[ 22/06/2010 - 12:41 ] |
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Beyrouth – CPI Les réactions de colère se poursuivent contre la décision des autorités de l'occupation d'expulser les députés palestiniens de la ville occupée d'al-Qods, où l'organisation de la conférence islamique a condamné fortement la décision sioniste, alors que le président du parlement libanais, Nabih Berri, a considéré que l'expulsion des députés d'al-Qods représente une nouvelle agression sioniste contre le peuple palestinien. Le secrétaire général de l'organisation de la conférence islamique, Ekmeleddine Ihsanoglu, a dit dans un communiqué publié, le lundi 21/6, que la décision sioniste est une agression contre la liberté et les droits des députés élus du peuple palestinien, et vient dans le cadre de la politique sioniste programmée, continuelle et escaladée pour évacuer les habitants palestiniens de la ville occupée d'al-Qods dans le but de la judaïser et effacer ses aspects arabes et islamiques. Il a adressé des messages urgent à certains responsables internationaux en les appelant à intervenir pour obliger les autorités de l'occupation de renoncer à leur décision et les empêcher de violer continuellement la loi internationale. De son côté, Berri a vu que cette décision représente une nouvelle agression sioniste contre le droit de séjour du peuple palestinien sur ses territoires, alors qu'elle s'oppose avec les simples règles des droits de l'homme. Enfin, l'union parlementaire arabe et l'union des parlements des pays islamiques a appelé à l'adoption de cette question lors de la réunion prévue, en fin juin, à Damas, et la rencontre des chefs des parlements, prévue le mois prochain, à Genève. |