mardi 31 août 2010

Israël s’accapare la Méditerranée : découverte d’un nouveau champ pétrolier

30/08/2010  
Il semble que les richesses pétrolières de la mer Méditerranée n’appartiennent qu’à« Israël ». Ce dernier ne rate aucune occasion de profiter de chaque goutte de pétrole présente dans les eaux internationales. 
Dans ce contexte, l’entité sioniste a annoncé, dimanche, que le champ « Levitan » situé au large de la côte libanaise et palestinienne, contient en plus du gaz, des milliards de barils de pétrole.   
Les entreprises américaines et israéliennes chargées du forage dans le champ « Levitan », ont estimé à 3 milliards de barils de pétrole les réserves dans ce champ.  
Selon ces entreprises, dont à leur tête, la société américaine « Nobel Energy », la possibilité d’extraire le pétrole de ce champ atteint les 17 %, ajoutant que l’exploration effective aura lieu cet octobre. 
Toujours selon cette source, il y a une forte probabilité d’avoir accès à 1.2 milliards de barils de pétrole, à une profondeur dépassant les 7200 m, c'est-à-dire sous les réserves de gaz déjà retrouvés. 
Cependant le cout du forage au large des côtes libanaises et palestiniennes a été estimé à environ 150 millions dollars.
Entre-temps, le quotidien israélien Haaretz a révélé que le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a proposé à son homologue grec, George Papandréou, de lui vendre du Gaz, après l’installation d’un pipeline reliant le champ de  « Levitan » à la Grèce.  
Le Haaretz a expliqué le retard des travaux dans ce champ par le fait que les entreprises chargés du forage exige de trouver un marché pour le Gaz avant son extraction.
Selon le Haaretz, « Israël » se trouve désormais devant deux choix :  
1-Exporter le gaz de Levitan en Europe, à travers des pipelines reliant l’entité sioniste à la Turquie ou bien à la Grèce.
2-L’entité sioniste devra avoir recours à la liquéfaction du gaz, ce qui nécessite la construction d’une installation spéciale à Chypre, sinon se servir des installations égyptiennes, avant de exporter le gaz à l’étranger.