vendredi 7 janvier 2011

Bardawil:Le déni d’Abbas de l'existence des prisonniers politiques en Cisjordanie est une tromperie"

[ 05/01/2011 - 10:20 ]
Gaza - CPI
Le chef au mouvement du Hamas , Dr .Salah al-Bardawil a considéré que la propagande de l’ex-présidant, Mahmoud Abbas, en utilisant la même expression « la destruction » maintenue par l’occupation pour l’assassinat des Palestiniens, reflète la fuite des échéances de la réconciliations.
Al Bardawil a affirmé que la dernière escalade contre les partisans du Hamas en Cisjordanie, leur arrestation, leur torture, est une partie d’abandon de la nation et un halètement derrière l’illusion des négociations.
«Malheureusement, Mahmoud Abbas réitère et propage le même discours trompant, a été incapable de faire l'expérience amère du changement politique, il utilise la même expression maintenue par l’ennemi sioniste contre le Hamas, lorsqu’il l’accuse de « destruction », a exprimé Al Bardawil lors des déclarations à l’agence « Qods presse »,  ses regrets envers le refus d’Abbas de reconnaître l’existences des prisonniers politiques dans les prisons de la Cisjordanie.
« Abbas a parlé qu'il n'a pas peur d'un coup du Hamas en Cisjordanie, mais en même temps l’accusé de « décadence » et  arrête ses partisans pour cette raison, donc il s'agit d'une attaque préventive, les détenus de ce type que pouvons-nous appeler? », a ainsi souligné Al Bardawil.
Il a ajouté: "Ce qui est surprenant aussi que, comment peut-il concilier son rejet de l'existence de prisonniers politiques en Cisjordanie et le refus des services de sécurité de libérer les détenus que la justice à prouver leur innocence ? ».
Al Bardawil s’est pris fortement contre Abbas en insistant que c’est une arrestation politique reconnue par toutes les factions palestiniennes, y compris le Fatah, ainsi qu’Azzam Al Ahmed avait déclaré que les prisonniers seront libérés après la réconciliation.
« On ne peut expliquer le rejet d’Abbas à l’existence des prisonniers politiques en Cisjordanie qu’une sorte de coma politique qu’on n’accepte plus et ne sera jamais un prélude à la réconciliation », a-t-il poursuivi.
Al Bardawil a qualifié le rejet d’Abbas qu’il y a des prisonniers politiques en Cisjordanie comme un coup anti-réconciliation et un refus aux efforts destinés pour signer la feuille égyptienne (déployés dernièrement à Damas, entre le Hamas et Fatah), ajoutant que cet engagement d’Abbas en tournant le dos à son peuple est un coup au document égyptien lui-même.