Washington D.C. - PNN -
Hillary Clinton, chef de la diplomatie des États-Unis a déclaré mercredi que les israéliens et les palestiniens n'avaient pas encore abandonnés les négociations et que la solution à deux États restaient envisageable.
Présente au gala annuel de l'American TaskForce on Palestine, elle a souligné qu'il n'y avait "pas d'alternatives à des négociations directes" pour résoudre le conflit. Elle a appelé les deux partis à ne pas s'engager dans des actions qui pourraient fragiliser les pourparlers.
"Nous restons convaincu que si chacun persévère dans les négociations, les partis pourront trouver un compromis qui mettrait fin au conflit" a-t-elle déclaré. Sur la position des États-Unis, elle a confirmé la volonté de créer un État palestinien sur les territoires occupées de 1967. Sur les colonies, elle a affirmé que "la position des États-Unis était connu et qu'elle était resté inchangé", condamnant au passage l'incendie d'une école par des colons près de la ville de Naplouse dans le nord de la Cisjordanie.
Néanmoins, Hillary Clinton a également reconnu le droit des israéliens à revendiquer le caractère juif de l'État d'Israël, comme l'avait fait précédemment le porte parole du ministère des affaires étrangères P.J. Crowley. Cette demande a été condamné par l'Autorité palestinienne qui voit en elle une mesure "raciste" qui empêcherait dans le futur les réfugiés palestiniens de profiter de leur droit au retour.
La Ligue Arabe avait laissé un mois de délai, début octobre, aux États-Unis pour résoudre l'impasse dans laquelle se trouve les négociations. Après cela, l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP) a envisagé déclarer unilatéralement la création d'un État palestinien devant le Conseil de Sécurité de l'ONU. Néanmoins, les États-Unis s'avèrent être l'obstacle principale à ce projet, car il est fortement attendu qu'ils suivent la position d'Israël, et, du fait de leur droit de véto, entérine la proposition.
Hillary Clinton a également salué les efforts du premier ministre Fayyad dans son projet sur deux ans de créer les institutions économiques nécessaires à la viabilité de l'État. Mme Clinton a déclaré que : "aider à faire de l'État palestinien une réalité demande plus que des plans et des promesses" et a ainsi appeler la communauté internationale, et plus particulièrement les États arabes, à fournir un soutien financier plus important à l'Autorité palestinienne. Elle a surenchéri en demandant aux pays arabes de "mettre en œuvre" l'initiative pour la paix. 2laboré en 2002 par l'Arabie Saoudite, ce plan prévoyait une normalisation des rapports des États arabes avec Israël. Néanmoins, ce plan exigeait en contrepartie la création d'un État sur les territoires occupées de 1967, dont Jérusalem-est serait la capitale, ainsi qu'une résolution amiable de la question des réfugiés.
"Nous restons convaincu que si chacun persévère dans les négociations, les partis pourront trouver un compromis qui mettrait fin au conflit" a-t-elle déclaré. Sur la position des États-Unis, elle a confirmé la volonté de créer un État palestinien sur les territoires occupées de 1967. Sur les colonies, elle a affirmé que "la position des États-Unis était connu et qu'elle était resté inchangé", condamnant au passage l'incendie d'une école par des colons près de la ville de Naplouse dans le nord de la Cisjordanie.
Néanmoins, Hillary Clinton a également reconnu le droit des israéliens à revendiquer le caractère juif de l'État d'Israël, comme l'avait fait précédemment le porte parole du ministère des affaires étrangères P.J. Crowley. Cette demande a été condamné par l'Autorité palestinienne qui voit en elle une mesure "raciste" qui empêcherait dans le futur les réfugiés palestiniens de profiter de leur droit au retour.
La Ligue Arabe avait laissé un mois de délai, début octobre, aux États-Unis pour résoudre l'impasse dans laquelle se trouve les négociations. Après cela, l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP) a envisagé déclarer unilatéralement la création d'un État palestinien devant le Conseil de Sécurité de l'ONU. Néanmoins, les États-Unis s'avèrent être l'obstacle principale à ce projet, car il est fortement attendu qu'ils suivent la position d'Israël, et, du fait de leur droit de véto, entérine la proposition.
Hillary Clinton a également salué les efforts du premier ministre Fayyad dans son projet sur deux ans de créer les institutions économiques nécessaires à la viabilité de l'État. Mme Clinton a déclaré que : "aider à faire de l'État palestinien une réalité demande plus que des plans et des promesses" et a ainsi appeler la communauté internationale, et plus particulièrement les États arabes, à fournir un soutien financier plus important à l'Autorité palestinienne. Elle a surenchéri en demandant aux pays arabes de "mettre en œuvre" l'initiative pour la paix. 2laboré en 2002 par l'Arabie Saoudite, ce plan prévoyait une normalisation des rapports des États arabes avec Israël. Néanmoins, ce plan exigeait en contrepartie la création d'un État sur les territoires occupées de 1967, dont Jérusalem-est serait la capitale, ainsi qu'une résolution amiable de la question des réfugiés.