Le président du Club du prisonnier palestinien, Qadoura Faris, a mis en garde contre le traitement avec les propositions de l'occupation concernant les prisonniers libérés dans l'opération d'échange de prisonniers avec Shalit, qui ont été arrêtés de nouveau par l'occupation israélienne.
Ces propositions stipulent d'échanger leurs condamnation à la prison ferme pour des périodes limitées, selon leurs précédents condamnations, en échange de ne pas reprendre leurs condamnations complètes ou les expulser.
Faris a révélé que les propositions comprennent de tenir des transactions de condamnations contre certains d'entre eux, pour 6 ans, pour le prisonnier condamné au passé à 20 ans et quatre ans pour le prisonnier condamné à 15 ans au passé, mais les prisonniers condamnés à la perpétuité seront expulsés.
Dans un communiqué publié par le Club du captif, Faris a ajouté, le mardi 2/12, que ces affaires sont un reflet du manque de conviction des juges aux condamnations contre les ex-prisonniers libérés, considérant que la cause de proposer l'expulsion est un crime interdit par le droit international et refusé sur le niveau national.
Il a appelé la direction palestinienne et le gouvernement palestinien à intervenir pour sauver ces prisonniers qui sont pris en otage par l'occupant.
Le club a souligné que le comité militaire formé pour discuter des causes des ex-prisonniers libérés a condamné à la perpétuité plus de 20 d'entre eux, notant que l'occupation les a arrêtés de nouveau dans le cadre d'une campagne d'arrestations féroce lancée contre eux, en juin dernier, et a abouti à l'arrestation de 60 d'entre eux.