mardi 19 octobre 2010

Zoabi : L’attaque féroce sioniste contre les Palestiniens 48 est couverte par les négociations

[ 18/10/2010 - 12:20 ]
Al-Qods occupée - CPI
Hanine Zoabi, la membre arabe dans la Knesset sioniste a considéré que la principale raison des agressions sionistes contre les Palestiniens dans les territoires occupés en 1948 est la continuation de l’équipe d’Abbas dans les négociations inutiles et les coordinations sécuritaires avec l'occupation.   
Zoabi a déclaré dans ses communiqués de presse que l’escalade des agressions sionistes violentes contre les palestiniens dans les territoires occupés en 1948 sont dues à son échec de nous convaincre du choix des négociations ou de nous démunir de notre identité, ce qui a poussé l’occupation à se pencher vers le renforcement de l'état juif pour pouvoir expulser les habitants autochtones.  
Elle a dit : «L’occupation n'a jamais reconnu notre identité et nos droits, et dans les meilleurs cas, elle nous considère comme des habitants qui doivent être domestiqués après l’annulation de leur identité, le pillage de leurs ressources et le vol de leur terre», en ajoutant :" cette situation est le résultat des négociations, notamment les accords d'Oslo».
Elle a poursuivi : "Le gouvernement de l'occupation ne donne aucune importance à l’amélioration des conditions de vie des palestiniens en Cisjordanie, mais se contente des négociations et coordinations sécuritaires avec l'autorité d'Abbas, alors qu’il continue d’imposer son blocus sévère contre les habitants de la Bande de Gaza, et ne se préoccupe plus des palestiniens dans les territoires occupés, tout en renforçant l'identité juive de l'Etat sioniste et ses frontières".  
Hanine  voit que la "loi de citoyenneté" exige une fidélité à l'Etat sioniste, ce qui signifie la reconnaissance des palestiniens à la légitimité de l’occupation, leur excuse de la Nakba et leur abandon à tout projet national, ainsi que la fermeture de toute occasion devant le retour des réfugiés, et la législation du racisme contre les arabes.
Elle a ajouté: «L'État de l'occupation a besoin des négociations qui le protègent des pressions extérieures et l'isolement international, au moment où ces pourparlers frappent la question palestinienne, et mettent fin aux réalisations politiques palestiniennes qui ont été accomplies pendant des dizaines d'années».
Enfin, elle a conclu que l'intérêt palestinien nécessite un retour aux références nationales réelles du peuple palestinien, ainsi que la réforme des institutions de l’OLP.