vendredi 5 novembre 2010

La justice menacée en Grande Bretagne au profit du sionisme

[ 04/11/2010 - 10:04 ]
Al Qods occupée
Au cours de la visite du chef de la diplomatie britannique,William Hague à l’entité sionsite, et suite de fortes pressions, de la part de Tel Aviv, le « Foreign Office » a assuré hier à l’occupation israélienne  que la législation britannique qui permet de poursuivre au Royaume-Uni des responsables coupables israéliens pour crimes de guerre ou crimes contre l'humanité sera débattue « bientôt » au Parlement afin qu’elle soit amendée.
Dans ce contexte, le porte-parole du ministère sioniste des Affaires étrangères « Yigal Palmor » avait également indiqué que la révision de cette législation controversée représentait « une question primordiale de l'agenda » à l’occasion de cette visite du M. William Hague.
William Hague  a annoncé, de son côté que « La loi sera présentée dans un très proche avenir,au Parlement britannique ».
Soulignant que son pays partage avec l’état de l’entité occupante israélienne les mêmes soucis, indiquant que cette loi qui menace les dirigeants sionistes peut être amendée bientôt.
Les médias hébreux avaient cité que Dan Meridor, le ministre sioniste pour les Services secrets, a annulé dernièrement une visite en Angleterre, en crainte qu’il ne soit pas arrêté, pour son rôle présumé dans l'abordage très sanglant contre la flottille internationale de la liberté, le 31 mai passé, sur les eaux méditerranées, où 9 turcs étaient morts et des dizaines de pacifistes internationaux ont été blessés en destination de briser l’embargo sioniste imposé contre plus d’un million et demi des habitants de la bande de Gaza.
De sa part, Yigal Palmor a précisé hier que son entité sioniste (Israël) avait décidé de différer la reprise de son « dialogue stratégique » avec Londres jusqu’à ce que cette loi juridique britannique soit amendée.
Il est à noter que la loi britannique autorise un juge de délivrer un mandat d'arrêt contre une telle personnalité étrangère en visite en Grande Bretagne, à la demande d'un plaignant, s'il voit que cette personnalité a participé  à des crimes de guerre ou des crimes contre l'humanité.