouse, en s'installant et imposant un couvre-feu militaire sur les routes de contournement.
Selon des témoins oculaires, les forces sionistes ont tiré vers n'importe quel citoyen qui s'approchait des obstacles, ajoutant que les troupes armées étaient présentes sur tous les chemins autour de la ville. 
Les forces de l'occupation israélienne ont envahi les maisons dans le village "Awarta" à l'est de Naplouse et procèdent à de vastes fouilles dans les domiciles des citoyens, où on a annoncé l'enlèvement de plusieurs palestiniens, et que les soldats sont montés sur les toits des maisons palestiniennes et les ont transformées en une zone militaire.

Le Centre Palestinien d’Information (CPI) s’invite sur Facebook !

[ 12/03/2011 - 16:20 ]
Palestine – CPI
Après plusieurs années sur internet, le Centre Palestinien d’Information (CPI) continue à développer ses services en créant à son tour sa page Facebook.
Vous pouvez donc dès maintenant rejoindre et suivre cette page Facebook en suivant ce lien :
http://www.facebook.com/pages/Le-Centre-Palestinien-dInformation-CPI/189730237732072
Vous pourrez aussi participer en y envoyant vos commentaires et vos réflexions.

L'occupation effectue une vaste campagne d'arrestation à Orta

[ 12/03/2011 - 19:08 ]
Naplouse – CPI
Des sources locales dans le village d'Orta ont cité que les forces occupantes ont lancé une vaste opération de pénétration dans les maisons des citoyens palestiniens dans le village, notamment dans le quartier central, et de Nassar, y compris les maisons des familles de deux martyrs par les tirs des forces de l'occupation sioniste, il y a plusieurs mois.
Les sources ont déclaré que les forces occupantes ont enlevé plus de 17 citoyens palestiniens dans le village d'Orta dont des proches de deux martyrs.
Les mêmes sources ont poursuivi que les forces sionistes ont encerclé le cimetière d'Orta, tout en lançant une vaste campagne de fouille.
Il es à noter que les forces occupantes imposent un couvre-feu sur le village et un vaste siège militaire sur le village et les villages voisins, interdisant le déplacement des citoyens.

Des colons sionistes attaquent le village de Burine à l'est de Naplouse

[ 12/03/2011 - 19:16 ]
Naplouse – CPI
Des témoins oculaires ont déclaré au correspondant du CPI que des dizaines de colons sionistes ont envahi le village et ont fait des énormes dommages, surtout au côté est du village, qui a été attaqué par les extrémistes comme résident dans les colonies voisines, "Brakhah", Itimar et etc.
Des dizaines de colons sionistes avaient menacé, avant la mort de 5 colons, d'intensifier leurs agressions contre la ville de Naplouse et ses villages.
Les habitants du village ont lancé un appel de secours pour les sauver face aux incursions et attaques des colons sionistes.

Le FPLP condamne la campagne d'enlèvement des milices d'Abbas contre ses cadres

[ 12/03/2011 - 19:26 ]
Naplouse – CPI
Le front populaire pour la libération de la Palestine (FPLP) a condamné le fait que les milices fidèles à l'ex-président de l'autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, ont lancé une vaste campagne d'arrestation contre ses cadres dans la ville de Naplouse, en répondant aux demandes de l'occupation à la soi-disant "Coordination sécuritaire".
Dans un communiqué publié le vendredi soir 11/3, le FPLP a appelé à cesser immédiatement ces campagnes d'arrestations et de poursuites et à stopper la coordination sécuritaire avec l'occupation sioniste, ainsi que de libérer immédiatement tous les détenus, soulignant qu'il y a un certain nombre de ses membres qui souffrent énormément  dans les prisons des milices d'Abbas depuis plus d'un an.
"Au moment où l'occupation sioniste continue ses actions oppressives, violations et crimes contre notre peuple palestinien de meurtre, blocus, confiscation et de judaïsation de la ville occupée d'al-Qods et au même temps où nous appelons à mettre fin à la division et à renforcer l'unité nationale sous des bases de lutte qui reprendra l'aspect naturel de la question palestinienne, en lointaine de ce qu'il appelle "Négociations et accords" négligés et dépassés par l'occupation, l'autorité palestinienne effectue une série de convention contre un groupe des membres du FPLP dans la ville de Naplouse, sous faibles prétextes dans le cadre de la politique de la coordination sécuritaire avec l'occupation sioniste", a ajouté le communiqué du FPLP.

Raed Salah: les révolutions arabes ont ravivé les espoirs des jeunes palestiniens à la résistance

[ 12/03/2011 - 21:38 ]
Genève – CPI
Le président du mouvement islamique dans les territoires palestiniens occupés en 1948, Cheikh Raed Salah, a affirmé que le peuple palestinien est complètement unifié et confiant que l'occupation doit être combattue, soulignant que cela représente un consensus parmi les Palestiniens.
Dans ses déclarations de presse publiées le vendredi 11/3, Le Cheikh Raed Salah a salué les révolutions populaires arabes, affirmant que leurs traces s'agrandissent dans la cour palestinienne, tout en disant: "L'espoir chez les jeunes palestiniens commence à se renouveler à la lumière de la révolte qui règne sur le monde arabe, surtout, après les événements en Tunisie, en Egypte et en Libye et qu'ils ont commencé à sentir que cette révolte sera finie, s'il plait à Allah, par la libération de la ville occupée d'al-Qods et la mosquée sainte d'al-Aqsa".
"Il y a une confiance que la révolution qui s'étend dans la profondeur arabe aura des résultats positifs sur la situation du peuple palestinien et la scène palestinienne qui témoigne dernièrement des mouvements populaires, en particulier au sein de la génération de la Jeunesse et ces mouvement appellent clairement à se rencontrer sur les principes palestiniens. A mon avis, je crois que tout responsable palestinien ne peut pas ignorer cette voix qui commence à s'agrandir aux milieux palestiniens", a-t-il ajouté.
Le Cheikh Raed Salah a attiré l'attention que les sentiments religieux ont renforcé les vents de changement qui frappe le monde arabe en assurant que le peuple palestinien a confiance que l'occupation est une existence illégitime et injuste et que son sort sera la disparation et que les peuples arabes fabriqueront leurs situations par leur volonté libre, ce qui représente des missionnaires qui confirment la disparation proche de cette occupation.
Il a nié toute réflexion négative  des désaccords palestiniens internes et la division politique, entre la Cisjordanie occupée et la Band de Gaza, sur la position populaire palestinienne, déclarant qu'il n'y a aucune division parmi les Palestiniens, parce qu'ils se rencontrent sur une confiance de la nécessite de combattre l'occupation, c'est un consensus national.
Et si cela signifie pratiquement la nécessité d'abandonner les négociations, le Cheikh Raed Salah a déclaré que tous est devenu confiant même ceux qui ont traité l'option de négociations avec l'occupation sioniste que ces négociations sont nées morts et ont parvenu à l'impasse alors qu'elles confirment au côté palestinien, arabe et islamique que l'occupation sioniste ne veut rien donner, mais le contraire est vrai, où l'occupation qui essaye de judaïser la ville sacrée d'al-Qods, a l'intention de poursuivre la judaïsation de la Cisjordanie occupée.
"Il y a des côtés au sein de l'occupation qui aspirent d'atteindre le projet sioniste pour comprendre au côté et afin d'être sous le contrôle sioniste, tout cela est devenu clair pour tous, en effet, le stade de négociations affirme à tout le peuple palestinien que le demandé est de mettre fin aux divisions et de s'unifier sur les principes pour parvenir à une position unique adoptée par tout le peuple palestinien en Cisjordanie, dans la Bande de Gaza, dans les territoires palestiniens occupés en 1948 et au refuge", a finalement décalré le Cheikh Raed Salah.

Conférence internationale sur les détenus choisit 2011 comme année pour les femmes détenues

[ 12/03/2011 - 21:57 ]
Genève – CPI
Le président du réseau européen pour la défense des détenus palestiniens, Mohamed Hamdan, a annoncé que la première conférence internationale pour les droits des détenus palestiniens qui poursuit ses travaux, le samedi 12/3, dans le siège de l'Onu à la capitale suisse, Genève, a approuvé un plan pour soutenir les prisonnières palestiniennes dans les prisons sionistes, se base sur l' annonce de 2011 comme une année pour les détenues palestiniennes, notant qu'il y a 36 femmes palestiniennes emprisonnées dans les geôles sionistes.
Dans son discours à l'ouverture de la deuxième journée de la conférence tenue en vaste participation européenne politique et juridique, en plus des organisations juridiques internationales, arabes et palestiniennes, Hamdan a déclaré qu'on a spécifié cette année 2011 pour être une année de mettre la lumière sur la souffrance des détenus à travers un intensif mouvement sur tous les niveaux et dans tous les forums internationaux afin de montrer la tragédie des prisonnières palestiniennes et leurs familles sur le niveau judiciaire, politique et humanitaire et travailler pour mettre fin à cette souffrance. En plus l'activation de la question des détenues dans le but de parvenir vers leur libération.
La première conférence internationale pour les droits des détenus palestiniens poursuit ses travaux pour la deuxième jour successif dans le siège de l'Onu à Genève sous le slogan "Travailler pour la justice" en présence de nombreux politiciens occidentaux et palestiniens, ainsi que ceux qui s'occupent et travaillent au domaine de la défense des droits de l'homme.
Hamdan a également annoncé la formation d'un groupe de comités spécialistes pour garantir la continuation à la question des détenus afin de les libérer et garantir la réalisation de la justice pour eux.
"On a formé un comité médiatique pour suivre la question des prisonniers aux médias internationaux et garantir sa justice, un autre comité judiciaire afin de poursuivre l'objectif de libérer et garantir la justice pour les détenus, un troisième technique couvrant la question des détenus sur le niveau d'art pour être le noyau afin d'attirer l'opinion générale internationale envers les souffrances des détenus palestiniens", a-t-il poursuivi.
De son côté, la députée grecque, Agasta Ariadne, a exprimé dans un discours, son contentement par approbation de la conférence à la question des détenues palestiniennes, en occasion de la journée de la femme, tout en annonçant son soutien à la fin de la cause des détenus palestiniens dans les prisons sionistes.

Rapport onusien: l'occupation a démoli 96 bâtiments palestiniens à al-Qods et en Cisjordanie en 2011

[ 12/03/2011 - 22:08 ]
New York – CPI
Un rapport publié par l'ONU a déclaré que les autorités de l'occupation sioniste ont démoli, depuis le début de l'année 2011, environ 96 bâtiments palestiniens, en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza, ce qui représente une augmentation grave par rapport à la même période de l'année dernière qui a témoigné la démolition de 56 maisons et l'expulsion de 130 citoyens palestiniens.
Le coordinateur spécial de l'Onu dans les territoires palestiniens occupés, Richard Falk, a démontré que les processus de démolition menés par les autorités de l'occupation, sioniste depuis le début de l'année 2011, en Cisjordanie et dans la ville occupée d'al-Qods occupée, ont conduit à l'expulsion de plus de 175 citoyens palestiniens, dont la majorité sont des enfants, à la lumière de la continuation des projets de l'expansion colonialiste dans les zones palestiniennes.
Falk a appelé le gouvernement sioniste à arrêter les opérations de démolition des maisons palestiniennes parce qu'elles sont illégitimes, attirant l'attention que l'occupation justifie toujours la démolition des maisons palestiniennes que leurs propriétaires ne possèdent pas de permis de construction, alors qu'il est impossible que les Palestiniens obtiennent de tels permis.
Le responsable onusien a déclaré qu'en plus que cette politique cause des résultats négatifs contre les familles qui perdent leurs maisons, elle représente une vaste image de la politique d'annexion, tandis qu'elle est une demande sioniste illégitime qui éprouve le projet politique sioniste.
Dans le même contexte, Falk a vu que la décision sioniste de démolir, de nouveau, deux bâtiments résidentiels dans le village de Beit Hanina, dans la partie orientale d'al-Qods occupée est inquiétante où l'occupation a donné une période de 10 jours à plus de 150 personnes qui habitent dans ces deux bâtiments.

A propos de l’attentat dans la colonie d’Itamar

dimanche 13 mars 2011
Ci-dessous le communiqué des Comités Palestiniens de Résistance Populaire Contre le Mur et les Colonies à propos de l’attentat commis dans la nuit de vendredi à samedi dans la colonie d’Itamar en Cisjordanie.
Communiqué :
Les Comités Palestiniens de Résistance Populaire Contre le Mur et les Colonies expriment leur profonde tristesse et chagrin concernant la tuerie qui a eu lieu dans la colonie israélienne d’Itamar. Les Comités populaires estiment que ces meurtres découlent de la politique d’escalade de l’occupant iisraélien dans ses actions de colonisation, dépossession et d’agression des Palestiniens. Le gouvernement israélien porte donc l’entière responsabilité de cette occupation et de ses conséquences.
Les Comités populaires ont choisi la non violence et la désobéissance civile pour mettre fin à l’occupation israélienne. Bien que ce crime ait été commis sur une terre colonisée, l’assassinat d’enfants est de notre point de vue un crime abject, quels que soient leur nationalité, leur genre, couleur, race ou religion.
Iyad Burnat
friends-of-freedom-and-justice-bilin
Un communiqué qui dit les choses de manière simple et juste contrairement à des propos israéliens ignobles tels ceux de Shimon Pérès, déclarant : "le meurtre de la famille Fogel à Itamar est un acte qui traduit l’absence de visage humain. Aucune religion ou croyance dans le monde ne permet ces actes horribles.’’
Ceux qui tuent des enfants par centaines en permanence, avec leurs chars, leurs drones, leurs snipers, ont un visage humain, eux ?
M. Shimon Peres, qui n’a apparemment pas eu de scrupules à ordonner l’exécution d’une centaine d’enfants et de femmes dans le camp de réfugiés de Canaa, au Sud Liban, en avril 1996, alors qu’il était premier ministre, ferait mieux de se la fermer.
CAPJPO-EuroPalestine
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