La couverture du livre de Gabriel Enkiri « Et si l’Italie était la solution ? ».
Écrivain et journaliste français d'origine libanaise, défenseur de la thèse de l'établissement des Phéniciens en Bretagne (lire notre première édition du 5 novembre 2007), Gabriel Enkiri nous expose, dans son nouveau livre Et si l'Italie était la solution? (éditions lePublieur.com), une théorie pour une paix durable au Proche-Orient.
Ce livre propose une explication rationnelle qui modifie notre perception du problème israélo-palestinien, tout comme celle de notre propre histoire, la France ayant joué un rôle décisif, avec l'Union soviétique, dans la création de l'État hébreu en 1947-1948. Pour sauver la paix et imposer une solution négociée (la solution italienne ?) au cœur d'un conflit devenu planétaire, la France a besoin d'avoir à ses côtés l'Europe et tout le monde francophone qu'il est temps de rassembler dans un vaste ensemble de type confédéral.
Tout comme l'URSS, l'État sioniste est parvenu à un nouveau tournant de son existence. Et il va falloir négocier avec les nouveaux représentants du monde arabe, dans l'intérêt de tous au sein d'une confédération d'États associée à l'Europe et à l'Afrique par l'instauration d'un vaste marché commun reliant trois continents. Telle sera l'issue de l'actuel mouvement révolutionnaire arabe, l'auteur espérant que son livre ouvrira une perspective aux nouvelles générations assoiffées d'avenir.
Ce livre propose une explication rationnelle qui modifie notre perception du problème israélo-palestinien, tout comme celle de notre propre histoire, la France ayant joué un rôle décisif, avec l'Union soviétique, dans la création de l'État hébreu en 1947-1948. Pour sauver la paix et imposer une solution négociée (la solution italienne ?) au cœur d'un conflit devenu planétaire, la France a besoin d'avoir à ses côtés l'Europe et tout le monde francophone qu'il est temps de rassembler dans un vaste ensemble de type confédéral.
Tout comme l'URSS, l'État sioniste est parvenu à un nouveau tournant de son existence. Et il va falloir négocier avec les nouveaux représentants du monde arabe, dans l'intérêt de tous au sein d'une confédération d'États associée à l'Europe et à l'Afrique par l'instauration d'un vaste marché commun reliant trois continents. Telle sera l'issue de l'actuel mouvement révolutionnaire arabe, l'auteur espérant que son livre ouvrira une perspective aux nouvelles générations assoiffées d'avenir.