lundi 21 novembre 2011

France : le "CRIF" veut des députés juifs, à l'Assemblée

20 Novembre 2011
IRIB- Jusqu’à présent, le président du "CRIF" s’était toujours réfugié, sous la bannière de la "laïcité républicaine", pour défendre les actions de son officine et son allégeance totale et aveugle à «Israël».
Désormais, il a laissé tomber le masque, derrière lequel, il dissimulait son communautarisme sioniste arrogant, en publiant sur le site du "CRIF", une tribune, où il dissimule, à peine, son accusation d’anti-sémitisme, à l’égard d’un parti, le PS, pourtant, particulièrement inclusif vis-à-vis des Juifs de France, notamment, au plus haut niveau de sa représentation politique (DSK, Fabius, Montebourg, Lang, Kouchner et bien d’autres ….). L’UMP n’est pas en manque, non plus. Bref, la course au «vote JUIF» bat son plein. Prasquier, lui, vient, ainsi, de démarrer la campagne de Sarkozy, avant même que ce dernier se déclare, officiellement, candidat à sa propre succession. Mais les responsables et élus politiques des partis UMPS ne doivent s’en prendre qu’à eux-mêmes. Quand on accepte de faire, tous les ans, serment d’allégeance au "CRIF", à ses idées fascisantes de domination sioniste, au Moyen Orient -en soutenant, inconditionnellement, la politique coloniale raciste fasciste du régime sioniste auto-proclamé «Israël», sa bellicosité haineuse vis-à-vis de ses voisins - en participant au dîner du "CRIF", chaque début d’année. Alors? qu’on ne s’étonne pas que les Communautaristes du "CRIF" en viennent à revendiquer, publiquement, de telles demandes, sans même plus prendre la peine de les dissimuler, sous un faux-nez laïc républicain. L’action de Richard Prasquier, à la tête du "CRIF", s’aligne sur celle d'Israël, dont le but final c’est de faire «monter» les Juifs de France, en Israël.
Ci-dessous, des extraits de l’article du "Figaro" du 18/11/2011 intitulé : «Législatives, à Paris : le "Crif" dénonce l'éviction d'élus PS», relatant le dictat/chantage communautariste de Richard Prasquier, mais aussi, l’ambiguïté des positions de certains de ces élus Juifs du PS, dont on peut, parfois, se demander à qui ils font allégeance, en choisissant d’embrasser une carrière politique : à la communauté juive, auquel cas, ils représentent et défendent les intérêts, non pas, de tous les Français qui les ont élus, mais des Juifs français de leur circonscription ? A Tel-Aviv, auquel cas, ils utilisent leurs fonctions, pour défendre les intérêts d’un pays étranger.
Législatives à Paris : le "Crif" dénonce l'éviction d'élus PS
Richard Prasquier regrette que des députés garants de la «représentation politique juive» soient sacrifiés, dans le cadre de l'accord conclu entre socialistes et écologistes. Richard Prasquier les appelle «les évincés». Dans une tribune, publiée, sur le site du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), le président de l'association égraine les noms des députés PS qui devraient abandonner leur siège francilien, dans le cadre de l'accord, conclu, cette semaine, entre socialistes et écologistes, pour les prochaines législatives: Serge Blisko, Tony Dreyfus, Danièle Hoffman-Rispal et Daniel Goldberg.
"L'effet d'affichage des noms est désastreux», écrit, ensuite, Richard Prasquier. Selon lui, ces «évincés» sont «garants, dans leur histoire assumée personnelle et familiale, d'une mémoire des persécutions et des luttes commune» et sont «des ponts avec la tradition socialiste», dans une «agglomération parisienne où la représentation politique juive diminue de façon progressive". «…Il est tentant de parler d'antisémitisme, certains l'ont déjà fait et je me garderai de les suivre. Je pense que nous n'en sommes pas là», tempère Richard Prasquier, tout en maintenant que le mot avait été prononcé, dans la communauté juive.
«Le PS aurait dû y penser»
De leur côté, les députés concernés balaient tout soupçon d'antisémitisme. Pour le député, Daniel Goldberg, poussé par la direction du PS à laisser sa circonscription de Seine-Saint-Denis à Elisabeth Guigou, «chacune des quatre situations (des députés cités plus haut) est différente et ne relève pas, à coup sûr, d'un quelconque antisémitisme du PS». «Je ne me suis jamais défini comme autre chose que comme élu de la République, et, accessoirement, comme enfant d'Aubervilliers et La Courneuve, où ma famille est installée, depuis 1930», ajoute-t-il, assurant que ce débat risquait de «favoriser les extrêmes».
Même tonalité, chez Danièle Hoffman-Rispal, élue, dans la 6e circonscription (XIe et XXe arrondissements) promise à la patronne d'EELV, Cécile Duflot. «Je ne peux pas croire, un seul instant, que la dimension confessionnelle ait joué. Je ne pourrais pas avoir ce sentiment, au bout de 37 ans de parti, je n'y serais pas restée, si j'avais senti de l'antisémitisme», explique-t-elle. «Je pense que c'est un hasard, personne n'a voulu enlever de la photo ces personnes, mais ça été remarqué dans la communauté juive», ajoute Danièle Hoffman-Rispal, vice-présidente du groupe d'amitié France-Israël à l'Assemblée, qui est «laïque, mais a des origines qu'elle ne renie pas».
Sans partager une «lecture antisémite» de l'accord, Serge Blisko, député de la 10e circonscription (XIIIe et XIVe), relève, néanmoins, que «la direction du PS aurait dû y penser». «Il est évident que certains élus jouaient, aussi, un rôle, à Paris d,e pont entre la communauté juive et le PS, pour, notamment, montrer que la gauche n'était pas, nécessairement, sur une ligne systématique anti-israélienne», fait valoir le parlementaire, confiant avoir reçu de «nombreux appels d'électeurs éprouvés» par cet accord.
Quand Richard Prasquier, Président du "CRIF" va-t-il exiger que, parmi les candidats à la présidentielle, figure obligatoirement un JUIF ?
Rappel : on estime à 700 000 le nombre de Juifs, en France. La France compte 60 millions de Français, donc, les Juifs représentent un peu plus de 0,01% des Français même pas 1% !!!!!!!!
Le Président du "CRIF", supposé défendre les intérêts des Juifs, en France, ne fait que tenter de raviver les cendres d’un anti-sémitisme qui sert les intérêts de ses Maîtres de Tel-Aviv. Le régime sioniste, depuis sa création, n’a eu de cesse d’attiser les flammes de l’anti-sémitisme, principalement, en Europe, allant même jusqu’à collaborer, comme de nombreux documents le prouvent, pour ce faire, avec le régime Nazi. Les Juifs de France, dit-on, n’aime pas qu’on les «liste»; cela leur rappelle de mauvais souvenirs, alors pourquoi ne s’en prennent-ils pas au président du "CRIF", richard Prasquier, qui affirme, dictatorialement, les représenter, pour soit disant défendre leurs intérêts, mais, en fait, sabote l’intégration des Français de confession israélite, y compris, au sein des partis politiques ?
Richard Prasquier ne veut pas que les Juifs s’intègrent au sein des Nations : il est anti-sémite.
Source : planetenonviolence
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