jeudi 13 mai 2010

Haniyeh: notre peuple palestinien hérite l'attachement à ses principes

[ 12/05/2010 - 17:27 ]
Gaza – CPI

Le premier ministre palestinien, Ismaïl Haniyeh, a affirmé que le peuple palestinien a pu à travers de sa lutte et sa volonté trés solide de conserver les factuers de la force et la strabilité devant la politique d'expulsion et de la judaïsation.

Haniyeh a insisté que son gouvernement travaille pour retourner la question palestinienne à sa situation profonde arabe et islamique.
Lors de sa rencontre avec les hauts responsables et célèbres personnalités de Gaza dans le siège de son bureau, dans la ville, Haniyeh a dit, le mercredi 12/5, que personne ne peut renoncer à l'un des droits du peuple palestinien, plus particulièrement au droit de retour de tous les réfugiés palestiniens, durant cette étape ou à l'avenir, tout en affirmant l'attachement de son gouvernement à toute la Palestine, en indiquant que le peuple palestinien refuse de reconnaitre  l'occupation sur ses territoires occupés.
"Le peuple palestinien est le titulaire des clés de ses maisons confisquées par l'occupation, il a pu sauvegarder cet héritage ( ses documents et propriétés) en l'offrant d'une génération à une autre malgré tous les complots visant à le dédommager ou l'ignorer" a-t-il souligné.
Haniyeh a condamné fortement la décision de la reprise des négociations sous l'ombre de la colonisation et de la judaïsation continuelles dans les territoires palestiniens, en considérant qu'elles représentent la couverture de la continuation du blocus imposé contre la Bande de Gaza et l'enlèvement des palestiniens partout.
Il a attiré l'attention que la résistance représente le seul moyen pour libérer les territoires et récupérer les droits.
Le premier ministre palestinien a précisé que son gouvernement essaye toujours à réaliser l'unité nationale et à mettre fin au dossier des désaccords à travers la présentation de certaines propositions qui aident à accomplir ce but en déclarant que le veto américain et les positions étrangères paralysent le consensus.