[ 27/04/2010 - 12:30 ] |
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Al Qods occupée- CPI Des membres au comité des captifs palestiniens qui habitent dans la ville sainte d’Al Qods occupée ont rencontré, le dimanche 25/4, la délégation d’une association française qui est venue pour se solidariser avec le peuple palestinien et ses droits légitimes en Palestine occupée. La délégation française se compose de la présidente de l’association, Martine Jean, son vice-président Jonas viv, le membre du Bureau, Fatiha Fadel, Younès Benkirane, ainsi que l'ajointe Elia Jouques, ainsi que d’autres activistes dans cette Assemblée. Mme Fatiha Fadel a expliqué d’une manière très détaillée les travaux de cette Assemblée, qui comprend 4000 membres, ainsi que ses plusieurs filiales en France, dont celle qui concentre ses travaux en Palestine pour soutenir la lutte populaire des habitants contre le mur, à Naline, à Al Maassara et d'autres endroits, en réagissant activement pour le boycottage des produits fabriqués dans les colonies sionistes. Le président du Comité des familles des prisonniers à Jérusalem, ainsi que l'adjoint de la délégation en visite ont discuté de la situation des prisonniers palestiniens en général, notamment les captifs de Jérusalem dont le monde entier a été surpris de l’ampleur de leurs souffrances et tragédie, ainsi que leurs familles, en plus des captifs du Golan syrien occupé, que l’occupation exclut de toute opération d’échange des prisonniers. Pour sa part, le prisonnier libéré, Rebhi Abou Al Hemse a parlé de son expérience dans les prisons israéliennes, où les captifs sont privés du minimum de leurs droits fondamentaux garantis par les conventions internationales, notamment la 4ème convention de Genève, en indiquant aux violations des autorités de l’occupation dans leurs prisons dont la négligence médicale, la malnutrition, tout en discutant de la grève de faim, qui est devenue la seule arme pour les prisonniers pour contester contre les pratiques sionistes sauvages et inhumaines contre les détenus palestiniens. Le captif libéré a décrit également les sentiments de tristesse envers ses collègues qui sont tombés en martyrs durant la célèbre grève dans la prison de Nafha. |