Le peuple palestinien a commémoré hier le 34e anniversaire de la Journée de la Terre, une date symbolique qui marque son combat contre l'occupation israélienne et l'expropriation de ses terres par les colons juifs. L'occupant israélien a adopté une politique visant à judaïser les terres arabes et à éloigner le peuple palestinien de sa terre, en commettant des massacres odieux à son encontre et en accaparant ses biens. Le peuple palestinien était sorti le 30 mars 1976 lors de manifestations pacifiques contre l'expropriation de ses terres mais les forces d'occupation ont réprimé les manifestants, tuant six d'entre eux. L'Organisation de libération de la Palestine a dénoncé à cette occasion, la politique d'agression israélienne et a appelé la communauté internationale à " intervenir en urgence pour mettre un terme à l'occupation israélienne".
A cette occasion, les Palestiniens des camps de réfugiés ont organisé une série de rassemblements au Liban dont un rassemblement organisé lundi par le Front Démocratique de libération de la Palestine (FDLP) à Nahr El Bared au nord du Liban. Les manifestants ont tenu à cette occasion à réaffirmer l'attachement des Palestiniens à leur terre, à leur identité nationale et à leur droit à l'existence. De son côté, la commission ministérielle de l'initiative arabe de paix a souligné dans un communiqué publié en marge des travaux de la 22e session ordinaire du sommet arabe de Syrte qu'il n'y aura pas de négociations sans l'arrêt de la colonisation et que le retrait israélien de tous les territoires palestiniens constituait une condition incontournable pour l'instauration d'une paix juste et durable au Proche-Orient.
A cette occasion, les Palestiniens des camps de réfugiés ont organisé une série de rassemblements au Liban dont un rassemblement organisé lundi par le Front Démocratique de libération de la Palestine (FDLP) à Nahr El Bared au nord du Liban. Les manifestants ont tenu à cette occasion à réaffirmer l'attachement des Palestiniens à leur terre, à leur identité nationale et à leur droit à l'existence. De son côté, la commission ministérielle de l'initiative arabe de paix a souligné dans un communiqué publié en marge des travaux de la 22e session ordinaire du sommet arabe de Syrte qu'il n'y aura pas de négociations sans l'arrêt de la colonisation et que le retrait israélien de tous les territoires palestiniens constituait une condition incontournable pour l'instauration d'une paix juste et durable au Proche-Orient.