lundi 10 novembre 2014

La Jordanie confirme son attachement au traité de paix avec "Israël"

Le gouvernement jordanien a insisté sur son attachement au traité de paix signé avec "Israël", confirmant que son ambassadeur à Tel-Aviv va retourner après la fin des raisons de sa convocation relative aux violations à Jérusalem.
Le Premier ministre jordanien, Abdullah Nasour, a déclaré dans une conférence que la Jordanie a convoqué son ambassadeur à Tel-Aviv et non pas de lui retirer, considérant que la décision de convocation a été prise en son temps, et déclarant que ces mesures étaient prises au temps spécifique et il n'est pas raisonnable de les prendre toujours pour éviter de perdre leurs sens.
Nasour a considéré que la décision d'Amman de convoquer l'ambassadeur avait un grand impact politique, soulignant à cet égard au coup téléphonique du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avec le roi Jordanien, Abdullah II, et sa confirmation qu'Israël s'engage de respecter la souveraineté hachémite sur les lieux saints islamiques et de ne pas changer le statu quo dans la mosquée bénie d'el-Aqsa.
Il a insisté sur l'attachement de la Jordanie au traité de paix avec Israël, mais il a considéré que le respect de ce traité est du devoir de deux parties et non d'un seul côté.
En réponse aux appels populaires d'annuler le traité, Nasour a considéré que de prendre telle mesure aura des résultats politiques, militaires et de sécurité, en disant que celui qui veut d'annuler le traité doit posséder l'alternative, parce que le traité oblige Israël des comportements dans le cadre du droit international.
Il a déclaré que l'annulation du traité dans cette circonstance vécue par la nation est impossible, parce qu'elle a besoin des préparations, sinon la Jordanie sera en danger. Il a confirmé que l'annulation n'est pas proposée actuellement et que les mesures d'escalade prises par la Jordanie sont bonnes et suffisantes.
Le Premier ministre jordanien a critiqué les attaques israéliennes dans la ville occupée de Jérusalem et la mosquée bénie d'el-Aqsa et la Cisjordanie occupée, en s'interrogeant: "Est-ce que el-Aqsa est devenue dans le cadre du jeu électoral interne en Israël".
Il a considéré que ce qui s'est passé à Jérusalem n'est pas des erreurs administratives et les violations des extrémistes membres à la Knesset prouvent qu'il est un plan gouvernemental et des intentions claires pour changer les vérités en ce qui concerne les lieux saints, notamment la mosquée bénie d'el-Aqsa.