[ 04/05/2010 - 14:03 ] |
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Al Nassera - CPI Le service des renseignements sionistes internes «Chabak» a reconnu officiellement qu’il cible les solidaires internationaux qui soutiennent la question palestinienne, notamment en Cisjordanie occupée, en les accusant de participer à des manifestations populaires et pacifiques pour contester contre la politique d’apartheid de l’occupation. Le journal sioniste, Haaretz, a rapporté dans sa dernière édition que des responsables au Chabak ont reconnu qu'ils ont empêché l’activiste australienne, Brigitte Chapelle, de retourner à son pays, en la poursuivant et ramassant des informations sur elle, en l'accusant d’avoir participé à des protestations contre l'état de l’occupation. De sa part, l’avocat de l'activiste Chapelle a exprimé ses contentements, après que l’occupation a reconnu, en fin de compte, qu’elle contrôle et domine les régions prétendues sous le contrôle de l’autorité palestinienne, en indiquant que Chapelle réside dans le village de Birzeit, à Ramallah. Notons que Chapelle est une activiste australienne, militante au mouvement international de solidarité avec le peuple palestinien, et qui est entrée dans les territoires palestiniens, en août 2009, pour participer aux activités populaires et pacifiques contre les pratiques et violations de l’occupation israélienne, notamment le mur sioniste discriminatoire. |