lundi 13 décembre 2010

Les Musulmans et chrétiens protestent à "Jaffa" et appellent à la liberté religieuse

[ 12/12/2010 - 09:37 ]
Nazareth - CPI
« Des centaines de musulmans et chrétiens qui résident à ville de « Jaffa » (la ville palestinienne historique « Yaffa ») dans les territoires palestiniens occupés (Israël) protestaient le  vendredi10/12, pour réclamer le «droit de pratiquer la religion" dans leur ville, après que les occupants sionistes ont porté plaintes alléguant un préjudice de son «bruit» des mosquées et des églises », a rapporté le quotidien hébreu « Yediot Aharonot ».
Les participants dans la marche ont levé les drapeaux palestiniens et des bannières de contestation intitulées : "Nous sommes ici devant vous, si cela ne vous plait pas, vous n’avez qu’à quitter notre ville", "quiconque ne peut nous expulser de notre Terre Sainte».
Ajoutant :«Nous ne vous demandons pas l’autorisation quand et comment nous allons prier », tout en condamnant le comportement des occupants raciste en combinant soi-disant «Ondormida Hill »  et ont scandé demandant l'expulsion ce groupe extrémiste sioniste.
Les occupants se trouvaient dans l'un des logements de communautés sionistes moderne qui est «Ondormida Hill" donnant le port de « Jaffa », qui est habitée par des Juifs riches, ont déposé une plainte alléguant un préjudice de sons forts émanant des mosquées et des églises, en particulier la mosquée de "Siksik» et «Jabaliya", ainsi que la cathédrale de « Saint George » dans la ville, prétendant qu'elles perturbent le calme dans la ville.
Selon des sources médiatiques sionisme, des « Imams » des mosquées de la ville ont été convoqués par des policier d’environnement sioniste, après que des habitants sionistes du projet raciste sioniste ont déposé plainte en raison de leur «consternation» de la voix d’appel à la prière « Athan », alors que des policiers se présentaient à plusieurs reprises à la Cathédrale de «Saint Georges» dans le la ville, à la demande au prêtre de couper le son au moment de l'exécution de prières, et cela basé sur une plainte similaire du même côté.