samedi 5 novembre 2011

Balfour : Une illusion qui se dissipe devant une résistance bénite

[ 04/11/2011 - 22:59 ]
Le deuxième jour du mois de Novembre, correspond à la souvenance, de la «  funeste déclaration de Balfour , plutôt «  promesse d’un nom possesseur à un non titulaire puisque la Bretagne a fait don de la Terre sacrée dont elle n’est pas propriétaire, aux juifs.
La grande Bretagne, n’est pas propriétaire de la Terre de Palestine pour faire acte de générosité et la livrer aux juifs errants.
Si du point de vue juridique, la déclaration est nulle est non avenue, tout ce qui en découle est aussi caduc ; donc l’édification de l’Etat d’Israël en Terre arabe de Palestine est une existence illégale et doit disparaître conformément à la règle de droit qui stipule que tout acte établi sur une base illégale est nul et non avenu, par conséquent toutes les initiatives de paix ou de défaite international ou arabe, rejoignent cette nullité et sont dépourvues de toute légitimité.
En cette souvenance funeste, pour le peuple palestinien et le monde arabe, nous essayons de sonder les opinions sur la possibilité pour la résistance palestinienne de faire dissiper cette promesse qui est devenue un rêve pour l’entité sioniste, tout comme elle à dissipé ses illusions de la légende de « l’armée invincible » dans le cadre de la Transaction «  loyalisme des libres » tout dernièrement.
Signes prometteurs importants :
L’analyste politique et en même temps écrivain Mustapha Saouaf, a affirmé que la règle d’usage avec l’occupant est la règle de la Résistance, ce n’est pas une situation particulière à la Palestine, c’est par contre un principe appliqué à toutes les formes et toutes sortes d’occupations, à n’importe quel endroit du monde, assurant qu’il n’y a aucune voie autre que la Résistance devant les palestiniens pour libérer leur territoire, leurs choses sacrées, et l’expulsion de l’occupant usurpateur.
Dans une déclaration exclusive ou CPI mercredi (2-11) Essaouaf a signalé que les changements dans les contrées au niveau régional, sont des signes annonciateurs importants et signifient que l’occupation finira par disparaître, évoquant des propos du martyr cheikh Ahmed Yassine, « le fort ne restera pas fort, tout comme,le faible ne restera pas faible et, les jours sont alternatifs».
L’analyste politique a confirmé, le proverbe arabe qui dit «  point ne se perd un droit réclamé par son titulaire » c’est cette volonté qui a maintenu la cause palestinienne en vie, et ceci signifie qui les possibilités de restitution des droits existent et sont plutôt réunies prenant à témoin, quelques exemples : libération du GAZA, Transaction d’échange et, la Résistance pathétique dans la bande de GAZA durant la dernière agression ; s’ajoutent à cela les changements au niveau régional qui aboutissent au constat que le droit palestinien, se concrétisera, sans parler de l’existence d’une volonté réelle pour cela.
La Résistance a dissipé le rêve de Balfour :
L’écrivain et observateur Mohamed El Efrangi, a affirmé que la Résistance réelle est en mesure d’endolorir l’occupation et de faire échouer ses visées colonisatrices et d’occupation ; c’est une Résistance qui détruit le projet de l’occupant, par conséquent, elle dissipe effectivement ses illusions et ses espérances en vue de déployer son autorité sur la patrie occupée.
Des charges annoncées ou des coûts estimés :
Dan une déclaration exclusive au (CPI) mercredi (2-11) Mohamed El Efranji a fait savoir que notre Résistance a dissipé le rêve de la déclaration Balfour et, a barré le chemin à la création de ce qui est nommé le grand Israël, dont les illusions et les aspirations dépassent les frontières de la Palestine pour s’étendre du Nil à l’Euphrate ! Cependant le Résistance à contenu l’occupant dans les limites des territoires occupés eu 1948 et continue à le combattre jusqu'à ce qu’il les évacue, totalement conformément aux situations politiques appropriées, l’ambiance convenable et, l’occupation est consciente de cela !  
El Efrangi a estimé que, la situation d’équilibre de la terreur, chez la Résistance ne l'a jamais quitté d’un pouce depuis sa genèse et s’interrogeant : « quelle arme au monde peut elle stopper celui qui offre sa vie et son corps dans une opération-martyr, qui peut donc dissuader un tel combattant ?!
Il précisa que, l’occupation est consciente de la terreur que la Résistance lui fait endurer, et sans l’existence de cet équilibre, la relaxation n’aurait pas suscité de crainte, surtout que beaucoup parmi eux ont dépassé la cinquantaine, l’occupation cependant, a peur de leurs esprits, leur orientations, et de leur convictions. Il poursuit en se demandant : «  Cela n’est-il pas un équilibre de la terreur que l’occupant ne peut contenir par toutes le sortes d’arme qu’il possède ?
Il conclue en disant : c’est l’équilibre de la terreur que, la créativité de la Resistance a imposé à l’occupant : le Sacrifice et le Martyr.