lundi 28 novembre 2011

Les arrestations se peuvent contrarier la Reconciliation

[ 27/11/2011 - 21:19 ] 
Cisjordanie-CPI 
Les appareils de sécurité de l’Autorité, sur la rive occidentale occupée, poursuivent l’arrestation et la convocation des citoyens palestiniens, pour raisons d’obédience politique, malgré l’accord de conclu de réconciliation ; ils ont en donc arrêtés deux l’un à Naplouse et l’autre à El Khalil et, persistent dans la convocation d’autres.
Dans le département de Naplouse, l’appareil de sécurité préventive a arrêté l’ex-détenu relaxé Ramez Abou Saliha, qui a écopé auparavant un mois et demi d’arrestation et, fut durant tout le long d’un mois convoqué presque quotidiennement.
A El Khalil, le même appareil a arrêté l’ex-détenu libéré Hazem Hichem Doudine (25ans), étudiant en quatrième année de l’Université libre d’El Kods à Duara, après avoir donné l’assaut à la maison de son oncle quelques jours plus tôt.
Rappelons, que Doudine est ex-détenu des appareils de l’Autorité et ex-détenu relaxé, qui a purgé une peine de un an et demi dans les cachots de l’occupation.
Dans la même voie, la préventive de l’autorité a poursuivi la convocation d’ex-détenus relaxés à Naplouse à savoir le dirigeant Cheikh Dharrar Hamadna du nord de Assira, Ahmed Noraï, l’étudiant à la faculté Khouri Ouday Berri, les deux étudiants à l’Université Ennajah : Samer Aoudet et Yassir Menàa l’étudiant à l’Université libre d’El Kods Fehmi Slim, le journaliste Mohamed Nemr Assida, Rami Issa et Sakr Derouiche.
Entre - temps le Tribunal de conciliation (ou Tribunal d’Instance) à Naplouse a prorogé de 15 jours supplémentaires la détention de Cheikh Thair Abou Kharma, sachant qu’il est en état d’arrestation depuis le 5/09/2011/
Dans le département de Tobas, la préventive a procédé deux jours plus tôt à l’arrestation de l’ex-détenu relaxé Ahmed Fakhri Saouafta après sa convocation pour entrevue.
 Dans le même ordre d’idée, l’appareil des renseignements sur la rive occidentale a relaxé hier samedi en soirée, l’étudiant de l’Université de Beir Zeit, Mohamed Faraj du village Kouber de la circonscription de Ramallah, après deux jours de détention, de son domicile dans la ville de Ramallah par l’appareil.