jeudi 17 novembre 2011

Israël veut serrer la vis aux ONG locales

17 novembre 2011
Janie Gosselin
La Presse
(Jérusalem) Les ONG israéliennes crient au préjudice. Les députés se défendent au nom de l'État. Deux propositions de loi sèment la controverse en Israël. Retour sur le dernier feuilleton qui oppose les organismes de gauche au gouvernement de droite.
Les organisations non gouvernementales israéliennes dont les activités concernent notamment les droits des Palestiniens et l'opposition à la colonisation accusent leur gouvernement de vouloir leur mettre de nouveaux bâtons dans les roues.
Un comité ministériel israélien a donné son feu vert, dimanche, à deux propositions de loi controversées qui visent le financement d'ONG, principalement celles dont les activités vont à l'encontre des orientations du gouvernement actuel.
Si les deux propositions passent toutes les étapes et aboutissent à une nouvelle loi - ce dont des analystes doutent -, elles pourraient rendre leur travail difficile.
Les deux textes ciblent le financement des ONG par les États étrangers ou les institutions internationales. L'une veut imposer un plafond des dons aux ONG qui cherchent à «influer sur le programme diplomatique et sécuritaire d'Israël» ou qui s'engagent dans des activités politiques. La deuxième prévoit une taxe importante sur les sommes versées.
La gauche israélienne a décrié ces propositions de loi, perçues comme une nouvelle tentative de museler les groupes qui s'opposent au gouvernement de droite, quelques mois après l'adoption d'une loi interdisant l'appel au boycottage des colonies. Généralement, ce sont les organismes de gauche qui reçoivent du financement de gouvernements étrangers. Les propositions ne visent pas les dons étrangers privés, dont bénéficient certains groupes de droite.
«C'est non-démocratique»
«Ça donne une impression très négative, dit le directeur général de La Paix maintenant, Yariv Oppenheimer. C'est comme si l'État nous liait les mains pour rendre impossible ou difficile de faire ce en quoi nous croyons. Et c'est simplement parce que nous n'avons pas le même point de vue. C'est non-démocratique.»
La Paix maintenant estime que de 40 à 50% de son budget proviennent de gouvernements étrangers, comme la Norvège et la Grande-Bretagne. Plusieurs de ses projets les plus importants, comme la surveillance des activités dans les colonies de Cisjordanie, sont soutenus par des fonds publics étrangers.
Le député Ophir Akunis a défendu dans un communiqué sa proposition sur la limite du financement des ONG en soulignant qu'elle visait «à empêcher l'ingérence de gouvernements étrangers - même ceux de pays amis - dans les affaires politiques israéliennes à travers le soutien à des ONG».
Les deux propositions ont reçu l'appui de 11 ministres contre 5. Les politiciens qui se sont opposés ont demandé un nouveau vote. Elles devraient ensuite être soumises à la Knesset, Parlement israélien.
Le premier ministre Benyamin Nétanyahou a soutenu les propositions, mais aurait exprimé certaines réserves, selon Haaretz. Des questions sur leur constitutionnalité ont aussi été soulevées.
L'analyste politique Menachem Hofnung reste sceptique sur la possibilité qu'une telle loi soit adoptée. «Ça reste à voir, dit-il. Mais c'est surtout une déclaration pour mettre ces organisations à part. Il y a des moyens de contourner les problèmes de fonds. Ce n'est pas tant pour l'argent que pour la stigmatisation.»

-Avec Haaretz et l'AFP
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Lieberman réclame le boycott du Mossad

17 Novembre 2011
IRIB- Selon plusieurs sources diplomatiques de JSSNews, le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a ordonné le boycott du Mossad. Lieberman souhaite que ses services du ministères des Affaires étrangères cessent de transférer ses informations à l’agence de renseignement extérieure. Pire, il réclame la coupure de “tout contact” avec cette organisation. Tamir Pardo, le patron du Mossad: La guerre entre Lieberman et le Mossad n’est pas nouvelle, mais il semble que cela s’envenime chaque jour, un peu plus, depuis le départ de Méïr Dagan. Netanyahu, qui a été obligé de composer son gouvernement avec Lieberman, fait tout ce qu’il peut, en sous-main, pour saper le pouvoir de Lieberman. Ainsi, lors de la “crise turque”, ce n’est pas Lieberman qui négociait, mais des agents du Mossad. Lors de l’échange Shalit, ce n’est pas Lieberman qui a pris l’affaire en main, mais également, des agents du Mossad. Et c’est sans parler du pouvoir d’Ehud Barak sur cette organisation. Et Barak n’aime pas vraiment Lieberman, non plus. En fait, Lieberman se plaint d’avoir reçu le “Ministère des Affaires étrangères, de l’intérieur”, mais dès qu’il y a vraiment une “affaire étrangère”, le dossier passe dans la main d’un tiers. Tamir Pardo, l’actuel patron du Mossad, ne fait rien pour arranger les choses. Pardo était un proche de Yoni Netanyahu, le frère défunt du Premier ministre. Autant dire que l’affectif joue un rôle particulier, dans cette affaire de pouvoir… En sus, Netanyahu ne voit pas pourquoi il aiderait Lieberman à gagner encore davantage en popularité, alors que les prochaines élections semblent être celles de tous les dangers, pour une droite israélienne plus divisée que jamais.

Gaza : l’arrestation d’un mercenaire israélien

17 Novembre 2011
IRIB- Un mercenaire israélien a été appréhendé, par les forces de la Résistance palestinienne, au Nord de la bande de Gaza. Selon le site web Qods news, les forces de la Résistance palestinienne ont arrêté ce mercenaire du régime sioniste, alors qu'il essayait de livrer un des jeunes membres de la Résistance à l’armée sioniste. Ce mercenaire a reconnu ses tentatives de tromper les jeunes palestiniens, pour les livrer, ensuite, à l’unité spéciale de l’armée du régime occupant Qods. Les forces de la Résistance palestinienne l’ont remis aux forces spéciales pour y être mis en observation, conformément aux règles de sécurité.  
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Palestine: le martyre de14 enfants, en 9 mois

17 Novembre 2011
IRIB- Le Centre palestinien des droits de l'Homme a fait état de la mort en martyr de 14 enfants palestiniens, au cous de ces 9 derniers mois. Selon l'agence Qodsnews, le Centre palestinien des droits de l'Homme a indiqué, dans un communiqué, que les militaires du régime sioniste, en agressant les territoires palestiniens, avaient tué 14 enfants palestiniens et en avaient blessé 17 autres, dont deux enfants de 2 ans, mettant, clairement, en exergue la politique  terroriste des occupants sionistes, à l'égard de la nation palestinienne.

Des profanateurs de tombes bien officiels dans l’Etat colonial sioniste

Fadwa Nassar
17 novembre 2011
Dans la majorité des pays normalement constitués, les profanateurs de tombes sont soit des groupes clandestins qui en veulent à la religion des morts, à l’Etat ou la société, soit des groupes marginaux qui suivent des pratiques démoniaques ou autres. Leurs crimes sont dénoncés par leur société et leur Etat, par les médias et les parlementaires, etc.. Et ces groupes sont souvent recherchés par la police et les services sécuritaires, ils agissent dans l’ombre et craignent leur arrestation et condamnation.
Mais ce n’est pas le cas dans la colonie sioniste qui s’appelle Israël. Les profanateurs de tombes sont payés par l’Etat pour accomplir ces crimes, ce qui veut dire que c’est l’Etat colonial qui conçoit, dirige et protège la profanation des tombes… pourvu qu’elles soient palestiniennes ! Si jamais la « communauté internationale » ou les peuples du monde souhaitent distinguer un Etat normalement constitué, donc légitime, même si son régime est injuste, d’un Etat malade dont la fondation même est illégitime, ils doivent prendre en considération comment cet Etat se comporte avec les morts, qui constituent normalement l’histoire profonde du pays, le patrimoine humain qui a fait l’histoire du pays, ces hommes et femmes dont le labeur quotidien ou les exploits ont donné sens à la communauté vivant dans le pays. A partir de ce critère, ils peuvent comprendre qu’ « Israël » n’est pas un Etat, mais une colonie de peuplement et qu’il ne peut devenir un Etat normalement constitué, puisqu’il fut fondé sur les massacres et le mensonge, l’injustice et la spoliation. Un Etat qui finance et gère la profanation des tombes est un Etat malade, psychiquement et moralement, et est voué à la disparition.
Lorsque les profanateurs du cimetière de Ma’manullah, dans al-Quds, agissent, ils se cachent non de l’Etat, mais des Palestiniens en posant des barrières tout autour du lieu où ils mènent leurs activités criminelles. Parce que les Palestiniens et les autorités religieuses musulmanes de la ville surveillent de près le crime de la destruction du cimetière, les sionistes sont contraints de dresser autour d’eux ces barrières pour les empêcher de voir comment les os de leurs morts sont déterrés pour être ensuite emmenés, personne ne sait où.
Ce n’est pas le premier cimetière palestinien que les occupants sionistes profanent et détruisent.  Depuis 1948, des dizaines de villages et de bourgs, et même des villes comme Haïfa ou Yafa, ont vu leurs cimetières profanés par les autorités bien officielles ou par les colons, à la solde des autorités. Des tombes fracassées et des écrits racistes témoignent du passage de ces hordes sauvages contemporaines que le monde soi-disant civilisé enfante spécialement pour peupler la colonie sioniste en Palestine. Ils se disent religieux ou croyants, ou tout simplement attachés aux valeurs humaines, mais en observant leurs actes criminels, et en se rappelant toutes les horreurs qu’ils ont commises depuis qu’ils ont colonisé le pays, on commence à douter de ce que signifient religion, croyance et valeurs humaines.
Il y a quelques semaines, le cimetière de Yafa a été le théâtre de ces criminels. Tombes musulmanes et chrétiennes, parce que c’est là où sont ensevelis des Palestiniens, ont été profanées. La municipalité sioniste a dénoncé le crime, sans cependant essayé de trouver les responsables, mais il s’agissait d’un acte « provocateur », qui ne répondait à aucune raison d’Etat, sauf celui de dire aux Palestiniens, en profanant leurs tombes, qu’ils sont indésirables dans leur propre pays.
Mais par contre, que ce soit dans les villages d’al-Naqab ou d’al-Jalil, ou des villages situés le long de Wadi Ara, les cimetières palestiniens sont profanés et détruits par les autorités coloniales officielles, un jour pour élargir une route, un autre jour pour construire une autoroute, là pour installer une colonie, et ailleurs pour des travaux quelconques. L’essentiel demeure, ce sont les cimetières palestiniens qui en sont les victimes.
La profanation et la destruction des cimetières palestiniens ne sont pas des actes gratuits, dans la mentalité coloniale sioniste, caractérisée par sa volonté de déraciner les Palestiniens et de falsifier l’histoire du pays. En s’attaquant aux tombes, ces envahisseurs venus d’ailleurs et qui savent bien qu’ils ne possèdent rien dans le pays, tentent par tous les moyens de couper les racines des Palestiniens et de les priver de cette assise fondamentale de la continuité démographique d’un peuple.
La profanation des cimetières s’élève au rang de crime contre l’histoire et la civilisation lorsque ces colons s’attaquent au cimetière historique de Ma’manullah, datant de plusieurs centaines d’années (avant les Croisades), où furent ensevelis, autres autres, des dignitaires et des pélerins musulmans, à l’époque où la ville d’al-Quds était une des principales villes musulmanes dont les écoles accueillaient les musulmans du monde entier. Les musulmans ont continué à y ensevelir leurs morts jusqu’à l’année 1927, lorsque le conseil musulman de la ville jugea qu’il y manquait de place.
Dès 1948, lorsque l’Etat de l’occupation s’empare de la partie occidentale d’al-Quds, où se trouve le cimetière, les profanations officielles du cimetière commencent : une partie du cimetière est transformée en jardin public, après avoir déterré les morts et rasé le sol, et en 1985, un parking y est construit. En 2002, la municipalité sioniste déclare vouloir utiliser une partie du cimetière pour y construire le siège du tribunal municipal, mais sheikh Ikrima Sabri, le mufti d’al-Quds, résiste et mène une campagne pour empêcher cette nouvelle profanation qui vise la partie encore intacte du cimetière.
A présent, ce serait pour construire un musée « de la tolérance », que les sionistes envisagent de détruire l’histoire et le patrimoine palestiniens en détruisant la partie encore non profanée du cimetière. En réalité, leur musée de la tolérance, leur tribunal, leur parking et tout ce qu’ils peuvent inventer, ne sont que des prétextes pour détruire la Palestine et la mémoire palestinienne et falsifier l’histoire de la Palestine. C’est dans ce sens qu’ils détruisent la ville d’al-Quds et surtout ses anciens quartiers, c’est dans ce sens qu’ils s’attaquent à la ville d’al-Khalil, en Cisjordanie, comme ils s’attaquent, à la ville de Yafa, sur la côte. C’est dans ce sens qu’ils s’attaquent à la pierre et à l’humain, comme au végétal et à l’olivier qui a vécu dans ce pays, alors qu’ils n’y étaient pas.
Ce nouveau crime sioniste n’est pas encore dénoncé par les organisations internationales, dont l’UNESCO, qui refusent d’intervenir pour protéger le patrimoine humain palestinien. Jusqu’à présent, l’UNESCO a fait preuve d’une lâcheté exemplaire, refusant de prendre en compte la demande de protéger le cimetière historique de Ma’manullah, lancée par des familles palestiniennes maqdisies dont les aïeux sont enterrés dans le cimetière Ma’manullah, et parmi elles, la famille Khalidi. Est-ce parce que ce sont des familles musulmanes, ou des familles palestiniennes et arabes, ou est-ce parce qu’en face, ce sont les protégés des puissances occidentales qui continuent à exercer un chantage à l’antisémitisme chaque fois qu’une voix dans le monde réclame la justice ?  
Transmis par l'auteur

Ehud Barak a reconnu qu’Israël détient des bombes atomiques

17 Novembre 2011
IRIB- Le ministre de la Guerre du régime sioniste a reconnu qu’Israël détient des armes atomiques. Ehud Barak a reconnu qu’Israël détient la bombe atomique, lors d’un entretien avec PBS, aux Etats-Unis, au même moment où il accusait l’Iran de vouloir se doter de l’arme atomique. Après ces déclarations, il a essayé de taxer l’Iran de démagogie envers la communauté internationale. Il a prétendu, également, que l’ancien Directeur général de l’AIEA, Mohammad el-Baradeï collaborait avec l’Iran, en dissimulant la vérité. En allusion à l’acquisition de la bombe atomique, par l’Inde, la Chine, le Pakistan et l’Occident, il a déclaré que les Iraniens, jouissant d’une civilisation de 4 millénaires, se sont attelés à acquérir cette arme.

A.M. Sobh annonce la production d'une série tv sur Yasser Arafat

Ecrit par Pierre Tiercin   
17.11.11
Le metteur en scène palestino-syrien al-Muthana Sobh a annoncé mercredi qu'il préparait la production d'une série relatant le parcours de l'ancien Président palestinien Yasser Arafat.
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Ayant obtenu l'accord de la famille d'Arafat et de l'Organisation de Libération de la Palestine que l'ancien Président a dirigé pendant 35 ans, A.M. Sobh a tout juste commencé l'écriture des 30 épisodes qui devraient composer la série. Il souhaitait toutefois annoncer son projet très tôt pour en conserver l'exclusivité, a-t-il expliqué au quotidien libyen al-Akhbar.
A.M. Sobh estime que Yasser Arafat est un personnage au parcours et à l'histoire éminemment dramatique, et un véritable produit de la révolution palestinienne, dont la vie l'histoire sont le reflet. 
Selon les estimations du metteur en scène, la série sur "Abu Amar" - le surnom palestinien de Yasser Arafat, devrait être être finalisée aux alentours de 2014.  
Le jeune metteur en scène a décrit la série comme "le projet de sa vie" et ajouté qu'il comptait centrer l'aperçu de la Palestine sur la société urbaine, pour prendre à contrepied une audience arabe qui aurait tendance à voir les palestiniens comme des réfugiés ou des fermiers. 
Aucun producteur ne s'est encore manifesté, mais A.M. Sobh aurait déjà trouvé un un réalisateur, en la personne de Walid Abdulrahman. Il dispose également d'une énorme quantité de documents officiels, d'études biographiques et politiques, et de nombreuses personnes ayant vécu aux côté d'Arafat sont disposés à lui accorder des interviews. 
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Raids nocturnes et arrestations en Cisjordanie, fouilles et amendes dans des magasins de Jérusalem

Ecrit par Pierre Tiercin   
17.11.11
Dans une série de raids nocturnes menés dans différents villages et villes de Cisjordanie, les troupes israéliennes ont arrêté sept palestiniens. Des fouilles et des amendes ont également frappés plusieurs magasins de la vieille ville de Jérusalem. Israël a également prolongé la détention d'Isra Salhab.
L'armée israéliennea procédé à l'arrestation de quatre palestiniens du village d'Azoon près de Qalqiliya dans le cente de la Cisjordanie, et opéré des raids dans deux maisons dans le proche village d'Amateen.
Les témoins locaux ont rapporté que Qusai Shaher Salim, Ihab Talib Musha'al, et Ibrahim Ahmed Anayeh, tous âgé de 17 ans, ainsi que le jeune Rashad Raed Shbeitah âgé de 13 ans, ont été arrêté au cours des raids.
Les troupes israéliennes ont également arrêté Khalil Mohammed Salameh al-Hwamdeh du village de Samu'a au sud d'Hébron après avoir fouillé sa maison.Ibrahim Salim Hurebat ainsi que Mohammed Jamil Jadallah ont également été arrêtés dans les environs de Dura.
A Jérusalem, les employés municipaux ont opéré une vaste opération de fouille dans les magasins souvenirs des familles al-Ajlouni, Swheiki et Abdeen dans les rues du Bazzar et de Saweeqa Aloun dans la vieille ville.
"On a interdit aux marchands de quitter les lieux et les employés ont comptés tous les produits", a rapporté un des marchand à l'agence de presse Wafa.
Les employés municipaux, accompagnés par les forces spéciales et la police, ont également pénétré dans le magasin d'Abu al-Izz Erdogan dans la rue d'Abu Obeidah Ibn al-Jarah. Ils ont arrachés les photographies du président turc Recep Tayyip Erdogan accrochés aux murs du magasin et jeté les drapeaux turcs aux ordures.
La municipalité a donné des amendes à tous les marchands concernés pour avoir décoré leur magasins de logos et de photos. Azzam Marakeh a, par exemple, reçu une amende de 42 000 NIS (8 400 €).
Israël a également étendu la détention de la journaliste Isra Salhab de 24 heures.
Selon un membre de la famille d'Isra, "on lui a ordonné d'aller à al-Moskobiya pour répondre à quelques questions, et on l'a ensuite transféré dans une cellule pour un interrogatoire continu".
Le mari d'Isra est actuellement détenu dans une prison israélienne. Il a été arrêté il y a près de trois semaines alors que l'armée a opéré un raid dans sa maison dans le voisinage de Wadi al-Joz à Jérusalem-Est.
Abdullah Qandil, porte-parole de l'association Waed pour les détenus et les ex-détenus, a condamné la détention d'I. Salhab et appelé Israël à la relacher immédiatement. Il a déclaré que son arrestation était illégale et violait les droits de l'homme. 
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Salam Fayyad reste le choix du président

Ecrit par Pierre Tiercin   
17.11.11
Le Président de l'Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas souhaite maintenir Salam Fayyad à la tête du gouvernement intérimaire d'unité nationale qui serait formé si la réconciliation réussit, selon le quotidien Ma'an qui cite un représentant du Fatah.
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De gauche à droite, Salam Fayyad, Premier Ministre, et Mahmoud Abbas, Président, dans les locaux de l'Autorité Palestinienne
Faysal Abu Shahla a indiqué au journal palestinien Ma'an que le choix du Premier Ministre du nouveau gouvernement devrait être fixé après la rencontre du Président Mahmoud Abbas et du leader du Hamas Khalid Mashaal qui se tiendra à la fin du mois au Caire.
S. Fayyad a été nommé Premier Ministre de l'Autorité Palestinienne par Mahmoud Abbas en 2007, mais n'a jamais été reconnu par le Hamas.
Les deux parties se sont mis d'accord sur la formation d'un gouvernement intérimaire d'unité nationale, selon les termes d'un accord de réconciliation signé en Mai dernier pour mettre un terme à plusieurs années de querelles et d'hostilité entre le Fatah, qui gouverne l'Autorité Palestinienne en Cisjordanie, et le Hamas, qui gouverne la Bande de Gaza.
S. Fayyad a annoncé lundi qu'il refusait d'être "un prétexte au maintien de la division" et appelé les parties à se mettre d'accord sur la nomination d'un nouveau Premier Ministre.
Le Président Mahmoud Abbas s'est engagé mercredi à accélérer le processus de réconciliation nationale, au cours d'un discours prononcé à l'honneur de la mémoire de Yasser Arafat, décédé le 11 novembre 2004. Il a annoncé qu'il rencontrerait Khaled Mashaal au Caire le 23 novembre. L'Agence France Presse a quant à elle rapporté que selon ses sources, la réunion devrait prendre place le 27 novembre.
Selon Faysal Abu Shahla, l'Organisation de Libération de la Palestine devrait également participer à la réunion.
"Afin d'accélérer la mise en oeuvre de la réconciliation, nous voulons faire tous les efforts pour presser la résolution des derniers problèmes : en premier lieu, régler la question des élection présidentielles et législatives, ainsi que celles du Conseil National de la Palestine, et préparer un gouvernement intérimaire indépendant et d'unité nationale pour superviser les futures élections", a expliqué Abbas dans son discours.
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Début des démolitions à Al-Bustan

Jérusalem - 17 novembre 2011
Par Wadi Hilweh Information Center
Silwanic a appris que les autorités israéliennes d'occupation vont démarrer le programme très critiqué de démolition dans le quartier Al-Bustan de Silwan, à Jérusalem Est, dans les prochaines semaines. Le but est de faire disparaître des pâtés de maisons entiers pour faire de la place pour un "parc biblique", dans le cadre du projet colonial "Cité de David".
Début des démolitions à Al-Bustan
La municipalité de Jérusalem essaie de commercialiser le projet de parc biblique depuis 2005, en faisant la promotion d'al-Bustan comme étant le site originel du parc du Roi Salomon. Le nom de "Al-Bustan", le jardin en arabe, a été cité comme preuve concluante. Les habitants palestiniens d'Al-Bustan, toutefois, affirment que le mot arabe a plusieurs sens et qu'il ne peut être dévoyé pour satisfaire les besoins de la municipalité.
Le nom de Al-Bustan est lié au fait que le construit a été construit sur un espace très vert grâce à sa source qui coule tout au long de l'année. D'un point de vue historique, Al-Bustan était connu comme le grenier de Jérusalem. Des experts affirment que le concept de "parc" - une petite zone cultivée - est incompatible avec le sens véritable de "Bustan".
Des maisons existaient dans le secteur d'Al-Bustan avant l'occupation israélienne de Jérusalem-Est de 1967. Mais l’État a annexé davantage de terre - 730ha à l'est et quelques hectares au sud-ouest de Silwan. La population s'est densifiée et a augmenté - 13.000 habitants à Silwan en 1967, 55.000 aujourd'hui, et aucun d'entre eux ne peut faire une demande de permis de construire auprès de la municipalité.
Mousa Audeh, membre du Comité populaire d'Al-Bustan, déclare : "Les autorités israéliennes prétendent que Al-Bustan était le jardin du Roi Salomon, et que le prophète David a vécu à Wadi Hilweh - et qu'en quelque sorte cela justifie la démolition de nos maisons. Mais il est facile de voir que la municipalité, avec les groupes de colons, démolit les maisons en toute liberté au nom des prophètes, comme si Dieu Tout-Puissant n'accordait qu'à eux des titres de propriété !"
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Le projet "Parc biblique" de la municipalité sioniste de Jérusalem, à Silwan.
Traduction : MR pour ISM
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Destruction d'une centrale photovoltaïque palestinienne

Hébron - 17 novembre 2011
Par Stuart Reigeluth
Stuart Reigeluth est rédacteur en chef du magazine "Revolve" et travaille au Conseil européen des relations palestiniennes (Council for European Palestinian Relations, CEPR). (Cet article a été initialement publié sur Gulfnews)
Pendant que l'attention internationale est concentrée sur la candidature palestinienne aux Nations Unies, l'échange de prisonniers et la réponse absurde des États-Unis à l'adhésion de la Palestine à l'UNESCO, un événement beaucoup plus petit mais non moins révélateur a été largement occulté : Israël va détruire une centrale photovoltaïque financée par l'Espagne en Cisjordanie.
La centrale à énergie solaire n'est pas particulièrement grande - pour autant que le sont ce genre de centrales. Elle n'est pas comparable aux énormes fermes solaires de Chine, mais elle fournit de l'électricité à 40 familles palestiniennes, à une école et à un centre médical à Emnazeil, petite ville au sud d'Hébron.
Destruction d'une centrale photovoltaïque palestinienne
Nihat Nour et son fils Mohammed, devant la centra photovoltaïque dont les autorités sionistes ont ordonné la démolition
L'Agence espagnole de Coopération Internationale pour le Développement (AECID) a pris en charge le coôt d'environ 300.000 euros et l'Association espagnole Seba (Servicios Energeticos Basicos Autonomos) a participé à l'installation en 2009, dans le cadre du projet Azahar.
Israël prétend que le problème vient de la localisation.
Emnazeil est situé en Zone C, sous contrôle militaire israélien, où les constructions palestiniennes sont interdites. Israël n'y accorde aucun permis de construire et aucune connexion n'est autorisée avec le reste de la Cisjordanie . Les répercussions de la destruction de la centrale sur les habitants du village seront massives, ils n'auront tout simplement plus aucune fourniture en électricité puisque étant en Zone C, ils ne peuvent se raccorder au réseau palestinien. Mais les implications révèlent la stratégie plus endémique d'Israël. Pourquoi Israël veut-il détruire une petite centrale photovoltaïque pacifique ?
Les zones A, B et C sont des dénominations géographiques émanant des Accords d'Oslo de 1993. Elles devaient être des mesures "provisoires" qui transfèreraient progressivement l'autorité et éventuellement la souveraineté aux Palestiniens en Cisjordanie . Le problème est qu'Israël n'a rien lâché.
La Zone A comprend les villes principales de Cisjordanie sous pleine autorité palestinienne - même si Israël y fait des incursions régulières pour des "raisons de sécurité". La Zone B est la terre qui entoure les villes, où la sécurité est "partagée" avec Israël. La Zone C comprend tout le reste, soit la plus grande partie de la Cisjordanie .
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L'école d'Emnazeil, ouverte grâce au réseau électrique (photo Periodismo Humano)
C'est dans la Zone C que la colonisation juive croît principalement. Dans le cadre de cette anomalie moderne - puisque la décolonisation dans le reste du monde a eu lieu dans les décennies postérieures à la Seconde guerre mondiale - le projet néo-colonial réserve la fourniture des services aux seules maisons juives. Comme ailleurs en Cisjordanie , la stratégie dans les collines du sud d'Hébron est donc d'empêcher la croissance de la population palestinienne locale, ou, dans le cas de Emnazeil, d'avoir accès à l'énergie renouvelable, pour que les habitants partent dans les centres urbains et laissent la terre libre à l'agriculture colonialiste juive.
Dans le meilleur des mondes possible, cultiver les terres est une entreprise plutôt positive. Labourer, semer, récolter - toutes ces activités communes à l'agriculture - sont des sources potentielles de grandes coopérations entre les peuples, mais aussi, dans le cas présent, une source de conflit.
La destruction des vergers palestiniens - des oliviers déracinés, incendiés ou hachés rang par rang - est une épreuve initiatique perverse presque toujours perpétrée par de jeunes colons juifs. Le vandalisme est récurrent. Qu'y-a-t-il de plus abject que de vouloir détruire les moyens de subsistance d'une autre personne ?
Ce qui est pourtant encore plus abject, c'est lorsque de telles intentions sont institutionnalisées à un tel degré qu'elles deviennent banales ou ennuyeuses pour tous ceux qui ne comprennent pas ce qu'elles représentent dans le monde d'aujourd'hui. Il est fâcheux et honteux que Richard Goldstone l'ait vu à Gaza mais qu'il ait refusé de reconnaître la bête.
Goldstone affirme qu'il n'y a pas d'apartheid en Israël ; il a recours à des arguments tortueux selon lesquels les Juifs et les Arabes vivent vraiment ensemble en "Israël" de manière relativement paisible - considérant comme acquis que les Arabes soient traités comme des citoyens de seconde et de troisième classe, mais ils peuvent s'asseoir dans le même autobus que les Juifs. En contradiction flagrante à cet argument, Goldstone cite le statut de Rome de 1998 sur la définition de l'apartheid, qui existe quand "des actes inhumains (...) sont commis dans le contexte d'un régime institutionnalisé d'oppression systématique et de domination d’un groupe racial sur tout autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l’intention de maintenir ce régime." (Statut de Rome, 1998, Article 7 relatif aux crimes contre l'humanité).
Il n'y a aucune doute sur les intentions d'Israël, et quiconque a visité les territoires palestiniens occupés peut en attester. La néo-colonisation juive de la terre palestinienne est une bête impitoyable et immonde qui sert à conquérir davantage de territoire pour Israël.
L'Espagne doit battre le rappel des autres pays européens pour qu'ensemble, ils dénoncent l'expropriation illégale de la terre des Palestiniens et la destruction de leurs projets. Cette centrale à énergie solaire est un petit exemple, mais il est emblématique de l'impunité récurrente d'Israël vis-à-vis du droit international. Les euros gâchés des contribuables européens sont une chose, mais pire est la destruction systématique des projets palestiniens et le mensonge israélien institutionnalisé que cette destruction est légitime. En tant que porte-parole israélien, Lior Hayat a dit, au sujet de la centrale : "Les forces de sécurité israéliennes n'agissent que dans le cadre de la loi."
Mensonges risibles et terrifiants...
Voir la vidéo sur la vie à Emnazeil (en arabe, sous-titres en espagnol)
Source : Uruknet
Traduction : MR pour ISM
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Le Parlement européen appelle Washington à reconnaitre l’État palestinien à l’ONU

17/11/2011
Dans une résolution adoptée à main levée dans la perspective du sommet Europe/États-Unis du 28 novembre, le Parlement européen "appelle les États membres et les États-Unis à répondre à la demande légitime des Palestiniens d'être représentés en tant qu’État aux Nations unies".
Le Parlement avait déjà demandé en septembre aux 27 gouvernements européens "d'être unis" dans ce dossier.
La demande de reconnaissance d’un État palestinien a été déposée auprès de l'ONU le 23 septembre par le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
Les États-Unis ont annoncé qu'ils s'opposeraient à cette demande alors que les pays européens restent divisés sur la question.
Un amendement des Verts, adopté par 318 voix contre 266 et 23 abstentions, invite les États-Unis et l'UE à faire pression sur le gouvernement israélien pour qu'il revienne sur les mesures de rétorsion prises en réponse à l'adhésion de la Palestine à l'Unesco (Organisation des nations unies pour l'éducation, les sciences et la culture).
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a décidé le 1er novembre d'accélérer la construction de 2.000 logements dans les colonies de Jérusalem-Est et de Cisjordanie occupée, et de geler provisoirement les transferts de fonds aux Palestiniens, après leur admission à l'Unesco le 31 octobre.
Les fonds gelés, d'un montant d'environ 50 millions de dollars par mois, correspondent au remboursement des droits de douane et de TVA prélevés sur les produits destinés aux Palestiniens qui transitent par les ports et aéroports israéliens.
Ils assurent 30% du budget de l'Autorité palestinienne et permettent de payer 140.000 fonctionnaires palestiniens.
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Les patriarches catholiques d'Orient appellent à la mise en place d'un Etat palestinien

17/11/2011
Le patriarche maronite Béchara el-Raï a appelé aujourd’hui, au nom des patriarches catholiques d'Orient, à « résoudre le conflit israélo-palestinien sur la base d’un règlement juste et total » et a rappelé « le droit des Palestiniens à avoir leur propre État avec des frontières reconnues internationalement ».
A la fin de la 20ème conférence du conseil des patriarches catholiques d’Orient, tenue à Bkerké, Mgr Raï a affirmé que les participants ont discuté des changements dans les pays arabes, et notamment de la situation des chrétiens dans ces pays.
Le communiqué final, lu par Mgr Raï, a « appelé les chrétiens à s’attacher à leur terre et à leurs lieux sacrés ainsi qu’à avoir confiance dans l’avenir ». Il leur a également rappelé « leur droit à être des citoyens à part entière dans leurs pays, en étant solidaires de toutes les composantes sociales et religieuses de leurs pays dans le cadre des institutions étatiques », ainsi que « leurs devoirs dans la construction de leurs États ». Le communiqué a en outre souligné l’importance du dialogue national et du respect des droits humains.
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Les combattants palestiniens s'entraînent au tir de missiles en Iran (Jerusalem post)

17/11/2011
Des combattants palestiniens de la bande de Gaza ont reçu « récemment, en Iran, un entraînement militaire intensif qui les a transformé en experts en missiles antichars sophistiqués », affirme le quotidien israélien Jerusalem Post qui cite un haut officier de l’armée israélienne sans le nommer.
« Le niveau d’expertise (des combattants palestiniens) a été révélé cette année lorsque le Hamas a tiré un missile sur un bus pour écoliers près de Nahal Oz, tuant un garçon de 16 ans », alors que le tireur se trouvait à 3 kilomètres du bus, derrière une grille de sécurité et des câbles électriques et que le bus était en mouvement, explique cet officier.
De plus, le Hamas et le Jihad islamique « ont reçu plusieurs centaines de missiles antichars avancés fabriqués en Russie, qui ont une portée de plus de 4 kilomètres et qui sont capables de percer des véhicules blindés de transport de troupes et certains chars de l’armée israélienne ».
Les missiles antichars parviennent au Hamas soit via la Syrie qui les achète de Russie, soit via le marché noir, selon le journal. C’est à travers les tunnels illégaux creusés aux frontières de la bande de Gaza que le Hamas réussit à les faire entrer dans ce territoire palestinien.
Le journal précise que le Hezbollah réussit aussi à obtenir des missiles antichars de la Syrie, achetés à la Russie.
« Les groupes terroristes à Gaza avaient un petit nombre de ces missiles » avant l’offensive israélienne sur la bande de Gaza en 2009, indique le journal. « Mais la bande de Gaza est complètement différente aujourd’hui de ce qu’elle était il y a environ trois ans », selon un haut responsable de la défense cité par le journal. Les armes qui s’y trouvent sont plus sophistiquées et beaucoup plus nombreuses, précise-t-il.
Face à cette menace, l’armée israélienne installe un « système de protection sur les chars Merkava Mk 4 qui sont en train d’être produits », explique ce responsable, qui précise que certains bataillons ont déjà reçu les chars modifiés. Le système de protection se base sur un radar avancé qui détecte les missiles antichars et lance alors un projectile pour les intercepter, indique-t-il.
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Le Hezbollah s'attaque au rapport de Ban Ki-moon sur la résolution 1701

17/11/2011
Au lendemain de la publication du 17e rapport du secrétaire général de l’ONU  sur la résolution 1701 du Conseil de sécurité, le Hezbollah a accusé Ban Ki-moon de se ranger toujours du côté des pays occidentaux qui l'ont installé à la tête des Nations Unies.
Le parti chiite a affirmé dans un communiqué que le rapport du secrétaire général "déborde de fausses déclarations et démontre un agacement résultant de la décision prise par les Libanais de faire face à l'occupation sioniste et aux agressions continues". "Ce rapport contredit les évidences sur le terrain qui démontrent la stabilité de la situation au Sud", poursuit le communiqué.
Selon le Hezbollah, "la prédominance des puissances occidentales, avec à leur tête les États-Unis, sur l'ONU constitue un danger qui menace la paix et la stabilité internationales et permet à ces puissances de violer les droits des populations et des nations qui refusent de se soumettre à leur volonté à travers le monde, mais surtout dans notre région qui souffre depuis longtemps du parti-pris des puissances occidentales pour l’ennemi sioniste aux dépends du droit, de la justice et de la souveraineté".

Dweik: l'occupation exerce le nettoyage ethnique dans les territoires palestiniens occupés

[ 17/11/2011 - 13:30 ] 
El-Khalil - CPI
Dr .Aziz Dweik, Président du conseil législatif palestinien a rencontré l’ambassadeur t d'Afrique du Sud, «Ted Bakane », dans le bureau des députés islamiques de Ramallah, en présence de certains d’eux.
Dweik a discuté de la souffrance du peuple palestinien dans la ville de Jérusalem (el-Qods occupée) et dans différentes zones palestiniennes, en disant qu'il y a des relations particulières liant les deux peuples ; Palestiniens  et de l'Afrique du Sud, où les peuples souffrent de la persécution, la discrimination raciale et du nettoyage ethnique.
Il a également parlé de la souffrance des Palestiniens par la politique raciste de l’ennemi occupant israélien ; des arrestations, la confiscation de terres et de la guerre d'extermination contre la présence palestinienne, en particulier l'enlèvement des députés qui continuent à souffrir dans les prisons de l'occupation et la perturbation de la législature, le nettoyage ethnique perpétuel dans la ville de Jérusalem, en plus de la continuation à construire le mur de séparation discriminatoire.
Dweik a souligné: «Nelson Mandela est le leader et symbole de la révolution contre la discrimination et le nettoyage ethnique non pas seulement pour l'Afrique du Sud, mais est un symbole de la justice pour les Palestiniens et les autres peuples ».
Il a souligné que les Palestiniens n'oublieront pas leurs captifs et les dirigeants palestiniens à respecter les religions et la demande principale est l'égalité et les droits, soulignant que l'Amérique n'a pas le droit de priver les Palestiniens de leur droit à l'état libre et indépendant.
De sa part, M. Ted Bakane a félicité l'insistance des Palestiniens à obtenir leurs droits légitimes, en citant les paroles de Nelson Mandela quand il disait : (Notre guerre ne sera qu’avec la liberté des Palestiniens) et a déclaré que le gouvernement et le peuple d'Afrique du Sud sont avec les exigences du peuple palestinien pour sa liberté comme les autres peuples, et qu'il se tient toujours avec la souffrance des députés encerclés à Cheikh Jarrah dans le siège de la Croix-Rouge à Jérusalem, et il les envoie des messages de temps en temps ».
Dweik, a déclaré, en outre, que la question palestinienne est très proche du cœur du peuple d'Afrique du Sud, et ils seront heureux quand les Palestiniens obtiennent leur liberté et leur indépendance.

"Fondation d’el-Aqsa" : Nouveaux projets judaïques à Jérusalem (el-Qods occupée)

[ 17/11/2011 - 14:35 ] 
Jérusalem - CPI
La "Fondation d’el-Aqsa pour « les legs pieux et le patrimoine»  a affirmé  que les autorités sionistes dans la ville occupée de Jérusalem (el-Qods occupée) travaillent, ces jours-ci,  pour  la mise en œuvre de millions de projets coûtant de millions de shekels, en s’emparant de deux rues principales de la Vieille Ville de Jérusalem menant à la Mosquée sainte d’el-Aqsa.
« L'occupation cherche à judaïser la proximité de la Mosquée d’el-Aqsa et tente de modifier le caractère physiques, le patrimoine archéologique et culturel arabo- islamique dans la vieille ville de Jérusalem, et aux alentours adjacents à la mosquée bénie, en utilisant des slogans de la restauration et réparation des infrastructures, pour la mise en œuvre de ses projets judaïques à Jérusalem et ses environs », a souligné lLa "Fondation d’el-Aqsa, lors de son communiqué publié, jeudi le 17/11.
Fondation d’el-Aqsa a ajouté : " Un examen rapide des projets établies au cours des années précédentes montre que l'occupation les a baptisés de développement et de restauration, mais en réalité concrète sur le terrain, ils n'étaient que des projets judaïques.
Notons que les médias hébreux ont publié que le soi-disant  « Autorité du développement de Jérusalem »- qui est l'un des bras de l'occupation de la judaïsation de Jérusalem - a annoncé plusieurs offres pour la restauration des deux rues centrales dans le quartier musulman de la Vieille Ville de Jérusalem ; la rue d'el-Wad (Oued), et le boulevard « Bab Hutta », à un coût de dizaines de millions de Shekels, où le travail sera dans les infrastructures pour l'eau et d'égouts, l'électricité, pour le développement des interfaces, des maisons et des magasins, tout pour objectif t de faciliter et d'attirer le plus grand nombre de touristes étrangers à visiter la Vieille Ville de Jérusalem.

El-Qods occupée : Affrontements dans le quartier révolutionnaire

[ 17/11/2011 - 15:06 ] 
Jérusalem - CPI
Des affrontements entre les forces armées de l’occupation et les jeunes Palestiniens du quartier révolutionnaire de la ville de Silwan, au sud de la mosquée d'el-Aqsa, à Jérusalem occupée.
Des témoins oculaires ont déclaré que les affrontements ont éclaté après l’attaque des véhicules militaires de l'armée occupante sur le quartier, et à la suite du tir d'un colon en l'air pour tenter de provoquer les habitants à la nuit dernière, ajoutant que les affrontements ont duré jusqu’à des heures tardives.
« Les forces armées occupantes ont lancé des balles en caoutchouc et de gaz lacrymogène, tandis que les jeunes ont réagi avec des pierres et des bouteilles vides »,  ont souligné les témoins, notant que les jeunes ont bloqué la route principale avec des pierres et brûlant des pneus, au moment où des renforts de soldats et de police sionistes y étaient arrivés.
Il est à noter que de plusieurs maisons colonialistes se trouvent dans le voisinage du quartier révolutionnaire, et adjacentes aux domiciles des citoyens, où les colons souvent provoquent et harcèlent délibérément les citoyens comme une pression pour les forcer à quitter le quartier.

Cisjordanie :Sept Palestiniens arrêtés par les forces armées de l’occupation dont 4 jeunes

[ 17/11/2011 - 15:35 ] 
Qalqilya - CPI
Les forces armées de l’occupation israélienne ont arrêté, jeudi à l'aube, le  17/11, sept Palestiniens lors de raids et d'arrestations lancés dans différentes parties de la Cisjordanie occupée, y compris 4 jeunes.
Des sources locales ont déclaré que des soldats ont arrêté 4 jeunes de la ville d’Azzun à l’est de Qalqilya, dans le nord de la Cisjordanie, après avoir perquisitionné les domiciles de leurs familles et forcés de sortir et rester son abri, sous le climat froid et la pluvieux dans les territoires palestiniens.
Les sources ont ajouté que les détenus d’Azzun sont: Qusay Chaher Saleem , 17 ans, Rashad Raed Chebeita, 13 ans, et Ihab Taleb Mechaal 17 ans, et Ibrahim Ahmed Enaya, 17 ans.
« Les forces de l’occupation ont pris d’assaut la ville de Samu, au sud d'Hébron (el-Khalil), au sud de la Cisjordanie, et ont arrêté le jeune Khalil Mohammed Salameh Hawamdeh, après avoir fouillé son domicile et altéré son contenu, tout en attaquant le village de Dura, au sud d'Hébron, où deux jeunes ont été arrêtés, Ibrahim Salem Haribat, et Mohamed Jamil Jad Allah », ont confirmé également les sources.
Elles ont ainsi poursuivi que les troupes armées occupantes ont pris d'assaut le village d Immatin à l'est de Qalqilya, en attaquant deux maisons de la famille du Mitanni, tandis que les chiens ont altéré leur mobiliers et contenus, qui appartiennent à Abdel-Rahman Mitanni Abdel-Salam Mahmoud Mitanni.

Halayka: la détention politique est dans le sens de déjouer la réconciliation

[ 17/11/2011 - 18:47 ] 
Gaza - CPI
« Il y a un groupe qui ne veut pas que la réconciliation palestinienne soit réalisée », a affirmé la députée du bloc Changement et réforme du Conseil législatif palestinien, Samira Halayka.
Halayka a souligné dans une déclaration au Centre palestinien d'Information, jeudi 17/11: «Ce groupe augmente délibérément les arrestations une fois qu'on s’engage pour la réconciliation ou toute réunion à cet égard.
«Le processus de la détention politique qui est dans le sens de la frustration de la réconciliation, surtout qu’elle s’accroît particulièrement au cours  des entretiens concernant la réconciliation palestinienne », a-t-elle ajouté.
Elle a insisté sur la nécessité que le président de l'Autorité Mahmoud Abbas décrète une décision pour la libération des prisonniers politiques et à mettre terme au dossier de la détention politique, d'autant que les détenus de la Cisjordanie avaient des décisions d’être libérés.
 «Si tous les détenus ne sont pas libérés grâce à la réconciliation et des réunions des dirigeants politiques, comment peuvent-ils sortir?", s’est intérrogée la députée palestinienne.
Elle a attiré l'attention sur la nécessité d'appliquer les actes de réconciliation à travers la traduction des paroles aux actes, de mettre fin au dossier de la détention politique, en insistant: «Tout pas vers la réconciliation nécessite des intentions sincères qui doivent se traduire en action ; il faut mettre fin au dossier de la détention politique ».

Des Sionistes enlèvent un prisonnier libéré à el-Khalil

[ 17/11/2011 - 20:07 ] 
Hébron (el-Khalil) - CPI
Des Sionistes habillés d’un style civil palestinien ont enlevé aujourd’hui, le jeudi 17/11,  un prisonnier libéré, après un raid sur un atelier pour la fabrication de l'aluminium, où il travaillait,  au centre de la ville de Doura, au sud-ouest  d'Hébron (el-Khalil),  en Cisjordanie occupée.
Des sources locales ont dit que deux voitures, de type « Demaqs » ont pris d’assaut l'atelier, situé au large de Doura, où un certain nombre envahissants sionistes armés ont enlevé Sami Chaarawi (35 ans) et l'ont emmené vers une destination inconnue.
Des témoins ont confirmé que près de 12 membres masqués de l'unité d'infiltration ont menacé par leurs armes les travailleurs de l’atelier, et les ont empêchés de bouger  ou de tenter contre son l’enlèvement qui a eu lieu très rapidement.
Il est à noter que Chaarawi est un prisonnier libéré qui a purgé près de 6 ans dans les prisons de l'occupation, et son frère souffre actuellement d’une peine de huit ans et demi dans les geôles de l’ennemi occupant.


Israël prévient Ottawa qu'il pourrait utiliser la force contre l'Iran

16 novembre 2011
La Presse Canadienne
Ottawa
Le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a prévenu son homologue canadien qu'Israël envisageait toutes les options pour empêcher l'Iran d'acquérir des armes nucléaires.
M. Barak a fait cette déclaration après avoir rencontré Peter MacKay à Ottawa mercredi.
Il a affirmé que le régime iranien constituait une menace sérieuse non seulement pour le Proche-Orient, mais aussi pour le reste du monde.
Le ministre israélien a ajouté que son pays appréciait l'appui solide que lui apportait le gouvernement du Canada.
Depuis la publication d'un rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique, qui signalait des signes inquiétants de développement d'armes nucléaires en sol iranien, Ehud Barak a souvent évoqué la possibilité d'une intervention militaire contre Téhéran.
M. MacKay a indiqué que les membres de la communauté internationale travaillaient en étroite collaboration afin de déterminer la prochaine étape.
«Des liens bilatéraux étroits en matière de défense sont établis depuis quelques temps entre le Canada et Israël, et notre relation spéciale avec ce pays est devenue plus solide au cours des dernières années», a déclaré le ministre MacKay.
«Nous respectons tous deux des valeurs similaires dans certains domaines clés, notamment la sécurité publique, le commerce et les investissements, la démocratie ainsi que la primauté du droit, et les liens que nous tissons ensemble dans le domaine de la défense permettront de consolider la relation future entre nos deux nations.»
Le ministre MacKay et le ministre Barak ont discuté de plusieurs enjeux importants, y compris de l'importance des retombées positives qui découlent de la mutualisation des pratiques exemplaires en matière de défense, ainsi que de la dynamique régionale changeante au Moyen-Orient, notamment en Iran.
Le Canada est un proche allié d'Israël et est préoccupé par les propos très alarmants et menaçants prononcés par l'Iran et destinés à Israël.
Les rapports du Canada avec Israël en matière de défense sont devenus plus étroits au cours des dernières années. En janvier 2011, dans le cadre d'un voyage de cinq jours au Moyen-Orient, le ministre MacKay s'est rendu en Israël et cette visite réussie s'est soldée par la signature d'un protocole d'entente principal sur la coopération entre Israël et le Canada dans le domaine de la défense.
Le Canada et Israël travaillent à l'élaboration de deux protocoles d'entente visant à affermir davantage les liens entre les deux pays, surtout dans les domaines du matériel et de la recherche et du développement militaires.
Pendant son séjour au Canada, le ministre de la Défense, M. Ehud Barak, participera au Forum annuel sur la sécurité internationale d'Halifax, tenu du 18 au 20 novembre 2011.
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Gaza: Israël autorise l'entrée de matériaux de construction

16 novembre 2011
Agence France-Presse
Jérusalem
L'armée israélienne a commencé à appliquer un plan visant à permettre l'entrée sous conditions dans la bande de Gaza de matériaux de construction destinés à la rénovation de 10 entreprises privées, a annoncé mercredi le ministère de la Défense dans un communiqué.
Ce plan a commencé à être appliqué à partir de mardi en coordination entre le bureau du coordinateur des activités israéliennes dans les territoires palestiniens, des représentants de l'ONU, du bureau du Quartette pour le Moyen-Orient (États-Unis, Union Européenne, Russie et ONU) et de l'Autorité palestinienne, a précisé le communiqué.
«Il a été convenu que les matériaux de construction pour la rénovation et la réhabilitation de dix usines privées seront importés (dans la bande de Gaza) sous la supervision et un mécanisme de contrôle de la communauté internationale pour s'assurer que les matières premières ne tomberont pas dans les mains d'organisations terroristes», a poursuivi le communiqué.
Le ministère de la Défense faisait ainsi référence aux islamistes du Hamas qui contrôlent la bande de Gaza.
«Des dizaines de camions ont commencé mardi à transporter ces matériaux de construction et vont continuer dans les prochains jours par le point de passage d'Erez», a précisé le communiqué.
L'allègement du blocus de Gaza annoncé en juin 2010 par Israël n'a eu qu'un «impact positif marginal», augmentant la disponibilité des biens de consommation, sans favoriser l'activité dans le territoire palestinien, avait indiqué en juin 2011 un rapport de l'ONU.
Le 20 juin 2010, le gouvernement israélien avait annoncé l'allègement du blocus de la bande de Gaza, un peu moins de trois semaines après l'assaut meurtrier donné le 31 mai par l'armée israélienne contre une flottille internationale au cours de laquelle 9 passagers turcs avaient été tués par un commando israélien au large de Gaza.
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L’engagement de Mahmoud Abbas

17.11.11
Le président de l’Autorité palestinienne a promis de hâter les élections présidentielles et législatives et la formation d’un gouvernement «indépendant».
Face aux incertitudes sur la demande d’adhésion à l’ONU d’un Etat de Palestine et au blocage des négociations avec Israël, le président palestinien, Mahmoud Abbas, tente de faire redémarrer la difficile réconciliation avec le Hamas. M. Abbas s’est engagé hier à «faire tous les efforts pour hâter la résolution des questions en suspens, en premier lieu les élections présidentielle, législatives et du Conseil national palestinien, et la formation d’un gouvernement d’indépendants pour organiser les élections». «Quelles que soient les difficultés, nous ne renoncerons pas à notre droit à adhérer à l’ONU» en tant que membre à part entière, a-t-il insisté dans un discours pour le 7e anniversaire de la mort de son prédécesseur, Yasser Arafat, et le 23e anniversaire de la Déclaration d’indépendance faisant état de consultations avec la direction palestinienne et les pays arabes.
«Cette question et les sujets politiques qui y sont liés figureront au programme de ma rencontre avec Khaled Mechaal, chef du bureau politique du Hamas», a-t-il précisé, ajoutant qu’elle aurait lieu le 23 novembre au Caire. Azzam Al Ahmad, responsable du dossier de la réconciliation au Fatah, le mouvement de Mahmoud Abbas, a précisé à l’AFP que le président palestinien se rendrait au Caire le 23 et s’entretiendrait avec M. Mechaal le 25. Le porte-parole du gouvernement Hamas à Ghaza, Taher Al Nounou, a salué «l’esprit positif de ce discours». «Nous espérons que cet esprit se traduira lors de la rencontre», a-t-il déclaré à l’AFP. «Ce qui est nécessaire maintenant, c’est d’accélérer la formation du gouvernement et d’une direction conjointe et la réalisation d’un partenariat national entre le Hamas et le Fatah», a plaidé M. Al Nounou.
Un nouveau gouvernement et des élections
Lundi, Azzam Al Ahmad avait fait état d’accords sur des «questions importantes» en vue de la rencontre du Caire. «La rencontre portera sur la question des élections présidentielle et législatives et il y a un accord entre le Fatah et le Hamas pour les tenir, comme prévu, en mai», avait-il assuré à l’AFP.
«Elles seront précédées par la formation d’un gouvernement de consensus national, la restructuration de la Commission électorale centrale, la formation d’un tribunal électoral et la refonte des services de sécurité», a-t-il souligné. Mardi soir, le comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) a appelé à «réaliser des progrès véritables dans la mise en œuvre de la réconciliation». Il a condamné les récents projets immobiliers d’Israël à Jérusalem-Est, y voyant «une preuve supplémentaire et irréfutable que le gouvernement israélien ne veut pas de solution politique à ce conflit, mais seulement annexer de larges portions des territoires palestiniens et imposer la poursuite de l’occupation».
Le ministère israélien du Logement a annoncé, mardi, le lancement d’appels d’offres pour la construction de quelque 800 logements dans deux quartiers de colonisation à Jérusalem-Est occupée et annexée. Quant à la bataille diplomatique à l’ONU, le comité des admissions réuni le 11 novembre n’a pu que constater son désaccord sur la candidature de la Palestine, vouée à l’échec en raison des sérieux doutes sur sa capacité à recueillir les 9 voix sur 15 requises et la volonté des Etats-Unis d’y opposer leur veto, si nécessaire. Le Fatah et le Hamas, qui contrôlent respectivement les zones autonomes de Cisjordanie, et la bande de Ghaza, ont conclu le 27 avril un accord surprise qui prévoit la formation d’un gouvernement en vue d’élections d’ici un an. L’accord achoppe sur la formation d’un gouvernement d’indépendants, en particulier sur le choix du Premier ministre. L’actuel titulaire, Salam Fayyad, s’est dit prêt à renoncer à ses fonctions au nom de «l’intérêt national».
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Les relations franco-israéliennes de nouveau tendues après un raid à Gaza

17/11/2011
Les relations entre la France et Israël se sont à nouveau tendues avec la convocation hier de l’ambassadeur israélien à Paris après un raid à Gaza dimanche dans lequel un diplomate français et deux membres de sa famille ont été blessés.
Le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Bernard Valero, a affirmé dans une déclaration écrite qu’il avait été signifié au diplomate israélien, Yossi Gal, l’importance « de prévenir toute atteinte » à la présence française à Gaza. « Nous avons rappelé à l’ambassadeur d’Israël à quel point nous déplorions vivement les conséquences de ce raid », a indiqué le porte-parole français. 
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Abbas tend la main au Hamas après le blocage à l’ONU et avec Israël

17/11/2011
Face aux incertitudes sur la demande d’adhésion à l’ONU d’un État de Palestine et au blocage des négociations avec Israël, le président palestinien Mahmoud Abbas tente de faire redémarrer la difficile réconciliation avec le Hamas.
M. Abbas s’est engagé hier à « faire tous les efforts pour hâter la résolution des questions en suspens, en premier lieu les élections présidentielle, législatives et du Conseil national palestinien, et la formation d’un gouvernement d’indépendants pour organiser les élections ».
« Cette question et les sujets politiques qui y sont liés figureront au programme de ma rencontre avec Khaled Mechaal, chef du bureau politique du Hamas », a-t-il précisé, ajoutant qu’elle aurait lieu le 23 novembre au Caire. Le porte-parole du gouvernement Hamas à Gaza, Taher al-Nounou, a salué « l’esprit positif de ce discours ». « Nous espérons que cet esprit se traduira lors de la rencontre », a-t-il déclaré.
(Source : AFP) 
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Une journaliste jérusalémite arrêtée par les forces armées de l’occupation

[ 16/11/2011 - 22:45 ] 
Jérusalem - CPI
Les formes armées de l’occupation israélienne ont arrêté, mercredi soir 16/11,  la journaliste jérusalémite, Isra Salhab (26 ans), qui est présentatrice du programmé «libres» sur la chaîne de télévision d’el-Qods et consacré spécialement aux  affaires des prisonniers.
Des sources locales ont déclaré au correspondent de notre Centre (CPI) que la police sioniste a arrêté l’annonceuse Salhab, après avoir été convoquée, cet après-midi, où il a été transférée au département des enquêtes du renseignement sioniste.
« Les forces occupantes avaient arrêté, son mari, Chadi Zahida, il y a 3 semaines, après un raid sur sa maison dans le quartier de Wadi Joz dans la Vieille Ville de Jérusalem », ont également affirmé les sources.

Le libéré Jabbarin de la ville Om Al-Faham et les souvenirs douloureux des prisons sionistes

[ 16/11/2011 - 22:58 ] 
Palestine – CPI
Pendant un peu moins d’un quart de siècle, Mohammed Ahmed Jabbarin est resté derrière les barreaux de l’occupation israélienne. Il n’avait que vingt-trois ans quand il a été interné dans les cellules de l’injustice sioniste. Il a été libéré vingt-trois ans plus tard. Ainsi, la moitié de sa vie, il l’a laissée derrière lui, dans les prisons de l’occupation israélienne où il survivait dans l’attente de voir un jour l’air de la liberté, avec impatience. Il savait néanmoins qu’un condamné à une lourde peine comme lui ne pourrait quitter les prisons de l’occupation sioniste qu’à travers les transactions d’échange de prisonniers. Parler d’une transaction était pour lui une lueur d’espoir qui lui permettrait de retourner auprès de sa femme avec laquelle il n’avait vécu que quatre ans avant l’arrestation, et d’embrasser sa fille et son fils qu’il avait laissés tout petits.
Au mois d’octobre 2011, la ville Om Al-Faham a reçu son fils. Sur l’entrée de la ville, de nombreuses personnes se sont rassemblées pour accueillir Abou Adham, après une absence de plus de deux décennies. En effet, il a été arrêté en 1988, accusé d’avoir tué un agent qui travaillait pour le compte de l’occupant, accusé aussi d’être membre du mouvement du Fatah. Il a eu le droit à toutes sortes d’interrogations, de pressions et de conditions des plus difficiles.
Une vie difficile
Avant la détention, Abou Adham croyait que la prison n’était qu’une salle normale : « Mais, quand j’ai été enfermé, j’ai constaté que la prison est un autre monde, un monde à part, ayant ses propres organisations et ses propres traditions. J’ai eu besoin de plusieurs mois afin de m’adapter avec cette situation bien nouvelle pour moi, loin des miens, de ma famille, de ma liberté ».
Par contre, il y a trouvé des aspects positifs : « J’ai remarqué que dans la prison, il y a des écoles et des universités. Les captifs profitent de leur temps pour apprendre, étudier le saint Coran. Les études sont collectives comme dans les universités, ou individuelles ».
Et pour ce qui est des grèves menées par les détenus palestiniens comme moyen de résistance destiné à améliorer les conditions de détention, il a participé à cinq grèves de la faim dont la plus longue était d’une durée de 45 jours. Il confirme que la grève est une grande souffrance dans laquelle le prisonnier laisse parfois la vie. Les captifs pratiquent la grève pour avoir une télévision, une couverture, un ventilateur, un droit de visite. Il confirme que la politique de la prison est calquée sur celle du gouvernement israélien. A titre d’exemple : « Avant que Netanyahu ne vienne au pouvoir, nous avions le droit à seize chaînes de télévision ; maintenant, nous n’en avons que dix. De plus, beaucoup de journaux et livres arabes sont interdits ».
Différentes expériences
Mohammed Jabbarin affirme que la prison était une vraie école pour lui. Il y a appris à lire et à écrire. Puis il a beaucoup appris dans les domaines de l’histoire, de la politique, de la religion. Il a accru sa patience, une patience dont tout détenu a en permanence besoin.
La prison lui a aussi permis de rencontrer beaucoup de personnalités palestiniennes desquelles il a beaucoup appris. Il a rencontré, à titre d’exemple, Dr. Abdou Al-Aziz Ar-Rantissi, Mustapha Chahada, Hassan Bou Chanab, Ahmed Attoun, Marwan Al-Barghouthi, des personnalités de toutes les factions palestiniennes.
Un message de l’intérieur des prisons
Jabbarin porte un message des captifs palestiniens enfermés derrière les barreaux des prisons sionistes. Ils demandent à ce que la question des prisonniers reste en tête des priorités de la cause palestinienne. La joie de sa liberté reste un peu douloureuse : « Ma joie ne sera complète qu’après la libération de tous les détenus, spécialement mon copain et cousin Mahmoud Jabbarin "Abou Hilmi", qui avait été arrêté pour la même affaire. Combien j’ai souhaité qu’il soit libéré à ma place ! ».
Et quant aux derniers moments avant la libération, Jabbarin les qualifie de moments difficiles. On a eu peur de voir un événement mettre en échec la transaction, mettant ainsi en échec tout notre espoir.
Remerciements
Abou Al-Adham ne peut décrire ses sentiments au moment où il a embrassé sa famille, surtout sa fille Alaa. Il a remercié tous les habitants de la ville Om Al-Faham qui l’avaient accueilli si chaleureusement.
Puis il a remercié l’association Ansar As-Sajin et l’association Youssef As-Sidiq, en particulier le directeur de cette dernière Firas Omri. Ces deux institutions travaillent beaucoup au service des captifs palestiniens, par exemple en fournissant des médecins et des avocats.
Il appelle à ce que les détenus aient un suivi psychologique une fois libérés, afin qu’ils sachent comment s’intégrer de nouveau dans la société, après de longues années d’emprisonnement.
Mohammed Jabbarin dit enfin que tout le peuple palestinien et toutes ses personnalités devront travailler pour libérer tous les captifs palestiniens, coûte que coûte.
Rapport paru sur le site PLS48.NET, le 13 novembre 2011, traduit et résumé par le département français du Centre Palestinien d’Information (CPI)

Gantz, bat les tambours d'une guerre-éclair mais le succés est très aléatoire

[ 16/11/2011 - 23:53 ] 
Le chef de l’état major de l’armée sioniste Béni Gantz a affirmé aujourd’hui mardi que le déclenchement d’une opération militaire contre la bande de Gaza, pour détruire l’infrastructure des branches de la « Résistance palestinienne » et l’arrêt des opérations de tirs des missiles en direction d’objectif sioniste à l’intérieur des territoires occupées en 1948, est une question de temps.
Au cours d’une réunion de la commission de l’étranger et de la sécurité relevant de Knesset Gantz a noté que « l’offensive de la bande de Gaza est devenue une question de temps, et doit être une mesure anticipatoire et organisée, car il ne nous est plus possible de poursuivre  de nouvelles actions d’escalade, vu ce qui en découle de perte en vie des sionistes, selon ses dires.
En cours de conversation, Gantz a abordé la question de la demande de reconnaissance de l’état palestinien adressée par l’autorité palestinienne à l’ONU en disant : nous sommes encore dans une situation de préparation et de prédisposition, et il possible que des violences et des manifestations surviennent en cas de reconnaissance de l’état palestinien.
En répondant à une question relative aux dernières manœuvres exécutées par l’armée sioniste, simulant la captivité d’un Soldat sioniste, Gantz a précisé que : les manœuvres exécutées par l’armée, n’empêcheront peut être pas les opérations de captivité, mais nous poursuivrons nos entrainements et nos préparatifs.
Concernant les demandes du gouvernement sioniste de réduire le budget du ministère de la défense, Gantz a rétorqué : Il ne faut pas réduire le budget du ministère, car l’atteinte du budget signifie automatiquement atteinte à la capacité et la disposition de l’armée israélienne.
Il a alors enchainé : durant la prochaine guerre nous avons besoin de réduire au possible la période des combats ; ce problème implique de compter et de s’appuyer sur les indications des renseignements « de qualité », et un rythme d’action rapide : pour cela il faut préserver la capacité de l’armée ; et préserver aussi les ressources humaines.
Dans sa conversation, Gantz a abordé la question de la construction de la muraille frontalière  entre les territoires occupées en 1948 et l’Egypte, en disant nous avons concentré nos efforts sur le fait d’empêcher les intrus d’entrer en Israël, à partir des frontières égyptiennes, cependant maintenant nous traitons des opérations menées contre Israël ».
Il a ajouta : aujourd’hui environ 30 entrepreneurs travaillent sur les frontières avec l’Egypte et 400 ouvriers pour édifier la muraille frontalière ; l’action continue à un rythme accéléré, nous avons pu jusqu'à maintenant construire 70Km, et vers la fin de l’année 2012 la muraille sera totalement édifiée.

Le survol agressif de Gaza : réplique à la Transaction

[ 16/11/2011 - 00:00 ] 
Les avions de l’occupation sioniste ont déclenché trois raids séparés la veille du mercredi (16/11) après minuit, sur le nord et l’est de la bande de Gaza sans faire de victime dans une nouvelle et grave escalade de l’agression sioniste.
Le porte parole de la commission supérieure de secours et d’urgence Adham Abou Selmia a démenti dans une communication au (C P I) l’information colportée par certains moyens de presse locale de survenue de victime par les raids déclenchés par l’occupation au nord et à l’est de la bande de Gaza.
Des sources locales ont informé notre correspondant que les avions de guerre de l’occupation ont tiré deux fusées en direction d’une terre déserte proche de l’endroit d’Essafina au nord de la bande de Gaza ; l’un d’eux a explosé provoquant un grand vacarme, le second est resté intact.
Un groupe de citoyens, ont échappé belle, à un bombardement sioniste, les ayant pris pour cible, prés de la station Khaznadar dans la région « Ettaouam » au nord ouest de la bande.
Des témoins oculaires ont rapporté, qu’un avion de reconnaissance israélien, a tiré une seule fusée, en direction d’un groupe de citoyens qui, ont échappé de justesse.
Après cela, les avions de l’occupation ont tiré au moins une seule fusée en direction de Bayarat Essourami, au nord du quartier Ettoffah à Gaza en direction d’un atelier.
Les avions d’occupation de différents types survolent intensément sur des régions éparpillées de la bande de Gaza et procèdent au lancement « de ballons thermiques » dans différentes régions, se qui suppose un plus grand nombre d’agression à venir.

Le CPI : La direction du l'usine Essafa coupable de corruption et altération des produits

[ 17/11/2011 - 00:21 ] 
Des sources privées ont informé ce jour, mardi matin (15-11) le (CPI) de l'intérieur de l'usine Essafa, spécialisée dans la production laitière, rattachée à la Commission de l'aumône légale (dite Zaket) de Naplouse et que Fath a réussi à contrôler par le truchement de son ancienne direction, de la découverte de nouveaux cas d'altération.
Ces sources ont précisé que, la direction de l'usine, procède à l'ajout de dix tonnes d'eau à la même quantité de lait, pour obtenir au total vingt tonnes; il n'est cependant porté à l'actif de la caisse de l'usine que, l'équivalent d'une production de dix tonnes et, non pas vingt tonnes, dans une indication flagrante du vol de la moitié de la production, frelatée par ailleurs. Les sources ont aussi ajouté que l'usine conclue des marchés commerciaux avec les écoles pour confectionner le "choco" ou vingt tonnes d'eau sont mélangées à leurs équivalents en lait, ce qui donne un choco, dont plus de la moitié est faite d'eau.
La source privée a expliqué à notre correspondant, la façon suivie pour faire écouler le reste de la production qui consiste en la conclusion de transaction secrète avec des commerçants sans contrat et sans l'enregistrement des transactions sur les comptes de l'usine.
Une autre source de l'intérieur de l'usine aussi a fait savoir que, le nommé Ahmed Abdelfatteah directeur actuellement de l'usine, a procédé à la vente de plus sept cent cartons à la société commerciale Ezzalmout, sans qu'ils ne soient enregistrés sur les comptes de l'usine et a encaissé le montant de la vente directement La même source rapporte que le nommé Ahmed Abdelfattah, organise de grands banquets pour son compte personnel, mais qu'il facture au nom de l'usine; il invite des personnalités influentes, de ses amis; ceci en passant outre les " dépenses importantes qu'ils consacrent à son habillement, et qui atteignent 5000 chikels mensuellement, acheté d'une boutique de prét à porter à Naplouse appelée: "El Makkaoui"
La source conclue en notant: une décision pourtant à été prise pour, garder obligatoirement le soir, les voitures de l'usine dans son parking: la décision excepte la voiture de son directeur qui, s'obstine dans le vol, loin de toute comptabilité et de tout contrôle; de même l'utilisation des voitures de l'usine, dans le transport des produits personnels à son dimicile.
L'autorité d'EL Fath, avait procédé au limogeage des précédents membres de la commission du " Zaket des années auparavant et a imposé sa mainmise sur l'usine et tous les projets y afférents, tel l'usine Essafa qui a perdu sa marque mondiale "Iso", en plus de la baisse énorme de sa production, avec en sus, tout ce qui a été dilapidé par des opérations douteuses, de corruption financière et administrative.

Alternance des roles sions-préventives sous la banière de la cordination sécuritaire

[ 17/11/2011 - 00:33 ] 
Les appareils sécuritaires de l'Autorité poursuivent l'accentuation des campagnes d'arrestation et de convocation dans les différents départements de la Rive, procédant ainsi à l'arrestation de cinq citoyens et des partisans du mouvement " Hamas" dont trois frères, dans les départements de Naplouse, Tolkaram et Tobas.
Dans le département de Naplouse, l'appareil de sécurité préventive, a arrêté Abdallah, Anas et Yasser Mahmoud Joud Allah de la ville, tous relaxés des prisons de l'occupation, ils ont été auparavant convoqués et détenus par les appareils sécuritaires à plusieurs reprise; sachant que leur frère aîné Mohamed est incarcéré à la prison de Jouneid, depuis environ deux semaines et continue à être séquestré dans une cellule d'isolement depuis son arrestation.
On signale que les frères Joud Allah sont les frères du martyr, Ahmed Joud Allah et les fils de la martyre de l'organisation El Kassam, Souad Snoubar, décédée en 2003, précédant son fils le martyr Ahmed de trois mois!
Le même appareil a adressé une convocation au jeune Houzaa Ammouri originaire du village de Aourta, qui a refusé d'obtempérer.
Dans le département de Tobas, l'appareil de sécurité préventive a donné l'assaut hier soir au domicile du détenu relaxe Oussama Saoufta à Tobas, sur la rive occidentale et l'à enlevé après avoir procédé à une fouille minutieuse de la maison, éparpillé son contenu et confisqué à la fois , son P.C et un ensemble de ses affaires personnelles.
Saouafta à été arrêté à plusieurs reprises antérieurement par l'appareil de sécurité de l'Autorité et a passé la fête de l'Aid El Fitr (fête de la rupture du jeune) en captivité dans ses geôles, Saouafta est un captif relaxé des prisons de l'occupation ou il a trimé plus de six années.
Dans la ville de Tolkaram, l'appareil de renseignement Palestinien a procédé à l'arrestation du prrisonnier relaxé Mohamed Essaadi, du village de Aouteil proche de la ville.
D'un autre côté, l'appareil de sécurité de l'Autorité a relaxé les deux jeunes Mohamed Kawarik et Raef Nassar du village de Aourta après deux jours de garde à vue; de son coté l'appareil de sécurité préventive" a remis en liberté l'etudiant de l'université Ennajah, Oussama Halawa apres une détention qui a duré à peu prés deux mois et demi, contre une caution du tribunal de conciliation.
Dans un alternance incessante des rôles, les forces de l'occupation out arrêté deux des détenus relaxés des prisons de la sécurité de la rive, en l'occurrence Abderrahim Sami El hadj et cheikh Khalil Ibrahim El Haj- du village de Jalkmous au nord de la ville de Jénine après un assant de leurs foyers hier à l'aube.

Les anti-judaïsation d'El-Kods honorés par la direction militaire égyptienne

[ 17/11/2011 - 01:12 ] 
Des sources émanants de la " campagne populaire pour la lutte contre la judaïsation d'El Kods" l'oganisation millionième de " lutte contre la judaïsation d'El Kods" au Caire ont rapporté le 16 Novembre courant que, le conseil militaire a informé le coordinateur de la campagne Docteur Jamel Abdessalmem d'une rencontre qui se tiendrait entre les représentants de la commission et le conseil afin d'examiner les dernières évolutions à El Kods à la suite de la demande de celle-ci!
Dans une déclaration exclusive au (CPI) le Docteur Jamel Abdessalem coordinateur de la campagne a fait savoir que le conseil militaire a informé les organisateurs de la campagne de sa cordiale disposition à rencontrer la délégation de la campagne mercredi (16-11) au siège du conseil au Caire.
Abdessalem a ajouté que la campagne et ses organisateurs se proposent au cours de la rencontre avec le conseil, de tenir celui-ci informé des dernières évolutions à El Kods et de la dimension des agressions que l'occupation sioniste à exécuté dans la ville sacrée, pour parachever sa judaïsation et la profanation des ses symboles sacrés; le dernier en date consiste en la menace de démolition du portail des Maghrébins et l'annonce du démarrage de la construction de 52 mille unités coloniales nouvelles.
 Abdessalem a annoncé que la délégation de la campagne sera composée du Docteur Mohamed Amara, le Président de la campagne, son représentant, Safouat EL Hijazi, le porte- parole officiel Docteur Salah Soltane, la Hajja Yasmine El Hasri et d'autres encore.
Une délégation de la " campagne populaire pour la lutte contre la judaïsation d'El Kods" avait rencontré l'après- midi du vendredi son excellence le grand Imam Cheikh de la mosquée d'El Azhar, Docteur Ahmed Ettaieb au siège du professorat pour l'informer des dernières évolutions concernant El Kods et la Mosquée d'El Aksa.