lundi 25 octobre 2010

L'occupation effectue 39 incursions et tue deux palestiniens durant une seule semaine

[ 24/10/2010 - 16:31 ]
Gaza – CPI
Un centre juridique a affirmé que l'entité sioniste perpètre des crimes de guerre contre le peuple palestinien et viole les droits principaux des citoyens ainsi qu'elle poursuit son sévère blocus et sans précédent, contre la Bande de Gaza pour la 5 année successif.
Le centre palestinien pour les droits de l'homme a dit que les forces occupantes ont poursuivi leur usage de la force excessive de façon programmée face aux marches de la protestation pacifique organisées par les civils palestiniens et les militants internationaux qui défendent les droits de l'homme contre le mur raciste sioniste et la colonisation et contre les tentatives sioniste d'imposer une zone d'isolement sécuritaire sur les frontières de la Bande de Gaza avec les territoires occupés en 1948.
Dans son rapport hebdomadaire publié le samedi 23/10, le centre a déclaré que les forces occupantes ont tué durant la période de 14 à 20 octobre 2010, deux résistants palestiniens dans la Bande de Gaza et ont blessé 3 civils Palestiniens dont un enfant, un homme âgé dans la Bande de Gaza alors que le troisième a été blessé en Cisjordanie occupée.
" Des dizaines de civils palestiniens et de militants internationaux ont été asphyxiés par le gaz lacrymogène lancé par les forces occupantes sur les manifestants de la protestation pacifique qui a été organisée dans plusieurs régions en Cisjordanie occupée", a-t-il poursuivi.
Le rapport hebdomadaire du centre palestinien des droits de l'homme a montré que l'occupation a effectué au moins 39 invasions dans la majorité des villes, villages et camps de la Bande de Gaza et de la Cisjordanie, arrêtant 7 civils palestiniens dont le membre du conseil législatif palestinien du bloc "changement et réforme", Dr. Hatem Khaficha, âgé de 50 ans.
Il a insisté que les forces occupantes délibèrent d'insulter et humilier les civile palestiniens et de les terroriser lors de leurs invasions dans leurs domiciles.