vendredi 22 octobre 2010

Al-Assad: "Israël" n'a aucun intérêt, ni capacité à réaliser la paix

[ 20/10/2010 - 12:19 ]
Damas – CPI
Bachar al-Assad, président de la Syrie, a affirmé que l'occupation sioniste ne veut pas et ne pourrait pas réaliser la paix, soulignant que la paix juste et globale est celle qui assure la sécurité et la stabilité dans la région.
Al-Assad a mis en garde, le mardi 19/10, des résultats dangereux de la loi raciste sioniste qui se nomme "la Loi de la Citoyenneté" approuvée par le gouvernement sioniste et stipule de modifier l'actuelle loi pour contenir le" serment d'allégeance" à l'entité occupante sioniste.
A l'issue de sa rencontre avec une délégation de l'organisation des "Sages", le président Al-Assad a félicité les efforts prodigués par l'organisation pour faire connaître la réalité de ce qui se passe en Palestine occupée, appelant à des efforts concertés pour forcer la communauté internationale d'assumer ses responsables à mettre fin aux violations sionistes continuelles et à la tragédie quotidienne du peuple palestinien.
Il a affirmé également la nécessité de la réalisation de la réconciliation palestinienne et l'importance d'accentuer les efforts pour aider le peuple palestinien à la réaliser.
La délégation de l'organisation des "Sages" qui a visité la Bande de Gaza avant son arrivée à Damas, a expliqué à al-Assad ce qu'elle a vu des situations catastrophiques du peuple palestinien à cause du sévère embargo sioniste inhumaine y imposé depuis plus de 4 successifs.
Notons que l'Organisation des "Sages" est une Association indépendante qui travaille pour mettre fin aux conflits dans le monde entier et se compose des célèbres personnalités politiques dont l'ancienne présidente de l'Irlande et l'ancienne haut-Commissaire des nations unies aux droits de l'homme, Marry Robinson, l'ancien président américain, Jimmy Carter, l'activiste indienne aux droits des femmes et la fondatrice de la Self-Employed Women's Association (SEWA), Ela Bhatt, et l'ancien ministre égyptien des affaires étrangères, et l'ancien émissaire de l'ONU, Lakhdar Brahimi.