vendredi 17 décembre 2010

Les policiers sionistes agressent les propriétaires d’une boutique à al-Qods occupée

[ 16/12/2010 - 11:15 ]
Al Qods occupée-CPI
Les forces de l’occupation israélienne ont envahi la nuit dernière, de mercredi 15/12, une boutique dans la ville sainte d’al-Qods occupée, en endommageant ses contenus et agressant cruellement ses propriétaires et ses ouvriers, ce qui a conduit à la fracture du pied du fils du prioritaire et l’arrestation des ouvriers.
« Six policiers alliés à une unité spéciale de la soi-disant « anti-terrorisme » (Yamam ) ont endommagé le contenu du magasin palestinien cassant le pied du fils du propriétaire et arrêtant les ouvriers, car les deux frères de « Moataz », 17 ans,  ont demandé au conducteur de l'autobus transportant les troupes sionistes d’avancer un peu de l'entrée de la boutique où un camion voudrais déposer une charge, au moment où la police israélienne fait revivre une fête dans (la grotte de Salomon), près de la Porte de Damas (al-Amoud), car l’autobus s’installait sur l’entrée de la boutique, mais le conducteur les a appelés  pour perpétrer leur crime hystérique », a souligné Mahmoud Barakat l’un des fils du propriétaire.
Le témoin a souligné également que les envahisseurs criminels sionistes ont frappé brutalement son frère, Ahmed qui souffre d’une paralysie en raison d’un accident de route, en cassant son pied droit au cours de leur agression.
« Les policiers agresseurs ont cassé les caméras fixés afin de cacher leur crime barbare », a ainsi poursuivi « Mahmoud», affirmant que malgré l’intervention de certains voisins pour empêcher les policiers à lui agresser et leurs expliquer qu’il est une personne paralysée, mais ils ont commis leur crime en lui causant une fracture.
Le membre de la famille (Mahmoud) a également ajouté que la police a interdit la présence des 4 témoins, ainsi la famille de rendre visite à ses deux frères (Moataz et Ahmed) ou de transférer son frère paralysé à l’hôpital, soulignant que la police sioniste a aussi refusé tout témoignage en prétendant que les témoins doivent se diriger avec les policiers vers l’unité d’enquête « Maash » s’ils voudront vraiment porter plainte.