mercredi 24 février 2010

Une campagne pour préserver le cimetière de Jérusalem

mardi 23 février 2010 - 09h:18
PNN
Les autorités israéliennes construisent un "Centre pour la Dignité Humaine - Musée de la Tolérance" sur un ancien cimetière musulman à Jérusalem.
A. LE CIMETIERE DE MAMILLA : SON HISTOIRE ET SON IMPORTANCE
(JPG) Les pétitionnaires sont des individus dont les droits humains ont été violés par la destruction et la profanation d’un ancien cimetière musulman, le cimetière du Ma’man Allah (Mamillah) à Jérusalem, par le gouvernement d’Israël travaillant en conjonction avec le Centre Simon Wiesenthal ("CSW") de Los Angeles, Californie, Etats-Unis. Les pétitionnaires incluent aussi des organisations non-gouvernementales sur les droits humains, concernées par cette profanation. Une part significative du cimetière se fait détruire et des centaines de restes humains ont été profanés pour que le CSW puisse construire un équipement qui sera appelé le "Centre de la Dignité humaine - Musée de la Tolérance" sur le site musulman sacré.
Le cimetière de Mamilla est un terrain d’enterrement musulman depuis le 7ème siècle, quand les compagnons du Prophète Muhammad ont été enterrés là, selon la rumeur. Avant cela, c’était le site d’une église byzantine et d’un cimetière. Il est bien attesté que loger les restes des soldats et représentants du dirigeant musulman Saladin du 12ème siècle, aussi bien que des générations d’importantes familles et notables de Jérusalem. Les terrains du cimetière contiennent aussi de nombreux monuments, structures, et pierres tombales attestant de son histoire sacrée, incluant l’ancienne piscine de Mamilla, qui date de la période d’Hérode, ou du 1er siècle avant J.C. Depuis 1860, le cimetière a été clairement démarqué par des murs en pierre et une route entourant ses 134.5 dunums (environ 33 acres). L’antiquité du cimetière a été confirmée par le chef des fouilles assigné à la fouille du site du musée par l’Autorité des Antiquités israéliennes (AAI), qui a rendu compte que les plus de 400 tombes contenaient des restes humains enterrés ont été exhumés ou exposés durant les fouilles sur le site du musée, beaucoup datant du 12ème siècle. Son estimation est qu’au moins deux mille tombes supplémentaires restent sous le site du musée en 4 couches, la plus basse datent du 11ème siècle, ce qui vérifie aussi l’antiquité et l’importance du cimetière.
La signification du cimetière de Mamilla a été reconnue des des autorités successives. Il a été déclaré site historique durant le Mandat britannique par le Conseil musulman suprême en 1927, et comme un site d’antiquités par les Britanniques en 1944. Il a continué en usage actif comme un terrain d’enterrement le long de l’ère mandataire. En 1948, peu après que le nouvel Etat d’Israël ait taillé la partie ouest de Jérusalem, où Mamilla est situé, le gouvernement Jordanien s’est objecté à une quelconque profanation du cimetière. Le ministère des Affaires religieuses israélien a reconnu en réponse la grande importance de Mamilla pour la communauté musulmane dans un communiqué statuant :
"Mamilla est considéré comme l’un des cimetières musulmans les plus marquants, où 70 000 guerriers musulmans des armées de Salah al-Din al-Ayubi sont enterrés aux côtés de nombreux universitaires musulmans. Israël saura toujours protéger et respecter ce site."
En 1986, en réponse aux manifestations urgentes de l’Organisation de l’Education, Scientifique et Culturelle des Nations-Unies (UNESCO) au regard de la destruction de parties du cimetière de Mamilla, Israël a avoué qu’"aucun projet n’existe pour la profanation du site et qu’au contraire le site et ses tombes doivent être sauvegardés." En conséquence, le AAI lui-même a inclus Mamilla sur sa liste de "Sites Antiques Spéciaux" à Jérusalem, et l’a déterminé comme étant un site de grande valeur surtout, avec une "importance historique, culturelle et architecturale", sur lequel il ne devrait y avoir aucun développement, et qui devrait être réhabilité et maintenu.
Les déclarations antérieures des autorités israéliennes sont apparues comme reconnaissant le caractère sacré avec lequel les Musulmans voient leurs terrains d’enterrement, et le cimetière de Mamilla en particulier. La jurisprudence islamique tient en conséquence les sites d’enterrement pour être sanctifiés éternellement, et le déterrement de restes humains est clairement prohibé. Comme avec d’autres religions monothéistes, les rites et croyances associées avec la mort et l’enterrement font partie intégrante des pratiques religieuses et des croyances des Musulmans partout.
B. LA PROGRESSIVE PROFANATION DE MAMILLA PAR ISRAEL MET EN ECHEC SON OBLIGATION DE PROTEGER LES SITES SAINTS SOUS SON CONTROLE
La partie ouest de Jérusalem, incluant le cimetière de Mamilla, est venue sous le contrôle d’Israël en 1948. Ceci malgré la Résolution 181 de l’Assemblée générale des Nations en 1947, qui avait pour but de créer un corps international séparé pour Jérusalem et de s’asurer de la protection de tous les lieux saints. La résolution spécifiait que "des droits existants au respect des Lieux Saints et bâtiments religieux ne doivent pas être niés ou affaiblis", et que "les Lieux Saints sont des bâtiments religieux ou des sites qui doivent être préservés. Aucun acte ne sera permis qui d’une quelconque façon affaiblit leur caractère sacré." Le 9 décembre 1949, l’Assemblée Générale des Nations Unies, dans la résolution 303 (IV), a redéclaré son intention que "Jérusalem devrait être placée sous un régime international permanent, qui devrait envisager des garanties appropriées pour la protection des lieux saints, en-dehors et à l’intérieur de Jérusalem..." En 1967, après avoir occupé le reste de Jérusalem, Israël a fait passer la Loi des Lieux Saints, qui prétend protéger les sites religieux des violateurs.
Malgré la susdite loi, le gouvernement israélien, pendant plusieurs décennies, a progressivement empiété sur le cimetière avec la construction de routes, bâtiments, parkings et parcs. Israël a ignoré les manifestations répétées de Jérusalémites et autres Palestiniens (aussi bien que Juifs et autres) contre ces profanations, ce qui incluait des appels de corps internationaux comme l’UNESCO. Amir Cheschen, l’ancien conseiller des Affaires arabes du maire de Jérusalem Teddy Kollek de 1984 à 1994, qui possède un savoir de première main sur ces évènements, a confirmé l’histoire de la protestation, statuant que :
"Les parties prenantes islamiques, particulièrement à Jérusalem, aussi parmi la communauté musulmane à la fois en Israël et à l’étranger, n’ont jamais abandonné leur intérêt dans ce qui se passait dans le cimetière, de même que leur sensitivité à ce propos. Et ils ont toujours vu la construction qui a endommagé les tombes et les restes humains comme une violation de la sainteté et de leurs sensibilités religieuses."
La dernière incursion, et la plus outrageante pour les pétitionnaires et les autres, implique la construction du soi-disant "Centre pour la Dignité humaine - Musée de la Tolérance" par le CSW, avec le support du gouvernement Israélien. Ce projet de construction est le résultat d’un déterrement indigne et de la destruction de plusieurs centaines de tombes et de restes humains, le nombre exact et les places de ceux-ci sont actuellement inconnus, et il menace d’ériger un monument à la "Dignité humaine" et à la "Tolérance" au-dessus de milliers de tombes de plus. Cela s’est passé malgré l’opposition en cours de cette profanation par des individus palestiniens et des organisations, par de nombreux individus juifs et les organisations qui s’opposent moralement au projet, et malgré l’opposition du maire israélien actuel de Jérusalem, qui a du début recommandé vivement que le musée ne soit pas construit sur le site du cimetière de Mamilla.
Les pétitionnaires sont épuisé tous les moyens à leur disposition pour empêcher une plus profonde profanation de ce cimetière sacré, et d’où apporté le sujet de votre attention pressante, alors que la conduite d’Israël viole de façon éhontée la loi des droits humains universelle, comme décrite plus bas.
(JPG)
Le cimetière de Mamilla
C. LE TRAITEMENT DE MAMILLA PAR ISRAEL EST EN PARTIE UNE CAUSE DE NEGLIGENCE POUR LES SITES RELIGIEUX MUSULMANS
Les actions d’Israël sur le cimetière de Mamilla illustrent le dédain de l’Etat pour les croyances religieuses et spirituelles et les sentiments que les lieux saints engendrent parmi les Palestiniens et les Musulmans partout. La disparité dans le traitement des lieux saints juifs et non-juifs est clair. Il y a une inégalité marquée, par exemple, dans le traitement des restes juifs trouvés sur des sites de construction et ceux des non-Juifs. C’est illustré par le fait que les autorités religieuses juives sont immédiatement apelées quand l’on croit qu’il y a des restes juifs afin qu’ils reçoivent un traitement religieux approprié et que les fouilles soient stoppées. En contraste, comme pour le cas de Mamilla ou d’autres sites non-juifs connus pour être des cimetières musulmans, aucune autorité musulmane n’est consultée afin que les restes et le cimetière aient à faire avec la loi islamique. Comme l’a attesté Gideon Suleimani, le chef des fouilles nommé par l’Autorité des Antiquités israéliennes pour fouiller le site du musée sur Mamilla, "[Un représentant du ministère de la Religion] est venu au site et m’a dit, ’si un squelette Juif est trouvé, j’arrêterai les fouilles immédiatement’. Mais aucun reste juif n’a été trouvé et [il] n’a pas été inquiété." Cette attitude la part des autorités israéliennes, les pratiques discriminatoires la soulignant, est confimée par une étude récente sur le traitement des lieux saints non-juifs en Israël, qui documente plusieurs cas pour lesquels les autorités israéliennes ont continué des travaux de construction malgré la découverte de tombes musulmanes durant les projets de construction. La profanation actuelle de Mamilla est, ainsi, une partie d’une large cause d’irrespect, de dénigrement, et de profanation de l’héritage culturel, incluant des sites religieux comme les cimetières, des individus et groupes non-juifs par l’Etat d’Israël. Cette cause de discrimination a été discutée dans un récent compte-rendu par le rapporteur spécial sur la liberté de religion et de croyance, statuant que :
"Tous les 136 lieux qui ont été désignés comme lieux saints jusqu’à la fin de 2007 sont juifs et le gouvernement d’Israël a pour l’instant seulement résolu les régulations de la mise en oeuvre des lieux saints juifs."
Le rapport international sur la liberté religieuse du département d’Etat des Etats-Unis de 2009 a trouvé de façon similaire que :
"Le Gouvernement [d’Israël] met en oeuvre des régulations seulement pour les sites juifs. Les lieux saints non-juifs ne profitent pas de protection légale... parce que le gouvernement ne les reconnaît pas comme des lieux saints officiels... Pendant que des sites bien connus ont une protection de facto comme résultat de leur importance internationale, beaucoup de sites musulmans et chrétiens sont négligés, inaccessibles ou menacés par les développeurs de propriété et les municipalités."
Etant donné cette cause de discrimination, pas seulement au regard du traitement des lieux saints, mais dans toutes les facettes de la relation du gouvernement israélien avec les communautés musulmanes et chrétiennes sous son contrôle, ce n’est pas une surprise que les tentatives pour arrêter la profanation de Mamilla, légalement et autrement, aient été rebuffées par les autorités israéliennes.
D. EPUISEMENT DES REMEDES
De nombreuses possibilités ont été poursuivies en tentant d’arrêter le profanation actuelle du cimetière de Mamilla. Recourir à la justice israélienne a été vain. Bien qu’une pétition pour arrêter la construction présentée à la Cour israélienne musulmane Shari’a ait été acceptée, la Haute Cour israélienne l’a annulée, tenant que la Cour Shari’a manquait de juridiction. La Haute Cour a ordonné en dernier ressort, sur une pétition séparée, que la construction sur le cimetière soit légale.
De façon significative, depuis l’ordonnance de la Haute Cour en octobre 2008, on a révélé que la décision de la Haute Cour était basée sur de sérieuses malreprésentations faites par l’Autorité antique israélienne au regard de l’étendue des tombes et des restes humains situés sur le site et découverts durant les fouilles. En particulier, Gideon Suleimani, le chef des fouilles assigné par la AAI pour fouiller le site, a attesté que l’AAI a refusé de la Haute Cour de considérer sa décision que le site ne devrait pas être approuvé pour la construction. Cette conclusion était basée sur les faits que :
"- ses fouilles archéologiques terminées que dans 10% du site de l’entier project, pendant que dans les 90% restant du site, ’la fouille était suelement partiale ou préliminaire’ ; - un total de 250 squelettes ont été déterrés, certains d’entre eux de seconds enterrements, et 200 autres tombes ont été exposées mais pas fouillées ; - le site contient au moins 4 de plus encore non déterrés de restes de tombes Musulmanes datant au moins du 11ème siècle, avec 2000 tombes estimées reposant sous le site."
Au lieu de mettre en avant ces conclusions à la Haute Cour, l’AAI retenu le rapport de Suleimani et a soumis à la Cour qu’il n’y avait pas d’empêchements à la construction sur la plus grande partie du site, et l’a laissé pour la construction. L’ordre de la Haute Cour se ralliait en grande partie sur les présentations de l’AAI que seulement une petite partie du site du musée contenait la majorité des restes humains trouvés, que les fouilles étaient autrement complètes, et qu’"aucune donné scientifique ne restait", tout ce qui a contredit les découvertes du propre chef des fouilles de l’AAI, Suleimani. Sulaimani a depuis déclaré que l’AAI, "sous les pressions de la part des entrepreneurs et politiciens, a participé à la destruction d’un site archéologique de valeur", et que sa conduite constitue "un crime archéologique". Comme il l’a affirmé dans une interview : "Nous parlons de dizaines de milliers de squelettes sous la terre ici, et pas juste d’une petite douzaine".
Une pétition ultérieure pour annuler la décision de l’AAI de laisser le site à la construction, basée sur les révélations ci-dessus, a récemment été niée par la Haute Cour sur des terrains procéduraux très larges, nommément, qu’il n’y avait rien dans la seconde pétition de nouveau, et qu’elle ne pouvait donc pas reconsidérer sa décidions antérieure. Pendant que le rapport de Suleimani à l’AAI avait été soumis à la Cour durant des audiences sur la pétition antérieure, la Cour n’a pas adressé, comme elle avait échoué à le faire dans son premier jugement, les contradictions significatives entre le rapport de Suleimani et les informations fournies par l’AAI quant au progrès et aux résultats des fouilles sur le site. Pluôt, elle a réitéré la version de l’AAI des résultats, que le chef des fouilles Suleimani a attestée comme un "mensonge factuel et archéologique". Cela a montré une indifférence curieuse des faits qui auraient dus être centraux dans la décision de la Cour dans les deux jugements, nommément, que la construction du musée prenait place sur le site d’un ancien cimetière rempli de tombes musulmanes et de restes humains, qui ont été profanés dans le processus.
Cette décision, ensemble avec la décision de la Cour de 2008, illustre clairement le parti pris de la Cour en faveur de la construction du "Centre pour la Dignité humaine - Musée de la Tolérance" du CSW. Sa décision rend évident le fait que la Haute Cour, en gardant la justice israélienne dans un parti pris clairement en faveur des intérêts Juifs au-dessus de ceux des Palestiniens, voit les préréogatives du développement d’Israël comme plus importantes que de respecter les croyances religieuses et de préserver l’héritage culturel de ses populations musulmanes et chrétiennes comme minorité dédaignée.
Des possibilités informelles de convaincre les autorités israéliennes et les commanditaires américains du projet (le CSW) de considérer des placements alternatifs ont également été sans succès, et ont révélé la dureté des ces autorités pour les plaintes des Palestiniens et des Musulmans au regard de leurs droits et sentiments à propos de la profanation de leur cimetière.
Les pétitionnaires, ainsi, n’ont pas de recours à part la loi internationale des droits humains et les institutions tâchant de la soutenir, à qui cette pétition est soumise.
E. LES VIOLATIONS DE LOIS INTERNATIONALES
Construire le musée sur une portion du cimetière constitue une violation de nombreux droits humains internationaux, incluant :
-  Le droit de protection de l’héritage culturel et de la popriété culturelle, incluant des sites religieux tels que les cimetières, comme garanti par les instrumenst des droits humains internationaux comme la Convention de l’Héritage mondial de l’UNESCO, la Déclaration universelle des Droits humains (DUDH), la Convention internationale sur les Droits civiques et politiques (CIDCP) et la Convention internationale sur les Droits économiques, sociaux et culturels (CIDESC), et confortés par des protections de droit humanitaire internationale étendues, les principes desquels sont considérés comme principes de droit international.
-  Le droit de manifester des croyances religieuses, comme proposées dans la DUDH et la CIDCP.
-  Le droit de liberté contre la discrimination, comme installée quatrièmement dan la Convention sur l’élimination de toutes formes de discriminations raciales (CETFDR), la CIDCP et la CIDESC.
F. DEMANDES D’ACTION
A la lumière de ces violations, les pétitionnaires demandent les actions suivantes de la part des officiels et des corps adressés ici-bas :
Les pétitionnaires demandent que le rapporteur spécial sur la liberté de religion et de croyance, le rapporteur spécial sur les formes contemporaines de racisme, discrimination raciale, xénophobie et intolérance liée, et l’expert indépendant sur le terrain des Droits culturels demandent urgemment que le gouvernement d’Israël :
-  stoppe immédiatement de plus profondes constructions pour le Musée de la Tolérance sur le site du cimetière de Mamilla ;
-  documente et révèle aux pétitionnaires les emplacements de tous les restes humains et les oeuvres, aussi bien que les fragments archéologiques et les monuments exhumés dans la construction ;
-  recouvre et réenterre tous les restes humains où ils ont été trouvés originalement, en ccordination avec, et sous la supervision des autorités musulmanes compétentes à Jérusalem, et ;
-  déclare l’entier site historique du cimetière de Mamilla une antiquité, à être préservée et protégée dorénavant par ses gardiens légitimes, les autorités du Waqf musulman (dotation publique) à Jérusalem.
Basée sur le mandat conçu dans la résolution du Conseil des Droits humains le 21 octobre 2009, les pétitionnaires demande que le Haut Commissariat pour les Droits humains des Nations Unies considère cette plainte sur des bases urgentes et enquête et rende compte de la violation d’Israël des droits humain ci-dessus qui, ensemble avec d’autres actions israéliennes qui dégradent ou endomagent des sites religieux non-Juifs, constitue une cause de violations vulgaires des droits humains des Palestiniens et des Musulmans.
Les pétitionnaires demandent que le directeur général de l’UNESCO considère cette plainte à la lumière des résolutions de l’UNESCO existant sur le sujet et des violations des droits humains alléguées ici, et de coordoner les efforts avec les dirigeants des Nations-Unies sus-mentionnés pour que le cimetière de Mamilla, un site d’héritage culturel et religieux de grande valeur, soit protégé et préservé.
Les pétitionnaires demandent que le gouvernement de Suisse, dans sa capacité de dépositaire de la Quatrième Convention de Genève, considère ce problème dans le contexte de reprise de la Conférence des Hautes Parties contractantes à la Quatrième Convention de Genève.
22 février 2010 - PNN - écrit par Florence et traduction par Monique Poupon/PNN
 http://info-palestine.net/article.php3?id_article=8232