mercredi 9 novembre 2011

Le ministre des prisonniers informe une délégation française sur leur situation

[ 09/11/2011 - 17:35 ]
Gaza - CPI
Le ministre des Prisonniers, Dr. Atallah Abou Sabeh a informé un groupe d’avocats français sur la situation des prisonniers palestiniens dans les geôles de l'occupation sioniste, lors d’une réunion tenue au ministère à Gaza, le mardi 8/11.
Dr. Atallah a examiné les phénomènes de la souffrance du peuple palestinien depuis le début du conflit, notamment ceux de la souffrance des prisonniers contre la torture, la privation, l'humiliation et la violation de l'administration pénitentiaire pour les droits les plus élémentaires des prisonniers palestiniens
« La torture dans les prisons israéliennes est continue et constante, c’est une sorte de mort lente, sous les conditions de la négligence médicale contre les patients », a insisté le ministre en mettant la délégation française au contact des violations très flagrantes du droit humain et international, perpétrées par les autorités et enquêteurs sionistes.
Il a affirmé que l'occupation détient des corps des martyrs dans ce qu’elle appelle des cimetières de numéros, et ne peuvent être libérés qu’après l’achèvement de la peine de leurs propriétaires, en plus le vol des membres d'organes de martyrs
Le ministre, a souligné, en effet,  au racisme de l'entité sioniste et ses violations perpétuelles au su et vue de la communauté internationale, indiquant que l’ennemi occupant israélien viole et ne reconnaît pas toutes les conventions internationales, notamment la quatrième Convention de Genève pour le droit de nos héros détenus.
En outre, Dr. Attallah Abou Sabeh a demandé à la délégation française qu’il est nécessaire que les hommes libres du monde entier, toutes les organisations des droits humains et juridiques doivent se mobiliser pour démasquer les violations de l'occupation, en particulier celles de la gestion de ses prisons, ainsi que de soulever des questions devant les tribunaux internationaux pour juger les criminels de guerre sionistes.