Un nouveau massacre israélien s’est ajouté au répertoire de l’entité sioniste, déjà bien lourd depuis l’usurpation de la Palestine.
Les victimes, cette fois-ci, ne sont autres que les activistes pacifistes de la flottille « Liberté pour Gaza » qui comptait six bateaux transportant une aide humanitaire pour la bande de Gaza, laquelle subit un blocus israélien et égyptien depuis plus de quatre années.
Les victimes, cette fois-ci, ne sont autres que les activistes pacifistes de la flottille « Liberté pour Gaza » qui comptait six bateaux transportant une aide humanitaire pour la bande de Gaza, laquelle subit un blocus israélien et égyptien depuis plus de quatre années.
Durant la nuit de dimanche à lundi, les bateaux à bord desquels se trouvaient quelques 800 volontaires, originaires d'une quarantaine de pays ont fait l’objet d’une attaque terroriste israélienne, réalisée par une unité commando de la marine israélienne, escortée par des hélicoptères de combats.
Un paquebot turc, Mavi Marmara qui tansportait la majeure partie des activistes a été particulièrement visé.
Une ONG grecque engagée dans la flottille a également affirmé qu'un bateau grec de la flottille internationale, le Sfendoni, a essuyé des tirs à "balles réelles" dans la nuit à partir d'hélicoptères et de canots gonflables israéliens.
Selon ces Grecs, contactés à l'aube, "il y a eu une attaque à balles réelles contre le bateau grec Sfentoni et le bateau turc Mavi Marmara, (lancée) à partir d'hélicoptères et de canots gonflables" et "les bateaux ont été pris d'assaut".
L'attaque, selon ce communiqué, a eu lieu "dans les eaux internationales à 80 milles des côtes".
Quant à la télévision du Hamas AlAqsa, elle a diffusé des images de l'attaque, faisant état de soldats israéliens héliportés ayant descendus à bord des bateaux, et ouvrant le feu contre leurs passagers.
Un bilan encore provisoire fait état de plus de dix-neuf personnes tuées et de dizaines d’autres blessées. Quinze Turcs comptent parmi les martyrs.
Alors que les Israéliens ont revu à la baisse un premier bilan et ne parlent que de 9 tués.
Parmi les victimes blessées figure cheikh Raëd Salah, le célèbre dirigeant du Mouvement islamique dans les territoires palestiniens occupés en 1948. Il se trouvait à bord d'un des six bateaux du convoi, lorsqu’il a été grièvement atteint. Il se trouve actuellement dans un état critique, et ses jours pourraient être en danger. Les autorités de l'occupation israélienne demeurent très discrètes quant à sont état de santé.
Selon notre correspondant à Gaza, une troisième intifada pourrait éclater au cas où il décèdait.
le chef de la délégation libanaise au sein de la flottille D. Hani Sleïmane a également été blessé, selon la chaîne qatarie AlJazira.
A bord du convoi se trouvaient également l'écrivain suédois Hennin Mankel âgé de 62 ans, et dont les livres ont été vendus de par le monde à des millions d'exemplaires, ainsi que le prix Nobel de la paix 1976, le nord-irlandais Mairead Corrigan Maguire, en plus d'une ancienne victime de l'holocauste, 44 députés dont dix algériens, et des journalistes.
Avant l'attaque, des journalistes à bord d'un navire ont révélé que dans la nuit de dimanche à lundi, peu après 21H00 locales (18H00 GMT), trois patrouilleurs lance-missiles de classe Saar israéliens ont quitté le port septentrional de Haïfa pour intercepter la flottille.
Serkan Nergis, de la Fondation pour l'aide humanitaire (IHH), ONG basée à Istanbul a affirmé que les contacts avec le navire turc ont été coupés après la prise d'assaut.
Un paquebot turc, Mavi Marmara qui tansportait la majeure partie des activistes a été particulièrement visé.
Une ONG grecque engagée dans la flottille a également affirmé qu'un bateau grec de la flottille internationale, le Sfendoni, a essuyé des tirs à "balles réelles" dans la nuit à partir d'hélicoptères et de canots gonflables israéliens.
Selon ces Grecs, contactés à l'aube, "il y a eu une attaque à balles réelles contre le bateau grec Sfentoni et le bateau turc Mavi Marmara, (lancée) à partir d'hélicoptères et de canots gonflables" et "les bateaux ont été pris d'assaut".
L'attaque, selon ce communiqué, a eu lieu "dans les eaux internationales à 80 milles des côtes".
Quant à la télévision du Hamas AlAqsa, elle a diffusé des images de l'attaque, faisant état de soldats israéliens héliportés ayant descendus à bord des bateaux, et ouvrant le feu contre leurs passagers.
Un bilan encore provisoire fait état de plus de dix-neuf personnes tuées et de dizaines d’autres blessées. Quinze Turcs comptent parmi les martyrs.
Alors que les Israéliens ont revu à la baisse un premier bilan et ne parlent que de 9 tués.
Parmi les victimes blessées figure cheikh Raëd Salah, le célèbre dirigeant du Mouvement islamique dans les territoires palestiniens occupés en 1948. Il se trouvait à bord d'un des six bateaux du convoi, lorsqu’il a été grièvement atteint. Il se trouve actuellement dans un état critique, et ses jours pourraient être en danger. Les autorités de l'occupation israélienne demeurent très discrètes quant à sont état de santé.
Selon notre correspondant à Gaza, une troisième intifada pourrait éclater au cas où il décèdait.
le chef de la délégation libanaise au sein de la flottille D. Hani Sleïmane a également été blessé, selon la chaîne qatarie AlJazira.
A bord du convoi se trouvaient également l'écrivain suédois Hennin Mankel âgé de 62 ans, et dont les livres ont été vendus de par le monde à des millions d'exemplaires, ainsi que le prix Nobel de la paix 1976, le nord-irlandais Mairead Corrigan Maguire, en plus d'une ancienne victime de l'holocauste, 44 députés dont dix algériens, et des journalistes.
Avant l'attaque, des journalistes à bord d'un navire ont révélé que dans la nuit de dimanche à lundi, peu après 21H00 locales (18H00 GMT), trois patrouilleurs lance-missiles de classe Saar israéliens ont quitté le port septentrional de Haïfa pour intercepter la flottille.
Serkan Nergis, de la Fondation pour l'aide humanitaire (IHH), ONG basée à Istanbul a affirmé que les contacts avec le navire turc ont été coupés après la prise d'assaut.
Avant l'interruption de la communication, le correspondant d'al-Jazira à bord d'un des bateaux en route pour Gaza, a raconté que "des centaines de soldats israéliens, assistés par des avions militaires, ont attaqué la flottille, blessant le capitaine du bateau ».
"Je vous appelle en cachette, des centaines de soldats israéliens ouvrent le feu et lancent des bombes lacrymogènes, et les passagers du bateau à bord duquel je me trouve se comportent avec beaucoup de courage", a affirmé Abbas Nasser dans son dernier appel à la chaîne qatarie.
"Le capitaine de notre bateau est grièvement blessé, et il y a deux autres blessés parmi les passagers", a ajouté le journaliste, avant l'interruption brutale de la communication.
Côté israélien, la justification est de mise, avec une version préparée à la lettre : "durant la prise d'assaut du navire turc, des soldats israéliens ont été confrontés à de dures violences physiques", a indiqué un porte parole de l’armée israélienne. Et de prétendre : "certains des passagers ont utilisé des armes blanches et des armes de poing".
Ce qu’a catégoriquement démenti la députée arabe à la Knesset, Hahine Zoghbi. Faisant également partie des passagers de la flottille, elle a (selon des médias israéliens rapportés par Arabs 48) déclaré qu’elle s’était adressée en hébreu et par hauts parleurs au commando israélien, lui demandant de ne pas attaquer les navires, et lui assurant que les activistes ne sont pas armés.
"Je vous appelle en cachette, des centaines de soldats israéliens ouvrent le feu et lancent des bombes lacrymogènes, et les passagers du bateau à bord duquel je me trouve se comportent avec beaucoup de courage", a affirmé Abbas Nasser dans son dernier appel à la chaîne qatarie.
"Le capitaine de notre bateau est grièvement blessé, et il y a deux autres blessés parmi les passagers", a ajouté le journaliste, avant l'interruption brutale de la communication.
Côté israélien, la justification est de mise, avec une version préparée à la lettre : "durant la prise d'assaut du navire turc, des soldats israéliens ont été confrontés à de dures violences physiques", a indiqué un porte parole de l’armée israélienne. Et de prétendre : "certains des passagers ont utilisé des armes blanches et des armes de poing".
Ce qu’a catégoriquement démenti la députée arabe à la Knesset, Hahine Zoghbi. Faisant également partie des passagers de la flottille, elle a (selon des médias israéliens rapportés par Arabs 48) déclaré qu’elle s’était adressée en hébreu et par hauts parleurs au commando israélien, lui demandant de ne pas attaquer les navires, et lui assurant que les activistes ne sont pas armés.