Le commandant des forces de l’armée de l’air israélienne, Doron Ghabish, a déclaré que « les systèmes de défense aériens de l'armée israélienne sont incapables de fournir une protection adéquate contre des missiles sol-sol que possède la Syrie, l'Iran et le Hezbollah », a rapporté le quotidien israélien Haaretz !
Ghabish qui s’exprimait au cours d’une conférence internationale organisée pour la première fois en « Israël » sur la défense antimissile, a regretté que les systèmes de défense du pays soient incapables d’assurer une protection contre " la prolifération massive de ces missiles dans les pays de l'ennemi et parmi les organisations terroristes."
Toujours selon Haaretz les services de sécurité israélienne estiment que « c’est uniquement en 2014, que l'armée israélienne sera en mesure de s’opposer aux missiles de moyenne portée ! Autrement dit, « Israël » ne pourra assurer une protection adéquate de tout son territoire qu’après l'achèvement de la mise au point du système de défense antimissile national baptisé « Charfit Ksamim » (la baguette magique) !
Haaretz souligne que Ghabish s’est abstenu de parler des armes détenues par le Hezbollah, mais il a souligné qu’ «Israël » était profondément préoccupé par les missiles que possèdent l'Iran, la Syrie, et le Hezbollah : «C'est pour nous un véritable défi. La cartographie des menaces à laquelle nous sommes confrontés est d’une grande complexité et d’une grande variété, et le temps de riposte dont nous disposons est très court... Ainsi dans le cas des missiles, nous avons à prendre des décisions en quelques minutes, dans le cas des bombes les décisions doivent se prendre en quelques secondes ! Ce qui en terme militaire n’est pas une période de temps suffisante - mais nous devons agir avec sagesse et savoir sélectionner les cibles que nous devons toucher ».
De son côté, le président de la société d’industrie militaire, chargée du développement du système de défense antimissile nationale « Charfit Ksamim », Raphaël, a appelé les services de la sécurité nationale israélienne à accélérer le développement du système: «Les missiles seront dans le ciel intensément. Le nombre de missiles lancés contre nous sera important, et même s’ils sont de type traditionnel, il n’empêche que ce genre d’attaque provoquera de nouvelles menaces non-traditionnelles ! »
Enfin le président du département pour la défense au ministère de la Sécurité, Uzi Rubin, a appelé à vite achever le développement des capacités de défense aérienne à plusieurs niveaux, notant que «la prochaine guerre sera différente, car elle aura lieu à l’intérieur de l'Etat, et non seulement sur ses frontières, si nous réussissons à résister face à ce nouvel défi, nous aurions gagné ! »
Haaretz souligne que Ghabish s’est abstenu de parler des armes détenues par le Hezbollah, mais il a souligné qu’ «Israël » était profondément préoccupé par les missiles que possèdent l'Iran, la Syrie, et le Hezbollah : «C'est pour nous un véritable défi. La cartographie des menaces à laquelle nous sommes confrontés est d’une grande complexité et d’une grande variété, et le temps de riposte dont nous disposons est très court... Ainsi dans le cas des missiles, nous avons à prendre des décisions en quelques minutes, dans le cas des bombes les décisions doivent se prendre en quelques secondes ! Ce qui en terme militaire n’est pas une période de temps suffisante - mais nous devons agir avec sagesse et savoir sélectionner les cibles que nous devons toucher ».
De son côté, le président de la société d’industrie militaire, chargée du développement du système de défense antimissile nationale « Charfit Ksamim », Raphaël, a appelé les services de la sécurité nationale israélienne à accélérer le développement du système: «Les missiles seront dans le ciel intensément. Le nombre de missiles lancés contre nous sera important, et même s’ils sont de type traditionnel, il n’empêche que ce genre d’attaque provoquera de nouvelles menaces non-traditionnelles ! »
Enfin le président du département pour la défense au ministère de la Sécurité, Uzi Rubin, a appelé à vite achever le développement des capacités de défense aérienne à plusieurs niveaux, notant que «la prochaine guerre sera différente, car elle aura lieu à l’intérieur de l'Etat, et non seulement sur ses frontières, si nous réussissons à résister face à ce nouvel défi, nous aurions gagné ! »