Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a présenté au cours d'une réunion de la commission des affaires étrangères et de la sécurité de la Knesset, sa propre analyse de la situation au Moyen-Orient !
Pour ce qui est de la Syrie, l'Iran et de la Turquie , il a estimé « que Damas attend une décision des États-Unis sur l'Irak, excluant des changements futurs positifs, quand à Ankara , il cherche à devenir le leader du monde islamique mais il payera cher le prix de son éloignement de l'Occident ».
Netanyahu a précisé que "son gouvernement considère l'Egypte une source de stabilité régionale, et que la Syrie se renforce en augmentant son armement en missiles et qu’elle attend avec l'Iran et la Turquie, une décision des États-Unis sur l'Irak."
Il a ajouté: «que tous ceux qui sont dans le camp pragmatique, doivet être conscients que les changements futurs iront de mal en pis et que l'Autorité palestinienne sera affaiblie."
Pour ce qui est des négociations entre l’entité sioniste et les Palestiniens, M. Netanyahu a déclaré : "Nous devons entrer dans des négociations directes, et je pense que les Palestiniens ont cru bon s’accrocher à leur position, ce qui a abouti à des négociations indirectes".
Il a noté : “A notre avis, nous devons passer à des négociations directes et il faut former un seul comité pour tenter de résoudre les problèmes, et l'un des problèmes cruciaux c’est l’environnement extérieur, dans le sens que tout règlement devrait commencer à réfléchir aux conséquences sur la sécurité d'Israël: il faut se demander ce qui risque de se passer lorsque nous allons nous retirer. Ainsi, après notre retrait unilatéral de Gaza, l’Autorité s'est effondrée et nous avons eu le Hamas. "
Netanyahu a réitéré son soutien à la mise en œuvre d’accords sécuritaires qui interdisent l’entrée des armes et des roquettes, « car cela constitue un danger stratégique pour l'Etat d'Israël, la première chose à faire c’est de passer à des négociations directes car la situation exige un accord interne entre nous sur la sécurité et il est également nécessaire de former un bloc interne pour faire face aux mouvements extrémistes islamiques et aussi celles de la gauche radicale ».
Netanyahou a mis en garde contre les défis que doit affronter l’entité sioniste : "Nous devons renforcer les bases d'un consensus entre nous, car des jours très difficiles nous attendent, pas seulement à cause des flottilles (pour briser le blocus de Gaza), mais parce que il y a de grands défis à venir ! »
Pour ce qui est de la Turquie, il a déclaré: «La Turquie a commencé à payer le prix sur la scène internationale, il y a un grand changement en Turquie, le parti au pouvoir monte et effectue des changements internes au sein du gouvernement semblables à ceux qui ont été fait il y a 100 ans."
Il a ajouté que «ce changement affecte négativement la situation interne en Turquie, à partir du moment où la Turquie a réalisé qu’elle ne rentrera pas dans l'Union européenne, elle s'est tournée vers le monde islamique ce qui a conduit à une mauvaise attitude avec Israël ... Et maintenant elle compte réduire le niveau des relations avec nous ".
Pour ce qui est de la Syrie, l'Iran et de la Turquie , il a estimé « que Damas attend une décision des États-Unis sur l'Irak, excluant des changements futurs positifs, quand à Ankara , il cherche à devenir le leader du monde islamique mais il payera cher le prix de son éloignement de l'Occident ».
Netanyahu a précisé que "son gouvernement considère l'Egypte une source de stabilité régionale, et que la Syrie se renforce en augmentant son armement en missiles et qu’elle attend avec l'Iran et la Turquie, une décision des États-Unis sur l'Irak."
Il a ajouté: «que tous ceux qui sont dans le camp pragmatique, doivet être conscients que les changements futurs iront de mal en pis et que l'Autorité palestinienne sera affaiblie."
Pour ce qui est des négociations entre l’entité sioniste et les Palestiniens, M. Netanyahu a déclaré : "Nous devons entrer dans des négociations directes, et je pense que les Palestiniens ont cru bon s’accrocher à leur position, ce qui a abouti à des négociations indirectes".
Il a noté : “A notre avis, nous devons passer à des négociations directes et il faut former un seul comité pour tenter de résoudre les problèmes, et l'un des problèmes cruciaux c’est l’environnement extérieur, dans le sens que tout règlement devrait commencer à réfléchir aux conséquences sur la sécurité d'Israël: il faut se demander ce qui risque de se passer lorsque nous allons nous retirer. Ainsi, après notre retrait unilatéral de Gaza, l’Autorité s'est effondrée et nous avons eu le Hamas. "
Netanyahu a réitéré son soutien à la mise en œuvre d’accords sécuritaires qui interdisent l’entrée des armes et des roquettes, « car cela constitue un danger stratégique pour l'Etat d'Israël, la première chose à faire c’est de passer à des négociations directes car la situation exige un accord interne entre nous sur la sécurité et il est également nécessaire de former un bloc interne pour faire face aux mouvements extrémistes islamiques et aussi celles de la gauche radicale ».
Netanyahou a mis en garde contre les défis que doit affronter l’entité sioniste : "Nous devons renforcer les bases d'un consensus entre nous, car des jours très difficiles nous attendent, pas seulement à cause des flottilles (pour briser le blocus de Gaza), mais parce que il y a de grands défis à venir ! »
Pour ce qui est de la Turquie, il a déclaré: «La Turquie a commencé à payer le prix sur la scène internationale, il y a un grand changement en Turquie, le parti au pouvoir monte et effectue des changements internes au sein du gouvernement semblables à ceux qui ont été fait il y a 100 ans."
Il a ajouté que «ce changement affecte négativement la situation interne en Turquie, à partir du moment où la Turquie a réalisé qu’elle ne rentrera pas dans l'Union européenne, elle s'est tournée vers le monde islamique ce qui a conduit à une mauvaise attitude avec Israël ... Et maintenant elle compte réduire le niveau des relations avec nous ".