LE CAIRE, 1er mai - RIA Novosti
Les chefs de diplomatie des pays arabes faisant partie de la commission de l'initiative de paix discuteront au Caire de la reprise des négociations palestino-israéliennes indirectes sous la médiation des Etats-Unis. rapportent les médias égyptiens.
Le principal négociateur palestinien Saëb Erakat informera les ministres des dernières propositions israéliennes remises aux Palestiniens par l'émissaire américain George Mitchell.
Selon la télévision égyptienne, l'Etat hébreu se serait déclaré disposé à faire des concessions à la partie palestinienne. Il s'agirait notamment de la levée de certaines restrictions concernant la circulation des Palestiniens en Cisjordanie, de la remise en liberté d'un groupe de prisonniers palestiniens détenus dans des prisons israéliennes et du transfert de certains territoires sous le contrôle de l'Autorité palestinienne.
Les ministres arabes des Affaires étrangères devront décider si cela est suffisant pour relancer le processus de paix.
Selon Tel-Aviv, les négociations peuvent reprendre déjà dans la première quinzaine de mai. Quoi qu'il en soit, on ignore toujours si on a réussi à éliminer le principal obstacle aux négociations, notamment les projets d'Israël pour poursuivre la construction à Jérusalem et en Cisjordanie.
Auparavant, la Palestiniens ont refusé des négociations indirectes tant qu'Israël n'arrête pas l'ensemble de ses activités de colonisation à Jérusalem et ne met pas fin à sa politique du fait accompli.
La Commission ministérielle de l'initiative arabe de paix comprend 13 pays: l'Egypte, l'Arabie saoudite, la Jordanie, la Syrie, le Liban, l'Autorité palestinienne, Bahreïn, le Yémen, le Soudan, la Tunisie, l'Algérie, le Maroc et le Qatar.
Le principal négociateur palestinien Saëb Erakat informera les ministres des dernières propositions israéliennes remises aux Palestiniens par l'émissaire américain George Mitchell.
Selon la télévision égyptienne, l'Etat hébreu se serait déclaré disposé à faire des concessions à la partie palestinienne. Il s'agirait notamment de la levée de certaines restrictions concernant la circulation des Palestiniens en Cisjordanie, de la remise en liberté d'un groupe de prisonniers palestiniens détenus dans des prisons israéliennes et du transfert de certains territoires sous le contrôle de l'Autorité palestinienne.
Les ministres arabes des Affaires étrangères devront décider si cela est suffisant pour relancer le processus de paix.
Selon Tel-Aviv, les négociations peuvent reprendre déjà dans la première quinzaine de mai. Quoi qu'il en soit, on ignore toujours si on a réussi à éliminer le principal obstacle aux négociations, notamment les projets d'Israël pour poursuivre la construction à Jérusalem et en Cisjordanie.
Auparavant, la Palestiniens ont refusé des négociations indirectes tant qu'Israël n'arrête pas l'ensemble de ses activités de colonisation à Jérusalem et ne met pas fin à sa politique du fait accompli.
La Commission ministérielle de l'initiative arabe de paix comprend 13 pays: l'Egypte, l'Arabie saoudite, la Jordanie, la Syrie, le Liban, l'Autorité palestinienne, Bahreïn, le Yémen, le Soudan, la Tunisie, l'Algérie, le Maroc et le Qatar.