[ 08/02/2011 - 12:10 ] |
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Agences L’occupation israélienne s’est mobilisé ces jours-ci, au cours de la révolte des contestataires égyptiens contre le régime anti-démocratique de Mohamed Hosni Moubarak, pour la protection le plutôt possible de son fidèle allié(Moubarak), brave, courageux, aimable et indispensable pour la sécurité de l’occupation israélienne, selon les témoignages des occupants israéliennes (dirigeant et population) eux-mêmes. Néanmoins, la direction de la maison blanche a laissé au début entendre qu’il est important de soutenir les égyptiens en révolte face à leur président, exigeant un départ et une réforme au niveau du pouvoir immédiate, soudain le président américain a changé d’avis, suite à des fortes pressions du gouvernement de l’occupation israélienne qu’avait critiqué l’engagement de Barak Obama vis-à-vis la soi-disant crise égyptienne, le dernier a désigné que le pouvoir en Egypte a fait des "progrès" dans le processus politique. Obama a fait allusion à la nomination du vice-président, Omar Souleiman préféré par l’entité sioniste comme successeur adéquat à Moubarak, le lancement du dialogue avec certains membres de l’opposition, en dépit des déclarations que les négociations entamés étaient « opaques », « insuffisantes » et « inacceptable » au vue de l’opposition qui proclame qu’un départ immédiat de « Moubarak » et insistant que tout dialogue ne sera commencé qu’après son élimination du pouvoir. La Maison Blanche a par ailleurs appelé lundi tout futur gouvernement égyptien à respecter les "traités et engagements" actuels, en faisant allusion au traité de paix entre l'Egypte et l’occupation israélienne, niant en même temps tout contact entre Washington et les Frères musulmans, en répliquant aux allégations israélienne qu’Obama voudra instauter un régime islamique en Egypte. Pour leur part, les manifestants (leur jeunesse) ont formé, hier une coalition anti-régime Moubarak, confirmant leur opposition aux propositions du vice-président dans lesquelles il apparaît que Moubarak persiste à accrocher à son mandat présidentiel et ignore encore les proclamations des contestataires qui continuent à parier sur leur sit-in dans la place « d’al Tahrir » et en mobilisant les égyptiens dans toute l’Egypte pour des manifestations de « million », notamment tous les dimanche, mardi et jeudi. Suite au recul de la politique de Washington devant les exigences de l’entité sioniste à préserver encore son brave allié qui a protégé la paix et oeuvrait à la sécurité d’Israël dans la région du Moyen-Orient, Moubarak s’est encouragé d’autant à jouer la carte politique afin d’empêcher toute démission sous la pression de son peuple en révolte contre lui et déclarant qu’il s’attache jusqu'à ce que son mandat soit achevé en septembre prochain, prétendant de sauvegarder la stabilité et la sécurité, non pas seulement en Egypte, mais aussi dans la région ( y compris l’occupation israélienne), citant qu’il n’a aucune intention d’être élu une autre fois, insistant à son avis que toute « transition immédiate » ne signifie que le respect de la Constitution égyptienne, c'est-à-dire tout changement réel ne serait fait qu’après l’achèvement de son mandat, ce que refuse totalement l’opposition exigeant un départ actuel, immédiat et non reporté. |