dimanche 27 février 2011

Les évangélistes américains, alliés extrêmement fidèles d'Israël

26 Février 2011
GRANGEREAU Philippe
Pendant le bombardement israélien du Liban en juillet 2006, plus de 3 500 chrétiens évangéliques conduits par le pasteur texan John Hagee ont convergé vers Washington. Au cours d'un grand dîner auquel était convié l'ambassadeur d'Israël, le pasteur a exhorté ses disciples, membres de l'organisation des Chrétiens unis pour Israël, à plaider auprès de leurs représentants au Congrès afin qu'ils «laissent Israël faire son travail pour anéantir le Hezbollah».«Le soutien à Israël, a proclamé John Hagee, est la politique étrangère de Dieu» dans cette «bataille entre le bien et le mal».
Bible best-seller. Des délégués du pasteur, qui dirige une église de 18 000 fidèles à San Antonio, ont été reçus peu après par Bush à la Maison Blanche. La veille du départ du Président pour son voyage au Moyen-Orient, le révérend Hagee est revenu à la charge, exhortant Bush à «rallier la communauté internationale contre l'Iran», et Israël à «résister aux pressions pour diviser Jérusalem».
Ces militants font partie des 40 millions de chrétiens évangéliques qui constituent la base électorale la plus solide du Parti républicain. La plupart sont de fervents sionistes : ils croient que l'établissement d'un Etat juif en Palestine est l'accomplissement de la prophétie de la Bible - éternel best-seller aux Etats-Unis. Chaque année, 25 millions d'exemplaires y sont vendus, en dépit du fait que chaque famille américaine en possède déjà quatre en moyenne. «D'après la Genèse, Dieu a donné la terre d'Israël à Abraham et ses descendants ; en colonisant la Cisjordanie, les Juifs reprennent ni plus ni moins possession de ce que Dieu leur a donné», écrivent les auteurs du Lobby israélien et la Politique étrangère des Etats-Unis (New York, 2007) pour expliquer le point de vue de ces chrétiens évangéliques, qu'ils considèrent comme une partie intégrante du «lobby pro israélien».
Tout aurait vraiment commencé dans les années 80, après que le Premier ministre Menahem Begin eut rencontré, à plusieurs reprises, le pasteur Hagee. Ce dernier est loin d'être le seul religieux à cimenter cette alliance. Elle est aussi appuyée par le célèbre télévangéliste Pat Robertson, qui s'est rendu en Israël durant le conflit de 2006. Il a, peu après, participé à une publicité pour attirer les chrétiens américains en Israël, alors déserté par les touristes. Chaque année, 400 000 visiteurs américains, en majorité des évangélistes, apportent une manne considérable en Israël. Le quotidien Jerusalem Post a d'ailleurs créé une édition destinée aux chrétiens américains.
«Nationalisme chrétien». Fondée en 1983, l'Association internationale des chrétiens et des juifs, dirigée par le rabbin Yechiel Eckstein, consacre en moyenne 10 millions de dollars par an (6,82 millions d'euros) pour aider les juifs du monde entier à s'installer en Israël. Le poids des groupes de pression évangéliques sur la politique extérieure des Etats-Unis inquiète Nancy Roman, du Conseil des relations étrangères (CFR), un centre de réflexion de Washington. Auteur d'un ouvrage déplorant la montée d'un «nationalisme chrétien» qui saperait, selon elle, les bases de la démocratie américaine, elle estime que le sionisme chrétien est la cheville ouvrière du soutien américain en faveur des positions israéliennes les plus dures, comme la poursuite de la colonisation en Cisjordanie. Ce lobby aurait, dit-elle, davantage d'influence sur la politique moyen-orientale des Etats-Unis que le Comité des affaires publiques américano-israélien (Aipac), le puissant lobby pro israélien qui a pignon sur rue à Washington. Peut-être par vanité, le pasteur Hagee ne la dément pas: «Quand un membre du Congrès voit quelqu'un de l'Aipac passer le seuil de sa porte, il sait qu'il représente six millions de personnes, déclarait-il l'an dernier. Nous, on en représente 40 millions.» De notre correspondant à Washington.

La campagne Un bateau pour Gaza lancée

Georges Gumpel aux côtés de Mohamed Mansar et Pascal Mauranne, du collectif Palestine 71.  Photo J.-M. G. (CLP)
Le collectif Palestine 71 (Artisans du monde, Attac, CICFM, CCD, PCF, Europe écologie - les Verts, Chalon oxygène, Ligue des droits de l'homme, Solidaires, NPA) organisait, vendredi soir, une soirée débat pour lancer sur Chalon la campagne « Un bateau français pour Gaza ». Après la projection du film Gaza-Strophe, le jour d'après, tourné en janvier 2009 après la guerre contre Gaza, Georges Gumpel, membre de l'Union juive française pour la paix, a mis en avant l'importance de l'action de la société civile dans les luttes. « La flottille qui voguera vers Gaza sera issue de cette société civile qui veut prendre en main son destin, qui s'empare des problèmes du monde. Sa force, c'est le nombre. » Fils de déporté, enfant caché pendant la Seconde Guerre mondiale, partie civile au procès de Klaus Barbie, Georges Gumpel n'a pas de mot assez dur contre l'état d'Israël et se bat pour aider à mettre en place ce bateau pour Gaza. « Il y en aura entre 20 et 30 de plusieurs pays qui navigueront ensemble pour faire cesser le siège israélien de Gaza. »
Jean-Marc gaudillat (clp) Infos : www.unbateaupourgaza.fr
Publié le 27/02/2011
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La colonisation juive sera au centre des discussions entre les Palestiniens et le Quartette

27.02.2011
Les discussions entre les médiateurs du Quartette international pour le Proche-Orient (Etats-Unis, ONU, Russie et Union européenne) et les Palestiniens se concentreront sur la construction de colonies juives en Cisjordanie occupée et à Jérusalem-Est, a indiqué samedi un responsable palestinien.
"Nous informerons le Quartette que nous insistons sur notre position selon laquelle Israël doit cesser totalement la construction de colonie afin de reprendre les négociations de paix", a déclaré Ahmed Majdalani, un membre du comité exécutif de l'Organisation de libération de la Palestine.
Le Quartette international pour le Moyen-Orient, qui a prévu de se réunir à la mi-mars, a proposé de tenir des discussions séparées avec Israël et les Palestiniens pour tenter de relancer le processus de paix, qui est dans l'impasse depuis septembre dernier en raison de la décision israélienne de ne pas prolonger son moratoire relatif à la colonisation.
La direction palestinienne, qui a accepté la proposition du Quartette, demandera également que les négociations, "en cas de reprise", soient achevées avant le mois de septembre, selon M. Majdalani.
Jeudi en fin de journée, le coordinateur de l'ONU pour le Moyen-Orient, Robert Serry, a invité Israéliens et Palestiniens à des discussions avec le Quartette à Bruxelles le mois prochain.
M. Majdalani a affirmé qu'il ne pensait pas que le Quartette avanceraient de nouvelles propositions pour reprendre les négociations qui visent à établir un Etat palestinien à côté d'Israël, avec Jérusalem-Est comme capitale.
Le 18 février, au Conseil de sécurité de l'ONU, les Etats-Unis ont mis leur veto à un projet de résolution soutenu par les pays arabes contre la colonisation juive.
Source: xinhua

Des historiens lamentables

Israël - 26 février 2011
Par Jean-Marie Gläntzlen
Quand on connaît un peu la question ou qu’on la subit dans sa chair et son esprit, ou ne serait-ce que par solidarité déjà, il est en principe très clair que le 29 novembre 1947 est « la mère de toutes les journées les plus dramatiques et mémorables » pour les Palestiniens patriotes qui ne sont pas depuis décédés de mort naturelle ou violente.
Des historiens lamentables
Car même si le fanatique despote sioniste polono-russe David Grün, auto-rebaptisé modestement Ben Gourion (fils du lion) a déclaré le 12 mai au soir, avec son arrogance hypocrite et son double langage habituel : « Les Américains n’avaient pas indiqué les frontières de leur état dans leur déclaration d’indépendance. En dépit de réserves considérables, en particulier sur Jérusalem, les Juifs avaient décidés d’accepter la résolution de partage. Les Arabes n’en avaient pas fait autant et leur attitude les avait déchus de tout droit sur le plan de partage. Les frontières seraient celles qui sortiraient du prochain conflit », malgré tous les efforts admirables des courageux et perspicaces sionistes pacifiques (tels Ahad Haam et d’autres intellectuels juifs comme le rabbin Judah Magnes ou Chaïm Kalvarisky, ou Martin Buber ou Ernst Simon ou Henrietta Szold ou Shmuel Yossef Shai Agnon ou Anna Arendt), les hautains sionistes racistes avaient mobilisés quelques six mois auparavant énormément de temps, d’énergie, de salives, de fourberies et un million de dollars de l’époque (d’après le père toujours sioniste des « « nouveaux historiens » Benny Morris) pour disposer d’un texte officiel cache-sexe de la pseudo-communauté internationale, en l’occurrence le « machin onusien », couvrant juridiquement la création de leur anomalie étatique sioniste. Un texte dont beaucoup qui en parlent ignorent totalement ou presque la teneur insensée particulièrement particulière, entre autres, pour ce qui est du découpage territorial de toute évidence inviable et sans précédent. Avec diffusion d’une carte fausse à propos du port de Jaffa, témoin probant de l’insuffisante maîtrise du sujet.
Quoiqu’il en était, ce texte, d’où l’intérêt majeur d’en bien connaître l’historique, est encore hypocritement utilisé en 2011, et sans cesse depuis plus de 62 ans, comme légitimant la création et la perdurance de ce qui fut hâtivement décidé toujours ce 12 mai au soir de nommer "Israël" et pas "Sion" (qui eut été plus clair !) par six voix contre quatre. Un texte surtout que sa propre Charte ne permettait pas à l’ONU de présenter, même s’il n’était qu’une recommandation et pas une obligation, comme le démontra encore ce triste jour, et après, l’avocat palestinien trilingue de la délégation arabe Henry Cattan !
Et il est lamentable de constater que, outre des articles, de nombreux ouvrages petits moyens ou gros d’auteurs plus ou moins connus et censés sérieux, parlent considérablement brièvement et/ou mal de cette journée et de son vote pour le moins faussé ; ce qui ne peut qu’entraîner chez le lecteur plus ou moins vierge une conceptualisation erronée et le sentiment que, même si, après, cette anomalie étatique sioniste « a eu des comportements regrettables ; mais elle se défend », elle a été tout de même dès le départ légitimement voulu par la mythique pseudo-communauté internationale ; une lamentable rengaine qui ne correspond à rien de réel, la preuve étant que personne ne peut la définir logiquement.
On a, hélas, que l’embarras du choix, mais un des plus tristes mauvais exemples nous est fourni par l’universitaire israélien juif ou supposé de vieille ascendance trimillénaire telle Ilan Pape - pourtant favorable à un seul État respectueux des deux camps - dans son livre de Septembre 2004 « Une terre pour deux peuples » censé pourtant être « L’histoire de la Palestine », puisque c’est le sous-titre. Une telle histoire supposant, surtout de la part d’un historien, qui plus est très concerné puisque maintenant exilé, un minimum d’exhaustivité, surtout à propos de la tristissime journée initiale de la Nakba.
« Le 29 Novembre 1947, L’UNSCOP présentait ses recommandations à l’Assemblée Générale de l’ONU. Trois de ses membres furent autorisés à faire une contre-proposition. Le rapport majoritaire suggérait le partage de la Palestine en deux États, rassemblés au sein d’une Union économique. L'État juif, tel qu’il était définit, occuperait l’essentiel de la région littorale, la Galilée Occidentale et le Néguev, le reste devant être intégrait dans l'État palestinien. Le rapport minoritaire proposait la création en Palestine d’un État unitaire, fondé sur le principe de la démocratie. La majorité des deux tiers de l’Assemblée indispensable à la partition ne fut obtenue qu’au prix de manœuvres considérables du lobby juif américain, d’importantes pressions diplomatiques des États-Unis, et d’un vigoureux discours de l’ambassadeur russe aux Nations Unies. Il n’y eut guère de diplomates arabes ou palestiniens pour promouvoir l’autre proposition. Celle-ci attira néanmoins autant de partisans que de détracteurs, révélant qu’un grand nombre d'États membres comprenait fort bien qu’imposer un partage revenait à soutenir un camp et à s’opposer à l’autre. » (page 140 en bas et 141 en haut)
On est là très loin d’une information quelque peu détaillée suffisante et nécessaire pour comprendre l’inacceptabilité éthique et juridique de ce cache-sexe que fut la résolution 181 de l’Assemblé générale des Nations Unies qui recueillit officiellement 33 « oui », 13 « non » et 10 « abstentions », soit effectivement plus que les deux tiers de voix exigés par un règlement absurde, c'est-à-dire ne tenant compte que des seules voix « pour » et « contre » ; alors qu’il n’y pas qu’au sénat français, entre autres, que s’abstenir, c’est s’exprimer, c’est voter. Sachant premièrement que le fait que Haïti, le Libéria et les Philippines aient voté sous pression est quasi de notoriété publique, deuxièmement que le Guatémala, le Costa-Rica et l’Uruguay pour le moins aient bénéficié d’une partie du million de dollars sus-évoqué est donc certifié par Benny Morris, et, troisièmement qu’il faut être naïf ou de parti (communiste ?) pris pour croire que la Biélorussie, la Pologne, la Tchécoslovaquie et l’Ukraine n’ont pas pris leurs ordres auprès du « petit père des peuples » qui fut, pendant quelques mois encore un ardent et paradoxal défenseur d’un « da ». Tout comme, d’abord initialement et surtout, le président des USA Harry Truman ayant besoin du vote et de l’argent juifs pour se faire élire ; ainsi que pour d’autres raisons évidemment totalement opposées, et pour arriver à ses fins, en allant jusqu’à faire espionner par le FBI au profit des sionistes les téléphones des délégations hésitantes pour que soit validé cet invivable et insensé partage amoral.
C’est si vrai que « Dean Rusk, chef du bureau du département d’Etat à l’ONU, nota plus tard que « les pressions directes exercées par les représentants américains et juifs dans une capitale après l’autre pour obtenir ce vote affirmatif sont indesciptibles. » (Extrait de la page 329 de l’excellent ouvrage – néanmoins tout aussi imprécis sur cette résolution - de l’historien luxembourgo-usaméricain et « Juif non juif » Arno J. Mayer, « De leurs socs ils ont forgé des glaives »). Il est intéressant en effet de savoir que le célèbre général Marshall (celui du plan), alors indispensable secrétaire d’état (soit « Ministre des Affaires étrangères) de Truman essaya durant tout l’été et l’automne 1947 de dissuader son patron de faire voter ce texte et l’encouragea constamment par après à en demander la suspension vu tous les problèmes dramatiques qui suivirent. Ce qui n’empêcha pas Truman de faire menacer la France de suspendre l’application du dit plan Marshall si elle persistait à s’abstenir.
Et c’est à cause de l’inefficacité de cette menace sur notre Ministre des Affaires étrangères français Georges Bidault que ce déni de justice ne recueillit qu’au troisième scrutin seulement (après deux abstentions donc) le lamentable et honteux « oui » de la France. Sous l’influence puissante de l’agent sioniste franco-juif Lebel Tsvet, celui qui avait un kibboutz « reconnaissant » à son nom depuis 1943 et qui avait déclaré « J’ai jugé de l’empire extraordinaire qu’Haïm Weizmann exerçait sur les autres hommes par celui qu’il exerçait sur moi moi-même. Je n’ai jamais rien pu lui refuser ». Et qui écrivit encore « Dès le lendemain de la première guerre mondiale, il m’enrôla au service de ses desseins. C’est un grand orgueil et une grande satisfaction pour moi de penser que j’ai pu l’aider dans la difficile négociation dont dépendait la création du Home national juif …. ». A chacun d’apprendre par lui-même, avec son moteur de recherche favori, quel était le célèbre vrai nom de ce Lebel Tsvet, ces propres propos ci-dessus permettant bien de le qualifier honnêtement d’agent sioniste à qui son nom de code fut donné par le sus-dit Weizmann, premier président de l’anomalie étatique sioniste.
Quelqu’un aurait-il jamais lu en français, en anglais, en hébreu, en arabe ou en chinois ou autre, sous un plus ou moins réputé « clavier autorisé », une relation du vote de cette journée capitale pour la paix ultérieure de la planète, et même pour bien des contribuables, « en sus » des Palestiniens patriotes, dénonçant toutes les pressions et concluant par « moins de 24 oui libres sur 56 possibles. » ?
Conclusion honnête à retenir, voire à diffuser : la recommandation 181 de l’Assemblée générale de l’ONU trop souvent utilisée et objectée par les criminels sionistes de tous poils depuis plus de 62 ans (sur laquelle Truman devait essayer de revenir en mars de l’année suivante) a, de fait, recueilli une minorité de moins de 24 « oui libres » et pas les 33 officiels lors de « la mère de toutes les journées les plus dramatiques et mémorables » pour les Palestiniens patriotes qui ne sont pas depuis décédés de mort naturelle ou violente, mais qui tous, à la différence des Palestiniens collabos et/ou profiteurs, sont définitivement marqués psychiquement ; en particulier les jeunes générations, une tristissime réalité qui semble échapper à trop de « bien pensants » vecteurs d’opinons et/ou de décisions objectivement complices par leur ignorance et/ou leur silence des crimes sionistes quotidiens diurnes comme nocturnes.
N.B. On sera gré toutefois à Ilan Pappé d’avoir témoigné de son sens éthique en terminant ainsi - toute dernière phrase (page 287) - de son livre néanmoins intéressant à lire, mais avec circonspection, par : « Un dialogue direct entre les dépossédés et l'État qui les a expulsés pourrait renouveler le discours de paix et conduire la population et les autorités politiques à admettre la nécessité de se mettre en quête de la structure politiques unifiée qui, a plusieurs instants historiques de ce récit, a paru envisageable. »
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Marche de la colère à al-Khalil - 5 blessés, 4 arrestations

Hébron - 26 février 2011
Par Palestine Info
Cinq citoyens palestiniens ont été blessés par des balles en caoutchouc et 4 militants étrangers ont été arrêtés, vendredi après-midi 25/2, lors de l'attaque des forces de l'occupation israélienne contre la marche de "colère" convoquée par une coalition de la jeunesse pour rouvrir la Rue des Martyrs et permettre la liberté de circulation.
Des sources de "la Coalition des jeunes anti-colonisation" ont déclaré au Centre palestinien d'information que les forces occupantes ont attaqué la marche pacifique avec des bombes sonores et du gaz lacrymogène, agressant un certain nombre de manifestants dont des personnalités nationales et des militants étrangers.
La marche a été transformée en affrontements avec des pierres et s'est concentrée dans la rue d'al-Chalalah, où les soldats sionistes ont occupé les toits des maisons voisines, annonçant la région "zone militaire fermée".
Les manifestants ont exigé l'ouverture de la Rue des Martyrs dans la Vieille ville et de permettre la liberté de circulation aux citoyens palestiniens dans cette régions fermée depuis plus de 17 ans.
Notons que l'occupation avait fermé la Rue des Martyrs à al-Khalil (Hébron) en 1994 à la circulation des voitures palestiniennes, et suite au massacre de la mosquée d'al-Ibrahimi, elle a interdit aux citoyens palestiniens de circuler dans la rue à la fin de l'année 2000 pour assurer la sécurité de 600 colons sionistes qui occupent le centre de la ville d'al-Khalil.
La marche a été attaquée par des soldats sionistes, dont le député Dr. Moustafa al-Barghouthi, secrétaire général du mouvement de l'initiative palestinienne, en jetant une bombe sonore sur lui directement.
Dans son discours prononcé après la prière de vendredi et avant l'attaque des soldats sionistes qui ont tenté de l'arrêter, al-Barghouthi a appelé à intensifier partout la résistance populaire contre l'occupation et la colonisation.
Voir la vidéo sur la page "Youth against Settlements (La Jeunesse contre les Colonies)" de Facebook
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Israël redoute que les missiles livrées par Moscou à Damas ne parviennent au Hezbollah

27/02/2011
Israël a exprimé samedi son inquiétude que des missiles de croisière vendus par la Russie à la Syrie ne parviennent en fin de compte au Hezbollah. Les missiles en question sont une "arme à potentiel offensif qui risque de tomber dans les mains du Hezbollah, comme cela a été le fait dans le passé pour d'autres systèmes d'armes en possession de la Syrie", a averti le ministère de la Défense israélien, dans un communiqué.
La Russie entend remplir son contrat de livraison de missiles de croisière à la Syrie, malgré les condamnations d'Israël, a déclaré samedi le ministre russe de la Défense Anatoli Serdioukov cité par les agences russes.
"Le contrat est dans sa phase de réalisation", a déclaré M. Serdioukov
La signature de ce contrat en vue de fournir des missiles Yakhont à la Syrie remonte à 2007. Rien n'a été livré pour l'instant. Le montant du contrat qui prévoit la livraison de 72 missiles de croisière s'élève à 300 millions de dollars, selon les médias.
En septembre, Israël avait fermement dénoncé ces ventes. Les médias israéliens soulignaient alors que cela pourrait mettre en danger les navires de la marine israélienne au large des côtes libanaises au cas où ces missiles seraient transférés par la Syrie au Hezbollah.
La Russie tente de préserver les livraisons de ses équipements militaires au Moyen-Orient malgré les révolutions et les soulèvements sociaux qui secouent la région.
Une source russe chargée des exportations d'armes a indiqué cette semaine que la chute de certains régimes pourrait causer des pertes de 10 milliards de dollars à la Russie au titre de contrats non-honorés.
M. Serdioukov a pour sa part reconnu que les soulèvements pourraient pousser la Russie à abandonner plusieurs de ses clients dans la région. "Il est probable que nous perdions" des contrats, a souligné le ministre.
"Mais, j'espère que les principaux contrats de livraison d'équipements militaires seront honorés", a-t-il ajouté.
La Russie a aussi "une très longue liste" d'armes qu'elle compte vendre à l'Iran en dépit de l'annulation du contrat de livraison à Téhéran de missiles S-300, a déclaré cette semaine le directeur de l'agence russe chargée de la coopération militaro-technique, Mikhaïl Dmitriev.
Cette coopération peut notamment inclure les systèmes de missiles sol-air TOR-M1 auparavant fournis à Téhéran et "d'autres systèmes de défense antiaérienne qui ne sont pas interdits par les sanctions internationales, selon M. Dmitriev.
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Gaza : série de raids de l'aviation israélienne

27/02/2011
Tôt le matin, les appareils ont tiré des missiles air-sol sur deux camps d'entraînement du groupe radical palestinien Jihad islamique, l'un dans la localité méridionale de Khan Younès et l'autre près de Nousseirat dans le centre de l'enclave palestinienne.
Dans l'après-midi, l'armée de l'air a touché deux centres d'entraînement des Brigades Ezzedine al-Qassam, le bras armé du mouvement islamiste Hamas au pouvoir à Gaza, près de Rafah (sud), à la frontière avec l'Égypte, selon la sécurité du Hamas.
Quatre personnes d'une même famille, dont une petite fille de 18 mois, ont été légèrement blessées alors qu'elles circulaient en voiture à proximité des sites visés, a déclaré à l'AFP le porte-parole des services de santé à Gaza, Adham Abou Selmiya.
Une autre frappe aérienne a ciblé une installation du Jihad islamique à l'ouest de Khan Younès, selon des témoins.
En outre, un raid aérien a détruit une maison à l'est du camp de réfugiés d'El-Bureij, dans le centre de la bande de Gaza, après que l'armée israélienne a averti dans la matinée ses résidents qu'ils devaient quitter les lieux, selon ces sources palestiniennes et des sources militaires israéliennes.
En début de soirée, un obus de mortier tiré à partir de la bande de Gaza a explosé dans le sud d'Israël, dans le secteur d'Eshkol, sans faire de blessé ni de dégât, selon l'armée.
Une porte-parole de l'armée israélienne a indiqué que l'aviation "a mené deux raids visant cinq objectifs" qualifiés "de nids terroristes", ces attaques venant en réponse aux tirs de roquettes et d'obus contre le sud d'Israël.
Ces raids aériens ont eu lieu après des tirs de roquettes par des groupes palestiniens de Gaza sur le sud d'Israël dont l'une de type Grad, a touché la ville de Beersheva, la capitale du Néguev à 40 km du territoire palestinien, sans faire de blessé mais endommageant des maisons.
C'était la première fois qu'un tir de roquette frappait Beersheva (20 000 habitants) depuis l'offensive israélienne de décembre 2008-janvier 2009 contre la bande de Gaza.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti le Hamas et les autres groupes armés du territoire, que l'armée répondrait "avec force" en cas d'attaques contre le territoire israélien.
Toutefois, le Hamas dit vouloir éviter une nouvelle épreuve de force avec Israël, deux ans après la dévastatrice opération militaire israélienne (1 400 morts palestiniens).
Le mouvement islamiste a renouvelé à plusieurs reprises -la dernière fois en janvier- ses consignes visant à faire respecter par les groupes armés une trêve de fait avec Israël. Il se réserve néanmoins le droit de "résister à toute incursion israélienne" à l'intérieur du territoire.
Mais si les tirs à partir de la bande de Gaza ont ralenti, ils n'ont jamais complètement cessé malgré l'offensive d'il y a deux ans.
Selon un bilan de l'armée, plus de cinquante roquettes ou obus de mortier ont été tirés à partir de la bande de Gaza contre Israël depuis le début de l'année. 

Fayyad joue sa dernière carte sur Facebook

[ 26/02/2011 - 10:08 ]
Ramallah- CPI
Les Palestiniens ébranlés plus que jamais par le parcours d’Oslo animé ces dernières années, par le groupe du cabinet actuel de Salam Fayyad en Cisjordanie, humilient et minimisent l’initiative et la tentative honteuse du premier ministre illégal (Fayyad) d’utiliser le site de socialisation, en les demandant d'indiquer ce qu'ils attendent du prochain gouvernement et qui devrait y siéger.
Au moment où, le site « Facebook » nourrit la contestation contre les régimes israélo-américains dans le monde arabe, Fayyad essaye se sert du ce site pour manipuler la population palestinienne en révolte aussi contre le régime de l’Autorité palestinienne, surtout après les concessions majeures fournies gratuitement aux autorités occupantes israéliennes que la chaine d’al-Jazeera avait divulgué, selon les documents confidentielles liés aux négociations entre les deux côtés( palestinien et l’occupation).
Après le départ (le renversement) des anciens régimes,  tunisien et égyptien, l’ex-président, Mahmoud Abbas, n’a pas trouvé que de limoger le cabinet de son premier ministre illégal pour la tentative inconstitutionnelle de former un autre afin d’absorber la colère des Palestiniens en crainte que le groupe d’Oslo ne subisse le même destin des précédents régimes en débâcle.
Pour tenter de sortir de la crise actuelle qui s’est affrontée à une révolution générale du peuple palestinien suscitée par les révoltes des peuples arabes, en Tunisie, en Égypte, en Libye (…), Fayyad n’ a aucune choix que d’accéder au site « Facebook », en déplorant : « Chers amis, il semble que la formation du nouveau gouvernement suscite beaucoup d'intérêt, il faut donc aider ensemble le Premier ministre(illégitime) à répondre aux questions suivantes : premièrement, quelles doivent être à votre avis les priorités du nouveau gouvernement ? deuxièmement , selon vous, quelles sont les personnalités les plus aptes à aider le Premier ministre à mettre en œuvre ces priorités, en particulier s'agissant des questions liées à la jeunesse ? ».
Des centaines de participants se sont moqués de lui, en lui adressant qu’il ne fait servir que les intérêts israélo-américains, lui appelant à poser sa démission une fois pour toute, avant d’être rejeté par la révolution palestinienne comme l’avait fait les peuples arabes en Tunisien et en Egypte en aspirant que le peuple libyenne pourrait le commander bientôt contre le dictateur Mouammar Kadhafi.
Il est à noter que le Hamas avait averti Fayyad, confirmant qu’il n'est pas autorisé à former un tel gouvernement parce qu'il n'en a pas le mandat légal ni politique et la procédure mentionné par Abbas est totalement inacceptable, illégitime et inconstitutionnelle.

Les prisonniers du Hamas s’apprêtent à lancer leur nouveau site électronique

[ 26/02/2011 - 10:45 ]
Cisjordanie - CPI
Dans un pas de défis au geôlier sioniste, sans précédent dans l'histoire des prisonniers palestiniens, le haut Comité des détenus du Mouvement "Hamas", a affirmé qu’il s’apprête à lancer son nouveau site le 1er mars prochain à l'adresse suivante (www. Ahrarwledna.com).
Le Comité a indiqué dans un communiqué de presse, aujourd’hui samedi 26/2, que le mouvement des prisonniers palestiniens continue ses œuvres créatifs surprenants dans plusieurs domaines, malgré tous les moyens de répression sionistes contre les prisonniers palestiniens dans les prisons de l’occupation.
Il a ajouté dans son communiqué qu’il dirige directement ce site et lui présente quotidiennement toutes les informations, rapports et déclarations.
Enfin, le Comité a souligné que ce site sera une importante fenêtre pour les prisonniers de toutes les factions, en plus de son intéressement direct des souffrances des prisonniers et leurs familles, ainsi que sa publication de toutes les histoires héroïques des détenus, leurs réalisations littéraires, artistiques et scientifiques.

Blessés et asphyxiés lors de l'attaque des forces occupantes contre la marche de colère à al Khalil

[ 26/02/2011 - 11:22 ]
Al Khalil – CPI
Cinq citoyens palestiniens ont été blessés par des balles en caoutchouc et 4 militants étrangers ont été arrêtés, vendredi après midi 25/2, lors de l'attaque des forces de l'occupation israélienne contre la marche de "colère" convoquée par une coalition de la jeunesse pour rouvrir la Rue des Martyrs et permettre la liberté de circulation.
Des sources de "la Coalition des jeunes anti-colonisation" ont déclaré au Centre palestinien d'information que les forces occupantes ont attaqué la marche pacifique avec des bombes sonores et du gaz lacrymogène, agressant un certain nombre de manifestants dont des personnalités nationales et des militants étrangers.
La marche a été transformée en affrontements avec des pierres et s'est concentrée dans la rue d'al-Chalalah, où les soldats sionistes ont occupé les toits des maisons voisines, annonçant la région "zone militaire fermée".
Les manifestants ont exigé l'ouverture de la Rue des Martyrs dans la Vieille ville et de permettre la liberté de circulation aux citoyens palestiniens dans cette régions fermée depuis plus de 17 ans.
Notons que l'occupation avait fermé la Rue des Martyrs à al-Khalil (Hébron) en 1994 à la circulation des voitures palestiniennes, et suite au massacre de la mosquée d'al-Ibrahimi, elle a interdit aux citoyens palestiniens de circuler dans la rue à la fin de l'année 2000 pour assurer la sécurité de 600 colons sionistes qui occupent le centre de la ville d'al-Khalil.
La marche a été attaquée par des soldats sionistes, dont le député Dr. Moustafa al-Barghouthi, secrétaire général du mouvement de l'initiative palestinienne, en jetant une bombe sonore sur lui directement.
Dans son discours prononcé après la prière de vendredi et avant l'attaque des soldats sionistes qui ont tenté de l'arrêter, al-Barghouthi a appelé à intensifier partout la résistance populaire contre l'occupation et la colonisation.

Un Palestinien tué et un autre disparu en Libye

[ 26/02/2011 - 11:26 ]
Gaza – CPI
On a annoncé officiellement dans la ville de Khan Younès au sud de la Bande de Gaza, la martyre d'un étudiant palestinien de la ville qui étudiait dans l'université libyenne de Misurata par les tirs des mercenaires qui appartiennent au président libyen, Mouammar Khadafi.
Le correspondant du CPI  a affirmé, le vendredi 25/2, que l'étudiant Hassan Hatem Abdel-Rahman Abou Moustafa, 20 ans, a été tué par les tirs des Mercenaires de Khadafi qui utilisaient une voiture rapide et ouvraient le feu alors qu'il se trouvait devant sa maison dans un quartier de la ville de Misurata au nord de la Libye.
Il a ajouté que la famille du martyr a été informée par ses proches en Libye qu'il est mort, et un grand nombre de citoyens palestiniens se sont rendus chez la famille qui habite près de l'université islamique dans la région de Maan à Khan Younès en solidarité avec elle.
Les proches du martyr ont affirmé qu'il a quitté la maison pour chercher son cousin Omar Abdul-Rahman, 37 ans, disparu depuis plus de 3 jours, s'exposant aux tirs des mercenaires de Kadhafi.

Des colons sionistes brûlent une voiture palestinienne à Burin au sud de Naplouse

[ 26/02/2011 - 11:49 ]
Naplouse – CPI
Les colons sionistes de "Yatsahar" ont attaqué, aujourd'hui à l'aube, le samedi 26/2, les citoyens palestiniens dans le village de Burin au sud de Naplouse pour le deuxième jour consécutif, brûlant une voiture palestinienne.
Des témoins oculaires ont déclaré que les colons sionistes ont attaqué le village et ont mis le feu dans la cour de la maison du citoyen Bachir Zein et à sa voiture stationnée dans le voisinage.
Les colons sionistes avaient brûlé, hier à l'aube, un bulldozer du citoyen Ibrahim Achteh.
Les villages du sud de Naplouse témoignent d'une escalade des attaques des colons sionistes contre les citoyens palestiniens et leurs propriétés.
Les autorités de l'occupation sioniste avaient confisqué une partie des terres sud des citoyens palestiniens pour établir la colonie Yatsahar qui a été construite en 1983. Dans la zone nord, l'occupation a confisqué les terres agricoles des citoyens palestiniens, en installant la colonie "Brakhah". Plus de 300 dunums des terres agricoles du village de Burin ont été confisqués et les citoyens palestiniens ont été interdits d'accéder à leurs terres agricoles et de récolter les produits à cause de l'installation des colonies sionistes sur les montagnes.
Le village s'expose aux agressions continuelles des colons sionistes dans les colonies proches sous la protection de l'armée sioniste.

L'UNICEF confirme la continuation des violations sionistes contre les enfants palestiniens

[ 26/02/2011 - 11:45 ]
Al-Qods occupée – CPI
Un rapport publié par l'UNICEF a affirmé la continuation des violations sionistes contre les enfants palestiniens en 2010 où 11 enfants palestiniens ont été tués et 360 autres blessés par les tirs des forces occupantes en Cisjordanie occupée dont la ville sacrée d'al-Qods et dans la Bande de Gaza.
Le rapport publié le vendredi 25/2, a souligné la poursuite des enlèvement d'enfants palestiniens qui subissent mauvais traitement et tortures dans certain cas, lors de l'arrestation et l'interrogatoire par les services de sécurité sioniste dans la ville occupée d'al-Qods. Les opérations de recherche et de fouille ont été intensifiées contre les enfants palestiniens qui sont âgés de moins de 7 ans dans le village de Selwan, et le nombre d'enfants blessés à la fin de l'année 2010 a augmenté à cause des violents affrontements entre les gardiens armés des unités spéciales sionistes louées par le ministère sioniste du Logement pour protéger les colons sionistes d'un côté et les habitants palestiniens isolés de l'autre.
Dans la Bande de Gaza, les forces de la sécurité sioniste ont ouvert le feu sur des enfants palestiniens qui récupéraient des débris dans la zone tampon ou ses environs, dans l'espoir de gagner un peu d'argent pour aider leurs familles pauvres.
Le rapport a documenté trois cas d'enfants palestiniens qui ont été utilisés par les forces sionistes comme boucliers humains dans trois incidents différents en Cisjordanie.
Le rapport a démontré qu'en décembre 2010, les forces occupantes ont emprisonné dans leurs centres de détention plus de 213 enfants palestiniens âgés de 12 à 17 ans dont une petite fille. Ce chiffre représente une diminution de 30% du nombre des enfants arrêtés en décembre 2009 (305 enfants) et parmi les enfants enlevés 30 enfants sont âgés de 12 à 15 ans jusqu'à fin novembre 2010, ce qui représente une diminution de 29% par rapport à la même période en 2009 (42 enfants).
Le rapport a souligné à l'augmentation grave du nombre des enfants palestiniens arrêtés par les sionistes dans la ville occupée d'al-Qods, surtout dans le quartier de Selwan, et selon les chiffres enregistrés par la police de l'occupation, 1267 dossiers criminels ont été ouverts contre des enfants accusés d'avoir jeté des pierres sur les soldats sionistes durant la période d'octobre 2009 à octobre 2010.
Le rapport a assuré la hausse du nombre de rapports parlant de la violence et du mauvais traitement pratiqués par les forces de sécurité sionistes lors du déploiement de leurs patrouilles à Selwan, et lors de l'arrestation et du transport des enfants pour l'enquête.
En 2010, 90 cas de mauvais traitement et de torture contre des enfants palestiniens dans les prisons sionistes ont été recensés, et plus de 62 enfants ont confirmé qu'ils ont été battus par des enquêteurs et des soldats sionistes.
35 autres ont été torturés et 16 enfants ont été laissés dans des cellules individuelles, et dans trois cas, les enfants ont confirmé que les enquêteurs sionistes les ont torturé à l'électricité pour les obliger à fournir des aveux.
L'UNICEF a dénombré dans son rapport 14 cas de violence physiques contre 13 enfants palestiniens et une seule petite fille dans les centres de détention sionistes  en 2010.
"Plus de 425 bâtiments palestiniens ont été démolis par les forces occupantes dans la zone (C) de la Cisjordanie et dans la ville occupée d'al-Qods, laissant plus de 594 palestiniens dont 299 enfants sans abri", selon le rapport.
On a également recensé 24 attaques contre des écoles palestiniennes par des colons et des soldats sionistes, causant de grands dégâts aux établissements des écoles, et mettant la sécurité des enfants dans la Bande de Gaza et en Cisjordanie en danger.
L'UNICEF a finalement mentionné un nombre croissant d'incidents qui comprennent l'interdiction aux élèves d'accéder à leurs écoles, l'interruption de l'enseignement, et les menaces contre la vie contre les élèves, qui ont touché plus de 60 000 enfants palestiniens.

Marches provocatrices des colons sionistes à al Khalil

[ 26/02/2011 - 14:44 ]
Al Khalil – CPI
Des centaines de colons sionistes armés ont organisé, tard la nuit dernière, une marche provocatrice dans les rues de la vieille ville d'al Khalil en Cisjordanie occupée sous la protection d'importantes forces de l'armée sioniste.
Des sources locales ont déclaré que la marche des colons sionistes s'est dirigée de façon délibérée et étudiée vers les alentours de la mosquée d'al-Ibrahimi se déployant les rues de la vieille ville, arrivant vers l'avant-poste colonial "Dabouiah" dans le centre de la vieille ville.
Les sources ont ajouté que les extrémistes sionistes ont levé des drapeaux sionistes et répété des slogans racistes et hostiles contre les citoyens palestiniens et les arabes comme "Mort aux Arabes et al Khalil pour nous".
Il est à noter que plus de 600 colons sionistes occupent le cœur de la ville d'al Khalil sous la protection de grandes forces de l'armée sionistes.

Le nouveau ministre du pétrole est l’un des responsables qui exportaient le gaz à l'entité

[ 26/02/2011 - 12:57 ]
Le Caire - CPI
Le journal égyptien "Al-Masry Al Youm" a dévoilé dans son numéro d’aujourd’hui samedi 26/02, qu’il a obtenu un nouveau document concernant la société Orient du gaz "EMG", une entreprise fondée par l’homme d'affaires égyptien Hussein Salem, un ami de l'ancien président Mohamed Hosni Moubarak, qui fournissait du gaz naturel à l'entité sioniste, et dont son scandale continue de provoquer beaucoup de polémique.
Ce document dévoile la dernière formation du conseil d'administration de la société pétrolière "EMG", et qui a été adoptée depuis le début de l’année2008, après la vente de "Salem" d’une de ses parts dans cette société à un investisseur américain ainsi qu’une autre à la société PPT Thaïlandaise, pour que cette compagnie soit répartie entre Salem, la société Thaïlandaise, l’américain juif "Sam Zell", la société égyptienne du gaz "Petroleum Company Holding", "Youssi Miman" et la compagnie israélienne Merhav.
La grande surprise dans ce document est l’existence de l’ingénieur, "Mahmoud Latif" dans le conseil d’administration de la société "EMG", l'homme qui a été élu au poste de ministère du pétrole, la semaine dernière, pour remplacer l’ingénieur Sameh Fahmy, en soulignant que "Latif" occupe le poste de représentant du Conseil général de la société générale de pétrole et Holding Compagnie.
La deuxième surprise est que le Président du Conseil d'Administration de la société qui fournit du gaz à Israël est "Mohamed Ibrahim Tawila", et l'étonnant c’est que ce dernier était le directeur exécutif de la société la société générale de Pétrole qui a signé le contrat du côté égyptien, avant de quitter son poste et travailler dans la compagnie dont il avait donné le contrat, dans un pas très flagrant qui s’oppose avec l’intérêt général du pays!
Ce scandale s’ajoute aux autres mystères qui tournent autour de ce contrat de fourniture de gaz à l'entité sioniste.
La troisième surprise est la présence du Dr. Ali Al-Sa’idi, dans le conseil de la direction de cette société, qui dirigeait la Commission de l'énergie du Parti national et qui occupait le poste de ministre de l'Electricité et de l'énergie durant la période entre 1999 et 2001, pendant laquelle on a signé l'accord du contrat pour fournir le gaz à l’entité sioniste, alors que les autres membres de la direction de cette société sont : le milliardaire sioniste "Joseph Miman", représentant de la société Merhav, et «Sam Zell» le milliardaire américain juif, qui travaille dans les bien-fonciers, et qui a acheté la part de Salem dans cette société d’un montant estimé à 250 millions de dollars, après avoir évalué la compagnie à environ 2,2 milliards de dollars.

Mechaal rencontre le ministre omanais des Affaires étrangères

[ 26/02/2011 - 16:09 ]
Muscat - CPI
Le chef du Bureau politique du Mouvement "Hamas", Khaled Mechaal a rencontré, ce matin samedi 26/02, le ministre des affaires étrangères du Sultanat d'Oman, Youssef Ben Alawi Ben Abdallah.
Selon l'Agence des Nouvelles d’Oman, les deux côtés ont discuté lors de cette rencontre, des relations bilatérales et plusieurs autres questions de coopération entre les deux parties dans divers domaines, ainsi que des moyens pour les renforcer, en soulignant que les deux côtés ont échangé leurs points de vues sur la question palestinienne ainsi que les autres affaires internationale et régionales d'intérêt commun.

Dr. Qassem : l'autorité d'Abbas tombera en dix jours en cas d'absence du soutien sioniste

[ 26/02/2011 - 17:45 ]
Naplouse – CPI
Il a prévu la chute de l'autorité d'Abbas en dix jours en cas de l'absence de la protection et du soutien de l'occupation sioniste.
"Toutes les marches, les positions héroïques fabriquées par l'Autorité, ainsi que ses appels à mettre fin aux désaccords n'influeront plus sur la réalité de la situation", a souligné Dr. Qassem, dans une interview avec le Centre palestinien d'information
Il a appelé à la nécessité de parvenir à un consensus sur une solution palestinienne selon laquelle les accords humiliants et la coordination sécuritaire seront annulés, tout en insistant sur le fait que les manifestations organisées en Cisjordanie pour appuyer Abbas sont des actes de comédie de l'autorité et n'expriment pas la réalité.
Il a attiré l'attention sur un groupe de participants qui crient le slogan "le peuple veut la chute du régime".
"La fin des désaccords palestiniens internes et la réalisation de la réconciliation exigent l'annulation des conventions humiliantes, la cession de la coordination sécuritaire de l'Autorité avec l'occupation, et la libération des prisonniers politiques", a assuré Dr. Qassem, confirmant que l'autorité d'Abbas ne possède pas la volonté pour répondre à cela, et elle appelle à mettre fin à la division sans adopter ses bases réelles.
L'expert politique palestinien considère que les révolutions dans les pays arabes sont conformes à l'histoire, soulignant à l'impact négatif de la chute du régime de Hosni Moubarak en Egypte contre l'autorité d'Abbas et que la couverture sioniste à cette autorité l'offensera, confirmant que l'Autorité va être fatalement dissoute.

Al-Askar appelle le Groupe d'Oslo à annoncer l'échec du projet prétendu de paix

[ 26/02/2011 - 17:39 ]
Gaza – CPI
Le député et vice-président du bloc parlementaire "Changement et réforme", Ismaïl Al-Ashkar  a appelé le groupe d'Oslo à annoncer l’échec du projet prétendu de paix et travailler pour réformer l’OLP (l’Organisation pour la libération de la Palestine) sur des bases justes, ainsi que la formation d'une référence nationale fondée sur un programme national qui refuse les concessions politiques et les coordinations sécuritaires avec l’occupation en Cisjordanie, tout en soulignant qu’on souhaite tous mettre fin à l'état de division interne.
Lors d'une rencontre ouverte organisée jeudi dernier par l'Union générale des organismes de la jeunesse, à laquelle des députés du Front populaire et du Fatah, ainsi que des dizaines d'organisations de jeunesse et cadres d’étudiants ont participé à cette réunion autour d’une vision unifiée, Al-Ashkar a souligné que les évènements dangereux concernant la cause palestinienne, notamment les concessions et renoncements du Groupe d'Oslo ont causé des divisions et de profondes différences entre les palestiniens.
«Tous les fils du peuple palestinien avec toutes leurs tendances sont unifiés, et les désaccords sont dûs au programme politique», a déclaré Al-Ashkar, en ajoutant que les députés du Conseil législatif défendent toujours les droits des jeunes, ainsi que les libertés en disant : «C’est un droit acquis et non une faveur ou donation de quiconque».
Al-Ashkar a précisé que les changements et révolutions dans le monde arabe, notamment après le succès de la révolution en Egypte et en Tunisie, auront un impact positif sur la question palestinienne. Il a souligné que le projet prétendu de paix arabe avec l’occupation s'est effondré, et que ces évènements auront des conséquences importantes sur le groupe d’Oslo et son projet politique à Ramallah, en montrant que la Bande de Gaza a illuminé la révolution dans tout le monde arabe.

L'occupation exile le directeur du club du détenu d'al-Qods à l'extérieur de la Vieille ville

[ 26/02/2011 - 17:55 ]
Al-Qods occupée – CPI
Dans un communiqué commun, les deux associations ont ajouté que la décision du tribunal sioniste d'expulser Qaus de la Vieille ville pour 15 jours est une violation dangereuse de toutes les conventions et les lois internationales, et vient dans le cadre de la campagne sioniste visant à interdire aux habitants d'al-Qods d'affronter l'occupation et de défendre leur ville et leurs lieux saints.
Le communiqué a souligné que les forces occupantes ont arrêté Qaus de manière oppressive pendant 24 heures durant lesquelles il s'est soumis à un interrogatoire sur les affrontements qui ont éclaté dernièrement dans la rue d'al-Wad entre un groupe de colons sionistes et les soldats occupants d'un côté et les jeunes palestiniens d'un autre côté, au cours desquels Qaus à été blessé par les coups des soldats sionistes à la poitrine

L'aviation sioniste bombarde des diverses zones à Rafah en ciblant des civils

[ 26/02/2011 - 19:20 ]
Rafah – CPI
Des citoyens palestiniens ont été blessés, aujourd'hui à midi, le samedi 26/2; lors des raids lancés par les avions de guerre sionistes, ciblant un puits d'eau sur la route qui conduit à un site d'entraînement d'al-Qassam, la branche militaire du Hamas.
Le correspondant du CPI a dit que les raids aériens sionistes ont fait d'énorme ravage au lieu susdit, déclarant que des passagers près du puits ciblé ont été blessés.
"Un autre raid aérien a pris en cible un site d'al-Qassam à l'est de Rafah (site Saad Sayel sur la rue de Salah Eddine)", a souligné notre correspondent .
De son côté, le porte-parole médiatique du comité d'urgence et de secours, Adham Abou Salmia, a déclaré que l'aviation sioniste a lancé une série de raids sur des objectifs dans la ville de Rafah, conduisant à la blessure de quatre Palestiniens dont la petite fille, Saja Haitham Abou Charkh âgée d'un an et demi et que les blessés ont été transportés à l'hôpital d'al-Najjar.
Abou Salmia a ajouté qu'un citoyen palestinien a été blessé aujourd'hui à midi, lorsque les forces occupantes ont ouvert le feu sur les ouvriers de gravier au nord de la ville de Beit Lahia, au nord de la Bande de Gaza.
l'aviation sioniste avait lancé deux raids sur les site des brigades d'al-Qods, la branche militaire du mouvement du Djihad islamique en Palestine à l'ouest de Khan Younès et sur une terre vide au camp d'al-Nussirat, dans une escalade sioniste remarquable.

L'occupation a volé les organes d’un détenu martyr lors de la 1ère Intifada

[ 26/02/2011 - 20:14 ]
Ramallah - CPI
Un juriste Palestinien a accusé les autorités de l'occupation sionistes d'avoir volé les organes d’un martyr Palestinien qui a été tué pendant en février 1988, lors de la première Intifada du peuple palestinien.
Le coordinateur général du Mouvement Populaire pour le Soutien des Prisonniers et des Droits Palestiniens, Nachaat Al-Wahidi a déclaré : « D’après les vidéos obtenues par le Mouvement Populaire des prisonniers, on constate l'existence d’une ligne à l’intérieur du corps de Khader Fouad Elias, qui débute du bas du menton jusqu’au bas du ventre, en plus de ses mains et ses pieds, ainsi qu'un coton qui couvrait ses yeux sanglants».
Al-Wahidi, qui est aussi le responsable médiatique de la Commission nationale des forces nationales et islamiques, a indiqué dans un communiqué écrit que l'occupation sioniste avait arrêté le captif martyr Khader dans le quartier de Zeitoun dans la ville de Gaza, le 8 février 1988. Il a été tué le jour suivant (le 9 février 1988), suite aux coups violents des soldats sionistes qui ont traîné et crucifié son corps sur une jeep militaire le long de la rue d’Omar al-Mokhtar qui mène vers la prison d’Ansar 2, à l'ouest de la ville de Gaza, selon des prisonniers libérés et des témoins oculaires.
Al-Wahidi a ajouté que le prisonnier martyr était blessé et ligoté lorsqu’il est arrivé au camp de détention "Ansar 2", et qu’il demandait une seule gorgée d'eau, au moment où le médecin et l’administration de cette prison refusaient toute aide ou secours, mais lorsque les cris des prisonniers dans ce camp se sont levés, ils ont été contraints de le transférer vers l'hôpital sioniste de Soroka, qui a refusé de son côté de recevoir le prisonnier blessé qui était à l’agonie. Puis, il a été transféré dans un autre hôpital de la ville d'Ashkelon, mais la victime a rendu l’âme sur le chemin et a été transférée à la morgue d'Abou Kabir, où le rapport médical a déclaré que le prisonnier martyr est mort suite à des coups violents et des fractures au niveau de la colonne vertébrale, ainsi qu’une fracture au crâne et sur d'autres parties de son corps.  
Selon des témoins oculaires qui ont vécu ce drame, les soldats sionistes ont torturé et battu violemment le captif martyr avant de le crucifier sur une jeep militaire, à côté d’un cinéma dans la rue d’Omar al-Mokhtar, après qu’il ait demandé l'aide de Jésus-Christ.
Le tribunal militaire israélien avait jugé les soldats qui avaient torturé le captif martyr après de fortes pressions des organisations des droits de l’homme et des juristes  Palestiniens qui ont appelé à  traduire en justice les soldats qui ont commis ce crime affreux,  mais le tribunal a acquitté ces soldats sionistes qui ont assassiné et exécuté froidement cette victime.

A Al-Quds, les violations de l’occupation israélienne sont toujours en augmentation

[ 27/02/2011 - 02:54 ]
Gaza – CPI
Le gouvernement de l’occupation sioniste avance progressivement vers une judaïsation totale de la ville sainte d’Al-Quds. Rien n’est épargné ; tous les lieux saints islamiques sont menacés.
La commission d’Al-Quds du ministère des legs et des affaires religieuses de la bande de Gaza a observé certaines de ces violations et a publié un rapport énumérant certaines de ces violations commises par les occupants israéliens, dimanche 20 février 2011.
Le rapport souligne que le gouvernement de l’occupation a approuvé un plan destiné à construire 200 unités coloniales, dans le quartier Cheikh Jarah, dans la ville d’Al-Quds. L’exécution du projet prendra cinq à dix ans. Ce projet n’est pas le seul. Le quartier est visé par huit projets différents.
Puis la commission sioniste de planification et de construction de la ville d'Al-Quds aurait l’intention d’approuver la construction de 326 nouvelles unités dans différentes régions de la ville, en plus d’environ 350 unités coloniales sur les terrains de Karam Al-Mofti, au nord du quartier Cheikh Jarah. On parle aussi de la construction d’une école talmudique, d’un temple, d’un complexe commercial de cinq étages.
Le comité d’Al-Quds a aussi parlé d’un autre projet destiné à construire 212 unités coloniales sur 45 hectares du village palestinien de Lefta, au milieu de la ville d'Al-Quds. Il y a également un appel d’offres pour bâtir 212 unités coloniales. Tous ces projets ont pour objet de consolider l’existence sioniste dans les quartiers palestiniens, surtout dans le quartier de Cheikh Jarah, qui vit dans une atmosphère très tendue.
Les occupants israéliens avancent différentes allégations pour continuer leur judaïsation, dit le bureau des legs. Par exemple, développer les quartiers de la ville d'Al-Quds. Sous ces prétextes, les occupants israéliens essaient de vider les quartiers de la ville d'Al-Quds de leurs habitants, de changer leurs caractéristiques islamiques.
Un centre militaire
Par ailleurs, le bureau des legs confirme que la mairie de la ville d'Al-Quds a approuvé la construction de 120 unités coloniales dans les colonies de Ramout et Bazghat Zaïf. Elle a aussi approuvé la construction de dix-neuf temples juifs dans la colonie de Har Homa, sur la montagne d’Abou Ghanim, au sud de la ville d'Al-Quds.
La mairie de l’occupation de la ville d'Al-Quds tente de construire un immense complexe militaire où les facultés militaires de la région d’Al-Jalil déménageront, ainsi que quelques écoles militaires venant de la ville de Tel-Aviv.
Les occupants israéliens ont dépassé toutes les lignes rouges dans leurs mesures de judaïsation de la ville d'Al-Quds, dit le président du comité d’Al-Quds.
Le sanctuaire Al-Ibrahimi
Le bureau des legs a dévoilé l’intention de l’occupation israélienne d’organiser des voyages organisés pour les étudiants juifs au sanctuaire Al-Ibrahimi, dans la ville d’Al-Khalil. Une manière de confirmer leur liste du patrimoine juif.
Environ soixante-dix mille Juifs, la plupart extrémistes, visitent le sanctuaire d’Al-Ibrahimi, souligne le bureau.
Notons enfin que plus de 160 mille Palestiniens habitent dans la ville d’Al-Khalil. Cependant, 600 colons habitent sur 3% des terrains de la ville.

Baraka: les révolutions arabes auront des répercussions positives sur la question palestinienne

[ 27/02/2011 - 08:01 ]
Beyrouth - CPI
Le représentant du Hamas au Liban, Ali Baraka a assuré que les révoltes populaires dans plusieurs nombre de pays arabes auront des répercussions positives sur la question de la Palestine et de toutes les questions arabes, soulignant que le plus grand perdant de cette révolution est l'entité sioniste.
Baraka a souligné que les réalisations les plus importantes des révolutions populaires sont la chute des régimes en faveur de l'entité sioniste, ce qui indique que la grande phase sera vers le boycotte global avec l'entité sioniste.
« La grande victoire est plus proche pour la disparition de l'entité sioniste et le retour de la Palestine à la nation arabe », a ajouté Baraka
Le représentant du Hamas a insisté, au cours d'une réunion de consultation du Forum mondial des parlementaires islamistes, sur la juste cause de la Palestine qui n’accepte plus les compromis, mais elle a besoin des hommes engagés pour la bataille de la libération et du retour.
« Le parcours honteux et humiliant du soi-disant compromis de paix a échoué et les négociations sont devenus une cible exploitée par l'ennemi pour imposer de nouveaux faits accomplis », a ainsi contesté le leader du Hamas contre la stratégie inacceptable et irresponsable des négociateurs palestiniens avec leur ennemi occupant israélien.
Le leader du Hamas a souligné en déclarant: « Les vents du changement doivent arriver en Palestine », tout en appelant à « trouver une nouvelle direction palestinienne qui protège le choix de la résistance et la lutte armée pour libérer toute la Palestine », indiquant qu’il est temps de briser le siège sur Gaza et ouvrir le passage de Rafah, ainsi d’annuler les conventions d’humiliation, la fermeture des bureaux commerciaux sionistes dans certains pays arabes et la formation d’un « front arabo-islamique » pour la libération de la Palestine.

BOBIGNY : GRAND MEETING DE SOUTIEN AUX QUATRE MILITANTS BDS JEUDI 10 MARS

samedi 26 février 2011
Un grand meeting de soutien aux quatre militants de la campagne BDS convoqués devant le tribunal aura lieu le JEUDI 10 MARS à 19h30, Salle Pablo Neruda, 31 avenue du Président Salvador Allende à Bobigny. (transports : station de M° Bobigny, ligne 5, arrêt Bobigny – Pablo Picasso ; tramway)
Avec :
- Alima BOUMEDIENE, sénatrice
- Jacques-Marie BOURGET, journaliste
- Houria BOUTELDJA (Parti des Indigènes de la République)
- Olivia ZÉMOR, Présidente d’EuroPalestine
- Olivier LE COUR GRANDMAISON, universitaire,
- Mick NAPIER (campagne BDS Grande-Bretagne)
Et plusieurs responsables politiques et associatifs de Seine-Saint-Denis. Projection de vidéos, stands d’animations, etc. Entrée libre.
Michèle Alliot-Marie, à la demande du lobby israélien, a ordonné aux juges de condamner les femmes et les hommes qui appellent au boycott des produits israéliens. Sont ainsi cités à comparaître le 17 mars devant le tribunal de Bobigny quatre militants de la campagne BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions) : Olivia, Maha, Mohamed et Ulrich.
L’ex-ministre de la justice veut nous faire condamner pour "incitation à la haine raciale" en prétextant la "discrimination contre une nation". On tente ainsi de transformer une loi qui a été conçue pour lutter contre le racisme, en instrument de défense d’un Etat raciste et terroriste.
Celle qui était encore ministre des affaires étrangères à la veille du week-end, qui ne se gêne pas, elle, pour appeler au boycott du Mexique alors qu’une seule personne est en cause, traîne en justice des militants qui s’élèvent contre la persécution de tout un peuple depuis des décennies !
Le boycott, comme dans le cas de l’Afrique du Sud de l’Apartheid, est le seul moyen non violent à notre disposition pour faire cesser l’occupation, la colonisation, l’apartheid, et les massacres perpétrés par l’Etat d’Israël.
Si Mme Alliot-Marie et autres amis des dictateurs de tous poils connaissent d’autres moyens de faire respecter le droit et la justice, qu’ils les exercent ! Mais pour le moment, nos dirigeants ont choisi lacollaboration avec l’occupant.
C’est donc à nous, femmes et hommes de conscience, de réagir, de nous porter au secours d’un peuple massivement spolié, emprisonné, ghettoïsé, massacré.
C’EST POURQUOI NOUS APPELONS D’ORES ET DÉJÀ À :
- UN GRAND RASSEMBLEMENT, LE JOUR DU PROCÈS D’OLIVIA, MAHA, MOHAMED ET ULRICH, DEVANT LE TRIBUNAL DE BOBIGNY JEUDI 17 MARS À PARTIR DE MIDI
- ET LA SEMAINE PRÉCÉDENTE, LE JEUDI 10 MARS A 19 H 30
MEETING A BOBIGNY DANS LA SALLE PABLO NERUDA
31 avenue du Président Salvador Allende à Bobigny. (transports : station de M° Bobigny, ligne , arrêt Bobigny – Pablo Picasso ; tramway)
CAPJPO-EuroPalestine
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