La chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton, a annoncé hier s'attendre à la reprise la semaine prochaine du dialogue indirect entre Israéliens et Palestiniens. « Nous attendons la rencontre du comité arabe de suivi, (samedi) au Caire, pour soutenir l'engagement du président (palestinien Mahmoud Abbas) d'avancer dans le dialogue », a-t-elle ajouté.
Philip Crowley, le porte-parole de Mme Clinton, a souligné ensuite que le début des entretiens indirects demeurait suspendu à l'appui des ministres arabes à la démarche du président Abbas. La formule du dialogue indirect entre Israéliens et Palestiniens, par l'intermédiaire des États-Unis, a été proposée par l'administration Obama pour permettre la reprise du dialogue interrompu entre les parties depuis fin 2008. L'émissaire américain George Mitchell doit retourner dans la région dans les prochains jours.
Philip Crowley, le porte-parole de Mme Clinton, a souligné ensuite que le début des entretiens indirects demeurait suspendu à l'appui des ministres arabes à la démarche du président Abbas. La formule du dialogue indirect entre Israéliens et Palestiniens, par l'intermédiaire des États-Unis, a été proposée par l'administration Obama pour permettre la reprise du dialogue interrompu entre les parties depuis fin 2008. L'émissaire américain George Mitchell doit retourner dans la région dans les prochains jours.
La veille, Mme Clinton a réclamé aux États arabes plus d'efforts auprès d'Israël et des Palestiniens pour faire avancer le processus de paix. « Les peuples de la région méritent de ne plus connaître la culture de peur et d'hostilité qui a dominé leurs vies pendant des décennies », a-t-elle déclaré, tout en réaffirmant par ailleurs la force de l'alliance entre Israël et les États-Unis.
Les relations entre l'administration Obama et le gouvernement Netanyahu ont connu un coup de froid après l'annonce de nouvelles colonies à Jérusalem-Est en mars, en pleine visite dans la ville du vice-président américain, Joe Biden.