mardi 30 novembre 2010

Hamas: Le processus de paix vise à légiférer l'occupation sioniste

[ 29/11/2010 - 17:47 ]
Damas – CPI
Le mouvement du Hamas a appelé l'autorité du Fatah à Ramallah à revoir les choix du pari sur les négociations après la confirmation de l'échec du programme du processus de paix et à retourner au projet de la résistance pour la libération nationale sur la base de l'attachement à tous les droits et  principes nationaux.
Dans un communiqué publié le lundi 29/11 à l'occasion de la 63ème commémoration de la publication de la décision de division de la Palestine selon la résolution N°181 de l'ONU, publiée en 29 novembre 1947, le Hamas a renouvelé son refus décisif à cette décision.
"La résolution onusienne N°181 de diviser la Palestine est injuste et non avenu parce qu'elle légifère l'occupation des territoires des autres par la force en violation aux simples principes de la justice et aux règles du droit international, ainsi que les bases juridiques et morales de l'ONU", a poursui le Hamas.
Le Hamas a rejeté de nouveau tous les actuels projets de paix, annonçant son fort maintien aux principes nationaux.
"Le Hamas refuse tous les actuelles négociations et processus de paix qui visent à légiférer l'occupation israélienne sur les territoires palestiniens et confisquer nos droits nationaux, parce que  ces projets n'auront aucun sort rien que l'échec, si le peuple palestinien n'obtient pas ses droits légaux dont le retour de tous les réfugiés à leurs terres et la création de l'état palestinien indépendant avec al-Qods comme capitale éternelle", a ajouté le communiqué.
D'autre part, le communiqué a affirmé l'attachement à la réconciliation et au choix de l'unité nationale sur la bse du maintien aux droits et aux prinicpes nationaux, appelant à cesser la coordination sécuritaire avec l'occupation et à stopper la politique de la détention politique et collective, ainsi que la poursuite contre la résistance et ses partisans en Cisjordanie occupée pour créer des atmosphères positives et garantir le succès du dialogue national.