lundi 12 septembre 2011

Israël défendra ses gisements gaziers en Méditerranée

12/09/2011
Le ministre israélien de l’Énergie, Uzi Landau, a prévenu hier que son pays entend exploiter et défendre les gisements de gaz découverts récemment au large de son littoral après l’annonce par la Turquie d’un renforcement de ses patrouilles en Méditerranée. En plein bras de fer diplomatique avec l’État hébreu, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan avait prévenu jeudi que son pays ne laisserait pas Israël exploiter seul les ressources naturelles de la Méditerranée orientale. Landau, ancien ministre des Infrastructures nationales, a fait remarquer qu’aucun pays, dont la Turquie et le Liban, n’avait jusqu’à présent contesté la revendication israélienne des gisements de gaz naturel Tamar et Léviathan, d’une valeur estimée à plusieurs milliards de dollars. 

Ambassade israélienne au Caire : le pouvoir égyptien critiqué

12/09/2011
Les scènes de chaos lors de l’attaque de l’ambassade d’Israël au Caire ont provoqué hier de nombreuses critiques sur la gestion des événements par les autorités et relancé les craintes de voir les questions sécuritaires peser sur la transition politique en Égypte.
Plusieurs mouvements politiques et des commentateurs de la société civile, dont des journalistes, ont dénoncé la passivité initiale des forces de l’ordre, estimant qu’elle avait permis à la situation de dégénérer ensuite en violents affrontements qui ont fait officiellement trois morts et plus d’un millier de blessés. « Les incidents de l’ambassade suscitent des interrogations », a ainsi déploré dans un communiqué la Coalition des jeunes de la révolution, réseau militant issu de la révolte qui a poussé le président Hosni Moubarak au départ en février. La Coalition s’interroge notamment sur « la disparition des forces de l’armée et de la police au moment où des manifestants ont commencé à escalader le bâtiment (de l’ambassade) et leur réapparition trois heures plus tard » vendredi soir.
À l’autre bout de l’échiquier politique, les Ikhwan (les Frères musulmans) ont réclamé dans un communiqué une « révision » des relations avec Israël et plaidé pour l’arrêt des livraisons de gaz égyptien à l’État hébreu. Le texte ne parle toutefois pas de rupture formelle de l’accord de paix de 1979 entre les deux pays, le premier conclu entre l’État hébreu et un pays arabe. Le parti dénonce également le renforcement du dispositif sécuritaire annoncé par le pouvoir samedi après la mise à sac de l’ambassade israélienne, en particulier le recours accru à l’état d’urgence. Les Frères musulmans n’ont pas manqué de mettre en garde l’armée, au pouvoir depuis la chute de M. Moubarak, contre la tentation d’invoquer la sécurité pour ralentir la transition vers un pouvoir civil, rejetant d’emblée un possible report des législatives prévues à l’automne sous prétexte de détérioration de l’état de la sécurité.
Le pouvoir a exprimé pour sa part samedi son « engagement total » pour la protection des ambassades, après ces événements. Un tour de vis sécuritaire a également été annoncé, avec l’utilisation de toutes les ressources de la loi sur l’état d’urgence pour assurer l’ordre. Cette loi en vigueur depuis trente ans, très décriée par les forces prodémocratie et les ONG de défense des droits, permet le recours à des tribunaux d’exception et prévoit de multiples restrictions aux libertés publiques au nom de la sécurité nationale.
Les questions en Israël...
De son côté, Israël espère calmer le jeu avec l’Égypte afin de préserver le traité de paix « stratégique » de 1979 avec son voisin, malgré l’attaque d’une violence sans précédent contre sa chancellerie au Caire et le départ de l’ambassadeur Levanon et de 80 membres du personnel. « Je suis heureux qu’il y ait d’autres forces en Égypte, à commencer par le gouvernement égyptien, d’autres voix qui veulent continuer à faire avancer la paix », a déclaré hier Benjamin Netanyahu lors du Conseil des ministres, en évoquant « un week-end très difficile, plein de risques », et saluant l’action de Barack Obama à ce niveau.
Entrées dans une zone de turbulences après la chute en février du président Hosni Moubarak, les relations bilatérales se sont détériorées depuis que cinq policiers égyptiens ont été tués le 18 août par les forces israéliennes qui pourchassaient les auteurs présumés d’attaques dans le sud d’Israël, près de la frontière avec l’Égypte.
Bon nombre de leaders de la droite israélienne ont exprimé leurs doutes sur les révoltes populaires qui agitent la région. « Israël est un des seuls pays au monde à n’avoir pas exulté de joie et applaudi à tout rompre à ce que l’on appelle le “ printemps arabe ”. Nous sommes restés très sceptiques, même si nous sommes pour la démocratisation dans les pays arabes », a rappelé le ministre de l’Environnement, Gilad Erdan, rejetant catégoriquement l’isolement régional d’Israël, confronté à de graves crises diplomatiques avec l’Égypte et la Turquie, et l’impasse totale dans les négociations avec les Palestiniens. « Tout cela n’a rien à voir, la haine des foules contre Israël existait même lorsque des négociations directes avaient lieu », a-t-il fait valoir.
Pourtant, des voix s’élèvent pour s’inquiéter de l’isolement d’Israël à l’approche de la demande d’adhésion d’un État de Palestine à l’ONU. « En Turquie, le gouvernement est contre nous. En Égypte, la populace est contre nous, et à l’ONU, la majorité (des États membres) est contre nous », a résumé le présentateur de la radio publique Aryeh Golan.
Le ministre de la Défense, Ehud Barak, a appelé hier à une réunion d’urgence du cabinet de sécurité pour débattre de « ce qui se passe » avec la Turquie, l’Égypte et les Palestiniens. « Il s’agit d’événements produits par de puissants courants historiques que nous ne contrôlons pas, dont nous ne pouvons décider de la direction et dont l’impact global échappe très largement à notre influence », a-t-il estimé.
(Source : agences)  

Le sursaut du peuple égyptien : la dignité retrouvée

10 septembre 2011
Des milliers de jeunes égyptiens prennent d’assaut l’ambassade sioniste au Caire : l’ambassadeur s’enfuit sous escorte, les martyrs tombent, les blessés sont par centaines, les chancelleries mondiales s’inquiètent, la crise couve en Egypte, et le monde arabo-musulman bénit l’action courageuse du peuple égyptien et y voit le signe de sa dignité retrouvée, notamment après l’assassinat par l’armée sioniste de plusieurs soldats égyptiens suite à l’opération courageuse d’Um Rashrash (Eilat) en Palestine occupée, il y a quelques semaines.
Les événements ont repris leur cours normal, en Egypte, après la révolution qui a renversé au mois de février dernier le « pharaon », celui qui avait plongé l’Egypte dans une soumission intenable aux puissances occidentales et surtout à l’entité sioniste. Le pouvoir du déchu Moubarak avait livré l’Egypte aux sionistes, comme le pouvoir du Shah avait livré l’Iran aux Etats-Unis. Domination politique, économique et même militaire, l’Egypte fut asphyxiée et pillée, elle fut d’abord et avant tout humiliée. Les accords de Camp David bénis par les Etats-Unis et la prétendue communauté internationale ont placé l’Egypte sous le diktat sioniste, cette Egypte qui avait été la fierté du monde arabo-musulman au temps de Nasser, et avant, au temps des révolutions populaires contre la présence britannique.
C’est cette Egypte, populaire et généreuse, qui a pris d’assaut l’ambassade sioniste, exprimant le vœu de toute la nation arabo-musulmane d’en finir avec les accords humiliants passés avec l’ennemi sioniste. C’est cette Egypte, populaire et nationale, qui s’est soulevé dans un sursaut général, pour dire que la révolution égyptienne ne peut être confisquée ni par les militaires, ni par les puissances occidentales qui cherchent à dévier son parcours, ni par des puissances régionales arabes et musulmanes qui cherchent à la réduire à une pseudo-démocratie parlementaire, placée sous domination impériale.
Le peuple égyptien, fier et courageux, a dit non à la présence des sionistes sur le sol égyptien, car c’est de là que doivent partir les révolutions, n’en déplaise à tous ceux qui jacassent sur d’autres agendas et qui renversent les priorités. Partir de la cause palestinienne et renverser les régimes soumis aux sionistes, doivent demeurer la priorité des révolutionnaires arabes. Le comité de lutte contre le sionisme, en Jordanie, l’a compris et a salué le courage du peuple égyptien, appelant à faire de même à Amman, où se trouve l’ambassade sioniste, et appelant surtout à réclamer le démantèlement de l’accord de Wadi Araba, cet accord qui a entièrement soumis la Jordanie à l’Etat sioniste.
Comme en Iran, le peuple égyptien ne s’est pas contenté de renverser la tête, il est allé au cœur : les révolutionnaires iraniens, il y a trente ans, avaient pris d’assaut l’ambassade américaine, source du mal, et dépouillé tous les documents de ce nœud de vipères qui complotait contre le peuple iranien et les peuples de la région. Aujourd’hui, les jeunes révolutionnaires égyptiens ont pris d’assaut l’ambassade sioniste et semble-t-il, se sont emparés de la pièce qui renferme les documents de l’ambassade. Ce n’est sûrement pas ce qu’avaient prévu les chancelleries occidentales, ni orientales d’ailleurs, lorsqu’elles avaient accepté, à contre-cœur, la chute de Moubarak. Ce n’est pas ce que voulaient les monarchies pétrolières du Golfe ni leurs amis égyptiens qui ont essayé, par tous les moyens, de briser l’élan révolutionnaire des jeunes en suscitant des querelles internes au sein de la société égyptienne.
Malgré de nombreuses différences entre la révolution iranienne il y a trente ans, dirigée par l’imam Khomeiny, et la révolution égyptienne actuelle, nous pouvons relever quelques similitudes : trente ans, jour pour jour, le peuple égyptien renverse, par des manifestations populaires par millions, le pouvoir soutenu par les impérialo-sionistes. Dans les deux cas, les martyrs tombent par centaines, ce qui ne fait que renforcer la combativité du peuple. Dans les deux cas, la chute des dictateurs soulève d’enthousiasme les peuples de la région, qui y voient une nouvelle phase vers la libération de la région, et notamment de la Palestine. Puis c’est l’acte II : en Iran, dès le premier jour, l’ambassade sioniste est remplacée par l’ambassade de la Palestine et, plusieurs mois après, les révolutionnaires poursuivent la marche et attaquent, en Iran, le principal bastion de la contre-révolution et de la soumission (l’ambassade américaine), et en Egypte, un des principaux bastions (l’autre étant l’ambassade américaine) de la soumission.
L’acte II de la révolution égyptienne n’a été fomenté ni par al-Jazeera, ni par al-Arabiya, ni par Qatar, ni par l’Arabie saoudite, ni même par les réseaux Facebook et les associations droits de l’hommistes créées par les ambassades étrangères. C’est le peuple égyptien qui a décidé que l’Egypte doit retrouver sa dignité et laver son honneur.
Fadwa Nassar
Communiqué par l'auteur 

Jordanie: Exigences d'expulser l'ambassadeur sioniste

[ 10/09/2011 - 22:48 ]
Amman – CPI
Le parti du front du travail islamique en Jordanie a félicité le peuple égyptien, après la fuite de l'équipe de l'ambassade sioniste au Caire, suite à la tempête de la jeunesse de la révolution égyptienne dans son siège, tard la nuit dernière.
Le responsable du dossier palestinien au bureau exécutif du Front, l'ingénieur Murad Adheilah, a appelé le gouvernement jordanien à accélérer à balayer le lieu d'espionnage sioniste à Amman, en disant: "C'est une honte que l'ambassade sioniste reste à Amman à la lumière des agressions sionistes contre la souveraineté et les intérêts de la Jordanie".
Il a confirmé que les peuples arabes refusent clairement la normalisation des relations avec l'Entité sioniste et les dirigeants ne doivent pas faire face à cette réalité, en poursuivant: "Les peuples ont connu leurs chemin et vaincront sans doute ceux qui propagent la culture de la reddition".
Adheilah a vu que ce qui s'est passé sur les portes de l'ambassade sioniste au Caire est un fort message confirmant que la résistance est l'option des peuples, attirant l'attention que la boussole des révolutions signent vers la libération de la Palestine.
Il a confirmé que l'occupation tire sa force de la survie des régimes autoritaires qui tentent de la protéger et de prévenir entre les peuples et la libérations des territoires occupés et la reprise des droits confisqués, avertissant les dirigeants arabes d'ignorer la volonté des peuples arabes qui ont réglé leurs choix vers la reprise de la dignité perdue.

Abou Marzouk exclut l'application de la réconciliation bientôt

[ 11/09/2011 - 07:24 ]
Damas – CPI
Le vice-président du bureau politique du Hamas, Dr. Moussa Abou Marzouk, a exclu l'application bientôt de l'accord de réconciliation signé entre le mouvement du Hamas et le Fatah au Caire, le 4 mai dernier.
Dans ses déclarations au journal "Acharq Awsat" publié à Londres, le samedi 10/9, Abou Marzouk a dit: "Il n'y a pas une décision de reporter la réconciliation, la réalité qu'il y a un accord de tenir une réunion à la fin du mois en cours entre Fatah et Hamas, mais l'envoie du délai de la première semaine de Septembre est venu en réponse d'une demande du mouvement de Fatah".
Il a ajouté que le problème est la position du président Abbas sur la continuation du dialogue autour les dossiers qui ont été convenus, soulignant que ce retard n'est pas en faveur du Hamas.
Les deux mouvements (Hamas et Fatah) avait igné, le 4 mai dernier le document de la réconciliation pour mettre fin à la division continue, il y a 4 ans, tandis que tous les articles de l'accord ne sont pas appliqués jusqu'à maintenant.
Et à la réponse de l'existence d'informations sur l'intention du Hamas de transférer son siège de Damas au Caire, Abou Marzouk a déclaré :"Nos bureaux sont encore à Damas et nous n'avons pas l'intention de les déplacer actuellement".
Il a poursuivi que le Hamas n'a pas demandé aux Egyptiens de transférer ses bureaux au Caire, malgré ses bonnes relations avec eux.
"Hamas ne peut pas sur des motives nationales d'empêcher tout palestinien de retourner vers la Bande de Gaza", a-t-il assuré

Des forces occupantes spéciales enlèvent cinq jeunes dans le sud de Gaza

[ 11/09/2011 - 07:05 ]
Gaza - CPI
« Cinq jeunes Palestiniens ont été enlevés, samedi soir, à l'est du site "Kissoufim" à l’Est de Khan Younis (sud de la bande de Gaza, par une force sioniste spéciale », ont affirmé des sources sécuritaires et des témoins oculaires dans une déclaration identique.
Les sources ont indiqué qu'un certain nombre de jeeps sionistes ont envahi dans une offensive limitée l’Est de Qarara dans le voisinage de l’entrée de "Srig", et ont rapidement procédé à l'enlèvement des cinq garçons, tout en essayant de couvrir son crime par les tirs s'intensifiaient vers le territoire des citoyens et leurs biens.
Des témoins oculaires ont dit que les avions de surveillance et les Apaches ont accompagné  les jeeps qui ont enlevé les cinq jeunes, alors que leur sort et les motifs de ce crime d’enlèvement sont encore inconnus.

Haniyeh : Le gouvernement s’apprête pour accueillir Erdogan

[ 11/09/2011 - 16:36 ]
Gaza - CPI
« Le gouvernement a formé un comité spécial pour accomplir les préparatifs concernant la visite du premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, à Gaza », a affirmé le premier ministre palestinien, Ismail Haniyeh, dans une interview à l'agence de presse « Anatolie » turque , dimanche 11/9.
Haniyeh a souligné que les préparatifs, à propos de la visite d’Erdogan à Gaza, se poursuivent,  même s'il n'est pas confirmé une telle visite, la désignant qu’elle serait historique, du point de vue qu’elle va rompre le blocus sioniste qui persiste depuis presque 5 années consécutives.
Haniyeh a déclaré à l'agence « Anatolie » : "Nous continuons nos préparatifs, comme si le Premier ministre Erdogan vient à Gaza ».
Erdogan commence une tournée lundi pour quatre jours, y compris l'Egypte, la Tunisie, la Libye, afin de relancer la coopération avec ces pays où les soulèvements populaires, et a exprimé personnellement son désir d’aller à Gaza, en marge de sa visite en Egypte.
Haniyeh a ajouté qu’une telle visite serait historique, et permettra aux Palestiniens de manifester leur sympathie avec la Turquie et met en évidence le nouveau rôle de la Turquie dans la région, en particulier à Gaza», soulignant que cette visite sera «une étape pour briser le siège oppressif» imposé par l’ennemi occupant sioniste contre le secteur.
Notons que  la Turquie a imposé une série de restrictions et de mesures face à l’entité sioniste à cause de son obstination du refus de s’excuser auprès de la Turquie suite au crime d’assassinat de neuf militants turcs pro-palestiniens, et la blessure des dizaines humanitaires internationaux le 31/mai 2010, qui étaient à bord de la flottille de la liberté, dans les eaux de la Méditerranée en destination vers la bande de Gaza, tout en expulsant son ambassadeur à Ankara et gelant la coopération militaire.

Gaza: la marine sioniste enlève sept pêcheurs au cours de leur travail

[ 11/09/2011 - 20:04 ]
Gaza - CPI
Les forces marines sionistes ont arrêté, aujourd’hui après-midi, dimanche 121/9, sept pêcheurs palestiniens, au moment où ils faisaient leur travail, au large des côtes du nord de la bande de Gaza.
« Les bateaux militaires sionistes ont dépassé les deux bateaux de pêche appartenant à des pêcheurs de la famille Baker et les ont remorqué avec les sept pêcheurs vers le port d'Ashdod dans les territoires occupés en 1948 », ont souligné les sources.
Elles ont a ajouté que les pêcheurs étaient dans la profondeur de deux miles seulement, et qu'ils avaient été abattus par le contrôle des bateaux militaires et arrêtés.
La Marine sioniste continue à cibler les pêcheurs palestiniens, de les arrêter,  de tirer et détruire leur matériel, et les empêcher de naviguer dans la profondeur permise selon l'accord d'Oslo,  laquelle est déterminée  de sept miles marins, où certains d’entre eux ont été arrêtés et d’autres blessés dans la dernière période.

Plan sioniste d'expulser 30 000 Palestiniens du Néguev occupé

[ 11/09/2011 - 21:49 ]
Al-Nassera – CPI
Le gouvernement sioniste a approuvé dans son séance hebdomadaire, le dimanche 11/9, ce qui soi-disant "Rapport de Braver" sur le règlement de la question de la réinstallation palestiniens bédouins  résidants du désert du Néguev dans le sud des territoires palestiniens occupés en 1948.
Selon le rapport qui comprend des recommandations d'une équipe sioniste spéciale sur la propriété des Bédouins du Néguev à leurs terres dans la région, plus de 30 000 palestiniens seront expulsés des lieux de leur résidence au Néguev pour les fixer dans des villages comme Rahat, Kassifa et Houra.
Les recommendations du rapporté comprennent également un plan de reconnaître la propriété des Arabes du Néguev à plus de 200 000 dunums, seulement, du total de leurs terres, notant qu'ils possèdent environ 1.1 millions dunums (de 11 millions de dunums, restant après la Nakba ), selon des sources palestiniennes bien informées.
Conformément au texte du "rapport de Braver", les autorités de l'occupation sionistes vont transformer des grandes superficies des terres de Néguev en leur faveur et d'indemniser leur propriétaires d'origine d'un montant de 2000 Shekels (environ 540 dollar) pour chaque dunum, tandis qu'on parle actuellement de moins de 50% des terres habitées actuellement, ce qui signifie que les terres agricoles ne sont  pas inclus et l'indemnisation financière ne sera qu'après ll'évacuation de ces terres, en plus la renonciation des propriétaires à tous leurs droits dans ces terres.

"Djihad islamique": les ambassades sionistes sont des "tanières espion" dans les pays arabes

[ 11/09/2011 - 21:21 ]
Gaza - CPI
Ahmed el-Mudelal, un leader dans le mouvement du Jihad islamique, les ambassades sionistes en Egypte et les Etats arabes, n'est que des «tanières d'espionnage », de contribuer à la création d'un état de spasme entre les peuples et les régimes.
 Les médias appartenant au djihad ont cité d’el- Mudelal, son appel aux pays arabes qui ont des relations diplomatiques avec l'occupation, de les couper  immédiatement, soulignant que « les ambassades de l'occupation sont utilisées à des fins d'espionnage sur les pays arabes, et de contribuer à des relations tendues entre le peuple et les régimes ».
« Ce qui s’est passé, vendredi soir dernier,  au Caire au siège de l’ambassade sioniste, montre l’ampleur du fardeau qui agace la population égyptienne à cause du traité de Camp David prétendu de «paix» avec les sionistes.
Il a souligné dans le même temps, que la relation stratégique entre les peuples égyptien et palestinien, "continuera à être une extension révolutionnaire et politiquement en faveur du droit de la libération de la Palestine et la récupération des lieux saints."

Les cochons des colons sionistes attaquent les terres des Palestiniens à Salfit

[ 11/09/2011 - 21:27 ]
Salfit – CPI
Les cochons lancés par les autorités de l'occupation sioniste et les troupeaux des colons occupants ont attaqué, la nuit dernière, les terres des citoyens palestiniens dans la province de Salfit, faisant de grands dommages aux plantes.
Des sources locales ont dit que les cochons ont démoli les murs de soutènement composés de pierres et ont cassé les branches de figuiers.
Elles ont souligné que les attaques ont été concentrées dans la zone de Matwi, Skaka, et la route menant à Bruqin et Deir Balut.
Les troupeaux de cochons ont également attaqué les champs des agriculteurs palestiniens et ont détruit les récoltes  dans la zone d'Eïn Kablya, démolissant les mur de soutènement à la recherche d'escargots, continuant à casser les branches des raisons et des figues.
Les mêmes sources ont ajouté que les cochons attaquent de manière quotidienne les maisons des citoyens palestiniens dans le village et détruisent leurs plantes, sans pouvoir de mettre un terme à leurs attaques continues.

Les Egyptiens investissent l’ambassade israélienne, les Palestiniens en liesse

[ 11/09/2011 - 18:07 ]
Cisjordanie – CPI
Personne n’aurait cru que les événements du Caire autour de l’ambassade israélienne prendraient cette ampleur, au point que des manifestants en colère contre l’Entité sioniste et sa politique l’investissent et y mettent la main dessus. Ces événements ont mis la joie dans la rue palestinienne. Beaucoup croient que le comportement arabe envers l’Entité sioniste connaît un changement.
Les SMS échangés entre les Palestiniens montrent que pour eux, ces événements symboliques expriment la vraie position des peuples arabes face à cette Entité.
Un nouveau chemin
Le Palestinien Saïd Dwikat est très content, mais il n’est pas le seul : « Tout Palestinien qui a subi l’injustice de l’occupation israélienne est content. Tout Palestinien ressent que la profondeur arabo-islamique de la cause palestinienne commence à se réveiller ». Tout Palestinien est content et salue le peuple égyptien qui, depuis sa révolution, met le dossier palestinien sur la liste de ses priorités, en dépit de ses très lourds soucis.
Le Palestinien Hassan Briki est très fier de voir les jeunes égyptiens se rassembler et investir l’ambassade égyptienne : « C’est le début de la fin des relations avec l’Entité sioniste. C’est un message bien clair disant que les peuples arabes ont pris leurs affaires en main ».
« C’est aussi un message envoyé aux Palestiniens de l’intérieur, à l’équipe de négociations en particulier, souligne Hassan, leur disant que le monde arabe laisse désormais tomber ce chemin des négociations. Il commence une nouvelle étape. Et vous, vous ne devez pas y rester attachés. Vous devez être à la hauteur des souhaits de votre peuple et des peuples arabes, avant qu’il ne soit trop tard, avant que les gens expriment leur opinion ».
Confiance en soi
L’étudiante Siham Oda, de son côté, insiste sur la confiance en soi : « En effet, un courant de confiance en soi grandissant met en joie les jeunes palestiniens, en remarquant les positions courageuses de l’Egypte et de la Turquie. Les jeunes palestiniens ont une admiration pour le comportement des jeunes égyptiens. Ce comportement prouve l’idée que la Nation commence à soutenir la résistance, à boycotter l’Entité sioniste, à lutter contre la normalisation avec les occupants israéliens ».
Elle appelle la direction et le peuple égyptiens à prendre des positions encore plus courageuses contre l’Entité sioniste qui ne comprend que le langage de force. Elle fait fi de celui de la diplomatie.
Avant et après la révolution
L’avocat Abir Attatira confirme, pour sa part, que le peuple palestinien commence à distinguer la différence entre l’époque des révolutions arabes et celle d’avant. Cette nouvelle époque prépare l’ère de la résistance, du refus de l’injustice, de l’enterrement définitif des décennies de contacts humiliants.
Merci l’Egypte, dit-elle, merci la Turquie, merci Erdogan. Ils ont rendu aux Palestiniens leur dignité : « Aujourd’hui, nous avons un grand espoir dans l’avenir, dans le jour de la libération ».
L’avocate Abir a beaucoup d’espoir en l’Egypte : « Les Palestiniens comptent beaucoup sur l’Egypte. Les Palestiniens ont beaucoup d’espoir dans l’Egypte, pour qu’elle soit leur appui le long de la route de la liberté. Les Palestiniens espèrent vivement que l’Egypte les soutiendra face à l’arrogance de l’Entité sioniste ».

L'occupation a arrêté 40 Palestiniens la semaine dernière

[ 12/09/2011 - 08:01 ]
Ramallah – CPI
Un centre juridique palestinien a confirmé que l'armée de l'occupation sioniste a arrêté, la semaine dernière, environ 40 Palestiniens, y compris le député Mohamed Abou Tair, soulignant à l'escalade de la campagnes d'arrestations menées par les forces occupantes en Cisjordanie occupée.
Le Centre Palestinien pour la défense des prisonniers a déclaré que l'occupation a kidnappé 13 citoyens palestiniens dans la province de Qalqilia, 12 d'al Khalil (Hébron), 7 de Naplouse et 12 autres dans les autres provinces palestiniennes.
Dans le même contexte, les forces occupantes ont arrêté, aujourd'hui à l'aube le samedi 11/9, trois Palestiniens après avoir pris d'assaut leurs maisons dans la ville d'el-Khalil et le village proche de Beit Amr, dans le sud de la Cisjordanie occupée.
Des sources palestiniennes ont dit que des importantes forces de l'occupation accompagnées par plusieurs blindés, ont envahi le village de Beit Amr, au milieu du lancement intensif des bombes toxiques, causant l'étouffement d'un certain nombre de citoyens palestiniens, avant avoir arrêté deux jeunes palestiniens.
Elles ont ajouté que les forces occupantes ont également arrêté un jeune palestinienne de l'intérieur de son domicile dans le quartier de Garda dans la ville d'al Khalil, et deux Maqdissins après avoir été attaqués par les colons sionistes.
Des sources Maqdisites ont assuré que les deux jeunes arrêtés se trouvaient sur le train quand plus de 20 colons sionistes ont monté et les sévèrement battu.
Les forces de l'occupation sioniste (qui ont intervenu) ont arrêté les deux jeunes attaqués.

Le Convoi tunisien "el-Karama" se conduit vers le Caire

[ 12/09/2011 - 08:12 ]
Tunis – CPI
Le convoi tunisien "el-Karama" (dignité) a quitté, hier à midi, le samedi 10/9, l'aéroport de Tunis-Carthage, dans la direction de l'aéroport du Caire en Egypte.
Une source médiatique tunisienne, qui a publié la nouvelle le dimanchedernier, a déclaré que le Convoi qui apporte des quantités de médicaments et fournitures médicales manquant dans la Bande de Gaza, quittera demain le Caire vers Gaza par le passage frontalier de Rafah.
Le Convoi composant de 5 jeunes hommes et deux juristes a quitté Tunis au milieu d'une présence d'un certain nombre de citoyens, en particulier les jeunes qui sont venus pour le faire adieux, portant les drapeaux tunisiens et palestiniens et répétant les slogans condamnant l'occupation et ses pratiques inhumaines contre le peuple palestinien, ainsi que le blocus imposé sur la Bande de Gaza, il y a plusieurs années.
La porte-parole du Convoi, Sabirin Oraibi, a confirmé la nécessité du mouvement positif pour une aide réelle et effective à la cause du peuple palestinien et son droit à l'autodétermination, déclarant que toutes les possibilités sont devenues disponibles et que les circonstances et les développements dans plusieurs pays arabes doivent réagir plus aventageusement au profit de la question de la Palestine.
Elle a exprimé son profond sentiment de la responsabilité et ses compagnons à transmettre les aides aux Palestiniens à travers de ce convoi.

Bombardement d'artillerie sioniste sur Beit Lahia

[ 12/09/2011 - 08:18 ]
Gaza – CPI
Les forces de l'occupation sionistes ont bombardé, aujourd'hui à l'aube, le lundi 12/9, le nord de la ville de Beit Lahia au nord de la Bande de Gaza, dans le cadre de l'escalade agressive intensive depuis plusieurs jours.
Des sources locales ont dit au correspondant du CPI que les chars sionistes stationnés dans la clôture de sécurité sioniste ont lancé plusieurs obus d'artillerie qui sont tombés dans les terres agricoles dans le nord de Beit Lahia, où on a entendu plusieurs fortes explosions, ce qui a causé un état de panique parmi les citoyens, sans aucun blessé signalé.
Les forces occupantes effectuent des incursions limitées et des creusements sur les côtés est et nord de la Bande de Gaza.
Un responsable de sécurité avait mis en garde d'une nouvelle escalade militaire qui sera menée par l'entité sioniste sur la Bande de Gaza afin de faire échouer la visite probable du premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, prévue au cours des prochaines jours.
Il a ajouté que les services de renseignements en Entité sioniste étudient les mesures suffisantes pour empêcher l'arrivée d'Erdogan dans le secteur.

Egypte : l’armée au secours d’Israël

samedi 10 septembre 2011
L’armée et la police égyptiennes ont déployé leurs forces en masse, samedi matin, devant l’ambassade d’Israël au Caire, faisant 4 morts, dont l’un victime d’une crise cardiaque, selon un bilan gouvernemental, qui ne dit pas comment les trois autres égyptiens sont morts.

Les affrontements auraient fait plus de 1000 blessés, parmi lesquels environ 300 policiers, rapporte la presse.
Toute la nuit, les forces de police ont tenté de disperser les manifestants, procédant à 19 arrestations. Samedi matin, des véhicules blindés étaient déployés devant l’ambassade et une trentaine de véhicules des forces anti-émeutes postés aux alentours et près du commissariat du quartier de Guizeh.
Un "tour de vis sécuritaire" a été annoncé par le gouvernement militaire provisoire, avec notamment le recours à "toutes les dispositions" de la loi sur l’état d’urgence en vigueur depuis trente ans, qui prévoit des mesures policières et judiciaires hors du droit commun, dont le recours à des tribunaux d’exception, et des restrictions à la liberté de rassemblement. Décriée par les associations de défense des droits de l’Homme, son abolition figure parmi les revendications des militants pro-démocratie égyptiens.
L’ambassadeur israélien en Egypte, Yitzhak Levanon, a quitté Le Caire samedi matin par avion avec son escorte. Israël a décidé de maintenir au Caire l’adjoint de l’ambassadeur « pour poursuivre les contacts avec le gouvernement égyptien ». L’ambassadeur regagnera son poste dès que « les conditions pour la sécurité de l’ambassade seront assurées, a déclaré samedi Ron Sofer, un porte-parole gouvernemental israélien.
Vendredi en en fin d’après-midi, l’attaque du mur protégeant l’ambassade d’Israël au Caire s’est produite après un rassemblement sur la grande place Tahrir, qui réclamait davantage de réformes et de démocratie, sept mois après la chute de Moubarak.
Les manifestants armés de marteaux, de barres de fer et de cordes ont fait tomber un mur de protection érigé ces derniers jours par les autorités devant l’immeuble abritant les locaux de l’ambassade israélienne situés au dernier étage d’un haut building. Malgré un imposant dispositif policier, ils ont ensuite envahi l’ambassade, jeté des documents depuis un de ses bureaux et retiré le drapeau israélien.
Les Egyptiens manifestent en colère devant l’ambassade saoudienne
Des centaines de manifestants en colère se sont rassemblés devant au même moment l’ambassade de l’Arabie Saoudite, au Caire, pour protester contre les positions de l’Arabie saoudite envers la révolution égyptienne, et demander l’expulsion de l’ambassadeur saoudien.
Nombreux sont les Egyptiens qui estime que le conseil de transition militaire est manipulé par des gouvernements étrangers, incitant à la création de partis égyptiens non représentatifs avant les élections prévues en octobre prochain.
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Les Egyptiens virent l’ambassadeur israélien (Vidéo)

samedi 10 septembre 2011
Peu après la Turquie, l’Egypte . Tout le personnel de l’ambassade d’Israël au Caire, aux prises avec une foule en colère, a été évacuée d’urgence dans la nuit de vendredi à samedi, après la prise d’assaut de l’édifice.

Une manifestation avait commencé au cours de l’après-midi devant l’ambassade, après un rassemblement de plusieurs milliers de personnes sur la célèbre Place Tahrir, destiné à protester, tout à la fois contre le récent assassinat soi-disant « accidentel » de cinq militaires égyptiens par l’armée israélienne dans le désert du Sinaï, le refus obstiné de la direction israélienne de présenter la moindre excuse, et la servilité des successeurs de Moubarak, toujours aux ordres de Washington et Jérusalem.
Après le meurtre de cinq de ses soldats, la junte du maréchal Tantaoui, pourtant consciente du profond ressentiment contre l’Etat d’Israël et de la solidarité avec la Palestine qui prévalent dans l’opinion publique égyptienne, n’avait rien trouvé de mieux que de renforcer la protection de l’ambassade, avec l’élévation, en urgence, d’une palissade de béton autour du bâtiment.
C’est ce dernier que des milliers de Cairotes en colère, à l’aide de béliers et de marteaux, ont réussi à démolir vendredi, avant de pénétrer dans l’immeuble où ils ont saccagé quelques pièces de la représentation diplomatique.
Au total, quelque 80 diplomates israéliens et leurs familles ont été évacués du Caire au cours des dernières heures, et se sont envolés de l’aéroport du Caire.
Pendant les premières phases de la séquence, la troupe déployée aux abords de l’ambassade, et censée la protéger, a laissé faire les manifestants, ce qui en dit long sur la différence d’état d’esprit séparant les échelons inférieurs et subalternes de l’armée et les généraux toujours au pouvoir en Egypte.
Selon différents médias égyptiens et israéliens, un commando des forces spéciales égyptiennes serait toutefois intervenu pour dégager six gardes israéliens coincés dans un bureau de l’ambassade, et les escorter jusqu’à l’aéroport où un avion militaire israélien les attendait.
La crise dans les relations égypto-israéliennes suit de quelques jours seulement la décision, longtemps différée, du renvoi de l’ambassadeur d’Israël en Turquie, et l’annonce d’une série de mesures par le gouvernement turc : notamment, l’arrêt de la coopération militaire, et la promesse d’escortes navales turques pour les prochains bateaux civils défiant le blocus criminel de la bande de Gaza.
Comme avec la Turquie, la crise avec l’Egypte a eu pour élément déclenchant le refus délibéré des dirigeants israéliens de faire le moindre geste diplomatique, après des actes de guerre commis par l’armée israélienne : l’assassinat de 9 citoyens turcs à bord du Mavi Marmara en mai 2010, et le meurtre de cinq soldats égyptiens, sur le territoire égyptien, il y a quinze jours.
Les dirigeants israéliens, fidèles à la politique du « personne ne nous aime », jouent les victimes vis à vis de leur propre opinion publique, espèrant la détourner du mécontentement économique et social intérieur, et la maintenir dans un état de guerre permanent.
Une différence entre la Turquie et l’Egypte, toutefois. Dans le premier cas, c’est le gouvernement qui a adopté les sanctions contre Israël. Dans le cas de l’Egypte, ce sont des citoyens, mobilisés dans la rue, qui les ont imposées à leurs propres dirigeants.

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Alerte : La LDJ recrute pour aller agresser les Palestiniens en Cisjordanie

samedi 3 septembre 2011
Sarkozy qui envoie les CRS dans les aéroports pour empêcher les citoyens français de se rendre en Palestine, se tait quand la LDJ dont il tolère l’entraînement paramilitaire en France, annonce publiquement recruter pour aller agresser physiquement les Palestiniens en Cisjordanie. A moins que le gouvernement français distribue aux compagnies aériennes une liste de passagers dangereux à ne pas embarquer ?

Ce ne serait pas compliqué : les noms de ces dangereux nervis qui commettent des exactions en France, sans jamais passer par la case prison, sont parfaitement connus des services de police et de la magistrature. Le 18 septembre, les verra-t-on refoulés à Roissy et gazés par la police de notre beau pays ?
Ci-dessous leur annonce :

VOYAGE DE SOLIDARITE MILITANTE EN JUDEE SAMARIE
Publié le 3 septembre 2011 par administrateur
La LDJ organise du 19 au 25 septembre , un voyage de solidarité avec nos frères israéliens vivant sur la terre de nos ancêtres de Judée et Samarie.
Ce voyage est réservé aux militants ayant une expérience militaire : le but de cette expédition est de prêter main forte à nos frères face aux agressions des occupants palestiniens et donc de renforcer les dispositifs de sécurité des villes juives de Judée et Samarie.
http://www.liguedefensejuive.com/voyage-de-solidarite-militante-en-judee-samarie/
Nous prévenons les autorités françaises que nous ne laisseront pas ces fascistes franco-israéliens —que Sarkozy ne menace pas de priver de la nationalité française—, exécuter tranquillement leurs basses besognes.
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Ile Maurice : appel au boycott de Caterpillar, utilisé pour détruire les maisons palestiniennes

samedi 10 septembre 2011
Un parti politique mauricien a lancé une campagne pour le boycott de véhicules et autres machines de la marque Caterpillar qui sont largement utilisés pour détruire les maisons palestiniennes.

Le parti Lalit, situé à gauche de l’échiquier politique, a annoncé sa décision de mener campagne contre la société Scomat Ltée, du groupe Ireland Blyth Ltd (IBL) qui représente Caterpillar depuis plus de 80 ans à Maurice lors d’un forum cette semaine, à la veille de la réunion prochaine des Nations Unies sur la demande de reconnaissance de l’Etat palestinien.
"Les machines de construction portant la marque CAT font beaucoup de tort à nos frères et soeurs palestiniens car l’armée israélienne utilise ces mêmes engins pour détruire leurs maisons, ou encore pour ériger des barrages afin de les empêcher de traverser", explique Alain Ah-Vee, un des porte-parole de Lalit, qui a adressé une lettre à la direction d’IBL à ce propos, en début d’année, "pour leur demander de cesser de représenter cette marque", courrier sans réponse jusqu’à présent. D’où la décision de mener une campagne nationale contre la marque CAT.
Le représentant de ce parti va plus loin en soulignant qu’ils demanderont " aussi aux Mauriciens de bien regarder les produits qu’ils consomment et s’ils proviennent d’Israël, de cesser de les acheter."
Intervenant lors de ce forum, l’ancien président de la République, Cassam Uteem, a fait part de son pessimisme pour ce qui est de la situation en Palestine et expliqué que le soutien dont bénéficie Israël de la part de grandes nations telles que les Etats-Unis démontre que la cause palestinienne est loin d’être acquise.
"Les dirigeants israéliens ont clairement démontré au fil des années passées qu’ils n’ont nullement l’intention de négocier. Le seul moyen de leur faire comprendre que nous sommes contre eux, c’est de boycotter tous les produits qu’ils exportent", a déclaré l’ancien président de la République Cassam Uteem.
Source : http://french.news.cn/afrique/2011-...
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