Samedi, 13 Novembre 2010 08:44
IRIB - Lourd, très lourd, le dossier de trafic d'organes humains qui entache Israël, faisant de lui la plaque tournante de ce trafic d'horreur. Une autre page s'y est encore ajouté tout récemment. Il s'agit d'un hôpital sud-africain plaidant coupable des accusations de transplantations illégales de reins dans sa clinique Saint Augustin de Durban. Netcare, un groupe d’hôpitaux privés réputés en Afrique du Sud, avait notamment retiré les organes de cinq mineurs entre 2001 et 2003. L'établissement a reconnu avoir accepté de l'argent pour transplanter leurs reins chez des patients. Et quand il dit patient il faut comprendre "patients israéliens" qui venaient à la clinique Saint Augustin de Durban pour se faire greffer un rein. Les donneurs eux, venaient principalement du Brésil. Une centaine d’opérations auraient été effectuées à l'hôpital sud-africains. L'affaire Netcare est la dernière en date de ce négoce inhumain sur une liste déjà longue. En l'occurrence, citons l'article retentissant du journal suédois à grand tirage Aftonbladet, qui enfonce le clou, avec son titre plus qu'éloquent "Nos enfants sont pillés de leurs organes". C'est un réquisitoire accablant: les soldats israéliens assassinent de jeunes palestiniens pour extraire leurs organes et les revendre sur le marché noir. Le papier relate les témoignages de familles palestiniennes affirmant avoir récupéré, auprès de l’armée d'occupation israélienne, les corps de leurs défunts, la poitrine recousue. Abattus par l'armée sioniste, certains d’entre eux avaient été auparavant kidnappés par des militaires. Cet article établit un lien avec une scandaleuse affaire dévoilée aux Etats Unis, de l'existence d'un syndicat du crime comprenant cinq rabbins américains du New Jersey et de New York, ainsi que des fonctionnaires de d' état du New Jersey. Ils sont accusés de blanchiment d'argent et de trafic d'organes. Ce réseau de rabbins opérant de Brooklyn au New Jersey est accusé d'avoir blanchi des dizaines de millions de dollars via des associations de bienfaisance qu'ils contrôlaient. Les rabbins envoyaient une partie de leurs recettes en Israël. Les autorités policières ont également découvert qu'une partie de l'argent blanchi par ces rabbins provenait de la vente d'organes humains par un rabbin orthodoxe de Brooklyn, Levi Izhak Rosenbaum. L'horreur ne s'est pas arrêtée dans les rues des villes palestiniennes, elle a surgi à des milliers de kilomètres sur une île des Caraïbes, Haïti, où la terre avait tremblé. Et comme si le calvaire des secousses telluriques ne leur suffisant pas, les sinistrés haïtiens devaient aussi être victimes des trafiquants d'organes humains, livrés par les soi-disant secouristes israéliens. Devant ce tableau sinistre tout homme lucide à l'esprit noble s'interrogerait: où pourrait s'arrêter l'horreur? Y aurait-il vraiment une limite? Jusqu'où l'homme peut descendre dans les abysses infernales de l'horreur?
