Scud, pas de Scud, (de la Syrie au Hezbollah). Bombe nucléaire, pas de bombe nucléaire iranienne. Guerre, pas de guerre. Américains et Israéliens s’alternent à souffler le chaud et froid sur le Proche Orient. Propageant des informations, puis les contester, proférant des accusations, puis se rétracter.
Il en fut ainsi dernièrement avec l’affaire des Scud. Après avoir causé tout un tapage sur la livraison par la Syrie de ces missiles à longue portée au Hezbollah, la présentant comme un fait sûr et certain, ( jusqu’à l’évoquer lors d’une séance au Congrès), les deux alliés indéfectibles ont feint une marche arrière.
Les Israéliens, en procédant par la voix d’experts (rapportés par le Haaretz) à minimiser l’importance des Scud dans l’arsenal du Hezbollah, arguant que celui-ci détient un armement beaucoup plus nuisible. Tandis que des responsables américains, (rapportés par la Reuters) ont reproché à cette information l’absence d’indices.
Il en fut ainsi dernièrement avec l’affaire des Scud. Après avoir causé tout un tapage sur la livraison par la Syrie de ces missiles à longue portée au Hezbollah, la présentant comme un fait sûr et certain, ( jusqu’à l’évoquer lors d’une séance au Congrès), les deux alliés indéfectibles ont feint une marche arrière.
Les Israéliens, en procédant par la voix d’experts (rapportés par le Haaretz) à minimiser l’importance des Scud dans l’arsenal du Hezbollah, arguant que celui-ci détient un armement beaucoup plus nuisible. Tandis que des responsables américains, (rapportés par la Reuters) ont reproché à cette information l’absence d’indices.
Avant cette affaire, une autre avait fait l’objet d’une campagne similaire : celle des systèmes anti aériens soupçonnés d’avoir été livrés à la résistance libanaise par Damas ou Téhéran, et qui a fait couler beaucoup d’encre sur la fin de la supériorité militaire aérienne israélienne, principal atout de force israélienne.
A l’instar de l’affaire des Scud, les menaces à la Syrie et à l’Iran n’ont pas tardé à venir et avec, les spéculations sur l’éclatement d’une guerre à dimension régionale. Puis, tout comme, petit à petit, elles se sont estompées alors que les informations premières étaient écartées ou négligées.
La récurrence de ces scénarios non fondés ne peut laisser impassible et posent des interrogations quant à leurs véritables visées.
Sachant que leur thème touche particulièrement aux livraisons d’armement entre les quatre parties du camp de la résistance (Téhéran, Damas, Hezbollah et Hamas). Ce qui laisse croire que c’est bien là que le mat blesse, au moment où la menace contre l’entité sioniste est plus bien réelle.
Concernant le mouvement de résistance palestinien, l’ont constate que les rumeurs se font de plus en plus rares, depuis que les égyptiens ont été ralliés à un durcissement des mesures de contrôle tout au long de la frontière avec la bande de Gaza, par le biais de la barrière de fer en cours de construction.
En revanche, elles sont propulsées avec une assiduité persistante sur les autres fronts où les tentatives de contrôle ont échoué.
Régulières, sans jamais être étayées, les informations relayées parfois par des médias sérieux suggèrent des armements dont leur obtention ferait bouleverser la donne en faveur des parties de la Résistance. (Souvent, elles surviennent après un discours virulent d’un dirigeant de cet axe. Dont celui du secrétaire général du Hezbollah Sayed Hassan Nasrallah).
Elles sont par la suite suivies par des mises en garde belliqueuses, qui semblent vouloir tenir en laisse la partie harcelée, (en l’occurrence au camp de la résistance), lui faisant croire qu’elle est sous haute surveillance, et donc sous haute pression. Question de la terroriser et d’encombrer son réel approvisionnement et se préparatifs. Jouant le jeu de la guerre.
Mais en laissant libre cours aux démentis et dénis, la tension est baissée, question d’apaiser le public interne (en l’occurrence israélien). C’est là le jeu de la paix.
Entre guerre et paix, c’est là que se placent l’affaire des Scud, celle des systèmes antiaériens, voire même celle du nucléaire iranien et celle de toutes les autres affaires qui ont éclaté puis se sont estompées. Pour céder la place… Jusqu'à quand??
A l’instar de l’affaire des Scud, les menaces à la Syrie et à l’Iran n’ont pas tardé à venir et avec, les spéculations sur l’éclatement d’une guerre à dimension régionale. Puis, tout comme, petit à petit, elles se sont estompées alors que les informations premières étaient écartées ou négligées.
La récurrence de ces scénarios non fondés ne peut laisser impassible et posent des interrogations quant à leurs véritables visées.
Sachant que leur thème touche particulièrement aux livraisons d’armement entre les quatre parties du camp de la résistance (Téhéran, Damas, Hezbollah et Hamas). Ce qui laisse croire que c’est bien là que le mat blesse, au moment où la menace contre l’entité sioniste est plus bien réelle.
Concernant le mouvement de résistance palestinien, l’ont constate que les rumeurs se font de plus en plus rares, depuis que les égyptiens ont été ralliés à un durcissement des mesures de contrôle tout au long de la frontière avec la bande de Gaza, par le biais de la barrière de fer en cours de construction.
En revanche, elles sont propulsées avec une assiduité persistante sur les autres fronts où les tentatives de contrôle ont échoué.
Régulières, sans jamais être étayées, les informations relayées parfois par des médias sérieux suggèrent des armements dont leur obtention ferait bouleverser la donne en faveur des parties de la Résistance. (Souvent, elles surviennent après un discours virulent d’un dirigeant de cet axe. Dont celui du secrétaire général du Hezbollah Sayed Hassan Nasrallah).
Elles sont par la suite suivies par des mises en garde belliqueuses, qui semblent vouloir tenir en laisse la partie harcelée, (en l’occurrence au camp de la résistance), lui faisant croire qu’elle est sous haute surveillance, et donc sous haute pression. Question de la terroriser et d’encombrer son réel approvisionnement et se préparatifs. Jouant le jeu de la guerre.
Mais en laissant libre cours aux démentis et dénis, la tension est baissée, question d’apaiser le public interne (en l’occurrence israélien). C’est là le jeu de la paix.
Entre guerre et paix, c’est là que se placent l’affaire des Scud, celle des systèmes antiaériens, voire même celle du nucléaire iranien et celle de toutes les autres affaires qui ont éclaté puis se sont estompées. Pour céder la place… Jusqu'à quand??