Mis à part les festivités en grandes pompes pour célébrer l’usurpation de la Palestine, (présentée comme jour de l'indépendance), les discours officiels sur la supérioté militaire israélienne n'ont pu apaiser les appréhensions israéliennes internes sur l’avenir de l’entité sioniste .
Dans un article publié par le Haaretz, Avi Issacharof et Amos Harel se sont inquiétés des avertissements lancés par certains dirigeants arabes sur un imminent embrasement de la situation régionale.
L’article s’arrête surtout sur les derniers propos du roi Abdallah de Jordanie lequel est considéré comme l’un des amis d’Israël. Dans un entretien accordé au « Chicago Tribune » la semaine dernière, il avait mis en garde contre une guerre régionale imminente cet été, si les pourparlers de paix entre Palestiniens et Israéliens restent bloqués. Le souverain hachémite avait déclaré craindre que « les pays modérés signataires de traité de paix avec Israël qui devront se rencontrer le mois de juillet prochain ne soient contestés par tout le monde. »
Selon les deux chroniqueurs du Haaretz, quoique les frontières de l’entité sioniste n’aient jamais été aussi calmes, la conjoncture régionale présente une situation inédite, propice à l’embrasement.
Le journal stigmatise surtout « la combinaison de la montée en puissance militaire de l'Iran, de la Syrie et « des divers groupes terroristes qui tournent autour » ainsi que « la paralysie diplomatique qui a saisi le gouvernement Netanyahu et la crise douloureuse avec Washington ».
« Tous des signes de mauvais augure pour Israël », estime le journal qui énumère les scénarios d’éclatement : soit une troisième intifada, « comme étant le résultat d’un mouvement spontané, ou de pressions extérieures » ; soit une éruption en Cisjordanie, vu que le Premier ministre Salam Fayad a déclaré vouloir proclamer l’état palestinien unilatéralement en 2011 ; soit par un embrasement à la frontière nord avec le Hezbollah.
A cet égard, il rapporte les propos du monarque jordanien qui a évoqué des certitudes libanaises sur l’inévitabilité de la guerre.
Dans un article publié par le Haaretz, Avi Issacharof et Amos Harel se sont inquiétés des avertissements lancés par certains dirigeants arabes sur un imminent embrasement de la situation régionale.
L’article s’arrête surtout sur les derniers propos du roi Abdallah de Jordanie lequel est considéré comme l’un des amis d’Israël. Dans un entretien accordé au « Chicago Tribune » la semaine dernière, il avait mis en garde contre une guerre régionale imminente cet été, si les pourparlers de paix entre Palestiniens et Israéliens restent bloqués. Le souverain hachémite avait déclaré craindre que « les pays modérés signataires de traité de paix avec Israël qui devront se rencontrer le mois de juillet prochain ne soient contestés par tout le monde. »
Selon les deux chroniqueurs du Haaretz, quoique les frontières de l’entité sioniste n’aient jamais été aussi calmes, la conjoncture régionale présente une situation inédite, propice à l’embrasement.
Le journal stigmatise surtout « la combinaison de la montée en puissance militaire de l'Iran, de la Syrie et « des divers groupes terroristes qui tournent autour » ainsi que « la paralysie diplomatique qui a saisi le gouvernement Netanyahu et la crise douloureuse avec Washington ».
« Tous des signes de mauvais augure pour Israël », estime le journal qui énumère les scénarios d’éclatement : soit une troisième intifada, « comme étant le résultat d’un mouvement spontané, ou de pressions extérieures » ; soit une éruption en Cisjordanie, vu que le Premier ministre Salam Fayad a déclaré vouloir proclamer l’état palestinien unilatéralement en 2011 ; soit par un embrasement à la frontière nord avec le Hezbollah.
A cet égard, il rapporte les propos du monarque jordanien qui a évoqué des certitudes libanaises sur l’inévitabilité de la guerre.