dimanche 3 octobre 2010

Terrorisme Judéo Nazi Sioniste : Dans L’Armée Israélienne Les Soldats Se Surnomment Escadron Mengele, Unité Auschwitz, Demjanjuk…

Samedi 2 Octobre 2010
En 1989, un an environ après le début de la 1ère Intifada un article d’Avi Benayahu - l’actuel porte parole de l’armée israélienne - publié dans un journal de gauche ayant depuis cessé de paraître, Al Hamishmar, rapportait qu’un groupe de soldats israéliens stationnés à Ramallah s’étaient eux-mêmes surnommés « l’escadron Mengele ». Cet escadron Mengele, une unité d’infanterie, opérait en Cisjordanie occupée où les soldats israéliens avaient l’habitude de frapper les Palestiniens, de piller, en fait d’abuser quotidiennement et odieusement de la population civile palestinienne.
Peu après cette publication, le quotidien Haaretz a lui-même publié un article de son correspondant, Dan Segir, interviewant un sous commandant d’une unité de véhicules blindés ayant servi à Jenin au début de l’Intifada. Cet homme, fils de rescapés du génocide juif par les Nazis, a déclaré :
«Dans le bataillon on nous connaissait comme une unité de tueurs...Nous étions pour une solution agressive. Nous avons essayé de tirer en utilisant tous les moyens, nous avons injecté du gaz dans des écoles d’où on nous lançait des pierres. Dans le bataillon on nous connaissait comme étant « l’Unité Auschwitz » ou « Demjanjuk » car nous utilisions énormément le gaz «.
Deux ans plus tard, un jeune officier, Ari Shavit, a publié ses impressions après une période de réserve de 12 jours effectuée au camp de détention d’Ansar sur la côte de Gaza. Il évoquait notamment les associations faites par lui et d’autres soldats avec des camps allemands.
« Le camp a 12 tours de garde certains des soldats sont choqués de la ressemblance entre ces tours et d’autres tours dont on leur a parlé pendant leur enfance… Certains soldats osent même être encore plus explicites, l’analogie, bien que sans fondement, était constamment présente, et les soldats utilisaient machinalement des termes qui ne laissaient aucune place à l’imagination
« Quand R. voit une colonne de prisonniers approcher emmenés à la pointe des M16, il dit d’une voix complètement calme, d’un ton d’affaire courante « Maintenant l’Aktion commence » et N. un Likudnik acharné le contraire d’un sentimental se plaignait à qui voulait l’entendre de ce qui faisait que cet endroit ressemblait à un camp de concentration. »

Parmi ceux que la soldatesque sioniste amenaient à ce camp il y a avait des enfants de 15 16 ans battus couverts de bleus. Le médecin de l’armée était dans certains cas sollicités pour « réparer ce qu’un interrogateur enthousiaste avait fait aux membres d’un suspect. »
A peu prés à la même époque, un autre jeune officier israélien, Chen Alon, qui avec ses soldats accompagnaient le Shin Bet (sécurité intérieure) lorsqu’il procédait aux arrestations qui remplissaient inlassablement le camp de Gaza, a décidé de signer « la lettre des combattants » (2002) et de révéler un secret qui le hantait depuis sa période de conscription. Dans un témoignage fait aux réalisateurs du film «On The Objection Front « (2004), Alon a dit :
«En tant que gamin de 19 ans cela ne semble pas terrible de pénétrer chez quelqu’un. Mais quand vous faite votre vie que vous avez une maison à vous et que vous discutez une heure pour décider où mettre telle photo et où placer les objets, alors brusquement la pensée surgit que quelqu’un va frapper à votre porte et que vous devrez ouvrir et que 10 animaux comme moi vont entrer et chacun d’eux va donner un coup de pied dans une chaise, vider les placards, ouvrir une porte, tout jeter par terre, vous dire « ouvrez cette porte » vous demander « c’est quoi ces papiers » ? » Et cela peut arriver n’importe quel jour, à n’importe quelle heure, au milieu de la nuit, en milieu de journée, n’importe quand quelqu’un peut pénétrer chez vous sans aucune permission, sans autorisation. Juste parce qu’il se sent de le faire, et même s’il ne se sent pas de la faire - parce qu’il doit le faire. Parce qu’il a reçu l’ordre de pénétrer dans les maisons deux fois pendant la patrouille. C’est une pensée intolérable.
« Je me souviens qu’on nous a emmené à Dir al-Balah dans la (Bande de Gaza).C’était en 1990. Le premier ou deuxième jour, on a jeté sur nous un cocktail Molotov. A partir de cela tout était justifié c’est comme cela que nous l’avons ressenti, tout était justifié, ce que je veux dire c’est que pour nous nous devions certainement nous défendre nous -mêmes. Chaque patrouille était faite les yeux grands ouverts et plus violente que ce qui avait été planifié, plus intensive, là nous étions maintenant en guerre. Je me souviens d’avoir reçu un ordre d’opération - je ne me souviens pas précisément quand, mais après deux ou trois jours - qu’une arrestation devait avoir lieu. C’était l’une des premières arrestations que j’exécutais. Vous accompagnez quelqu’un du Shin Bet. C’était comme si on était dans un film de James Bond.
« Ce dont je mes souviens le plus clairement de cette nuit c’est le calme horrible qui régnait là bas. Ma tâche c’était de positionner toutes les forces qui encerclaient la maison et se trouvaient sur le toit et de rentrer avec un agent du Shin Bet pour faire sortir l’homme terrifié recherché. Je me souviens seulement que le type du Shin Bet leurs murmuraient toutes sortes de choses en arabe et que j’ai pénétré avec lui une pièce après l’autre dans la maison. Nous sommes entrés dans une pièce et il a tiré un gamin, peut être de 9 ans, 10 ans du lit, il ressemblait à un petit enfant. C’était tout, nous sommes partis. Il régnait un sentiment comme si rien ne s’était passé car tout était calme, nous n’avons pas échangé un mot entre nous, nous n’avons pas échangé un mot avec le type du Shin Bet, il ne leur a pas parlé, nous ne leur avons pas parlé. Donc c’était une action au cours de laquelle aucun mot n’a été prononcé de part et d’autre. Cela a été fait dans le calme….
« J’ai raconté ce qui s’était passé là bas au commandant du bataillon. Personne n’était effaré, c’était une histoire parmi tant d’autres. Et simplement pour rire, alors que j’essayais de m’endormir, il est venu, a ouvert le haut de mon sac de couchage et m’a sifflé : « Nazi ! ! Puis l’a refermé. C’était une plaisanterie habituelle entre nous. »

Des témoignages comme cela sur ce MAL ABSOLU Sioniste qui sévi en Palestine occupée il y en a des centaines dont un grand nombre ont été rassemblés par l’organisation « Breaking The Silence » qui recueille et diffuse ce type de témoignages et commentaires des soldats israéliens ayant servi dans les territoires occupés.
Tous ces actes commis par la soldatesque israélienne sont des actes ignobles qui font régner la terreur de l’arbitraire pour semer l’effroi au sein des populations civiles palestiniennes empêcher toute forme de résistance, imposer une soumission totale aux populations vivant sous occupation.
C’est cet arbitraire absolu qui a été dénoncé par ceux qui ont été victimes du terrorisme Nazi notamment dans le film bien connu « La Liste de Schindler ».
C’est aussi ce terrorisme de l’arbitraire qu’essaie d’implanter en France en manipulant la Justice avec la complicité de la Sarkochienlit Sammy Gozlan er sa clique de serviteurs du Judéo Nazisme Sioniste en intentant des procès à quiconque participe à la campagne de Boycott d’Israël et agit sur le terrain pour développer cette campagne.
Mais le TERRORISME des Gozlan et consorts est voué à l’échec.
Détourner la Justice française à des fins terroristes sionistes aura un effet boomerang et se retournera contre ce raciste et diffamateur.
« Par La Tromperie » la devise de l’officine (Mossad) pour le compte de laquelle Gozlan - c'est lui-même qui l'affirme- et toute sa clique d’agents du Judéo Nazisme Sioniste oeuvrent ne s’inscrira JAMAIS sur le fronton de nos Palais de Justice. 
Myriam Abraham
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