jeudi 14 janvier 2010

Le premier ministre turc s'en prend fortement contre l'entité sioniste et exige à réformer l'ONU

[ 12/01/2010 - 11:28 ]
Istanbul- CPI


Le premier ministre turc, Rajev Tayyeb Erdogan s'est pris fortement contre le gouvernement de l'occupation sioniste, en lui attaquant d'une manière plus ferme et l'accusant  de violations très flagrantes aux décisions des nations unies qu'avait humilié à travers la filtration de son aviation de guerre aux cieux du Liban et le bombardement continuel sur la bande de Gaza.
Lors d'une conférence de presse avec son homologue libanais, Saad Al Hariri, à Ankara, le lundi 11/1,   Erdogan, a déclaré que la Turquie ne restera plus immobile devant les violations de l'occupation israélienne aux décisions des nations unies, notamment contre le Liban et la bande de Gaza.
"Les ministre turcs vont mettre en garde le ministre sioniste de guerre, Ehud Barak,  des menaces contre le compromis international de paix , au cours de sa visite prévue à la Turquie la semaine prochaine", a souligné Erdogan.
"Pour quelle raison les bombes se jettent régulièrement sur la bande de Gaza? Prétendiez-vous que les trois martyrs assassinés récemment dans la bande, ont lancé des roquettes? Nous  surveillons la situation et il n'y a guerre du lancement de roquettes", s'est pris fortement Erdogan contre les violations des dirigeants de l'occupation israélienne.
Erdogan a considéré que l'occupation israélienne viole les lois, règles et chartes internationales, car elle croit qu'elle est le plut puissant dans la région et sait bien que les palestiniens ne possèdent pas ses armes développées.
Le premier ministre turc a appelé à la reforme indispensable des nations unies, citant que le gouvernement de l'occupation a violé plus de 100 décisions onusiennes ce qui reflète qu'elles n'avaient aucun intérêt chez elle ce qui  nécessite que l'Onu doivet être reformée pour mettre en vigueur ses décisions.
"On n'accepte plus une autre expérience  qu'elle soit, dans notre région, similaire de celle de l'Iraq, contre l'Iran, en confirmant que son pays ne soutient plus que l'Iran soit un pays nucléaire, en attaquant la politique de deux poids, deux mesures de la communauté internationale qui attaque l'Iran et oublie totalement l'arsenal nucléaire de l'occupation israélienne qui menace vraiment la région, en particulier après sa guerre barbare contre la population de la bande de Gaza qu'avait témoigné des armes interdites au niveau international dont le phosphore blanc", a souligné le haut responsable turc.