01/06/2010
D'une seule voix, les leaders spirituels libanais ont condamné l'assaut israélien mené contre des militants propalestiniens qui se trouvaient à bord de la flottille se dirigeant vers Gaza. Le patriarche d'Antioche des grecs-catholiques, Grégroire III Lahham, a stigmatisé « le massacre commis par Israël à l'encontre de personnes innocentes qui se trouvaient à bord d'un navire en vue de briser le blocus » imposé à Gaza.
Dans un communiqué, le Conseil islamique alaouite a souligné, pour sa part, que l'État hébreu est un pays « qui est né dans le sang et qui a été érigé sur les destructions, tout en continuant de vivre sur les corps de personnes innocentes », affirmant qu'il ne s'étonne guère de l'acte criminel perpétré contre la « flottille de la liberté ».
Le mufti de Tripoli, cheikh Malek Chaar, a déclaré qu'Israël continue de se rebeller contre les résolutions du Conseil de sécurité et les chartes internationales, estimant que rien ne l'arrêtera si les pays œuvrant pour la paix ne lui imposent pas les plus lourdes sanctions, dont la moindre serait son expulsion des Nations unies et d'autres organisations internationales.
Le cheikh Akl druze, Naïm Hassan, a estimé pour sa part qu'Israël vient de commettre « un crime contre l'humanité et contre le droit international ».
Le mufti Jaafari, cheikh Ahmad Kabalan, a appelé les leaders arabes et musulmans à prendre une position « sérieuse et ferme » contre Israël et à reconsidérer leurs relations avec l'État hébreu.
Cheikh Mohammad Hussein Fadlallah a fait assumer la responsabilité de ce qui s'est passé à l'administration américaine qui, a-t-il dit, continue d'avancer « les prétextes les plus illusoires pour justifier le terrorisme israélien permanent ».
Dans un communiqué, le Conseil islamique alaouite a souligné, pour sa part, que l'État hébreu est un pays « qui est né dans le sang et qui a été érigé sur les destructions, tout en continuant de vivre sur les corps de personnes innocentes », affirmant qu'il ne s'étonne guère de l'acte criminel perpétré contre la « flottille de la liberté ».
Le mufti de Tripoli, cheikh Malek Chaar, a déclaré qu'Israël continue de se rebeller contre les résolutions du Conseil de sécurité et les chartes internationales, estimant que rien ne l'arrêtera si les pays œuvrant pour la paix ne lui imposent pas les plus lourdes sanctions, dont la moindre serait son expulsion des Nations unies et d'autres organisations internationales.
Le cheikh Akl druze, Naïm Hassan, a estimé pour sa part qu'Israël vient de commettre « un crime contre l'humanité et contre le droit international ».
Le mufti Jaafari, cheikh Ahmad Kabalan, a appelé les leaders arabes et musulmans à prendre une position « sérieuse et ferme » contre Israël et à reconsidérer leurs relations avec l'État hébreu.
Cheikh Mohammad Hussein Fadlallah a fait assumer la responsabilité de ce qui s'est passé à l'administration américaine qui, a-t-il dit, continue d'avancer « les prétextes les plus illusoires pour justifier le terrorisme israélien permanent ».