[ 31/05/2010 - 18:38 ] |
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Agences – CPI La communauté internationale a exprimé sa forte condamnation au massacre sioniste perpétré contre les solidaires désarmés qui accompagnaient la flotte "Liberté" qui se dirigeait vers la Bande de Gaza dans une mission humaine pour casser le blocus imposé injustement contre les Gazaouis depuis plus de 4 ans successifs. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a condamné l'assassinat des pacifiques par les forces de l'occupation israélienne en appelant à ouvrir une enquête générale autour des conditions de cet événement. De sont côté, le ministre français des affaires étrangères, Bernard Kouchner, a exprimé son choc de l'opération militaire effectuée par l'armée de l'occupation contre les solidaires désarmés sur les bateaux du convoi "Liberté". Dans un communiqué publié, le lundi 31/5, le ministre français a montré son étonnement et choc des résultats catastrophiques des attaques lancées par l'armée de l'occupation israélienne contre le convoi "Liberté", en disant que la violence sioniste est injustifiée. En Grande Bretagne, la coalition "Arrêtez la guerre" et d'autres associations britanniques ont appelé à l'organisation d'une marche urgente, cet après-midi, lundi 31, devant le bureau de la présidence du gouvernement britannique pour protester officiellement contre les violations sionistes aux lois internationales. Au Norvège, le premier ministre a dit que son pays refuse fortement les crimes sionistes, tout en appelant à briser, le plus tôt possible, le sévère blocus sioniste. L'ambassadeur sioniste a été convoqué, à Oslo, pour l'informer de la protestation norvégienne aux crimes israéliens contre la flotte "Liberté". Le ministère grec des affaires étrangères a annoncé l'annulation des manœuvres militaires communes avec l'aviation israélienne pour protester contre l'attaque sioniste. Finalement, l'Espagne qui préside actuellement l'Union Européenne a considéré que l'attaque israélienne est un événement inacceptable et très dangereux, en convoquant l'ambassadeur sioniste, à Madrid, et en lui demandant d'ouvrir une enquête générale sur le massacre contre la flotte "Liberté". |