mercredi 30 mars 2011

Les enfants Gazaouis affirment de la Turquie que l'occupation les cible

[ 29/03/2011 - 09:38 ]
Istanbul- CPI
Les enfants de la bande de Gaza ont affirmé dans une conférence de presse tenue à Istanbul, au siège de l'organisation de l'aide humanitaire turque (IHH), le lundi 28/3, ont affirmé qu'ils sont victimes de la barbarie des forces occupantes israéliennes qui continuent à les cibler , soulignant qu'ils ne veulent pas enconre une autre guerre dans leur secteur totalement assiégé, ainsi qu'ils adressent au monde entier un message à la fraternité et la paix.
La fille Bissan a déclaré: "Tous les enfants de Gaza dorment au son des chars et se réveillent sur la voix de tirs de feu", ajoutant: «. Je vis dans la bande de Gaza, et je souhaite la paix pour tous les enfants dans le monde"
Pour sa part, l'enfant Mohamed Bashir Saleh a souligné qu'il avait perdu un grand nombre d'enfants d'amis, comme il a beaucoup d'enfants dans la bande de Gaza qui ont perdu leurs familles par la guerre. Il a reconnu en disant: "Je peux donc comprendre ce qui se passe pour les enfants de la Libye comme étant un enfant qui a vécu la guerre, et j'imagine leurs situations psychologiques et je prie pour eux. "
De sa part, le fille Dua'a Lafrah a confirmé qu'elle a goûté le bonheur de visiter l'autre monde quand elle s'est trouvée entre le peuple turc, généreux, notant que «les enfants de la bande de Gaza sont toujours très forts dans le coeur de la guerre.
Noor Rami Saied, qui est un orphelin, de son côté, a souhaité que le siège sur la bande de Gaza soit brisé.
En effe, la conférence s'est terminée par le discours de Hüseyin Oorotc, membre du conseil d'administration de (IHH), a déclaré que les dessins des enfants palestiniens traitent avec le code de la guerre.
Il a ajouté: "Au moment où les enfants Gazaouis  pratiquent leur visite en Turquie, des agressions sionistes ont commencé dans la bande de Gaza, tuant des dizaines de morts, principalement des enfants, ces enfants invités en Turquie se sont rendus à partir des frontières du secteur assiégé, et pour la première fois dans leur vie et vont retourner à leur pays d'origine en quelques jours, et nous ne voulons pas qu'un tel enfant dans le monde soit tué ".