L’entité sioniste avait, dans les heures suivant l’annonce bidonnée de son enlèvement, procédé à une recrudescence des frappes punitives qui ont tué plusieurs dizaines de civils supplémentaires, femmes et enfants compris :
Le secrétaire général de l’ONU, l’inquiétant Ban Ki Moon, visiblement peu à la hauteur de ses fonctions, et le Prix Nobel de la Paix et Président des Etats-Unis, en plein naufrage, avaient relayé aveuglément ce bobard mortifère propagé par la propagande sioniste, alors même que les Autorités Palestiniennes réfutaient tout enlèvement…
La sur-enchère militaro-médiatique n’ a
fait qu’empirer la situation déjà dramatique dans le ghetto de Gaza…
alors que tout n’était que mensonge invérifié, puisque le soldat
sioniste était bel et bien mort, pris lui aussi dans le tourbillon de
mort imposé dans le secteur par les Illuminatis.
Que les âmes sensibles, les droits de
l’Hommistes politiquement corrects (qui ne s’emmerdent pas à réfléchir
par eux-même) et les Obamaniaques se rassurent :
Ce mensonge mortel n’empêchera pas le moins du monde « nos » valeureux super-dirigeants de dormir, n’en doutons pas.
D’ailleurs ils ont une circonstance
atténuante : ces tristes marionnettes ne faisaient, ici comme ailleurs,
que relayer tels des perroquets bien appliqués, la propagande de leurs
(puissants) Maitres…
Mais comme un mensonge n’arrive jamais
seul : les circonstances de sa mort sont elles aussi la proie de la
propagande sioniste : la disparition de son corps est « due à un attentat suicide », affirment sans broncher les fameux relais pro-NWO dans la presse
alignée, alors qu’en réalité, tout porte à croire que le soldat a été
victime d’un tir collatéral de Tsahal, dans cette guerre urbaine
inextricable.
Un « dommage collatéral » terrible, qui
l’aurait réduit en poussière en une fraction de secondes, comme tant
d’autres victimes manipulées par les intérêts profonds.
